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Easle

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Tout ce qui a été posté par Easle

  1. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    L'église, si elle veut survivre, gagnerait à aller beaucoup plus loin dans beaucoup de domaine sociétaux (bénédiction du mariage homosexuel, communion des divorcés, prêtrise des femmes, etc.). Et avoir une femme chef de l'église serait intéressant. Mais comment l'appelerait-on ? Papesse ou Mame ? Ou Mape ? Pour donner une direction, un itinéraire à la foi...
  2. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Cette phrase m'intéresse. Admettons un couple qui décide de faire un enfant, et sont heureux de le concevoir ensemble. A trois mois de grossesse, la femme rencontre un autre homme et doute soudain. Peut-elle décider seule de l'ivg ? Et en ce cas priver le géniteur de tout droit sur l'enfant ? Ce ne serait "pas ses oignons" ? L'inégalité fondamentale, naturelle, entre homme et femme, dans la reproduction est-elle sans contexte ?
  3. Le déni de quoi ? Oui, il y a plus d'hommes qui ont des accidents graves, Mais quoi votre objectif est-il de dire qu'il n'y a QUE les hommes et qu'une femme par essence, par nature, est proche en tout domaine de la perfection ? Le constat faisant état d'un rapprochement des comportements ne vous marque pas ? Est-il selon vous mensonger ? Edit : Cette tendance est relevée par le rapport au sénat sur femmes et voitures, certes ce n'est pas le point sur lequel l'accent est mis et vous passerez outre très certainement, par déni également en ce cas. https://www.senat.fr/rap/r15-835/r15-8351.html
  4. Easle

    Accident Pierre Palmade

    - Comment, Hanouna vous êtes juif ?.... ohhh... Hanouna est juif ! - Et mon grand oncle, il est Rabbin ! - Mais il est pas juif ? - Ben si.
  5. Easle

    Accident Pierre Palmade

    Oui, après coup. Alors vous allez me dire, "maiiisss ! c'est comme ça pour tout !, c'est l'humanité, etc.". Oui, enfin, si nous mettions les fonds déployés à impacter militairement, pour des intérêts économiques peu redistributifs, d'autres pays, dans la destruction des cartels, des économies de la drogue. Et si nous imposions des capteurs d'alcoolémie ou d'autres drogues dans les véhicules (chargé d'électronique complexe pour tout un tas d'autres fonctions moins essentielles), etc. Les résultats en amont seraient peut être intéressant... Peut être ! Mais peut être tout cela est-il réellement impossible ? Les arguties géo-stratégico-politico-financières y pourvoiront certainement Donc c'est moins l'humanité, qu'une humanité : libérale, très libérale (et je veux bien qu'on m'épargne la rhétorique manichéenne du renvoi au communisme )
  6. Easle

