Easle

Mais pourquoi continuer sur cette voie ? Non, ce n'est pas ce que j'entendais par là. Mais par exemple, après des échanges de regards multiples dans une soirée, ou effectivement sur plusieurs entrevues. Pourquoi mes chiffres vous dérangent-ils ? Que mettent-ils en jeu ?

Ce qui montre bien que beaucoup de celles et ceux qui entrent dans le sérail n'ont pas des capacités si impressionantes d'analyse et d'anticipation. Ils ont appris, comme d'autres perroquets stochastiques à être obésissant et à bien travailler. Mais n'ont pas du tout compris dans quoi ils baignaient, vers quoi ils allaient... Parfois tout "HPI" même qu'ils puissent être. Un être humain n'est rien d'autre qu'une machine performante, fabriquée (c'est amusant et très parlant comme une jeune génération, instrumentalisée, accepte cette notion concernant le GENRE, mais aura plus de mal sur le reste, voire n'y pensera même pas). On trouve les capacités de réflexion critique de façon très limitée, et JAMAIS dans les élites d'une société, qui sont composées essentiellement d'individus dressés à la réussite comme valeur principale et la plus haute, puis aux divers à côté : la soumission à "l'état de fait", à la normalité de l'erreur, à la banalité du mensonge, à la passivité vis à vis des structures de groupe, etc.

Et c'est bien là le problème... tout un tas de gens utilise le langage et ses raffinements fictionnels pour faire émerger d'innobrables JUSTIFICATIONS à la supériorité de l'être humaine sur TOUT ! : L'Humanisme. La centralité de l'EGO humain plus développé que sa conscience réelle. Mais RIEN de tout cela ne se tient factuellement. Ce ne sont que des élucubrations mystiques savantes, pour justifier d'ailleurs également d'un statut social et de revenus, souvent très confortables et bourgeois. Du blabla. La réalité a la simplicité du rasoir d'Ockham : de la matière qui génère des phénomènes dont l'apparence n'est complexe qu'en vertu des capacités d'appréhension de l'observateur. Et on voit à quoi se réduit la conscience dés que le cerveau est touché physiologiquement (lobotomie, accidents, maladie, etc.)

Impressionant...

Frunobulax, Ma question était sérieuse. Si j'avais voulu dire "lourdingue", je l'aurai écrit, non ? Dans mon entourage, mais aussi dans les nombreux entretiens que j'ai mené, ca ne dépasse pas les 15 % pour les femmes et 85 % pour les hommes (je compte donc plus de 3000 cas). Et, principalement lorsqu'il s'agit d'hommes sont jeunes qui ont eu en ce cas d'assez nombreuses propositions de femmes. Ils sont peu nombreux mais objets de multiples attentions, en face de la multitude invisbile. De même, on observe que lorsqu'on interroge les deux membres d'un couple hétérosexuel séparément, chacun va dire avoir fait les premiers pas. Sauf que le contenu de la description du déroulé des évênements par les femmes est bien plus souvent hésitant, reconstruisant des approches plus signalétiques, impressionistes que réelles. Mais on a effectivement cette petite musique parfois qui tend à nier l'inégalité. De fait, les questions se trouvent ainsi évitées, le sujet vidé. Le silence imposé en plus de ce qui est subit. Ca me fait souvent pensé à ce qu'on pourrait dire à une femme se plaignant d'être abordée lourdement si on se fiait au discours des hommes autant qu'à celui des femmes... Deux poids, deux mesures, dans une vision et un objectif idéologique très contemporain.

Je l'avais dit déjà, tu as possiblement raison sur ce point. Mais cela n'explique pas, en soi les réponses racialistes pour ne pas dire racistes, inversées, de gpt... Or ses réponses ont une formulation claire. A moins que tu n'estimes que le chercheur mente et ait demandé ses réponses, précisément, à l'IA. Sinon, le biais est un biais qui dévoile une idéologie contemporaine à l'oeuvre qui passe tout de même beaucoup de temps à stigmatiser le mâle blanc hétérosexuel (on entend ce terme plusieurs fois par semaine sur les radios du groupe Radio France, et sur d'autres radios, et on le lit aussi dans de nombreux magazines), et on vante en permanence l'étranger, le non blanc, l'importance de son identité à la différence de l'identité toxique des blancs (par essence fachos).

Combien d'hommes as-tu connu qui eu au moins une femme qui les ont abordé, de but en blanc ? En proportion de ceux qui ne l'ont jamais connu.

Plus de 60 % des hommes, oui. Très peu de femmes (elles sont si supérieures )

Je ne suis pas sûr de bien saisir ton humour. En revanche, une voie du milieu est valable pour des gens qui vivent encore mentalement à l'âge de bronze, comme leurs statues (oui, je sais c'était déjà l'âge du fer, mais pas pour tout le monde ). Je n'y vois aucun intérêt pas plus que pour les oppositions manichéennes entre passion et raison.

