Easle
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Non, la réparation existe déjà mais elle coûte chère, tu vas créer une inflation massive des biens d'équipement et une réduction de la concurrence, avec une concentration des capitaux. Mais surtout, tu ne peux pas l'interdire dans un seul pays... Sauf à vouloir voir ta balance commerciale s'effondrer si tu fermes tes marchés aux produits étrangers... que ce soit avec des normes ou des droits de douane. Qui plus est beaucoup de gens répareraient eux-mêmes ou collectivement, comme les voitures avant que les entreprises automobiles restreignent (depuis une vingtaine d'année) l'accès à leurs moteurs, pièces, outils, structure. Et pourquoi veux-tu créer plus d'emploi ? tu es familialiste ? Tu veux voir toujours plus d'humains sur terre ? Sans limite ? Tu es de Gauche mais pour la croissance sans frein ? C'est ça ?
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Oui, je vois bien que tu ne me lis pas avec concentration parfois L'architecture fait partie de la culture ! La perte de diversité architecturale, culturelle, qui faisait rêver chaque culture dans l'altérité à d'autres.. Ce qui donnait une diversité de paysages urbains. Une diversité en train de disparaître, rapidement. La culture française a évolué depuis des siècles. Mais la culture gauloise, comme la grecque ou la romaine, a disparu. Or pourquoi une culture DEVRAIT-elle disparaître ? En quoi disparaître est-il une nécessité ? et surtout à quelle vitesse, et pour quoi, dans quel but ? Le changement pour le changement, tout comme l'innovation pour l'innovation n'a AUCUN intérêt. Ce serait une fixation pathologique d'agités. Aspirer à des changements le plus rapide possible est une vision excitée du monde, ou une idéologie de détestation de ce qui existe. Détestes-tu les cultures actuelles, ou lesquelles ? L'institut Montaigne. Et pour le moment, il n'y a aucun bienfait prouvé, uniquement des suppositions idéologiques. Et tu trouveras des rapports à droite qui te montre exactement le contraire, dans une vision économique qui montre que cela coûte plus que ca ne rapporte. En réalité, les apports et coûts économiques ne sont pas aisés à calculer. Mais l'impact culturel est visible et sera certain et accéléré si ton programme de suppression des frontières (sinon explique moi quelle limite tu poses) prend place. Pourquoi te refuses-tu à répondre ?
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J'écoute et je lis, car je trouve intéressant de discuter des bases fictionnelles ou idéologiques, si on les replace pour ce qu'elles sont. FAUX !!! C'est toi qui en parlait ! J'ai parlé moi de remplacement SI on applique TON Programme... C'est TRES différent.
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Mais Marx, comme Toqueville voyait dans la révolution l'oeuvre bourgeoise d'une volonté d'affirmer des désirs de privilèges, bien plus qu'une volonté populaire de s'en libérer... Lis la Noblesse d'état de Bourdieu. Les élites ont jouer le jeu du conflit des hommes de pouvoir et d'argent. Ce que je te donne comme étant une nature humaine est modérée par la volonté et la combativité chez beaucoup d'hommes et de femmes. Mais le désir est bien là et se satisfait s'il peut, mais simplement certain-e-s ne sont pas prêt à y mettre la même énergie, à prendre les mêmes risques, etc. Beaucoup de droits ont d'abord été conquis par une émancipation intellectuelle, du fait de l'éducation, et ceci contre le religieux, d'abord et avant tout. Toute religion est d'abord une menace pour ces droits. Mais je ne suis pas sûr que tu en soi d'accord car LFI (puisque c'est le sujet) est travaillée depuis des années pour être de plus en plus une gauche conciliante, accompagnante des aspirations religieuses (enfin seulement de l'Islam, ce pourquoi un personnage comme Médine est si bien accueillis malgré ce qui le ferait passer un personnage de droite pour un criminel s'il tenait les mêmes propos, et on a déjà parlé d'Houria Bouteldja, du voile qui libère les femmes, etc....). Je pense honnêtement que ce n'est pas tant la monarchie qui posait problème que le droit divin sur lequel elle s'appuyait. Le monarchisme de la 5e republique n'est pas un problème majeur, surtout s'il ne devait avoir qu'une fonction de représentation et direction générale, débarrassé de l'électoralisme en étant réellement monarchique, c'est à dire à vie, avec ou sans héritage de la couronne par exemple. C'est la théologie qui hiérarchise de façon solide les individus, sur des fondements irrationnels donc indémontables. Une fois la religion expulsée r a d i c a l e m e n t de la sphère publique, alors il peut y avoir égalité en droit et en droits. Ce qui évolue donc, ce n'est pas la nature humaine ! C'est la culture qui restreint, contraint, soumet, domine, cette nature. La culture, c'est l'absence de cette liberté de la nature humaine... Et une culture, c'est un continuum de formes, qui doivent être le plus communes pour ne pas lâcher la bride au naturel qui ne demande qu'à revenir au galop, y compris par des petits groupes, petits communautarismes, petites factions, pour faire craquer les jointures d'une société et ses contraintes salutaires. Car ta jungle généralisée, elle est dans cette volonté, libertaire ! Et tu sais bien combien les hommes sont pret à trouver des justifications positives, à utiliser les meilleures idées, les meilleures intentions pour les détourner, les manipuler, en faire des armes à leurs profits, à Gauche, comme à Droite ! Tu n'es pas naïf.
