Aller au contenu

diffn

Banni
  • Compteur de contenus

    830
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par diffn

  1. diffn

    travail et croyance

    Le voleur enfin salua les anges de droite et de gauche pour signifier la fin de la prière. Et demeura assis, encore un instant pour évoquer Allah. Il se releva enfin, se retourna pour se retrouver nez à nez avec le propriétaire qui était derrière lui. La femme par l’entremise du rideau toujours en chemise de nuit, ne rata aucun moment de cette scène du salon. Elle avait vu enfin le visage du Djinn elle en fût ébahie. suite Elle était sur le point de pousser ce son onomatopéique de ‘’ oh !’’, mais tout de suite elle se ravisa, en bouchant de sa main ce trou béant plein de maladresses, la peur d’être débusquée l’emporta sur l’usage de sa nature. La race des Djinns possédait un physique démoniaque et celui-ci, il en avait un d’angélique, très beau et très athlétique. La femme était sur le point de s’évanouir si ce n’est sa curiosité qui l’emporta une nouvelle fois sur ses faiblesses anatomiques. L’intrus voyant cet homme, assis sur cette chaise, n’osant point prononcer un mot et une bouche entrouverte d’étonnement, se dessina sur son visage. - Je me présente disait l’intrus, voleur, mais je vole pour que ce métier de mon père ne tombe pas dans la désuétude. Et j’ai pour projet de valoriser ce métier, il faut qu’il devienne légal et conforme aux lois de la royauté et de la divinité. Je ne suis point comme ces vulgaires voleurs, avant de rentrer dans votre maison, n’est-ce pas que j’ai frappé à la porte tout en saluant ? - Oui, avait répondu le propriétaire tout déboussolé. La femme son étonnement fût encore plus grand, et sa bouche grande ouverte marquait bien ce sentiment. Par ailleurs elle se sentit désabusée, elle découvre un simple voleur au lieu d'un djinn, Mais aussi beau qu’un Dieu, se disait-elle. Elle était contente qu’un si beau garçon eût choisi son domicile pour le cambrioler. Qu’importe elle continuera de guetter de derrière les rideaux, pour connaitre l’épilogue de cette aventure. Elle ne reconnut plus son mari, qui soudainement s’est transformé en un homme stoïque. Il parlait avec cet homme sans aucune crainte. Ce mari qui enfin, avait retrouvé tous ses repères, compris qu’il avait à faire à un voleur et dit. - Mais avait repris le propriétaire, pourquoi tu penses qu’en frappant sur la porte et en saluant, tu t’es dédouané de ce mal que représente ce brigandage ? - C’est Dieu qui nous dit dans son livre, qu’avant de rentrer chez quelqu’un il faut frapper et saluer, avait répondu le garçon. - Ne sais-tu pas que le voleur, on lui coupe le bras. - Oui, mais le second calife avait abrogé cette loi pour les nécessiteux et pour ceux qui ne volent que pour manger, et j’appartient à cette catégorie, avait répliqué, le voleur. en plus, disait-il je n’ai pas enfreint le coran, car j’ai frappé à la porte et je vous ai salué. Tu peux voir sur la table que ta fortune est divisée en trois, une part pour la Zakat, l’autre pour toi et la dernière pour moi qui équivaut à une journée de travail. - Tu invoques le livre, mais tu as oublié de lire la suite du verset qui dit, ‘’que si on ne t’y invite pas, il ne faut pas insister et si on te refuse l’entrée, tu devras quitter les lieux. Tu n’as pas reçu l’invitation, mais je vais te demander une chose, comment tu as fait pour calculer la zakat ? à suivre
  2. Molière que Dieu ait son âme, un homme qui nous avait fait tellement rire on doit l’aimer et je demanderai au Dieu des musulmans de le mettre dans un endroit non pas bien au chaud, ça serait cruel, mais parmi les plus belles femmes que les islamistes appellent les houris. Dans sa dernière comédie, il avait joué un rôle d’un malade imaginaire alors qu’il était réellement malade. Et nous sommes aujourd’hui dans cette logique de maladie imaginaire mais réel. Tu me dis que ma voiture est blanche et je te dis qu’elle est noire, tu me le répètes tellement que je la voie blanche. Une histoire que mon oncle médecin m’avait racontée. Une femme qui croyait avoir des cafards dans son ventre, elle le croyait tellement, qu’elle se lamentait et poussait quotidiennement des hurlements. Son mari l’avait emmenée, chez un médecin. Après avoir passé une visite, puis une radio…le médecin avait dit au mari qu’effectivement, elle avait des cafards dans le ventre. La femme s’est mise à pleurer tout en tourmentant son mari. - Ecoutes elle est saine, elle n’a rien, on va faire semblant de lui faire une opération et lui dire que nous avons enlevé ces cafards. - Merci docteur avait répondu le mari. L’opération réalisée avec succès, la femme est redevenue normale, comme toutes les femmes qui sont en réalité heu … je ne sais pas. Deux ans après le mari décide de lui dire la vérité et les cafards ont reprit leur place dans le ventre de la dame.
