Easle
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Merci de me refiler des cours de droits, c'est distrayant et donc, le 18e s. ... Ancien ? Si encore tu m'avais opposé la propriété industrielle... très sommaire au 15e s. mais totalement inexistante en Chine avant notre ère, ou du moins pas dans les 12000 ans précédent (avant nous n'en savons rien encore ). Et imaginons que l'imprimerie ait été découverte et utilisé mieux encore que de nos jours sur Seti Alpha 6 il y a 18 millions d'années ? Au fait, j'y pense, donc Colomb n'a pas non plus découvert l'amérique, c'est bien cela ? Et d'autres choses à déconstruire ?
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Et qui te dit justement que je ne l'ai pas fait, mais justement pas pour cette raison.... ? raison malsaine. -
Si le matriarcat se faisait sur la base de cette concession au désir des mâles, même mesuré, j'y serais des plus favorables. Mais ce qu'on observe chez homo sapiens, c'est plus une sélection eugéniste de la part de femelles qui éliminent de leurs choix et même de leur possibilité d'intérêt plus de la moitié des mâles qu'elles voueraient uniquement à la production si elle le pouvait ! Un meilleur des mondes à venir très probable (puisque déjà en fabrication dans les discours énervés des plus ultra des féministes et dans la pratique d'un très grand nombre) si des IAs ne nous permettent pas d'y échapper.
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Vous n'aurez jamias aucune preuve formelle qu'elle est première. Sa primauté sera à la merci de la prochaine découverte archéologique par exemple, donc votre 'définitivité' ... ahahah ! Je me fous pas mal des gens qui se croient supérieurs car AAAArtiste ! Et j'espère que vous respectez à la lettre et en toute occasion tout droit d'auteur ! dont vous semblez ne pas savoir qu'il n'a pas toujours existé..... Et que la législation dont vous parlez est si récente qu'on se demande ce qu'elle vient dire sur Gutenberg !?
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Si vous me lisiez, vous éviteriez de me prêter des propos pour servir votre aveugement idéologique acharné. Où ais-je défendu les SUV lorsque j'ai trouvé que c'était une bonne mesure ? Car oui, tout ce que je dis est une défense des voitures des moins aisés. Les 10 e et 11e arrodissements sont surtout des quartiers riches mais de bobos très à l'ultra gauche. Et la gentrification en a meublé aussi les 18, 19 et 20e. Avec la participation à cette consultation, vous pensez que ce sont des ouvriers et des femmes de ménages qui ont voté dans ces arrondissements ? Sortez un peu plus, recontrer les gens et vivez Paris plutôt que de le fantasmer comme révolutionnaire. Apprenez à lire plutôt qu'à jouer les petits stalines de comptoir ! Et chose sur laquelle nous sommes cependant d'accord, même si cela devra probablement vous filer des boutons apparemment, le triste choix entre Hidalgo et Dati qui sera du même acabit lamentable dans un autre sens simplement.
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Et ce car leurs femelles évitent de les mettre trop en compétition en s'accouplant sans difficulté sur demande, y compris entre elles pour faire baisser les tensions..... Car oui, toute la violence et les guerres découlent de ça chez les autres mamifères.
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- 'Une' secrétaire médicale - Pas de mains d'élite dans le camboui administratifs - Et du fric en plus, surtout, pour bien démarquer le statut, la "compétence" qu'il faut construire comme plus difficile qu'elle ne l'est, etc. Un jour des IAs médecins, je ne souhaite que cela pour vous décharger, complètement ! -
En fait, s'il y a ce risque, oui. la sérénité peut aussi consister à vivre avec ces regrets, comme une instance philosophique à en comprendre la nature humaine et et sa participation de ses errances. Je ne crois pas que l'être humain puisse tant que cela se dépasser. Même s'il aime à se l'imaginer en se fantasmant puissant-e lui-même ou, comme par hasard, l'autre, l'aimé (pour ces fragilités supposées qui n'en sont pas trop en réalité mais SURTOUT pour ses forces !) Le ridicule mais amusant des super héro et héroïnes, mais même des héros ou héroïnes des fictions est toujours l'expression de ce désir de contrôle / puissance / résilience, etc. Mais accroire qu'il est possible d'être ainsi, profondément.... Pour moi, cela confinerait à une pathologie mentale. Nous sommes vains, mais il faut en sourire ;).
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Nous sommes d'accord pour l'essentiel. Mais ressentir ne me paraît pas si minant du moral, du moins dans un certain usage
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Pour un médecin imbu de sa puissance personnelle, de son Ego divin... oui ! Sinon quelqu'un de bien formé mais SURTOUT de passionné, pas pressé de virer son patient pour aller déjeuner ou voire sa maitresse (ou son amant), ou simplement passer au suivant (comme la quasi totalité des médecins actuels dans leur système de représentation élitiste d'eux-même et leur pratique infatuée). -
En ce cas rien ne devrait primer car il est vain de croire avoir trouvé une première invention, si ce n'est temporairement. Et de toute façon, Rien ni personne ne créé rien qui ne soit à au moins 90 % dû à d'autres, innombrables et invisibles. et les 9 % restant dû à son entourage.