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La logique est souvent simpliste. Qu'est-ce que la richesse, qui la construit, comment, et surtout pourquoi ? Quelles sont ses conséquences positives, négatives ? Bien, et tant mieux. Je ne doute pas de ton intention sur le sujet, mais tu vas avoir à regarder dans les années à venir les évolutions. Et ce dont je doute c'est de la volonté que tu mettras à regarder le réel. Prendre le taureau par les cornes ne veut rien dire. Dis-moi ce que tu préconises sur les migrations ! Qui, combien, pourquoi, quel contrôle, ou pas, quelles lois ou pas, etc. Avec les conséquences attendues ! Une projection (le politique c'est prévoir, se projeter !) Oui, à part dans un monde merveilleux, je t'écoute, mais si possible pas : Quel cliché ? Tu veux relancer l'économie ? Faire de la croissance ? Et du ruissellement ? Ce sont des visions économiques de droite, tu as conscience de ça ? Es-tu favorable à l'obsolescence programmée ? Car c'est en partie ce qui as permis de continuer à faire, et donc artificiellement en terme de valeur d'usage, de la croissance économique, pourquoi ? Pour continuer à donner des emplois dans des industries qui sinon allaient produire des biens trop durables ce qui allait faire décroitre le nombre d'entreprise dans plusieurs secteurs d'équipement. Un nombre de plus en plus grand d'emploi sont humainement inutile mais socialement indispensable pour continuer à justifier un modèle d'organisation de l'activité humaine rémunérée... Et hiérarchisée ! Quel est ta perception de l'économie ? Je ne parle pas de Grand Remplacement. C'est toi qui en parle, et probablement sans rien en savoir que : Grand Remplacement théorie facho raciste anti-migrant. Le Grand remplacement est une théorie évoquant un complot (plus ou moins judéo-maçonique dans l'esprit sinon la lettre de l'auteur) visant à remplacement les populations blanches. Je ne pense pas qu'il y ait complot. Si j'ai parlé de remplacement, c'est partiel, et uniquement SI un programme d'ouverture sans frein des frontières, tel que le prône LFI, était adopté. Et cela n'a rien à voir avec du Racisme, brandit comme un fanion sans rapport avec le sujet ! Le racisme, c'est l'idée qu'il y a des race, d'une , et que certaines sont supérieures à d'autres inférieures, Où lis-tu cela ? Là, il est simplement exposé que, sur un territoire sur lequel il y a une population, avec son occupation des lieux, selon une architecture, des modes alimentaires, des modes vestimentaires, des formes relationnelles, organisationnelles, des fêtes, des danses, des jeux, une langue, des récits communs, partagés etc. Et donc une culture. Si la descendance de cette population diminue et que d'autres populations arrivent en grand nombre, il y a progression un remplacement culturel, car la transmission s'éteint progressivement. Ce n'est pas ce qui s'est passé pour les romains, les grecs anciens, les égyptiens, les perses, les mayas. Mais c'est arrivé aux amérindiens d'amérique du nord et du sud. Et c'est lié à des croissances de populations importantes, qui n'existaient pas à la période classique. Ainsi qu'à des moyens techniques modernes de transport et de communication. Ce que tu ne sembles pas comprendre c'est que je défend l'idée de diversité des cultures et/ou des civilisations. Je suis ennuyé par le fait de voir les mêmes immeubles d'un bout à l'autre de la planète, par l'uniformisation amorcée par la globalisation qui se renforce par les migrations, en particulier au plan culturel. Ce n'est une richesse que temporairement, avec surtout une destruction, des cultures africaines ou européennes, et autres demain. Et, pour l'avenir, c'est dramatique, et surtout dangereux quand à la capacité d'adaptation de l'humanité... Tu me lis, et d'autres probablement d'abord avec des a priori, des catégories idéologiquement pré-construite et monolithique : "Ah tiens il a dit tel mot