Lowy

Je m'en tiens au débat , et chacun à sa vision des choses et c'est trés bien. Vous voudriez bien arrêtez de critiquer les interventions des uns et des autres et donner votre avis , le vôtre , exclusivement le vôtre. ''il existe autant de manière d’être reconnu·e que de personnes sur Terre (désormais 8 milliards).'' Exactement.

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Mauvaise foi?

^^là où vous nous avez menés Mme.

La révolte contre des multinationales qui dirigent le monde? ....^^

Votre constat est réaliste , merci.

C'est différent mais reste pareil dans l'impact et les conséquences. Conséquence de la non reconnaissance : repli sur soi?

Des subterfuges qui occultent toute objectivité. Tout à fait.

Pas toujours . La puissance et le clanisme font des miracles professionnelles. Et plus il y'a de l'argent en jeu, et plus c'est trés subjective.

Oh que si. La mauvaise foi fera son petit chemin. Et votre travail sera détourné, même caché et cela remettra en considération votre compétence, votre réputation professionnelle et le cheminement d'une carriére professionnelle.

Cela peut être reconnu ou pas. On peut trés bien bosser et ne pas être reconnu. Le monde du travail est un labyrinthe de sentiments tronqués où la reconnaissance n'est pas toujours de mise. La reconnaissance de l'autre peut être objective suivant ses actions , subjective suivant les sentiments , la relation, etc... Pas pareil , mais l'impact est quasiment le même .

Manipulation... Peut être que la personne qui offre n'attends rien en retour, et que cela lui fait juste plaisir de faire plaisir ( peut être...) Etrange l'humain dans ses considérations... La reconnaissance n'altére en rien la liberté , peut être même qu'elle encourage parfois le fait de faire plus et mieux et enrichi cette liberté de faire...

Le sujet peut se débattre sur plusieurs axes, la reconnaissance est multiple, mais au fonds c'est la même ...Je repose la question autrement: comment pourriez vous exprimez le sentiment de reconnaissance , quand vous le recevez ou quand vous le donnez?

Parcequ'ils considérant que ça été fait parceque ça devait se faire et que la nation en fasse tout un plat...

La conscience humaine, qui n'est pas le fait de tous.

La maladie du siécle. Peut être que le moine voyait votre action comme quelque chose d'évident et qu'il aurait agit de même , voire plus ... une forme de philosophie (enfin, j'extrapole). Non, je ne considère pas que la reconnaissance c'est ''accepter ''que les autres dirigent sa vie, peut être ça serait la cohésion avec l'autre , l'acceptation de ce qu'on offre, même si je considère personnellement que l'autre comprenne notre acte en fait... une adhésion de la pensée aussi, une fusion avec ses pairs sur quelque chose ( humm: société- le besoin de l'autre?) Les enfants ne demandent pas l'autorisation d'exister: c'est les êtres les plus entiers qui existent à mon avis, avant d'être pollués par la vie.

Je ne sais pas si c'est ''par déshonneur'' ou pas. Je pencherais pour le côté objectivité humaine, on sauve l'autre. Peut être que la reconnaissance de l'autre , c'est que l'autre comprenne pourquoi on fait ci ou ça, et que cela nous apporte une certaine satisfaction existentielle... Merci @Frank_N ( au delà de la reconnaissance du travail: la reconnaissance au travail qui pour moi est une obligationmanagériale , et la refuser à l'employé, une infraction )

Quelque chose d'utile, de bénéfique , de bien fait...

Mais ceux qui se sont sacrifiés pour leur patrie, ne pensaient pas à cette distinction à leur sacrifice, ils ont oeuvré pour leur patrie , par ce qu'on appelle '' le devoir'' .

On peut ne pas nous être reconnaissant pour quelque chose qu'on referait sans hésitation.

Mais si , on peut. Et même que la non reconnaissance fait parfois découvrir des choses de la vie... Le devoir n'a pas besoin de reconnaissance : oui, intéressant .

@Enchantant Je précise seulement que -à mon sens -l'appréciation du terme '' ego'' est trés relative et que c'est aussi un sentiment légitime.

On construirait le meilleur des mondes ou le pire mais là, au milieu de notre réel? Avec des si , on réduirait aussi le monde au silence, aucune question , aucune réponse...le vide. Ou peut être le néant?

Le riche n'a donc pas besoin de reconnaissance, pourquoi?

Peut être. Mais est ce nécessaire pour savoir que quelque chose est bien ou pas, utile ou pas , et si la vision des autres était tronquée? Tellement d'humains ont continué leurs chemins malgré la critique ou le désapprouvent de sociétés normées , et au bout nous profitons aujourd'hui de ce qu'ils nous ont laissé...