    Accident Pierre Palmade

    Et n'est-ce pas là qu'on peut interroger le libéralisme sans frein et sans airbag. Les régimes libéraux se battent-ils vraiment contre la drogue ? Les substances psychoactives fortes, en plus de l'alcool, social, sont plus utilisées par les classes les plus aisées, et pas seulement du fait de la cherté mais aussi du fait de ce que la hiérarchie sociale impose comme tensions quotidiennes. Et c'est particulièrement le cas dans le haut des milieux artistiques, politiques, économiques. Les coups bas, l'hypocrisie, la compétition, sont à la mesure des enjeux matériels, des places. Certain-e-s en tombent malades, abandonnent même parfois. Sauf qu'il y a aussi des plaisir, des sentiments de sommets atteints, de puissance (gloire, reconnaissance, etc.) qui sont d'une addiction totale, en particulier pour des individus dont l'équilibre mental est malencontreusement perçu comme fort, là où il est justement explicite en cela d'une grande fragilité face à la réalité de la condition humaine : Hubris, démesure. Les grecs l'avaient compris. Les régimes libéraux sont en réalité assez tolérant vis à vis des besoins de l'individu, libre, et permettant de faire des profits considérables, qui d'une manière ou d'une autre ruissèlent... Le fil récent sur les dealers affichant des règlements intérieurs expose bien la dynamique du problème. Et le cas Palmade est intéressant en ce qu'il permet de par sa notoriété de mettre le projecteur sur ces 700 morts par an dû, uniquement sur la route, à cette dynamique de la drogue. Mais également peut être sur des pratiques dangereuses (Chemsex) qui occasionnent aussi de nombreux morts (lire les articles qui ont été postés) sans prise de volant. Les plaidoyers pour la libéralisation du canabis traduisent bien cette idéologie de la liberté qui s'abritera toujours derrière le destin, le nombre d'utilisateur qui ne posent pas de problème, etc.. Et pourquoi pas ? Mais y-aura-t-il un consensus social sur l'idée que la liberté du plus grand nombre l'emporte sur la vie de quelques uns ? Il existe déjà, par défaut pour l'alcool... On fait avec ! Et on paie les pots cassés après, une fois le mal fait. Face au drame, l'envie première est de prendre des mesures drastiques en fonction d'un cas exemplaire. Mais sur le fond, la durée, qu'acceptons-nous ? Quel choix, ou quelle absence de choix privilégions-nous ?
  7. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Ah mais je suis d'accord avec vous sur le fond ! Oui, bien sûr qu'il s'agit d'une opposition aux évolutions concernant les droits homo et trans, en les mettant dans une continuité (le Pacs s'ouvrait à tous pour être mieux accepté et voté mais s'adressait surtout aux LG). Je dis seulement qu'il faut peut être prendre ces critiques et attaques de biais plutôt que de front. Y-a-t-il des allusions dans les cerises et les carottes à ne pas mettre dans le "même plat" ?
  8. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Non, ca sent la réaction (réactionnaire) à des changements sociétaux, culturels, dont il faut comprendre qu'ils peuvent être troublant. Et user d'accompagnement et d'éducation plus que de haine et de mépris contre la peur. Cela ne peut que braquer, radicaliser.