donc même s'il ne le dit pas exactement, il pense ça, et ça, et ça..." Pour moi, il faut lutter, en Afrique, ou en Asie, ou en Europe, contre les intérêts individualistes d'amélioration personnelle de ses conditions de vie... C'est humain ? Oui, mais ce qui l'est encore plus, c'est ce qui les contraint : la culture. Un enfant a envie de faire ce qu'il veut. Le rôle de ses parents, c'est de ne pas le laisser faire mais de le contraindre, de le limiter. Sinon ? tu obtiens une société des plus forts, des plus rusés, des soit disant 'meilleurs'. Plus qu'un rôle, c'est le principe d'une société que de contraindres ses membres, de les soumettre à des règles. Et surtout de soumettre les plus forts, les plus rusés, les meilleurs. Et surtout dans une société de gauche normalement. Qu'est-ce que le communisme !? A quoi fait référence ce mot ? Aux sociétés primitives, communautaires, mécanique pour le dire comme Durkheim, ou gemeinshaft comme Tonnies. C'est à dire avec des relations étroites, directes, de confiance, mais aussi de surveillance, de contrôle, de valorisation, d'entraide, etc. Es-tu prêt à en discuter ? (relis plusieurs fois cette question) Si, c'est du simplicisme, du misérabilisme et du bisounours, et la vision dépassée du positivisme. Certes des conditions socio-économique PEUVENT jouer, mais tu ne trouveras aucune étude sérieuse qui en fait un déterminant. Sinon, la criminalité serait aussi simple que dans les théories physiologiques italiennes ou médicales françaises de la criminologie à ses débuts. En revanche, la localisation géographique (urbaine / rurale), la situation familiale des parents, les groupes de sociabilité, etc. jouent infiniment plus.
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Pheldwyn, Connais-tu la nature humaine ? Ou doit-on en revenir à l'archaïque débat sur l'homme par nature bon ou mauvais ? Si autant de français, à quelque soit leur nombre de génération, aspirent à devenir riche, crois-tu que c'est uniquement par un dévoiement de l'éducation ? Du mauvais exemple donné par l'extrême droite, la droite, les économistes, la publicité ? Tu crois vraiment que tu vas voir un jour une société, entière, de gens sobre matériellement, paisible et épris uniquement d'amour, d'égalité totale, et sans aucun intérêt pour leur territoire, aucune attache au passé, à une histoire, à des traditions ? Tu crois à cela profondemment ?
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Je ne peux pas te demander de rester de marbre puisque tu es également incapable de me lire sans te sortir la tête de la nécessité de la radicalité. D'une tu confonds le catholicisme avec le christianisme, ce qui montre qu'il risque d'être difficile de discuter avec toi de religion. De deux, où ais-je dit que le catholicisme, car c'est de cela que tu parles et seulement cela même lorsque tu utilises le terme malpropre de christianisme à ce sujet, avait été tolérant ? Tu reproches souvent aux autres les conneries que tu écris toi ?
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Et à ton sens, que dit-il d'utile ou d'intéressant ? A part, faire une chanson qui lui rapporte de l'argent, en faisant le buzz de jeunes qui n'ont pas lu grand chose mais beaucoup joué à des jeux video qu'ils prennent pour des leçons de sagesse, et sont certains qu'ils pourraient construire un monde extraordinaire, avec facilité, 'tranquil', s'ils pouvaient se débarrasser des vieux, du moins de tous ces vieux qu'ils voudraient foutre en l'air......) "mamie qui vote marine alors qu'il lui reste 3 ans à vivre" (on sent le désir, mais le désir du gars trop lâche poour aller au bout, pour faire le geste qu'il demande à la 'nature' de faire pour lui ). Sais-tu ce qu'est une société humaine ? le temps que cela prend à se construire ? Penses-tu que c'est dans ta petite vie que tu vas recréer une nouvelle société ? Comme avec les Sims ? Franchement, penses-y vraiment !
