Easle

Alors, non, pas autant chez les femmes, et de loin. Par contre le célibat féminin est le seul médiatisé. Le célibat masculin est purement et simplement ignoré puisque ce sont des hommes dont ni les hommes qui ont du succès, ni les femmes qui les rejettent ne veulent entendre parler. Ce livre analyse une période historique les années 50 / 60, qui dure un peu encore mais marginalement. Un film (je vous aime beaucoup, avec Michel Blanc) avait abordé ce problème il y a 15 / 20 ans, mais qui avait déjà changé. Les problèmes sociaux de ce genre ne sont pas figé dans le marbre, ils varient (lieux, quantité, populations, etc.) mais plus ou moins marginalement. Il y a aussi des effets structurels. Les hommes rejetés, à la différence des femmes, sont une constante anthropologique, d'espèce. Les femmes, quelles qu'elles soient sont toujours importantes, dans toutes sociétés. Ce sont, au minimum, des ventres là où les hommes sont de la chair à canon. Pas reluisant certes mais objet donc d'une attention (dont certaines se passeraient bien évidemment). Mais les femmes sont une nécessité pour l'espèce. Toutes peuvent donc trouver un homme, même si ce n'est pas celui de leur rêve. Pour les hommes, c'est le contraire, ils sont en fait toujours en sur-nombre au regard des femmes qui se contenteraient bien de quelques spécimens qu'elles se partageraient. Les autres, pour elles, n'existent pas, simplement. Ils sont invisibles physiquement (enfin du décors génant, négatif, donc moins que les arbres, plutôt comme des voitures ).

Si tu le veux, tu liras le petit bouquin cité et on en reparlera. C'est le mieux que je puisse te dire.

Les femmes sont tout aussi prévisibles. Mais des deux côtés, on pourra trouver soit des gens moins prévisibles, soit des capacités de prévisions moindres. L'un face à l'autre surtout. C'est une relation relativiste. Beaucoup de femmes se font avoir. En grande partie à cause de cette domination qu'elles ont dans le choix du partenaire (à 80 % ce sont elles qui disent oui à une proposition masculine), qui est exploité par des hommes habiles à se masquer. On ne compte plus sur des aufeminin.com, doctissimo, etc. les femmes qui sont tombés sur des 'salauds' qui plus est 'à répétition'. Et j'en connais. Et elles veulent rempiler ! Et parfois, mieux encore, elles acceptent certaines situations juste pour pouvoir parader une fois par mois, voire moins au bras d'un homme que nombreuses leur envient physiquement, en y ajoutant l'excitation sexuelle qu'ils continuent à provoquer (et là, on baisse les bras). Je ne mets aucune clôture, mais je reste moi-même (selon le conseil, pas terrible, de certaines ). Je ne fais pas de compromis. Je ne drague pas les fonds de tiroir. Je ne m'abaisse pas, ni ne me surestime. Je suis moyen, médiocre parfois, très bien parfois. Et ce n'est jamais suffisant. C'est comme ça. car oui, c'est la vie. C'est cela qu'il faut accepter. Cette inégalité fondamentale qu'il ne faut pas travestir. Sur laquelle il ne faut pas mentir. Et qui a des ressorts naturels, pour partie, et sociaux, culturels, historiques pour d'autres. Les inégalités fondamentales ne sont pas économiques mais physiques et sexuelles (en terme de rapports sociaux de sexe, pas de rapports sexuels)

Les services psy ne sont plus comme ça, non. Si ce n'est que tu as toujours des patients en grande souffrance, des situations tendues, dramatiques.

Pourrait-on plaire à quelques très rares personnes, qu'ils faudrait encore les rencontrer ! Non pas, aller vers elles, mais être dans les mêmes lieux, les mêmes activités etc. Les cas de célibats forcés durant toute une vie sont connus chez les hommes (et seulement chez eux). Je te conseille la lecture de Bourdieu - Le bal des célibataires.https://www.seuil.com/ouvrage/le-bal-des-celibataires-pierre-bourdieu/9782757849798 Donc tu ne te compares JAMAIS aux autres, tu es bien certaines ? j a m a i s. Tu t'habilles totalement originalement ? et sinon, tu le fais sans aucune comparaison !? Idem pour un millier de phénomènes quotidiens.

