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no-comment

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Tout ce qui a été posté par no-comment

  1. J'ai lu : deux condamnations il y a plus de 10 ans pour conduite en état d'ivresse, rien depuis, négatif aux tests sur cet accident.
  2. Le fait : il a ramassé le cordon de son smartphone, où avez-vous lu qu'il était coutumier de ce fait ?
  3. Par contraste ça vous ferait presque paraitre intelligent, c'est dire la réussite de cette entreprise.
  4. Le langage a cette particularité d'être fleurissant et c'est même une qualité dans le paysage pratiqué par les adultes, entre eux, dans une dimension où ils connaissent toute l'ambivalence de ce langage, c'est ludique. Les enfants sont dans un long apprentissage du langage et de ses subtilités, cela se fait pas étape et palier et va de paire avec leur structuration mentale. Pour vous je ne déduis rien, de façon général il sera plus judicieux d'employer le bon terme au moment de la construction sexuée des jeunes enfants qui nagent en plein phénomène imaginaire, en rajouter une couche par des phénomènes langagiers connotés peut inscrire des fausses routes, ce que je disais un peu plus haut à propos de l'emploi du mot sifflet.
  5. Zizi, sifflet, robinet, les expressions ne manquent pas et elles sont toujours connotées, pareil pour les filles, alors qu'il suffit de dire pénis et vulve.
  6. Oui les mots ne pouvant plus désigner le réel le tour a été bien joué, je vois qu'on a ici un deuxième adepte.
  7. Il est vrai que si les gens parlaient un peu moins du réel il existerait un peu moins et on serait moins emmerdé. Merci Ô lumière d'être toujours aussi éclairante.
  8. Vous pouvez le répéter encore une fois? Là je sens qu'une thèse est restée en attente sournoise.
  9. Il y a vraiment une confusion dans la trame de ce débat à propos de la relation à la jouissance qui est toujours, toujours, une relation d'objet et cela fait partie intégrante des relations sexuelles inter-humaines. Il y a pourtant un bémol, choisir un objet de jouissance , dans ces relations, se fait avec l'assentiment d'un autre, soit il s'agit simplement d'un prêté pour un rendu, soit cet aspect s'intègre à une relation plus vaste faite de sentiments pour créer une relation dynamique dont la substance n'est pas constituée uniquement de jouissance, dit plus clairement, dans ce cas, l'autre devient une ouverture et non une réduction à un état d'objet. Donc choisir un objet de jouissance n'a rien de péjoratif, dans la mesure où les intéressés sont en accord. Par contre désigner un objet de jouissance de façon univoque pose tous les problèmes que quelques participants tentent de contourner. Dans les profils pédophiles et ou zoophiles on retrouve les mêmes stratégies à l'oeuvre, l'enfant serait au diapason du désir de l'adulte, l'animal aurait donné tous les signes d'assentiments sexuels adéquats, cela passe par les mécanismes que je citais et ce de façon méthodique et systématique, cela passe aussi par des stratégies de séduction vers l'enfant, de conditionnement et d'élevage pour l'animal. Ces personnes se racontent des histoires à dormir debout, le plus souvent elles y croient, la finalité reste pourtant au ras de ce qu'elle est : un objet désigné pour sa jouissance de façon univoque.
  10. Ici il ne s'agit plus d'un débat mais d'une séance d'escroquerie intellectuelle dont la technique semble bien rodée pour l'intervenant en question : intervention quasi non stop, dilution et détournement du sens des citations par sectionnement, reprises en boucle de réponses jusqu'à perte du sens en totalité, usure des autres participants. Il ne s'agissait pas de comparer un enfant et un animal, mais l'état d'esprit d'un pédophile et d'un zoophile qui sont parfois la même personne et la façon dont ceux-ci justifient leur sexualité à l'égard d'un animal ou d'un enfant, les mêmes arguments sont utilisés, eux ne pensent pas commettre un crime, bien au contraire, ce sont les mêmes mécanismes qui sont à l'oeuvre, interprétation erronée, déni, perte du sens de l'altérité, dimension affective détournée en sont des exemples types.
  11. Ce type se fout ouvertement de la gueule d'à peu près tous les intervenants, est-il intéressant de lui répondre encore ?
  12. Il va falloir baisser les doses de LSD des participants à ce sujet.
  13. Avant le tout pornographique sur internet et pour accéder à une publication porno, vidéo ou livre, il fallait en passer par un lieu de vente dédié ou un commerçant adulte avait obligation de vérifier l'âge de l'éventuel jeune acquéreur, le vendeur était pénalement responsable. On est passé de ce monde de responsabilité à celui que l'on connait aujourd'hui, avec aucun référent en responsabilité, sauf à s'en remettre à l'alibi lu ci-dessus "vous n'avez qu'à surveiller vos enfants" : quid de la surveillance de l'ado de 15 ans 24h sur 24h ? Cela revient à ne plus compter du tout sur la responsabilité des autres adultes, chacun sa merde. En résumé nous sommes dans un monde d'adultes merdeux, incapables de revenir aux termes de la responsabilité qui engage les uns et les autres, ça ce n'est plus une société mais une somme d'individus dont seul ses propres intérêts comptent.