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Sauf que le rejet des immigrés à gauche était moins clair que tu ne le dis. Qui plus est dans les masses laborieuses, qui défendaient déjà une identité culturelle, parfois ouvrière. Par ailleurs, les immigrés d'alors n'était pas dans une posture de rejet de la culture occidentale. Ils aspiraient à s'assimiler pour la quasi totalité, à se former à l'école de la république, pas à remettre en cause les apprentissages historiques et biologiques sous des prétextes religieux dont le fondamentalisme montait mais n'était pas alors du tout dominant, du fait de l'histoire du socialisme dans les pays du Maghreb notamment. Et ils n'étaient pas assez nombreux pour se communautariser et refuser la culture d'accueil pour faire secession et entre soi culturel. Et c'est là que la comparaison peut se faire, car ce n'était pas un problème, à gauche, alors, que de discuter de la limitation de l'immigration, sur diverses bases, sociales, et culturelles. Là où maintenant la gauche interdit tout débat et vise à l'abolition des frontières en proposant : . L'acceuil de tout migrant . Créer de nouveaux statuts à 'droits' en plus des réfugiés . La dépénalisation du séjour irrégulier d’accueillir dignement les personnes migrantes ; de garantir le droit d’asile et créer de nouveaux statuts ; de dépénaliser le séjour irrégulier et de lutter contre les trappes à clandestinité et à précarité ; Ce qui revient à dire : Migrants venez, même illégalement, vous serez nourris, logés au frais des contribuables français. Peu importe le nombre, peu importe les terres qu'il faudra artificialiser, peu importe le coût, qu'il faudra bien financer. C'est une destruction pure et simple de l'état puisque de ses équilibres budgétaires (sauf à considérer que les poches des riches sont inépuisables et magiques). Et surtout là, oui, c'est une politique de remplacement. Car si même cette immigration se limitait en ce cas à 350.000 naturalisations par an (actuellement entre 120 et 150.000 / an), suivant les courbes continuement en croissance des migrations, cela impliquerait 10 millions d'arrivants en 30 ans. Avec un taux de natalité française de 1,8 donc de non remplacement mais surtout soutenue par des françaises de première ou seconde génération, il faudrait moins d'un siècle pour que moins de 25 % de la population ait des ancêtres français à plus de 4 générations. Un tel changement de population n'est arrivé qu'aux amériques, avec les colonisations massives mais en quatre siècles (16e-19e). D'un point de vue culturel c'est donc l'équivalent de l'effacement de certaines cultures traditionnelles (mais qui ont probablement beaucoup plus de valeur aux yeux de la gauche puisqu'exotiques). Des cultures d'amériques du sud, ou d'afrique, qui sont actuellement aussi menacées, par l'expension des plus nombreux et dominants dans leurs pays. D'un point de vue social... et écologique, l'aberration est pire encore ! Quelle formation ? quelle histoire enseigner ? quelle biologie, non darwinienne ? Quels emplois ? A quel niveau de rémunération si le marché de la main d'oeuvre explose ? Avec une continuité de croissance de population, quelle décroissance des consommations, des équipements, de la construction, des routes, de l'énergie, etc. ? La gauche a un stock de baguette magique ? Ou a-t-elle recours, libéralement à une main invisible de sa bonne étoile ? La xénophobie est une constante de TOUTES les sociétés. Les Togolais qui migrent au Congo peuvent en attester, comme les maliens qui arrivent au Maroc... et des centaines d'autres nationalités de part le monde. On voit bien comment être noire et refuser des traductions 'blanches' exprime le racisme. Mais celles et ceux qui savent que beaucoup d'africains de l'ouest considèrent les Pygmés (par exemple) comme des singes... pourront se douter, que le racisme et la xénophobie ne vont pas aller décroissant à mesure de l'arrivée croissante de migrants de cultures du sud, bien au contraire. La gauche va au devant de désillusions pour certains et de la mutation déjà entamée, louvoyant avec ses origines et ses fondamentaux en fonction des intérêts opportunistes du moment : hier Bouteldja, aujourd'hui Médine, demain les frères musulmans et bien d'autres courants, dont le supremacisme noir en croissance chez ses inspirateurs d'outre atlantique. Le seul vrai gagnants est l'amérique du nord et, au travers de ses mutations, son soft power ultra dominant. Ah... Pour information, le Grand remplacement et le Choc des civilisations n'ont pas de réel rapport. Là l'amalgame est fort, d'autant que Huntington n'est pas un essayiste et plutôt libéral et progressiste que de la droite de la droite. Qui plus est, as-tu lu le Choc des civilisations ? Ne serait-ce que l'article de 93 ? En quoi la description géopolitique et culturelle qu'il y fait est-elle erronée ?