  9. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Où ais-je remis en cause le fait que les traitements ont des effets positifs sur les jeunes qui souffrent réellement de dysphorie ? Mes questions ne sont pas de cet ordre et tu préfères donc l'agression plutôt que de répondre réellement aux questions ? La première étude montre que 71 % des participants sont réellement reconnus, ce qui veut dire que 30 % ne le sont pas, soit près d'un tiers. Cela justifie bien les préventions et un encadrement médical très vigilant. Et tu as exposé ici un paragraphe, j'en prendrais deux autres (même si je te remercie d'avoir mis les liens) : Increasingly, early adolescents who are transgender or gender diverse (TGD) are seeking gender-affirming healthcare services. Pediatric healthcare providers supported by professional guidelines are treating many of these children with gonadotropin-releasing hormone agonists (GnRHa), which reversibly block pubertal development, giving the child and their family more time in which to explore the possibility of medical transition. Conclusion Given the potentially life-saving benefits of these medications for TGD youth, it is critical that rigorous longitudinal and mixed methods research be conducted that includes stakeholders and members of the gender diverse community with representative samples. C'est plutôt cela qui répond en partie à mes questions et surtout les justifies. Il est important de trouver des solutions, des soins, des prises en charge, tout en étant très prudent avec les déclaratifs et en ménageant des portes de sorties. Alors soit tout aussi renseigné, et militant si tu veux mais un peu plus pédagogue et moins agressif, ce sera bien Nous sommes ici pour discuter par pour 'latter' (sauf si c'est ton truc...).
  10. Alors les individus ne sont pas que des statistiques mais ils en sont aussi Et heureusement sinon il n'y aurait ni société, ni même de groupe, que des individus, radicalement singuliers, une espèce à soi seul, également incapable de se reproduire... donc depuis longtemps disparue.
  11. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Je comprends ton point de vue, et je ne ramène justement pas ça du tout à un problème individuel, au contraire. Je m'interroge sur les risques sociaux. On sait que les jeunes sont en recherche d'identité-s, de modèle-s, sont très suiveurs pour s'intégrer à des groupes, ou s'y opposer plus rarement. Les engagements sont fréquemment passionnés, excessifs, pour être souvent volatiles. Faire d'un choix qui engage sur la longue durée, la santé dans le temps long, voire définitivement, une Urgence médicale est à mon sens à surveiller fortement au risques de dérives. Surtout si la menace pour un endocrinologue est d'être affiché sur des réseaux sociaux comme transphobe sous prétexte d'avoir reporté des décisions par exemple. Ce type de pression conduirait à lever les garde-fou et à avoir des conséquences ultérieurement (pourquoi pas avec ensuite des procès plusieurs années après pour des décisions trop légèrement prises). D'autres part on peut aussi se poser la question des parents. Doit-on, peut-on retirer aux parents leur responsabilité à ce prétexte s'ils préfèrent temporiser ? Ta dernière phrase montre, alors même que j'ai exprimé clairement ma position sur le transgenrisme, cette pression dont je parle, cette menace de transphobie par procès d'intention, comme une arme socialement létale, même lorsqu'il s'agit simplement de discuter. Est-ce que pour toi cela ne se discute même pas ? Auquel cas quelle confiance feras-tu à un médecin qui émet des doutes au sujet d'un patient, si ce n'est le même procès d'intention ? Malgré son doctorat ? Et si toi tu lui gardes ta confiance, pourquoi donc aurait-ils tes préventions ?
  12. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Tu ne me renverrais pas à des médecins compétents si ma question n'avait aucun sens. Pourquoi te sens-tu obligé de qualifier ainsi ma question ? Car c'est là-dessus qu'il faut discuter. C'est très problématique à mon avis à évaluer. Et surtout dans un climat de pression sociétale à prendre le plus rapidement et avec le moins de contraintes possibles toute demande individuelle. Et si d'ailleurs tu n'as pas connaissance du sujet, comment peux-tu te prononcer aussi certainement dessus ?