  3. mécréant signifie ne pas croire en Dieu alors que kafir c'est autre chose quels son ces pays qui font ça?
  4. Les parents d'abord sont des tunisiens et vivent en Tunisie et secundo, tu dis sur le plateau de nos confrères, donc ils été invités sur un plateau, normalement c'est facile de le prouver, nous voulons des preuves, c'est tout. dans ce cas je vous tirerai ma révérence, sinon je dirai que tu es un menteur.
  5. nous avons tout de suite changé de sujet, le sujet de cette pauvre famille déclarée coupable d'avoir engendré un criminel et de lui avoir inculqué le meurtre de l'autre, le meurtre du mécréant
  6. Et cette attestation ou diplôme atteste que tu es ingénieur ou autres.
  7. Il existe une règle, c’est que tous les mots en arabe possèdent une origine qu’on appelle origine commune. Et presque la totalité possèdent une origine à 3 lettres, nous appellerons, l’origine unique ou al masdar. Les grammairiens ont commencé à établir une grammaire à partir de Sibawayh, né vers 770 plus ou moins, bien après la révélation du Coran. (les arabes n’avaient pas besoin de grammaire, orthographe etc…ils parlaient cette langue sans aucune erreure et avec un langage des plus merveilleux) Donc on ne peut interpréter des mots en changeant leurs significations dans des contextes de phrases bien établis. Qu’ont-ils fait les traditionalistes. Ils ont inventé des hadiths, et dans ce cas, ce mot provient des catholiques, et il y en a beaucoup d’exemples comme celui-ci. Ils disent par exemple Jésus, fait des miracles, alors que notre prophète non ! ils inventent alors des miracles bien que le coran est très explicite sur ce cas, interdiction totale de miracle et il énonce que le livres suffit comme miracle. Et dans ce cas ils se sont dit que les chrétiens possèdent leurs martyrs qui vont au paradis et nous ? non ? alors ils inventent le martyr musulman qui va au paradis directement avec voyage sans escale. Ces mots que tu pris je pense dans un mou »jame al lougha, l’auteur est un musulman comme les autres alors il croient réellement que ce mot signifie aussi martyr car notre exégèse affirme ce mensonge. J’ai beaucoup à dire dans ce cas, mais le forum ne s’y prête pas, si tu veux que nous discutions sur ce cas, nous le ferons en dehors de ce cadre. Donc pour, l’origine des mots, Donc l’origine شَهَادَة شَهَدَ origine unique. Diplôme oui mais ‘’diplôme de’’ car ceux qui ont donné les diplômes sont des témoins. Attestation de travail par exemple, car ceux qui ont donné cette attestation sont des témoins etc…, martyre, non car l’auteur n’a aucune preuve et a suivi les traditionalistes, qui affirment ce mensonge. Tu sais cet homme qui a assassiné, il a suivi un parmi tant d’autres exégèses des érudits, qui ont interprété des hadiths
  8. salut Si je peux mettre Dos à dos, le colon et le colonisé, le transgresseur et la victime, celui qui possède l’arme nucléaire et celui qui achète des pétards aux trafiquants, celui foule aux pieds toutes les ordonnancements de l’ONU et celui qui espère, celui qui est entouré gros bras et celui qui est entouré par des traitres, celui qui est entassé dans un faubourg et ne peut rien contre des bombes et celui qui possède toute la Palestine et continue à voler les terres aux palestiniens et possèdent refuges pour échapper aux pétards…là je peux suivre ta logique qui n’en n’est pas une. bonne journée.
  9. ça c'est vrai ce que tu dis. et la propagande comme le font certains est très dangereuse, moi je dis que le martyr est une invention catholique, et le coran ne cite ce mot que dans le cas de témoin j'ai fais des recherches sur ce mot, en arabe un témoin se dit Chahid. prend ce mot tu fais la traduction et tu vas voir toi-même.
  10. le mot martyr est une invention catholique, ce mot dans le coran signifie être témoin.
  11. tu fais de la propagande et je ne vais rien chercher, vous déformez des réalités et vous jouez un jeux très dangereux. c'est très facile de trouver des poux dans le c.. da quelqu'un qui se lave pas.
  12. c'est exact une secte ou peut-être qu'il faut se mettre dans la peau d'un personnage complètement paumé, qui n'a aucune envie de vivre, rejeté de partout, et trouve cette excuse qui est un péché grave en Islam, de tuer.
  13. un extrémiste qui parle, répondant à un autre extrémiste qui tue. il appelle à la haine et au meurtre, à la vengeance. retiens toi et n'attise pas la flamme, la haine se prélasse et est amorphe dans chaque humain, laisse la dormir, ne la réveille pas. il faudrait au contraire l'aider à s'endormir encore plus
  14. diffn

