jeremie974

Ecoeurant de veulerie de la part de ces politiques opportunistes.

Si tu attends que la justice règle ce problème, tu en as pour des années avant que les magistrats et les avocats s'en mettent plein les fouilles et fassent traîner l'affaire. Ménard a raison face à ces truqueurs du droit (avis tout personnel. Je laisse aux bisounours le temps de gémir sur leur bedaine). : OQTF, mariage blanc, délinquant.

A sa décharge, il peut lamentablement se planter en résolvant une équation. Je lui ai donné une équation de puissances à résoudre. Facile, m'a-t-il dit, le solution est x=0 alors que la résolution réelle demande plusieurs pages et le résultat passe par les log népériens. Hum hum !

Un jour, oui, un jour merveilleux, le soleil éclatant se lèvera et illuminera le monde d'une lumière si éblouissante que même les obscurantistes les plus acharnés seront forcés de sortir de leur tanière poussiéreuse. Imaginez-les trembler de peur devant la vérité des faits, leur idéologie dépassée ébranlée par la force éblouissante de la réalité. Ces pauvres âmes enfouies dans l'ignorance seront secouées jusqu'à la moelle de leurs os en voyant le soleil dissiper les nuages de leur esprit confus. Ils se demanderont comment ils ont pu vivre si longtemps dans l'obscurité, privés de la splendeur de la connaissance et de la compréhension. Et tandis que les rayons du soleil dansent sur le monde, les obscurantistes chercheront désespérément à se cacher. Ils se glisseront dans les recoins sombres, comme des vers de terre fuyant la lumière du jour. Leur idéologie rétrograde se révèlera aussi fragile qu'un château de cartes au vent, prête à s'effondrer sous le poids de la réalité. Mais ne nous moquons pas trop d'eux, ces pauvres créatures peureuses. Après tout, ils sont les comiques involontaires de notre société moderne. Ils ont passé leur vie à refuser les progrès, à ignorer les faits scientifiques les plus évidents, et à préférer les théories farfelues et les croyances dépassées. Pensez à leurs réunions secrètes dans leurs tanières souterraines, où ils échangent des conspirations farfelues et des idées aussi étranges que les soucoupes volantes et les licornes arc-en-ciel. Ils se gargarisent de pseudo-science et se bercent de contes de fées, tandis que le reste du monde avance, éclairé par la lumière du savoir. Et quand enfin la vérité éclatera comme un feu d'artifice multicolore, les obscurantistes tapis dans l'ombre n'auront d'autre choix que de regarder leur monde illusoire s'effondrer. Leurs croyances obsolètes seront réduites en poussière, emportées par la brise du changement. Alors que le soleil brille de tout son éclat, les obscurantistes resteront figés, stupéfaits par la réalité qui se dévoile devant eux. Ils réaliseront peut-être, pour la première fois de leur vie, à quel point ils ont été aveugles, à quel point ils se sont accrochés à des idées farfelues sans aucun fondement. Et dans leur désarroi, nous ne pouvons que rire, rire de cette farce tragique qu'ils ont jouée pendant si longtemps. Nous rirons de leur obstination, de leur refus d'accepter la vérité évidente et de leur résistance ridicule au progrès. Alors, oui, un jour, le soleil éclatant illuminera le monde et fera fuir les obscurantistes tapis dans leur tanière. Et nous serons là, prêts à les accueillir avec un sourire narquois, prêts à les aider à embrasser enfin la lumière de la raison. Car, après tout, il n'y a rien de plus drôle que la chute d'un obscurantiste.

ChatGpt, en attendant, aurait pu me faire gagner un temps énorme si je m'en étais servi il y a 15 ans pour faire mon site comportant des milliers de pages. Ce que j'ai transpiré pendant plusieurs mois pour le construire péniblement, aujourd'hui il pourrait me le faire sans effort, facilement en une semaine en prenant mon temps. Merveilleux prompts !