  13. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Pas du tout, je me demande quel contrôle il faut faire pour des enfants évoquant cette possibilité. Et donc quel est ton option de ce point de vue ?
  14. Plutôt au nombre d'heures de conduite en ce cas. Je n'ai pas pu trouver la répartition conducteurs / conductrices. Les hommes obtiennent un peu plus rapidement leur permis, mais cela ne présage en rien de qui conduit dans couple, ou de qui utilise son permis. Si quelqu'un trouve ce chiffre, ça peut être intéressant. Après en terme d'heures les hommes risquent d'en avoir beaucoup plus, surtout les professionnels, mais sont-ils les plus accidentés ? Par ailleurs, sur le temps long, le rapport du sénat sur femmes et voitures semblent indiquer qu'avec le temps (comme pour le tabac), les comportements se rapprochent.
  15. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    Lorsque ce sont des enfants, tu le prônes avec ou sans contrôle ? Et de quel type ? Et sinon, en dehors de ce contexte précis, le rôle de la société serait d'aider à toute demande individuelle ?
  16. Sur ce point précis là, elle a entièrement raison. Et si je ne serais probablement pas d'accord avec elle sur d'autres sujets, là, il n'y a rien à redire. C'est de la gauche, réellement sociale, réellement consciente de la maladie mentale qui préside à l'hubris de certain-e-s dans leur désir de puissance (au sens de capacité d'action sans fin). On aimerait que la gauche se concentre sur cela. Car non, on ne peut pas tout faire en même temps, tout mené de front, au risque de l'éparpillement, surtout de la compréhension et des donc des votes. En réalité, en politique, surtout à certaine période, il faut être modeste, ferme et concentré sur des objectifs prioritaires qui permettent l'action, une mutation après l'autre.
  17. Oui mais toutes les poules ne sont pas volées par des Gitans ! Il y a des renards aussi ! Et puis il y a des aides maintenant, beaucoup de Gitans volent beaucoup moins de poules ! D'autant qu'ils vivent aussi plus en ville et qu'il y a moins de fermes urbaines... Bref, l'étang change !
  18. Oui, enfin il y a des conditions très particulières à l'époque tout de même. L'humiliation de l'Allemagne (pas assez importante d'ailleurs à mon sens, plus de territoires auraient dû être pris en compensation et pour éviter tout retour de puissance), un contexte géo-économique (renouvèlement / déplacement des fortunes vers l'amérique) et géopolitique (essor du communisme), idéologique (nationalisme encore récent, patriotisme, racisme et antisémitisme peu illégitime socialement, évolutionnisme social)... Les défis et le contexte étaient donc très différents, donc comparaison est tout sauf raison, (bon après sur des points de détails pourquoi pas, mais pas dans l'ensemble). Oui, enfin, tant qu'ils ne seront pas en short et tong... Quoiqu'avec le réchauffement !?
  19. Ben "insoumis", ça annonce la couleur en même temps ! L'idée est bien de reposer sur une base électorale en révolte et en sécession d'avec l'état. Bah, en même temps, il est vrai qu'il y a bien un an qui saute en préparation de ré-élection ou préparatif de bagages.
  20. N'est-ce pas là que le bas commence à blesser, dans des origines très lointaines. 6000 € pour 40 heures en gros, donc une semaine de travail chargé à l'ancienne, mais simplement à deviser sur un plateau, bavarder... Comment penser ce type de revenu ? Que devient le sens du salaire, le sens du travail, dans ce type de valorisation monétaire ? Que cela produit-il socialement ?
  21. Easle