    Le CID à ma manière

    le Cid, assayad, Un Monsieur honorable, mot arabe attribué par les arabes qui étaient pourtant les adversaires du héros de la pièce de Corneille, mais ses adversaires l'aimaient pour son courage et son sens de l'honneur
  15. diffn

    travail et croyance

    suite - Lève-toi vite, le Djinn est entrain de prier dans le salon! c’est un djinn voleur! il a posé sur la table toute ta fortune. Un djinn musulman ; mon Dieu, ce sont les pires! Il s’est levé, effrayé non par les paroles de sa femme, mais par son attitude. mais les mots entrecoupés qui lui blessés son oreille fragile et les gesticulations devant ses yeux semblables à celle d’un théâtre d’ombre, lui avait procuré un effet du sommeil dans le cerveau. Il se retourna alors en remettant la couverture sur sa tête pour replonger dans son sommeil, en compagnie d’Orphée qui lui jouait avec sa harpe de la musique classique. Excédée, mais non découragée sa femme bilieuse lui extirpa sa couverture et le bouscula jusqu’à ce qu’il tombe du lit, puis le releva avec force et le poussa devant l’entrée du salon. On aurait dit un ivrogne qui a bu toute une cagette de vin, ses pas incertains, lui donnaient l’air d’un jouet en plastique, un pantin articulé. Elle le plaça devant la porte pour qu’il regarde de ses propres yeux, le Djinn qui priait dans le salon, mais sa tête n’était pas dans la bonne direction. Elle fût obligée de régler la tête du pantin dans la bonne direction. Son cerveau était tellement embrouillé par l’effet du sommeil qu’il ne vit personne. Il se tourna vers sa femme et lui dit d’un air apathique. - Qu’est-ce qui se passe ? - A la bonne heure tu t’es enfin réveillé, le Djinn que tu as laissé entrer est dans le salon, il est entrain de prier. Regarde espèce de corniaud, elle pouvait l’insulter dans ces moments, et elle en profitait. Il regarda encore une fois et là il découvrit enfin la réalité, un Djinn était bel et bien entrain de prier dans son salon. Il fit demi-tour et se réinstalla dans son lit en se couvrant totalement par la couverture. La femme galopa derrière lui et le bouscula une seconde fois pour qu’il tombe du lit. Elle savait que son mari est un poltron, elle le repoussa vers l’avant, puis rapidement, il rebroussa chemin, avec dextérité, la bonne femme le repoussa une nouvelle fois par une force décuplé par la peur, si bien qu’il se retrouva devant le voleur qui priait toujours. Il ne savait quoi faire, mais une chaise devant lui et à côté de la table lui demandait de s’asseoir. Il put constater devant lui, sur la table toute sa fortune étalée, et départagée en trois liasses inégales. Des feuilles aussi où des formules mathématiques et beaucoup de chiffre y étaient inscrits. L’argent et sa comptabilité sur la table avaient éveillé son cerveau apathique il se demandait pourquoi sa comptabilité et pourquoi ce partage de l’argent. Le voleur enfin salua les anges de droite et de gauche pour signifier la fin de la prière. Et demeura assis, encore un instant pour évoquer Allah. Il se releva enfin, se retourna pour se retrouver nez à nez avec le propriétaire qui était derrière lui. La femme par l’entremise du rideau toujours en chemise de nuit, ne rata aucun moment de cette scène du salon. Elle avait vu enfin le visage du Djinn elle en fût ébahie.