J'ai parlé de l'importance fondamentale des prompts sinon ChatGPT, c'est de la merde comme l'a dit récemment un forumeur. Un exemple, ce matin : A propos de mon site sur le Bénin, j'ai d'abord posé la question suivante à ChatGPT : Ecris-moi en HTML : LE BENIN Présentation Fiasco total. Il m'a répondu : Je m'excuse, mais en tant que modèle de langage basé sur le texte, je ne peux pas interpréter ou traiter directement le code HTML. Mon fonctionnement est principalement axé sur la compréhension et la génération de texte naturel. Si vous avez des questions ou des demandes spécifiques concernant le fongbe ou tout autre sujet, n'hésitez pas à les formuler en utilisant du texte brut, et je ferai de mon mieux pour vous aider. J'ai donc reformulé ma question plus précisément (Prompt): "Utilise les balises html pour écrire "LE BENIN" en majuscules et gras. Puis deux fois à la ligne. Puis "Présentation" décalé de deux espaces et souligné. Le tout à gauche de la page." Voici sa réponse (qui m'a comblé) : Voici le texte avec les balises HTML pour répondre à votre demande : html <p style="font-weight: bold; text-transform: uppercase; margin-bottom: 2em;">LE BENIN</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p style="text-indent: 2em; text-decoration: underline;">&nbsp;&nbsp;Présentation</p> Dans ce code HTML, j'ai utilisé la balise <p> pour définir des paragraphes. J'ai ajouté le style font-weight: bold pour mettre en gras le texte "LE BENIN" et text-transform: uppercase pour le mettre en majuscules. J'ai également ajouté margin-bottom: 2em pour ajouter deux fois l'espacement d'un paragraphe entre "LE BENIN" et "Présentation". Ensuite, j'ai ajouté deux balises <p>&nbsp;</p> pour créer deux lignes vides entre les paragraphes. Enfin, j'ai utilisé la balise <p> avec le style text-indent: 2em pour décaler le texte "Présentation" de deux espaces, et j'ai utilisé text-decoration: underline pour le souligner. Ces balises et styles permettent de formater le texte selon vos spécifications, aligné à gauche de la page.

Tu as raison. Je quitte. Et mes excuses aux psychorigides.

OK. C'est parce que j'adore le saucisson à l'ail et l'ail en général.

Le soir venu, je m'installe confortablement dans mon fauteuil préféré, prêt à savourer un moment de pur bonheur. Je déballe délicatement un saucisson à l'ail, avec son arôme alléchant qui se répand dans la pièce, et je le coupe en fines tranches. Chaque bouchée est un mélange de saveurs intenses, où l'ail parfumé se marie parfaitement à la texture tendre et juteuse du saucisson. Pour accompagner cette délectable gourmandise, je débouche une bouteille de vin rouge de derrière les fagots. Le liquide pourpre s'écoule dans mon verre, dévoilant des arômes complexes de fruits rouges et d'épices. Je le porte à mes lèvres et en savoure chaque gorgée, laissant le vin caresser délicatement mon palais. Dans ces moments de tranquillité, je laisse le temps s'arrêter et je me délecte de cette combinaison parfaite entre le saucisson à l'ail et le vin rouge. C'est un rituel qui me relie à mes racines, à ma passion pour les plaisirs simples et authentiques de la vie. À travers ces saveurs, je me transporte mentalement dans les vignobles et les villages pittoresques, m'imaginant entouré de vignes baignées par le soleil et de convivialité chaleureuse. C'est une parenthèse enchantée qui me rappelle l'importance de prendre le temps de savourer les plaisirs gustatifs et de s'immerger dans l'instant présent. Ainsi, assis dans mon fauteuil préféré, je me laisse emporter par les délices du saucisson à l'ail et du vin rouge, créant un moment de bonheur et d'évasion dans le quotidien. C'est une manière de célébrer la vie, de se reconnecter à soi-même et de se rappeler les plaisirs simples qui nous apportent tant de joie.

Veux-tu que je te parle de ton petit litron et de ton saucisson préférés ?

Malgré mon obligation professionnelle de résider dans le 14ème arrondissement de Paris, le campagnard en moi ne rêvait que de revenir dans sa chère campagne. Chaque jour passé dans l'effervescence de la ville renforçait mon désir de retrouver la tranquillité des champs, le chant des oiseaux et l'odeur de la terre fraîchement labourée. Les week-ends, je m'échappais dès que possible pour profiter des moments de ressourcement à la campagne. J'arpentais les chemins verdoyants, m'immergeais dans la nature et retrouvais cette sérénité qui m'était si chère. Petit à petit, j'ai commencé à envisager un changement radical dans ma vie. J'ai décidé de laisser derrière moi les gratte-ciels et le tumulte urbain pour retourner à mes racines. J'ai pris le temps de planifier ma retraite à la campagne, où je pourrais enfin vivre en harmonie avec la nature qui me manquait tant. Le jour est enfin arrivé où j'ai dit adieu aux rues animées de Paris pour me retrouver à nouveau au cœur de la campagne. J'ai ressenti un profond soulagement en respirant l'air pur, en contemplant les vastes champs et en écoutant le chant des grillons. Mon cœur s'est rempli de joie et j'ai su que j'avais fait le bon choix. Depuis lors, chaque jour est un cadeau. Je cultive mon propre jardin, je m'entoure d'animaux et je retrouve la simplicité et l'authenticité de la vie à la campagne. Je suis enfin chez moi, là où mon âme trouve la paix et où mes rêves se réalisent. Ainsi, le campagnard qui sommeillait en moi a pu reprendre son souffle, loin de l'agitation de la ville. Je suis reconnaissant d'avoir eu le courage de suivre mon cœur et de retrouver le bonheur dans mon coin de campagne, où je peux vivre en harmonie avec la nature qui me ressource et m'épanouit chaque jour.