Cette 'théorie' est fausse et a été invalidée des millions de fois par des femmes persuadées de ne pas plaire et qui avaient des prétendant, et nombre de jeunes beaux hommes qui ont vécu exactement la même chose. C'est presqu'une constante tellement c'est courant. Il y a des vérification objective de la répugnance féminine, je l'ai dit : taille, qualité de la peau, timidité (et non ca ne se soigne pas en un claquement de doigt volontariste, ce qui est surtout culpabilisant), faiblesse des revenus au-delà de 40 ans, etc. J'ai même connu quelques rares homosexuels qui m'ont confié l'être devenu par désespoir de ne plaire à aucune femme (attention cela ne présage en rien de l'homosexualité des autres). Et les hommes vers lesquels AUCUNE femme n'est jamais allé sont majoritaires, simplement. Je n'ai jamais rencontré une femme vierge à 50 ans. Des hommes 2. Ben justement, il cherche pas

Avec cela je suis entièrement d'accord. Pour avoir interrogé des hommes qui avaient essuyés plus d'échecs avec des femmes qu'un Rasta en tong à des entretiens d'embauches en agence immobilière parisienne. Bon, exemple moyen. Eux, ils tentaient !

Me protéger de quoi ? Je ne pique ni ne mord, je pose des contre-points sur les formes discursives et rhétoriques, c'est tout. Est-ce piquant ? Et dans quel sens d'ailleurs ? Je crois surtout qu'il en va de l'imagination féminine parfois, ce qui permet de croire à une supposée profondeur. Beaucoup d'hommes sont habiles à faire accroire cela, jouant le mystère, le ténébreux, le cliché spikien du gentil vampire au grand coeur. Et qui fait que beaucoup de femmes se retrouvent avec de parfait ........... parfois avec des hommes violents, en ayant cru que derrière les crans d'arrêt et les chaînes de moto, il y avait une belle âme se protégeant.

Après, je réponds peut être trop vite et en jouant étant trop analytique peut-être... Toujours le même problème que Monsieur Spock. (ah ! C'est un geeeekkk ! lol)

Se faire piquer ? C'est étrange... C'est comme pour Dan, mais où ais-je piqué pour ma part ?

Donc si je dis qu'il te faut être tordue pour venir répondre sur ce fil, je ne t'insulte pas ? Je ne prends pas les choses pour moi, au contraire. J'ai expliqué que cela procède aussi, voire surtout de constatation de nombre d'autres individus, d'observations, de questions, d'enquêtes etc. Ce n'est pas moi qui ramène les choses à ma personne. Tu ramènes les choses à ma personne, car tu désires critiquer ce que je dis non pas en les analysant mais en me critiquant personnellement. Tous tes mots peu amènes me vise, pas 'les hommes' ou certains 'hommes', ou autres, mais moi, seul. Tu me psychologises, car c'est plus simple que de débattre du fond. Dans le même sens, tu prends effectivement les choses pour toi. Comme si je ne parlais presque que de toi alors que, tu n'es qu'une parmi des milliards dans ce que je dis. Rien d'autre. Et ce n'est pas blessant dans mon idée. Je suis un aussi parmi des milliards, très semblable en fait à tant d'autres. Et je ne t'en veux pas, il n'y a pas de soucis. C'est assez courant, je te l'ai dit, le contraire de l'unicité. Je m'emporte ? Où ça ? Quelle phrase te semble être 'emportée' ?

Ah ... la jalousie maintenant... Que vas-tu encore me donner, vas-y ne te gène. Tu n'as pas fait le tour de ce que j'ai déjà lu sur ce genre de fil. Par contre, je suis désolé, mais là tu n'es pas unique et très loin même de l'être, presque au mot à mot avec la très grande majorité. Allez tourne ça comme on s'y attend

Tu vois comme je suis bon pour t'aider à avoir des "arguments", je plaisante et tu peux ainsi me traiter de tordu (en plus du reste). C'est fou, sur ce genre de débat ce que la plupart des femmes ont comme réserve d'insultes sans y toucher, de stratégie de discrédit de la personne plutôt que de discussion du fond... +++

Ah... tu fais partie de ces femmes qui font mine de ne rien voir ? C'est très vieux jeu ça Madame ! Non, bien sûr, il dirait la même chose à un homme Il lui masserait les pieds également Me faire de l'ombre ? mdr... là je dois dire, je ne flatte personne moi

Je suis là aussi pour permettre à des beaux parleurs de draguer en se distinguant de moi, en faisant mine d'être de gentils et drôles preux chevaliers blancs (qui ne manqueront pas de ne pas se sentir tel pour être, en plus, humble, voire dans l'autodérision, qui fait partie des techniques de drague).

La fin du Dryas récent, avec des réchauffements de 6 à 12° selon les lieux a impliqué une fonte des glaciers du Dryas (période glaciaire), et donc une montée des eaux qui a été rapide par endroit (quelques décennies). Mais dans les mémoires collectives, ce type évènement qui oblige à des délocalisations, des migrations, la perte de territoires de chasses et de cueillettes, de paysages connus, de référence, etc. implique un traumatisme. Celui-ci a été partagé par la population mondiale, presque entière. Et ce n'était pas le premier déluge puisqu'il y avait eu d'autres épisodes glaciaires et de réchauffements. C'est comme pour le plaisir intense que nous avons à regarder du feu dans une cheminée, nous le portons dans nos gènes (ça a été codé durant des dizaines de milliers d'années). Pour le déluge, c'est presque pareil si ce n'est qu'il y a surtout une longue transmission orale, sur des milliers de générations, comme pour certaines étymologies en linguistique. La plupart cultures humaines s'en sont définitivement imprégnées. Tous les phénomènes 'religieux' sont de ce type ou peu s'en faut.