    Du Pacs au transgenrisme.

    En réalité, être hétéro ou homo n'a un sens que social. L'orientation sexuelle, comme le genre est une construction sociale. Je ne connais pas, personnellement d'animaux (à part les asexués et les hermaphrodites) chez lesquels on a pas noté de rapports entre individus du même sexe. La réalité biologique du vivant sexué est la bisexualité, en grande partie car s'il y a bien, chez les sexués une nécessité de rapports hétérosexuels pour la reproduction, le sexe relève également de la sphère du jeu. Tout cela car la nature n'a pas rendu le sexe déplaisant, ou plutôt pour le dire de façon évolutionniste, parce qu'a été favorisé la reproduction par rapports plaisant, puisque cela occasionnait donc plus de reproduction.. Un-e hétéro ou un-e homo n'est que quelqu'un qui veut se définir tel, en fonction d'une attirance qui va se fabriquer durant les très longues années de son éducation et de ses relations sociales. A ce jour, il n'existe aucun gène de l'hétéro ou de l'homosexualité malgré ce qu'un seule et unique chercheur belge a tenté de démontrer sans faire bouger d'un iota la communauté scientifique sur le sujet. La dysphorie de genre est une possibilité, sujette à caution, mais dont on peut se dire sur le même principe que le genre, qu'elle est une construction. Et on peut s'étonner alors de la volonté d'en faire une catégorie biologique là ou le reste serait social... Mais a priori, tout cela reste effectivement du domaine de l'individu, de choix, ou non-choix, supposé ou réel en fait peu importe. Là où je vous rejoindrais potentiellement serait dans le poids idéologique que peuvent subir les jeunes dans ce cadre. Et là se pose des questions effectivement collectives, sociétales. Il y a une légère progression des sexualités non hétéros et du transgenrismes, et on peut possiblement l'attribuer soit à un épanouissement individuel suite à une reconnaissance et la possibilité d'assumer une réalité auparavant dissimulées car dangereuses, soit à une progression d'un phénomène culturel, par imitation. Mais que ce soit l'un ou l'autre, n'est-ce pas une évolution comme une autre ? En quoi serait-il utile de lutter contre, même s'il devait y avoir 50 % de transgenres dans 50 ans ? Cela accompagne d'ailleurs un regard plus technique sur le corps que la chirurgie esthétique avait déjà entamée. Les moyens techniques favorisent des comportements humains, peuvent créer ou du moins favoriser certains comportements, oui. Et nous allons vers une technicisation du corps, que les plus transhumanistes appellent de leurs vœux. Lorsque cela implique un impact sur les enfants, il est vrai qu'on peut se poser d'autant plus ces questions, mais pas plus en fait que sur l'impact de la publicité, des jeux et jouets violents, roses ou bleus. Par contre cela fait souvent s'affronter des idéologies et en particulier des hyper-progressistes qui refusent toutes questions comme étant réactionnaires et des réactionnaires qui refusent toute évolution comme étant agente du chaos final. Les anciens et les modernes Disons plutôt qu'il faut poser les termes des débats pour que chacun-e puissent se positionner avec moins d'a priori, d'engagement, d'endoctrinement, et plus de recul peut être.
  22. Je l'ai dit, dans l'époque actuelle, c'est devenu monnaie courante. Glissement dans la vulgarité, l'agressivité, les tensions de plus en plus présente, sur les lieux de travail (ou on a été obligé d'afficher des menaces de sanctions à celles et ceux qui insultaient quotidiennement des agent public par exemple). Mais donc finalement, pour certains, c'est peut-être devenu banal. Il n'y font peut-être même plus réellement attention, sauf lorsque ça se médiatise sur fond d'opposition idéologique, avec des enjeux politiques ?
  23. Je ne suis pas si sûr qu'elles soient évidentes pour tous et toutes. Et d'ailleurs je préfère ne pas fermer la porte à leur discussion possible. Et oui, l'inquiétude est légitime. Et je pense qu'elle est bien plus présente que des haines trop rapidement attribuées, même s'il en existe. A les surévaluer, les surestimer ou les caricaturer on ne les favorise peut être pas réellement, profondément, mais on oblige le discours à se tendre, à mal nommer aussi parfois les maux en en faisant un Mal. Et cela ne permet pas de songer mieux aux solutions. Or c'est tout au profit, non pas d'idéologies dominantes ou dominées ou en transition, mais d'intérêts toujours matériels et d'individus qui ne sont unis que par ces intérêts à les favoriser et à en reproduire soit l'inégalité, soit le principe lui-même surtout. Alors ne faut-il pas toujours remettre à plat les fils du métier à tisser ?
  24. Donc tu rejettes tout en bloc, simplement ? Non, mais cela compte beaucoup je le reconnais. Je suis un homo sapiens, j'utilise mes yeux, mes oreilles ensuite, mon odorat possiblement mais je ne sais pas toujours réellement quand et à quel degré. Je ne peux pas aimer un cerveau sous cloche de verre. Ni une IA.
  25. Le aucune est excessif, c'est un effet, pour faire contrepoint au relativisme. Et ce n'est pas heureux de ma part, c'est vrai. Mais le relativisme est terrible en ce qu'il obère toute réalité : tout est dans tout et vice versa, chacun se conduit différemment, est unique, ne se compare à aucun autre, etc. C'est aussi ainsi que chacun peut faire ce qu'il veut écologiquement en ce cas, idem pour tous les autres comportements alors... Si aucun comportement n'est commun à des groupes, des ensembles. Alors il n'est plus possible de parler. Lorsque je mets certains ou certaines, on va me dire "oui mais il y en a d'autres, donc ça ne vaut pas" Mais en quoi alors ces autres d'ailleurs valent-ils ? Rien ne vaut rien ? Ce type d'échappatoire est agaçant (et fait pour ça je le comprends bien), et reste surtout un outil idéologique.
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