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Légende urbaine, absolument fausse. Par contre la logique de cassage des salaires écartent en revanche parfois des français, parfois même de seconde ou troisième génération d'emploi sous-payés qu'accepteront des migrants récents, voire des illégaux. De même des réseaux vont favoriser une discrimination à l'embauche de blancs dans certains métiers à très faible qualification, où la compétition pour les blancs devient de plus en plus rudes et les éloignant des centres urbains. Beaucoup de jeunes blancs sans diplômes ont, de plus, plus de difficultés à être pris en charge, à recevoir des aides, puisqu'on les considèrent comme privilégiés par leur couleur et subissent donc un écartement très courant dans les officines de poles emplois. Ils sont aussi beaucoup moins souvent en situation familiale de recevoir des aides. Ensuite il existe une mobilisation associative pour favoriser le recrutement de migrants et donc limiter en proportion le recrutement de personnes trop blanches, même si sans diplômes et en recherche d'emploi. Mais je me demande si une telle réalité ne doit pas tomber d'office dans une trappe idéologique, puisqu'il n'y a qu'une seule et unique forme de victime légitime...
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Mal connaître la délinquance... Oh... tu t'avances beaucoup plus que tu ne le crois ! Mais puisque tu as travaillé (réellement) le sujet, vas-y, explique-moi la délinquance... ! (pas en une ou deux lignes sur la pauvreté, ce qui serait en soi pauvre).
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Le christianisme étaot une religion basé sur l'amour du prochain et le pardon, du moins au début, et vaguement durant ses premiers siècles (quoiqu'il faudrait détailler car il y avait des mouvements violents aussi parfois). Mais ca n'a rien à voir avec le judaïsme ou l'Islam (judéo-christianisme, beaucoup plus juif que chrétien, et surtout avec des apports plus arabes, polythéistes, que le christianisme plus perse, dualiste mais disons monophysique (pas au sens du courant chrétien mais au sens zoroastrien).). Le judaisme et l'Islam sont des religions totalitaires par essence. Elle n'admette sous aucune possibilité le non juif ou le non musulman comme un égal.Le christianisme a parfois fait de même, mais c'était toujours contextuel, instrumental en fonction de la position de ses élites. Il y a la possibilité et même souvent la réalité pratique de l'humilité dans le christianisme, jamais nul part en Islam ou Israel (sauf devant dieu). Le christianisme est aussi panthéiste, car il était souple et utilisait l'existant. Ce n'est pas le cas de la discipline de fer et surtout DU fer dans l'Islam et Israel. Dans les deux cas la soumission doit être totale, radicale, sans partage, fusse à terme.
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Mais tes solutions concrètes ne repose que sur les riches... Tu trouves ça concret ? Crédible ?
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Je t'ai donné des exemples et explications. J'attends que tu fasses de même avec ton affirmation de "c'est pas moi c'est les autres" Car je ne vois pas à quoi tu fais référence. Quel contexte ? De quoi parles-tu ? C'est simplement le racisme nouveau, légitime parce que de gauche ? parce qu'inversé ? Imposerait-on un traducteur blanc pour un auteur blanc qu'on parlerait de racisme, et qu'on aurait raison. Cette nouvelle gauche, sectaire, raciste, avec des sympathies religieuses, parfois extrêmes, n'a plus grand chose de gauche. C'est un mouvement d'idéologues savants et des jeunes qui aiment, comme toujours les mouvements radicaux, agressif, rageux, colérique, ambitionnant de raser gratis, et surtout de couper des têtes. Et surtout l'ignorance de l'Histoire... Ou sa reconstruction idéologique.
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Ce type de réponse est risible : . D'une parce que les mêmes qui répondent semblent donc adopter la même indignation à géométrie variable qu'ils critiquent chez leurs détracteurs... . Et qui, de plus partent dans le décors en faisant du hors sujet pour le coups réllement démagogique et populiste sur l'inflation, dans la position confortable de n'être pas en responsabilité, et connaissant très bien la situation internationnale dont ils ont eux-mêmes parlé concernant l'Ukraine. Du risible donc, et surtout qui ne répond en rien à leurs contradictions massives, aussi agressifs sont-ils envers contre les racistes et les homophobes, sauf quand ils leur rapportent des voix chez les jeunes de banlieue... Une drague électorale putassière.