Mais en quoi est-ce différent avec un individu, si particulier et en incommunicabilité du fait de son irréductible individualité, qu'au final on s'aime soi à travers tout autre (dans ta vision, pas dans la mienne, je le précise) ? Et comprends tu cela pour d'autres ? Sans les plaindre, les mépriser, ou en penser pis que pendre ? (ceci est une question qui n'anticipe pas tes réponses à toi mais des réponses potentielles)

Ahhh, donc pour toi, l'auteur, est quoi, raciste ? Et il a fabriqué de toute pièce cet exemple de A à Z ? C'est vraiment ce que tu crois ?

Et la chanson ne fait-elle pas référence à une personne ? Quelle différence alors ?

Et pourquoi refuses-tu de répondre à cette question : Alors explique moi les réponses de Chat GPT dans l'article ?

Les dessinateurs et autres auteurs d'oeuvres s'insurgent, montent aux créneaux, vocifèrent et veulent faire rendre gorge, mettre des sabots, encore, dans les machines qui volent le travail des humains ! Certes les IA génératives s'entraînent sur de gigantesques quantité de données. Par exemple, pour dessiner, elles compulsent des millions de dessins pour "s'inspirer"... Mais quelle différence avec un dessinateur ? Le dessinateur humain, lui, va-t-il payer des droits d'auteur à tous les gens qui l'ont inspiré ? Pour ma part je suis assez amusé par cette mauvaise foi, pour le coup vraiment typiquement humaine, et basée sur le lucre, de l'appétit monétaire

êtes-vous prêt à tomber amoureuse-eux d'un être plutôt que d'un physique ? Et sinon, à vous confier, à parler à une IA qui ne vous jugerait pas, qui ne jouerait pas avec vos sentiments, ne jouerait pas tout court comme sur un forum, etc. ?

Plus fréquent de combien ? Et où ? Donc, parcequ'il y aurait quelques demandes féminines, cela casserait ce qui ne serait qu'un mythe ? Le mythe de la totalité ? Les statistiques n'ont aucune importance ?

Alors explique moi les réponses de Chat GPT dans l'article ? Il est possible qu'il y ait dans l'article le manque du début de la conversation, c'est à dire du cadre de référence. N'en reste pas moins la réponse, elle différenciée selon un forme sélective très orientée Identiquement, là où ta démarche de réfutation est, elle aussi, orientée, c'est dans l'abstraction du contexte de ta propre question... La supposition d'une simple couleur abstraite.

L'immortalité, ou du moins un importante longévité, existe depuis toujours. Et existera toujours. La différence de longévité entre le corps et la conscience que permet l'organe matériel se dégradant qu'est le cerveau, cette perception de soi faussée par l'idée d'une âme ou d'un tout supérieur à la somme des parties qui bat de l'aîle à la moindre lobotomie ou autre détérioration matérielle de la "matière" grise. Il n'y a aucune raison, mise à part les élucubrations spiritualistes, religieuses, philosophiques etc. sur la beauté de la mort comme soutiens de la créativité et autres idioties conservatrices ou résignées de toute époque, pour qu'une mortalité contrôlée de la matière (corps et donc cerveau, et donc conscience) ne puisse permettre une immortalité théorique. C'est à dire un choix du moment de la déconnection de la conscience, par fatigue ou usure de l'expérience sensible, de la vie. Les IA ne sont qu'un parangon de cette capacité, pas des compétiteurs... Après, on voit otut le potentiel des IA pour l'être humain !!! Par contre, les IA pétant un cable... hum... comme tant d'humains en fait, non ? Et lorsqu'une entreprise utilise une IA pour faire des trucs éthiquement discutable, faut-il se poser des questions sur l'IA ou sur l'entreprise ??? Encore autre chose : craindre le diagnostique d'une IA médicale sur le fondement de sa non responsabilité, ou de l'établissement de celle-ci... L'arguement est risible ! Avez-vous déjà engagé la responsabilité d'un médecin vous ayant mal soigné ? Comment vous en êtes-vous rendu compte ? A qui vous en êtes vous plaints ? Quelles ont été les suites ?????????????????????????? Et la réitération des stéréotypes.... Ahahahah... On a bien besoin des IA pour ça tient ! Et on en créera pas d'autres nouveaux en supprimant les anciens... ?? Ca, ce serait vraiment TRES nouveau ! Quand l'affaissement dans la paresse généralisée. Oui, c'est une possibilité, et alors ? What's the point ? Quelqu'un préfère léthique du travail 14 heures par jour dans les mines ? Il existe un "bon" temps de travail ? Des activités "bonnes" et d'autres "mauvaises" ? Sur quels critères ? etablis par qui ?