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Je vois deux différences. Le sourire de Nunez, sa joie triomphale, presque carnassière, est amusante, acidulée. Et je préfère aussi son tempo, qui ne lui est pas nécessairement dû. Le geste est mieux perçu, plus facile à apprécier. Mais d'un point de vue esthétique, deux robots pourraient avoir eux aussi une interprétation, un tempo, etc. différent. L'éclairage, les couleurs, la température etc. pourrait avoir un impact. Mais ce qu'ils ont mangé la veille ou s'ils ont baisé le matin, leur situation hormonale aussi, moins, c'est certain. Mais ce n'est ni supérieur ou inférieur, ca dépendra aussi de mon mood lors du spectacle. Et puis sur les deux exemples ci-dessus, je note que la distance de la prise de vue, le mouvement de la caméra, la netteté même y fait un peu également. Donc beaucoup de paramètres. Dernier point, j'éprouverai peut-être aussi moins de volupté, de désir sous-jacent pour un robot. Mais ce n'est même pas certain tant je perçois la danseuse comme totalement et radicalement innaccessible (vivrait-elle à 100 ans de distance que ce serait pareil), la robote elle... qui sait !?
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C'est un choix, pour les deux, de dominant-e exploitant-e un marché de l'inégalité maximale par la compétition. C'est mon choix aussi de ne pas le respecter. Beaucoup de femmes demandent des photos aux hommes mais se contentent, elles, de parties de leur anatomie et d'un visage retravaillé en 2 min en dessin (discret donc ET rehaussant).
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Certains hommes, évidemment ceux qui sont les plus convoités par des femmes, très nombreuses et peu regardantes sur leur fidélité s'ils sont très valorisant pour elles, désirent très facilement les brochettes qui s'offrent si primalement à eux. Mais de fait, il y a confiance (dans l'absence de confiance à leur donner) Le désir est alors puissant ! Structure des inégalités les plus fortes. Et il y a de fait beaucoup d'hommes qui doivent se contenter de désirer aussi mollement qu'ils le sont eux-mêmes. Mais, bien sûr, ce n'est que "leur faute" ! toujours.
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Je ne respecte effectivement aucunement les femmes, de plus en plus nombreuses qui consomment, grâce à la facilité et la discrétion de ces applis. Et pour te l'éviter, je ne respecte pas plus les hommes.
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Ouvrir la médecine à beaucoup moins de sélection première, mais un contrôle à posteriori des connaissances et surtout de la mise à jour. La médecine n'est pas une profession comme les autres. Sa supervision et son contrôle, avec des stages obligatoires (par exemple bisannuel) serait une mesure de sureté. Ce qui compte pour faire un bon médecin, ce n'est pas à mon sens sa grosse capacité de calcul ou une mémoire infaillible au trivial pursuit, mais un désir d'aider, de soigner, une compassion, désintéressée ou peu intéressée. Un médecin qui fera finalement du commerce n'avait rien à faire, dés le début, dans un hopital. -
En quoi y dérogent-ils ? (j'ai bien une idée mais pas sûr qu'elle te plaise à terme dans ses conclusions )
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Il faudrait savoir, tu les éprouves ou pas ? 'Eprouver' quelque chose veut-il dire que l'action du verbe se prolonge indéfiniment dans le temps ? Ta question, induite par cette indéfini n'a donc pas de matière. Pour autant, il ne faut pas être aussi radical. Revenir à ses souvenirs de temps à autres, à ses regrets de temps à autres, tous les 6 mois ou tous les 2 / 3 ans par exemple n'est pas à mon avis une mauvaise chose, bien au contraire. Et d'ailleurs, quiconque s'enorgueillit de ne "jamais" y revenir ment. Personne ne maîtrise son cerveau à ce point. c'est cela aussi être humain.
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Et je ne suis pas pour que quelqu'un qui a fait des études de médecine exerce obligatoirement. On devrait pouvoir faire des étude de médecine avant d'autres études, pour soi, simplement. Donc pas de soucis à ce que qu'une docteur en médecine puisse être mécanicienne ou boulangère. -
D'où l'importance d'être capable et compétent à éprouver des regrets, à ne pas se satisfaire de nos dénis soit disant protecteurs. Ne serait-ce pas cela être adulte et responsable ? Et d'où également l'intérêt de ce dont je parlais sur le fil sur l'IA : Etre démis collectivement de notre autorité collective sur le monde.
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Mais où avez-vous vu que le mot regret imposait de rester dessus ? Puisque d'ailleurs vous êtes obligé de mentionner qu'on resterait dessus (ce qui implique donc, par principe, que ce n'est pas compris dans la simple définition du mot).
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Ah... jalouse de tes amies ! Bah ca va, pas de soucis. Que celui ou celle qui n'a [en vérité] jamais jalousé personne te jette la première pierre ! S'il n'est pas prêt après 7 ans, hum... ! Aucune autres options ? Mais un enfant est-il un produit de consommation comme un autre, pour soigner ses besoins psychologiques personnels ?
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C'est bien, tu es forte et supérieure aux chiffes molles qui éprouvent des regrets !!!
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Tu es diabétique, tu as envie d'un gros gateau, tu le manges, mauvaise décision, en conscience. Le côté 'bon' que tu vas inévitablement défendre avec le 'confort psychologisant' n'en est pas un mais juste une excuse idiote, une réthorique plate. Et les regrets seront justifiés, comme dans un million d'autres cas. Il faut alors mieux regarder les définitions des mots.
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Donc le mot ne sert à rien, si ce n'est à stigmatiser des gens qui regrettent ? Regretter sert à analyser et éventuellement comprendre ses erreurs, donc à en apprendre. Donc aucune décision ne serait mauvaise (de personne dans l'histoire humaine... ) Il faut avoir des regrets. C'est aussi une nécessité sentimentale, savoir ressentir les erreurs.