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Là, désolé mais tu veux rester dans l'angélisme et donc défendre l'islam sans en connaître les fondements, les courants, les motivations, l'Histoire... J'explique un peu au-dessus. Si tu ne veux pas savoir, soit. L'Islam n'a pas à être une communauté. Il n'y a qu'une communauté dans un pays laïc : la communauté nationale. Si tu veux te soumettre à l'identitarisme importé des usa, sous domination du soft power pseudo intelectuel américain, soit, mais tu en décourvriras un jour ou l'autre les conséquences. Et si tu veux raisonner comme ça, plus tu vas stigmatiser des hommes blancs comme d'extrême-droite, ou raciste "par nature", plus tu vas alors aussi les retrancher sur eux-mêmes ? La gauche n'a à soutenir personne lorsqu'il s'affirme par sa religion ou son ethnicité. C'est cela la laïcité. Et c'est cela l'Histoire de la gauche : la religion est l'opium du peuple ! Il faut amener les religions à leur extinction pour libérer les êtres humains.
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Il n'y a pas de débat à aimer ou pas. Il y a des sujets, à traiter, qu'on les aime ou pas. C'est toute la difficulté de la démocratie : vivre avec qui n'est pas soi. Et la démocratie n'est peut être pas le moins mauvais des modes de gouvernement. Cela aussi est un sujet, j'en conviens avec des gens de gauche comme de droite lorsqu'ils sont capables d'aller au-delà du dogme, de la doxa qui fait de la démocratie la perfection (nous ne vivons d'ailleurs pas en démocratie mais en république, ce qui est potentiellement pire). Mais là, je sens que je vais rire quant à l'interprétation de mes propos. La surinterprétation même qui va être intéressante La logique victimaire qui fait accroire à ce que pas une heure de vie n'est hors de la persécution lorsque des mots déplacés peuvent être utilisés, sous prétexte qu'il y a aussi des violences physiques concrètes et que les mots les soutiendrait relève de ce même cocconing dont je parlais. Une société, c'est des rapports de force, de pouvoir, de violence. On peut vouloir les minimiser mais faire la chasse au moindre mot, c'est un procédé, comme la surveillance par caméra, totalitaire. Vouloir une société lisse, sans aspérité, est illusoire. Si le ressenti prime, tout peut être occasion de criminalisation de l'autre, ou de domination par recadrage systématique sur des normes maîtrisés par les un-es plus que par les autres. Et si, lorsqu'il devient impossible à une blanche de traduire le livre d'une noire au motif qu'elle ne peut pas comprendre la pensée de l'autrice, il y a volonté de normalisation, qui va plus que trop loin, beaucoup plus !
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Ca peut effectivement dire bien trop de choses. C'est un mot valise. Qui est pour l'injustice ? Expliquer par des conditions sociales a ses limites. Ce que le gauche fait mine d'ignorer depuis qu'elle a découvert la sociologie (il y a longtemps certes), c'est qu'il y a aussi une anthropologie qui fait qu'être dominant, avoir envie de pouvoir, d'exploitation n'est pas l'apanage des riches ou des puissants. Les mafieux ne sont pas des pauvres qui n'ont que ça pour vivre. Ce sont des ambitieux pour qui la vie humaine compte peu, moins encore souvent que celles et ceux qui dominent par des voies légales, même optimisatrice juridiquement. Ils sont la violence humaine, toujours présente. Et tu ne pourrais éliminer cette violence que par une société de la domination totalitaire de l'état, c'est à dire un transfert total, radical de la violence à l'état. Plus que le monopole de la violence "légitime", il y a là l'idéal radicalement utopique d'un monopole pur de la violence par l'état. A moins d'user de procédés soit chimiques soit disciplinaires (Chine, Urss), cela n'arrivera pas. Cet idéal de cocooning de la gauche, souvent candide sur ces questions et très "chrétienne" dans son idéalisme (paix, amour, liberté et fleurs), est un simple déni du réel, basé sur trop de consommation naïve de produits culturels doux, ou de mise à distance de la nature, dangereuse et incomprise (revoir l'excellent Into The Wild), y compris celle de l'être humain (homme ET femme). La plupart des délinquants veulent essentiellement du fric facile, et en quantité. Croire que l'éducation ne fera que de doux agneaux est un chimère, maintes fois remisée par l'Histoire. Décris-moi PRECISEMMENT quels sont les amalgames (c'est un mot à la mode pour discréditer mais vide s'il n'y a pas de description). Et les chiffres ont un sens, la preuve tu en donnais toi-même plus haut sur les revenus et la richesse, les inégalités... Qui se contredit ? Dire que "c'est plus profond" ne signifie rien si on explique pas cette profondeur. Il faut être explicite, concret. Daina, au moins, évoque le réel.