C'est une vision ingénieuriale, mais qui a parfois sa véracité. L'appliquer à des groupes sociaux est à mon sens plus difficile malgré tout. Pour le carrierisme par exemple, il n'est pas que celui des intéressés mais de tout un groupe d'individus derrière eux (famille, amis / collègues, parti), et même d'intérêts élargis à des groupes qui en tirent des bénéfices : entreprises, associations et nombre d'autres groupes locaux de pression et/ou de revendication, etc. Idem donc pour la démocratisation, qui serait atteinte à léchellon ne serait-ce que local s'il en était autrement depuis toujours ! Sur le culture, elle ne se limite pas à la Haute culture, partagée par des biens culturels (disques, radio). Sur l'humour, les références télévisuelles ou cinématographiques, au vin ou à la bière, aux paysages, aux ambiances lumineuses extérieures, aux animaux domestiques, sauvages, à la météo, au vêtement, aux couleurs, etc. Il existe des frontières, parfois plus complexes d'ailleurs que les états nations, mais qui ont cependant suivi en quelque sorte des homogénéisations (en recul du fait des multiculturalités qui promettent plus d'homogénité et réalité à terme mais effectivement à plus haut niveau, voire à niveau mondial, ce qui ne serait pas non plus une bonne nouvelle). Pour les langues, oui, la traduction, certes, mais il y a dans les langues des sémantiques de représentations signifiantes de singularité. elles sont facilement perdues dans la traduction, surtout automatisée, à mon avis.

Très exactement. Les êtres humains ne sont pas autre chose que des perroquets pratiquant sur la longue durée. Des imitateurs qui ont, comme par hasard "la religion de leurs parents", leurs tics de langage, additionnés de ceux des profs, des copains, des collègues, des amants, des maîtresses, etc. La grande singularité hyper individualiste des êtres humains est surtout due à leur forte affirmation auto proclamée de leur puissance et de leur extraordinarifficience en face de leur réelle médiocrité mémorielle, calculatoire, émotionnelle, sensible, etc. oh certes il font un peu tout mais il ne font rien excellement, à moins de se spécialiser, auxquel cas il deviennent des intelligences généralistes mais tout de même focalisée, spécialisée (par pondération). La neccessité de perdre de vue leur perroquetalité pour s'estimer supérieur (notamment au perroquet) n'est qu'une vulgaire vanité.

Mais tu n'y vois pas d'obstacles ? Culturels (pas de perception 'européenne' commune), linguistiques (pas de support sémantique unifié, du moins autre que l'anglais...), politiques (multiplicité de postes et carrières d'hommes et femmes politiques, conflictualité d'institutions non démocratiques européennes) et économiques (concurrence / compétition entre pays) ?

Je ne sais pas si c'est un effet de durée, de temporalité, mais à mon sens, il y a un effet d'ataraxie dans la rationnalité qui ne demande en fait pas, ou plus de contrôle, peut-être au bout d'un certain moment chez certain-e-s. Ce n'est pas en cela pour moi un discipline spirituelle de maîtrise, mais l'applanissement d'un papier froissé, simplement, avec évidence et naturel. Ce qui fait percevoir la beauté du papier, sans perdre le souvenir du froissement potentiellement beau aussi. Cela revient d'ailleurs à l'acceptation dont tu parles. Il faut simplement accepter le réel tel qu'il est dans toute sa nudité, débarrassé des limites auxquelles les êtres humains se laissent aller. L'acceptation de tes émotions est en réalité un premier pas de ce type. Il faut ensuite pouvoir les regarder aussi mais "dans le même temps" ou dialectiquement les vivre. Elles n'en sont que renforcées par leur normalité. La volonté de maîtrise est, en soi, par son aspect volontaire, une absence de maîtrise....

Pourquoi cet effet me serait-il propre ? Et en quoi cela serait-il 'émotif', si ce n'est par interprétation ? Qu'en est-il alors de la conscience phénomènale d'une foule ?

Mais nombre de produits, médicamens, ogm, amiante, tabac, etc. ont fonctionné sur un principe équivalent voire pire... Quelle nouveauté ? Et là, il est question d'utiliser le substrat économique pour explorer une technologie et des questions existentielles finalement. N'est-on donc pas bien moins dans la manipulation de l'opinion publique qu'avec le tabac par exemple ?

Une Europe souveraine... Qui ne serait pas une perte de souveraineté ? Il nous aurait fallu un google déjà, un amazon, etc. Il y a peut-être des explications structurelles politiques, économiques, culturelles et linguisitiques à cette situation, non ?