  16. diffn

    Mélenchon défend Benzema.

    IL n'est pas musulman et il saute directement au plus haut degré de la dérive, c'est comme s'il voulait se suicider. soyons sérieux, nous sommes dans un forum sérieux, Forum Français, c'est comme drapeau français, ou Hymne nationale française, il ne faut pas le salir ou le rendre inepte.
  17. diffn

    Mélenchon défend Benzema.

    Êtres frère musulman c’est faire partie d’une secte de la confrérie FM, Frère Musulman que la France d’ailleurs ne condamne pas et ils sont très actifs dans ce pays. la secte l’organigramme et le but ressemble à ceux des Franc Maçon, sauf qu'eux veulent régner au nom de l'islam. alors que l'autre FM, c'est par l'argent et technologie, qu'ils souhaitent régner. FM=FM, que vient faire Benzema avec les frères musulmans, c’est un gars qui n’aime que les belles femmes, les beaux carrosses et la suite et il ne connait rien à l’Islam. Ça prouve rien, c’est à vous de prouver le contraire.
  18. diffn

    Mélenchon défend Benzema.

    il n'y a que les imbéciles qui croient à cette merde, tu n'as pas vu la femme de Benzema????
  19. diffn

    Mélenchon défend Benzema.

    soutien des terroristes, Mélanchon????
  20. diffn

    travail et croyance

    La femme dans sa chambre entendit quelques bruits et pas ne pas voulait déranger son mari, elle savait que le Djinn été dans le salon, elle décida alors de l’attendre. Parmi les chambres qu’il avait visitées l’une d’elles, dans un coin s’y trouvait un coffre. Le voleur l‘ouvrit facilement et y trouva beaucoup d’argent accompagnées par un paquet de feuilles qu’il mit de côté. Des chiffres sur toutes ces feuilles, le voleur avait compris qu’il s’agissait de la comptabilité pour la zakat (Un pourcentage d’une fortune, que les plus aisés doivent donner aux pauvres). Le voleur, comptabilisa toutes les zakats qu’il trouva erronées, pour les déduire de la somme qui se trouvait sur la table. Par la même occasion, il déduisit le prix de la serrure qu’il endommagea, une somme déduite de sa journée de travail en tant que voleur. Puis en entendant l’appel à la prière, il laissa tout sur la table, pour se diriger vers la direction de la Qibla afin de s’acquitter de la prière de l’Aube qui venait de commencer. il se disait que la prière est établit pour un moment bien déterminé, dans ce cas je dois avant tout prier pour continuer mon travail. La femme dont le désir lui sortait de la tête, n’en pouvait plus. Les bruits se sont tus et rien ne se passait, elle décida d’aller voir. Son désir est devenu plus fort que sa peur. Elle se leva tout doucement et marcha délicatement pour ne pas éveiller son mari, mais ce qu’elle a vu l’avait sidéré et encore plus abasourdi et effrayé elle courut pour réveiller son mari. - Lève-toi vite, le Djinn est entrain de prier dans le salon! c’est un djinn voleur! il a posé sur la table toute ta fortune. Un djinn musulman ; mon Dieu, ce sont les pires!
  21. diffn