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Ne te contente pas de me démentir, montre le moi si c'est une erreur et qu'elle est si simple à corriger. Bon, prend le temps de lire, car je dis que ce qui est une erreur c'est bien de les pointer du doigt. L'un des problèmes des gens de cette nouvelle gauche est justement leur intolérance à l'expression d'autrui, de qui ne pense pas comme elle, saintement (ou halalement plutôt en ce qui la concerne).
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C'est tout le principe de l'islam politique : s'en prendre à la laïcité en se victimisant. S'il n'y avait pas eu de laïcards, jamais la France ne serait devenue laïque. Fabriquer cela comme un extremisme, et pourquoi tant qu'on y est comme un terrorisme (vue le niveau de manipulation des mots) a pour but de délégitimer la laïcité, d'en faire un principe vide, purement théorique. Une vraie laïcité implique que le religieux n'a aucun droit de cité, donc est personnel et uniquement personnel : uniquement. Le religieux ne doit pas pouvoir influer sur des lois, quelles qu'elles soient, pas plus sur l'éducation, sur l'organisation de l'espace public, ou sur tout ce qui est du domaine du politique, de l'organisation de la 'polis' (ville), la 'cité' (civitas - ville, citoyenneté), et donc de la société formée autour d'un état de droit. Le monothéisme a plus que du mal avec ça car il est politique par essence et totalitaire (totalisant et sans partage). Dans la bible, les juifs prennent possession du pays promis par leur dieu avec l'extermination de la population les précédant. Le christianisme est moins exterminateur à ses débuts. Qui plus est, il théorise avec Augustin, une séparation des pouvoirs entre temporel (la cité des hommes) et spirituel (la cité de dieu), mais le cadre impérial (romain, de domination) de son réel développement va en faire un lieu commun des contradictions du catholicisme. L'Islam est une religion de guerre, fondée sur et pour la conquête, du pouvoir et de la domination sans partage (notion d'extermination ou de conversion des "infidèles"). Les populations musulmanes en situation minoritaire ne le supporte pas et n'ont et n'auront de cesse de se retrouver en position de domination et d'exclusivité religieuse, plus encore que les deux autres religions du livre qui ont, elles, appris (certes au forceps) à composer. On voit bien que même les oppositions internes (sunnites / shiites, notamment) en sont encore aux "guerres de religion". Et on ne les voit pas proches d'une fin de cette dynamique violente et totalitaire. L'entrisme islamiste en France comme en Angleterre ou ailleurs a cet objectif d'expansion, de domination, sans partage, à terme. C'est le sens des textes de toutes les mouvances islamiques actuelles (au-delà de leurs tensions internes de personnes, de lutte de pouvoir personnel), avec cette notion de Taqiya qui a pour but la manipulation sournoise et insidieuse et non la discrétion (au contraire on le voit avec l'utilisation des vêtements, de la maximisation du visible instrumentalisé). Et la victimisation est un support sans faille dans une société démocratique, éprise de pathos et d'égalitarisme mal compris (et là je devrais remonter aux éléments d'origines non juives du christianisme rencontrant l'ouverture des sociétés européennes antiques donc ce serait trop long ici).
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Datée pour une idéologie pas si neuve qui voudrait faire comme si les populations n'existaient pas. Lorsque des millions de personnes sont arrivées dans un pays sur quelques décennies, il ne peut pas ne pas y avoir de compétition accrue sur un marché de l'emploi en tension depuis ces mêmes décennies. De fait cela interroge aussi la qualité et l'utilité de ces emplois, et l'impact sur la négociation salariale. Comment distinguez-vous en cela entre populiste et populaire ?