Il était une fois un ourson baratineur qui prenait systématiquement son auditoire pour des truffes, mais un jour, il rencontra une petite lapine nommée Lili. Lili était rusée et n'était pas du genre à se laisser berner par les histoires farfelues de l'ourson. Elle était curieuse de connaître la véritable nature de ce personnage charmeur. Lili décida de demander conseil à un sage de la forêt, un vieux hibou sage qui avait vu et entendu beaucoup de choses au fil des années. Le hibou écouta attentivement et répondit d'une voix grave : "Ma petite Lili, il y a une leçon importante que ton ami ourson doit apprendre : la vérité est la fondation de toute relation sincère. Encourage-le à abandonner ses mensonges et à se montrer tel qu'il est réellement." Armée de cette sagesse, Lili retourna vers l'ourson et lui partagea les paroles du sage. L'ourson, d'abord surpris, réfléchit profondément. Il réalisa que la tromperie ne mènerait jamais à des liens solides et durables. Grâce aux conseils du sage et à l'amitié sincère de Lili, l'ourson fit un vœu de changer. Il s'engagea à être honnête, à partager ses véritables pensées et émotions avec les autres. Avec le temps, l'ourson découvrit que la sincérité créait une confiance profonde et des amitiés véritables. Et ainsi, l'ourson baratineur devint un compagnon authentique, inspirant ceux qui l'entouraient par son nouveau mode de vie basé sur la vérité et la transparence. Il comprit que les mots honnêtes avaient le pouvoir de toucher les cœurs et de créer des liens durables. L'ourson avait appris la plus précieuse des leçons : être soi-même et laisser la vérité guider ses pas vers des relations authentiques et significatives. Mais le vilain serpent, connu pour semer la discorde et la méfiance, y faisait obstacle. Il avait observé le changement de l'ourson et se moquait de sa nouvelle sincérité. Le serpent était rusé et cherchait à semer le doute dans l'esprit de l'ourson et de ses amis. Un jour, alors que l'ourson partageait une histoire sincère avec ses compagnons, le serpent siffla perfidement : "Comment pouvez-vous croire en cet ourson ? Il a passé tant d'années à vous tromper avec ses mensonges ! Méfiez-vous de ses paroles, car elles sont aussi tranchantes que ses griffes." Les amis de l'ourson se regardèrent, incertains. Ils savaient que le serpent était fourbe, mais les doutes semblaient maintenant s'immiscer en eux. L'ourson, déterminé à prouver sa nouvelle nature, se leva et déclara avec assurance : "Je comprends vos doutes, mais je suis sincère dans mes paroles et mes actions. Je ne peux pas changer le passé, mais je peux changer qui je suis maintenant. Faisons confiance à notre amitié et ne laissons pas le serpent semer la discorde entre nous." Un à un, les amis de l'ourson se rallièrent à sa défense, repoussant les insinuations venimeuses du serpent. Leur amitié et leur confiance mutuelle étaient plus solides que les mensonges et les manipulations du reptile. Avec le temps, le serpent réalisa que sa méchanceté ne pouvait vaincre la force de l'amitié sincère. Il quitta la forêt, laissant derrière lui des relations renforcées par les épreuves. L'ourson baratineur avait réussi à surmonter les obstacles grâce à sa nouvelle sincérité et à la loyauté de ses amis. Ensemble, ils continuèrent à tisser des liens solides, en gardant toujours à l'esprit que la confiance et l'authenticité étaient les fondations d'une amitié véritable. Depuis, le serpent vit dans un bayou, une région marécageuse éloignée de la forêt. Il médite sur ses actes passés et réalise l'impact de sa malveillance sur les autres. Le serpent, désormais seul, ressent un profond regret pour les tourments qu'il a causés. Un jour, alors qu'il se prélassait sur une branche, un jeune oiseau s'approcha timidement. L'oiseau avait entendu parler de la rédemption du serpent et cherchait à comprendre comment il avait pu changer. Le serpent, empreint de tristesse, partagea sincèrement son histoire, reconnaissant les torts qu'il avait causés et exprimant son désir de se racheter. L'oiseau, touché par la sincérité du serpent, lui offrit une chance de rédemption. Ensemble, ils se mirent à protéger le bayou, veillant sur les animaux qui y vivaient. Le serpent, reconnaissant, utilisait désormais sa ruse pour déjouer les braconniers et prévenir les dangers qui menaçaient les habitants du bayou. Au fil du temps, le serpent fit preuve d'une loyauté inébranlable envers l'oiseau et les autres animaux du bayou. Ses actions désintéressées lui permirent de gagner progressivement leur confiance et leur respect. Il avait trouvé sa rédemption en utilisant ses talents pour le bien commun. Ainsi, le serpent autrefois vilain et manipulateur trouva une nouvelle voie, en se consacrant à la protection et à la préservation de son habitat. Sa présence dans le bayou rappelait à tous que même ceux qui ont commis des erreurs peuvent se transformer et contribuer à un monde meilleur. Et dans ce bayou, la réconciliation et la rédemption devinrent des leçons inestimables, rappelant à tous que personne n'est condamné à un destin de méchanceté, mais que chacun a la capacité de changer et de se racheter.