  14. De la même manière que ces mineurs reproduisent des comportements vus en vidéo inter-humaine pornographique, vidéo basée sur des ébats de soumissions assez violents la plupart du temps. A l'âge de la découverte, des maladresses, des ajustements amoureux, de l'ouverture à l'autre est advenu le temps de la reproduction stéréotypée, de la jouissance pure et dure, une forme de logique assez cohérente avec la façon dont fonctionne nos sociétés.
  15. Il est prévisible que vous seriez alors en guerre avec vos ados, autres façons crisiques à gérer d'autant plus que l'interdit attise la transgression à cet âge. Il y aura sans doute des dégâts dans la sexualité des adultes ayant été formatés au mode porno dans l'adolescence.
  16. Quoi de nouveaux à l'est ? Et de quelle façon les parents pourraient courir après leurs ados et leurs smartphones toute la journée ?
  17. Parce que techniquement c'est mission quasi impossible.
  18. Et les actes sont désignés par des mots, tout comme l'est l'ensemble du réel. La sphère langagière autour de l'enfant façonne son mental et sa personnalité.
  19. La loi n'interdit pas à deux adultes consentant de se mettre des beignes pour se faire jouir, à moins que j'ai raté un épisode ? Par contre devient beaucoup plus douteux des vidéos venues de pays improbables en matière de législation ou des jeunes femmes sont soumises à des tortures dans une connotation sexuelle : sont-elles consentantes ? De même pour la pornographie zoophile : les acteurs humains et animaux sont-ils consentants ? Quand ces vidéos tournées dans la pampa arrivent d'outre-monde on peut se poser la question. Ici je ne remets en cause la pornographie en tant que telle mais le contexte de consentement.
  20. Je passe sur vos autres arguments, je n'apprendrais rien à personne que vous tournez en rond depuis des pages, les mêmes arguments se sont posés concernant les raisonnements à visée pédophile, cela ne concerne pas une comparaison entre la psyché d'un enfant et celle d'un animal, mais l'interprétation que font les pédophiles de la sexualité infantile de la même façon que le font les zoophiles de la sexualité animale (minette enfermée à la maison ayant ses chaleurs et venant se frotter entre mes jambes ne me demande pas un cunnilingus mais que je lui ouvre la porte pour aller voir les matous du quartier, un "voisin" zoophile jugera qu'il doit la passer à la casserole). Pour ce post que je cite, oui du coup on peut s'interroger sur la mise à mort de l'animal à des fins de nourritures, vous avez à plusieurs fois parlé de vegans, parce que oui il est d'actualité que la vision spéciste du monde est remise en cause par ce mouvement, eux ils ont tranché : l'animal est une personne (juridique), les spécistes en sont outrés, mais les consciences commencent à bouger, d'ailleurs les limites avaient commencé à être remise en cause avant ce mouvement, infliger une souffrance à un animal est pénalisable, même la finalité pour une nourriture carnée est à présent un sujet très vif de tension sur la mise à mort, elle doit infliger à présent le moins de souffrance possible, premier niveau de conscience atteint, le deuxième concerne les conditions de vie en élevage (on prend chez le fermier du coin, ça donne bonne conscience) les suivants mènent au végétarisme, véganisme puis anti-spécisme et ce par palier. Cette avancée nous mène à considérer une vision tutélaire des êtres vivants doués de sensibilité et ne pouvant exprimer leur consentement de façon explicite ou dont le comportement (sexuel dans ce cas) est sujet à interprétation, cette tutelle ne peut relever que de la loi pour fixer le cadre dans lequel elle doit s'exercer, le sujet de la pénalisation est là et nulle part ailleurs. Nous sommes des êtres sociaux et pour que nous puissions vivre en société la pulsion individuelle ne doit pas supplanter le cadre moral (ce que développe longuement un participant) qui limite nos poussées pulsionnelles. Avec cette dernière remarque j'apprends quoi à qui ici, rien je crois ? Tout le cadre éducatif du développement de l'enfant tend vers ce but, enfant qui plus tard viendra peut-être dans un tel forum pour rabattre son raisonnement vers la justification de ses pulsions primaires ou des possibilités qui lui ont été données de s'élever au-dessus.
  21. Ce n'est pas un scoop, l'explosion de la pornographie est un fait depuis internet, pédophilie ou autre, les déviances majeures sont mises en images pour "spectacle passif", la zoophilie n'y échappe pas. Il s'agit majoritairement d'une pornographie de contrainte pour les êtres humains et les animaux qui sont mis en scène, beaucoup de ces vidéos proviennent d'Amérique du sud où le cheptel prostituées est soumis à de dures conditions et si l'étalon ou médor bande c'est qu'il a été conditionné pour que la scène puisse se dérouler. On est pas vraiment dans un club d'amis des animaux et des êtres humains. Là il y a matière à pénaliser pour un autre motif que simplement éloigner les enfants des ces montages.
  22. Dis autrement alors : qu'est-ce qui est acceptable pour vous dans la zoophilie, la branlette de médor ? le zoosadisme ? la pénétration du chip munk? Autrement dit encore : à partir de quel acte considérez-vous que l'on doit pénaliser ou pas ? Le préalable, bien sûr, sera de valider l'idée qu'un humain peut décider d'avoir une sexualité avec des animaux, je demande donc, dans ce préalable, que les animaux montent à la barre des arguments pour nous dire si eux aussi souhaitent avoir une sexualité avec les humains qui souhaitent les avoir comme partenaire.
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