D'une le monde ne tourne pas autour de toi ou moi... et de deux en quoi ? et de trois tant que je ne dirais pas que les femmes sont toutes uniques mais 'en même temps' parfaites comme elles sont, tu me contrediras, donc... Et même là !? Ah !?

Ces pratiques professionnelles sont encadrées par des lois, et heureusement d'ailleurs. Mais c'est cet encadrement même que je trouve naïf dans sa prétention à perdurer, alors que les changements politiques, ne serait-ce qu'au vingtième siècle avec ses drames, ne sont pas si loin. L'utilitarisme est désarmant de puérilité individualiste de ce point de vue. Je veux, tout de suite, moi, toute seule. J'ai droit à, ceci, cela, etc. Aucune obligation face à l'Histoire ou la société, des droits individuels sans nombre, et avec si peu de responsabilités. C'est le même problème qu'avec l'écologie. D'ailleurs ça en fait partie. C'est un des éléments de l'individualisme libéral qui produit ce rapport au monde Egoïste et Egotiste.

Et qu'entends-tu par mûr ? Avant blette Le plaisir physique est aussi apporté par un beau corps, d'où le terme ultra utilisé par les femmes de "beau gosse". Et les fantasmes récurrents sur des acteurs, en particulier du type Jason Momoa

Comme tu l'auras remarqué, il n'y a pas tant de variété que ça dans les couleurs de peau, des yeux, des cheveux. Il n'y a pas beaucoup plus de variété de comportement que ça non plus. c'est d'ailleurs ce qui nous permet de comprendre la psychologie des personnages dans les fictions. Une assez faible amplitude. C'est aussi ce qui fait que l'apparence est aussi incroyablement niée comme étant prioritaire et dans le même temps aussi présente dans les films, la publicité, la valorisation de soi, les termes utilisés, etc. Je comprends qu'il soit un enjeu de minimiser mon expérience (voire même probablement l'expérience des grandes enquêtes sur le choix du conjoint - Girard -, sur le choix des partenaires - Hite, sur le poids des apparences - Amadieu). Voire même de minimiser ainsi l'individu qui ose en parler (non bien sûr que non, j'en suis sûr ). Tu pouvais même écrire "Toutes celles qui n'ont pas voulu de toi !" pour bien insister sur le rejet et le sa personnalisation. D'autres n'ont pas tes préventions ou tes scrupules Mais je n'ai pas d'Ego, je te l'ai dit, je suis ici pour en parler sans blocage.

Des législations aussi intime à l'espèce, alors que les états sont aussi soumis aux aléas politiques, c'est tout simplement hallucinant de naïveté. Mais très représentatif de l'espèce et de ses autres irrationalités. Foucault a été bien lu dans son aspect déconstruction outre atlantique, ils ont bien oublié toute sa critique du biopolitique, et surtout les aspects les plus anthropologiques et philosophiques. On peut en rire avec consternation

10 c'est déjà beaucoup si cela se répandait. Et pour combien de temps ces restrictions ? Elles ont tendance à tomber avec le temps.

C'est tout à fait cela. Mais c'est très conscient et désiré. Cela revient un peu au même que les comportements de mode qui procède de la même contradiction entre Distinction faible dans les actes et forte dans le discours et Mimétisme faible dans le discours mais fort dans les actes. Le langage humain articulé est d'abord un outil de justification, de manipulation d'autrui.

Dans aucune espèce les femelles ne se posent des questions sur la consanguinité, pas plus chez Homo sapiens... La procréation est à courte vue, individuelle, en terme de plaisir sensible qui qualifie illusoirement de théoriques chances pour la progéniture. Sauf chez des PMIstes qui vont pouvoir faire joujou avec la génétique.

Le baratin est toujours aussi amusant comme preuve de qualité masculine. ça fait penser à la pose de piège. Et c'est intéressant sur la qualité des évaluatrices... Le Harem méritoire est aussi remarqué des anthropologues, avec la polygamie des Grands Hommes (Grands souvent par la taille mais surtout socio-professionnellement) que les femmes légitimes à avoir nombres de conquêtes, là où le péquin moyen est vilipendé pour ne serait-ce qu'une œillade. Ils le valent bien. Cela recoupe la pratique eugéniste. Bref des primates qui se donnent des airs.