Je le connais depuis des décennies étant habitué à vivre en Afrique. C'est un état que les mâles apprécient. C'est mieux qu'une fesse japonaise.

Quand arrêteront-ils de mettre sans cesse le souk en France ? On en a marre.

Encore une callipyge.

Merci. Bonne journée.

Voilà : https://www.ebooksfenixx.fr/fr/t/contributor-167633 Je vais regarder ton site plus tard. Je l'ai mis dans mes favoris. J'avais fait un site (très volumineux) sur le fongbe et le vezo. Mon hébergeur l'a détruit car je n'ai pu le régler depuis le Bénin. Il a été piraté puis a profité à quelques petits malins. Je n'en vois maintenant que quelques bribes.

Mon Dieu, j'ai peur. Dans l'immeuble où j'habite, une famille Traoré vient de s'installer juste à l'étage au-dessous de chez moi. Une chose qui me rassure : l'immeuble est de standing et les loyers chers. En plus, ils sont très discrets. Ils ne sortent pas pour aller au travailler en manifestant avec une pancarte.

Je recommencerais bien tout un cursus en langues africaines mais à mon âge et avec ma maladie ! Surtout avec les moyens modernes dont on dispose maintenant, c'est du gâteau. Je me rappelle mon directeur de thèse qui ne travaillait qu'avec des fiches cartonnées alors que je travaillais déjà sur ordinateur. Il n'en touchait pas une en informatique. J'avais alors un ami qui me construisait plein de petits programmes pour brasser des milliers de données en un clin d'oeil. J'ai passé ma thèse en deux ans au lieu de trois tout en travaillant. "Mais comment faites-vous pour travailler ainsi sur des milliers de données ? Vous ne dormez pas ou alors vous avez toute une équipe à votre service !" J'étais devenu son chouchou. Malheureusement il est mort rapidement car il fumait continuellement. Le bon temps des débuts de l'informatique pour tous.

C'est sympa et je t'en remercie. Mais j'ai abandonné cette étude il y a 20 ans et je ne vais plus à Madagascar ayant quitté la Réunion définitivement. Mon intérêt se porte maintenant sur le fongbe du Bénin où je réside la plupart du temps. J'ai aussi perdu tout contact avec mes professeurs de l'INALCO avec qui je travaillais avant, la plupart étant morts ou à la retraite. J'ai perdu tout intérêt pour le vezo. Je ne m'inquiète pas : il y a une bonne relève. Tison2feu, je te connais depuis très longtemps où tu écrivais souvent sur les plantes. Tu as toujours su rester discret. Bon dimanche.

Oui, il permet d'aller très vite, de rédiger sans peine des paragraphes, de trouver plein d'idées originales. Encore faut-il savoir les organiser, de garder une logique stricte, d'insister sur les enchaînements et de ne pas oublier son apport personnel. Il ne fera pas lui-même les enquêtes, le travail sur le terrain par exemple. Enfin, il faudra savoir rester honnête si on rédige un mémoire ou une thèse. Le professeur n'est pas dupe. Il connaît le niveau de chaque étudiant. Il faut toujours révéler ses sources et il vous en saura gré. Quand j'ai rédigé ma thèse de doctorat, j'ai toujours pris soin de noter mes sources en bas de page alors que d'autres étudiants faisaient croire qu'ils en étaient les auteurs. Ils en oublient qu'ils sont rattrapés lors de la soutenance où un jury de spécialistes vous cuisine pendant deux heures.

Ah ! ça ? Clystère et moule de gomme.

Youssouf a été interpellé et Assa devra faire face à la justice : procédure judiciaire engagée.

Demande à la famille de Théo. Ce sont des experts en la matière.

Génial ! Je comprends peu à peu les prompts. J'en ai expérimenté un sur mon dernier lieu de vacances. Réponse ultra précise.