    travail et croyance

    merci blaq je vais de ce pas continuer à imaginer et dans quelques minutes j'enverrai une petite suite
  22. diffn

    travail et croyance

    Il a au départ décidé de commencer par son voisin, mais il s’est souvenu que l’Imam avait dit de faire le métier dans la crainte de froisser Allah et dérober son voisin est un mal qui ferait mettre Allah en colère. Il a alors laissé les proches voisins, pour aller dérober des maisons plus lointaines. Celle-là fera l’affaire se disait-il. Il allait commencer à ouvrir la porte quand il s’est rappelé d’un verset coranique qui dit qu’avant de pénétrer dans une maison, tu dois, frapper à la porte et saluer ses occupants. Il frappa à la porte, salua et se mit derrière un mur dans cette pénombre d’une nuit sans lune. Un homme ouvrit la porte d’entrée regarda à droite et à gauche et commença à marmonner des versets coraniques pensant que le Djinn lui avait joué un mauvais tour, il referma la porte pour s’engouffrer dans son logis. - Il est surement entré ce démon avait prédit sa femme - Non j’ai invoqué Allah et son prophète et des versets qui l’ont surement mis KO - Avant ou après avoir ouvert la porte, insista sa femme ? - Bien-sûr après avoir vu que personne ne se trouvait devant la porte, répondit le mari. - Très malin ce que tu as fait et tu crois que le Djinn allait attendre tes invocations, il est surement entré dès que tu as ouvert la porte. Il se pourrait qu’il soit là devant nous, et je ne sortirais plus de ce lit tant je ne sois pas sûr d’être seule dans cette chambre. Le mari étonné de cette réplique fixa sa femme d’un regard bizarre, se demandant si elle n’est pas devenue folle. - Quoi pourquoi tu me regardes comme ça, tu es de ces hommes cocus, qui laissent leurs femmes sortir dans des habits provocateurs, alors que cet espèce de Djinn se prélasse dans notre chambre ?! Le bonhomme s’engouffra dans le lit pour rejoindre le monde d’Orphée, alors que sa femme essayait de lutter contre ce sommeil, elle était sûr que le Djinn la regardait et qu'il est peut-être, là assis sur le lit et il se pourrait qu'il la désirait. Elle frémit à cette idée, une chaleur lui avait fait rougir ses pommettes, ce tas de patates devant elle, est devenu inopérant, son outil est devenu obsolète, il ne sert désormais que pour les toilettes alors qu’elle, elle est toujours active dans ce domaine et son mari son outil ne se met au garde à vous qu'une fois tout les mois. Elle se considérait comme une bombe prête à exploser, car deux mois qu'elle jeûne... elle pense que l’outil de son mari est désormais à la casse. Notre voleur, attendit plus d’une heure avant de forcer la porte et entrer dans un espèce de grand salon dont le sol était revêtu d’un seul grand tapis épais et de plusieurs autres sur les murs égayant toute cette prospère étendue. un salon aussi beau que celui des Califes, se disait-il.
×