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Alors pour ce qui est du wokisme. Il y a une volonté de normalisation par l'interdiction voire la criminalisation de termes (lopette, tapette par exemple), de forme d'interdiction de mal penser qui va trop loin au sens de beaucoup. Qui est vécu comme : il doit être plus confortable d'être homosexuel que d'avoir des propos qui dérapent (et pas seulement que d'être homophobe, si vous voyez la différence, importante pour beaucoup). Un homosexuel en revanche pour traiter un autre homo de fiotte, ce qui rend encore un peu plus la côté canceling désagréable, visant à inverser une persécution plus qu'à l'vacuer progressivement par l'éducation et l'évacuation des négligences (quand cela n'est que cela bien sûr). Et ce n'est qu'un exemple... Une société est une histoire, et son changement ne peut pas se réclamer d'un claquement de doigt avec stigmatisation agressive de ce qui semble de près ou de loin des agressions, sans distinction. Je pense qu'au contraire, cela active un ressenti qui radicalise de chaque côté. Comme disait Mitterrand, que je ne n'apprécie pourtant pas particulièrement, "il faut laisser du temps au temps". Une excellente scène du film d'Eastwood The Mule, le montre, vieil homme s'arrêter pour aider un couple afro-américain à changer une roue. Il dit à un moment une phrase avec niger (nègre à dedans) et je ne sais plus si c'est la femme ou l'homme qui explique que ca ne se dit pas, d'un air choqué, mais l'autre, donc la femme ou l'homme, fait signe que ca n'a pas d'importance. Il ou elle réalise là que ce terme, ici, n'est pas significatif. Le mot est une habitude, qui se perdra chez des plus jeunes, même s'il faut des décennies encore, bien plus facilement si on y fait pas "trop" attention (tout est dans le "trop"). L'important est le geste, d'entraide. Pour l'islamogauchisme... Et bien Médine est malheureusement un exemple de l'entrisme réussi de l'islam, y compris politique, anti-laïque (ou pour le dire avec réthorique une laïcité 'ouverte', 'compréhensive'). Un fait reconnu par de plus en plus de sympathisant lfistes prenant quelques distances, un peu gênés parfois. La tendance indigéniste a profondément orienté lfi et eelv, et y a fait entrer une vrai tendance politique de l'islam et de ses revendications (sur toutes pratiques vestimentaires identitaires, sur le halal, sur la normalité du séparatisme entre homme et femme dans certains lieux publics, etc.). Les contradictions sont d'ailleurs à peu près incompréhensibles vues de l'extérieur et de celles et ceux qui sortent de là, en commencant à s'inquiéter lorsqu'ils s'informent plus avant sur le parcours de la gauche depuis une vingtaine d'année. A cette heure ? Mais sinon aucun soucis
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Pas le moins du monde. J'écris comme je parle et comme je pense. Après il peut m'arriver de faire de l'ironie, mais c'est plutôt rare il me semble (ce qu'on me repprochera au contraire comme étant trop 'sérieux')
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Non, ce n'est pas si simple ! Un air louche est justement un indice, en particulier pour quelqu'un d'expérimenté. Par le simple fait par exemple que certains vêtements, parfois portés de certaine manière, sont symboliques, typés de comportements. Cela existe depuis la plus haute antiquité. Ce qui pose problème est plus le fait que cela laisse le champ libre à celui ou celle qui sait jouer des codes pour se rendre moins identifiable. Car sinon quels indices accepterais-tu ? Qui ne rendrait pas caduque tout contrôle, toute investigation. Oui, je le répète, cel peut arriver. Mais c'est très très loin d'être la règle, au contraire et heureusement.
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Ce sont peut-être des réalités mais de quelle fréquence, là encore et toujours !!! Je ne nie pas, moi, le fait qu'il puisse y avoir des policiers qui ont des comportements inappropriés, que certains (comme le reste de la société) soit racistes ou sexiste parfois, (et probablement autant vis à vis des noirs que des blancs ou des asiatiques selon l'origine du policier). Ce sont des hommes et des femmes : il y a des erreurs d'embauche (comme partout) et des changements peut-être aussi (comme partout encore)... mais tu trouveras des tas de video qui te montrent surtout des mecs de cité repérer et insulter les flics (et les pompiers tant qu'ils y sont). Pourquoi ces réalités majoritaires (quotidiennes) te sont-elles invisibles ? Je crois qu'alliance n'est pas le seul syndicat de police. Mais ils ont la tâche facile lorsque ce ne sont pas DES policiers qui sont critiqués mais LA police en tant qu'institution, donc TOUS et TOUTES les policier-es...
