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Zemmour, mineurs isolés étrangers, "il faut tous les renvoyer"
no-comment a répondu à un(e) sujet de Garlaban dans France
Le problème ne se pose pas ainsi, certains cas visiblement limites posent interrogations, ce qui limite la demande de tests. -
Zemmour, mineurs isolés étrangers, "il faut tous les renvoyer"
no-comment a répondu à un(e) sujet de Garlaban dans France
Zemmour, hors attentat en particulier, ne cesse d'étaler sa haine des étrangers sur des chaines de grandes écoutes. Là, en particulier et à partir du dernier attentat, il désigne tous les mineurs étrangers en France comme étant des assassins et de violeurs. Donc : à quand les premières ratonnades ? Au moment où les fans qui l'écoutent se décideront parce que catalysés par ses paroles ? -
Zemmour, mineurs isolés étrangers, "il faut tous les renvoyer"
no-comment a répondu à un(e) sujet de Garlaban dans France
Il est certain que Zemmour starter à ratonnades à encore du boulot mais apparemment il compte aller jusqu'au bout. -
Zemmour, mineurs isolés étrangers, "il faut tous les renvoyer"
no-comment a répondu à un(e) sujet de Garlaban dans France
Zemmour devrait avoir médiatiquement la même place que Soral (dans un autre registre) : un canapé, une caméra personnelle et un canal de diffusion aussi personnel avec lequel ses fans pourraient se masturber à l'infini en l'écoutant. Quand CNEWS perdra plus de fric et d'audience qu'il n'en gagne pour le moment avec cette sous merde, on retrouvera Zemmour au Panthéon des pauvres types ayant connu des opportunités. -
Zemmour, mineurs isolés étrangers, "il faut tous les renvoyer"
no-comment a répondu à un(e) sujet de Garlaban dans France
Est-ce que Zemmour nous a fait part d'une fournisseur de machettes pour lequel il aurait une préférence quand il aura, avec l'aide des chaines tv qui le produisent, fini de potentialiser un passage à l'acte généralisé ? -
Polémiste médiatisé sur des chaines de télé de grande écoute, produisant une parole de plus en plus violente en désignant globalement des groupes de personnes, tout cela pour obtenir une méga audience nourrissant le fond le plus crasseux du populisme, incitant à une haine soutenue, quotidienne. On aurait du l'embaucher dans une radio à une certaine époque au Rwanda, il n'aurait eu ni à tenir une feuille de boucher, ni une machette, juste à parler dans le mégaphone catalyseur et attendre le résultat.
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Il n'a jamais été dit que ces articles de loi validaient qu'une quelconque communauté pouvait être désignée et identifiée par le terme de race mais qu'une personne incitait à la haine en catégorisant racialement, à travers leurs différences, d'autres personnes. Migrants = dans leur globalité ("cette population")= radicalisation raciste = assassins, voleurs et compagnie= désignation péjorative totalisante incitant à la haine. La plainte est recevable.
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La vie courante qui se déroule en privée relève de la sphère privée, dans le cas inverse elle se déroule dans la sphère publique : retour au point de départ de la discussion avec les termes qui sont régis par la loi. Essayez de penser vos postulats quand vous les posez...
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J'ai bien compris pour les valeurs : qui assure et par quels moyens est-on assurés que dans la sphère privée ces valeurs sont bien pratiquées ? Qui décide du niveau de morale et de décence ?
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Donc je répète ma question : quel est le régime politique qui contrôle la sphère privée ?
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Donc, il semble que vous avez compris pour la sphère publique, maintenant vous attaquez la sphère privée, comme le nom l'indique pour le moment elle est privée, quand elle ne le sera plus avez-vous réfléchi à quel type de régime politique cela correspond ? Quant aux valeurs qui décide de quelle morale et niveau de décence la population doit pratiquer ?
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Alors vous avez mal suivi mon raisonnement. Je partais de votre postulat comme exemple emblématique extrême, les handicapés, où vous prétendiez que rien (et la loi) ne pouvait les protéger, ce qui n'est pas le cas. Les handicapés ne sont pas "une espèce protégée" mais on considère que leur handicap est aussi constitutif de l'identité de leur personne et qu'il peut donc y avoir atteinte à leur intégrité dans ce cas. Vous avez donc fourni un deuxième exemple ou le moqueur biaise par une moquerie indirecte, même topo. La Shoah n'est pas une personne mais désigne un évènement historique, "rien à foutre de la Shoah" signifie "ce n'est pas ma préoccupation", personne n'oblige quiconque à ce que cela le soit et à le dire. Par contre si le biais exprime explicitement des propos antisémites avec incitation à la haine cela tombe sous le coup de la loi. Si je comprends bien vos raisonnements vous souhaiteriez que par le biais des valeurs l'humanité soit lavée de toute méchanceté, psychopathie et autres travers, une sorte de communauté nationale éduquée de telle façon que chaque individu soit dans la capacité d'agir et de dire seulement au nom des valeurs collectives, les bonnes valeurs bien entendues. Pas mal comme projet, il ne reste plus qu'à définir les bonnes valeurs : vous nous les exposez ? On s'intéressera à comment faire les rentrer dans le crâne de tout un chacun ensuite.
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Tout dépend dans quel contexte et intention ces paroles vont être prononcées, si par exemple vous êtes en connivence d'humour avec cet handicapé, dans le cas inverse l'article s'applique bien, il y a atteinte à l'intégrité de la personne. Votre exemple de départ et nul et non avenu, essayez avec un autre, la mauvaise foi est de bon ton sur ces forums, vous allez dépasser les champions en place.
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Tous les cas de figures dont vous nous avez fait part pour votre monstration tombent sous le coup de cet article, il n'y a pas de liberté d'expression particulière à discriminer un handicapé, se moquer d'elle est "une atteinte volontaire à l'intégrité de la personne", si vous avez du mal à comprendre je ne peux rien pour vous. « provocation, non suivies d'effets, à la commission d'infractions d'atteintes volontaires à la vie, d'atteintes volontaires à l'intégrité de la personne et d'agressions sexuelles », tel que défini par le livre II du Code pénal. En vertu de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881, ce type de provocation peut être puni par une peine maximale de 5 ans de prison et 45 000 euros d'amende.
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Vous faites le bourricot, bien noté.
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Ce qui est faux : Une malveillance qui tourne au procès pour deux internautes qui ont posté des propos diffamatoires sur la page Facebook d'un jeune garçon handicapé. Ils viennent d'être condamnés par le Tribunal de Paris. 19 mars 2013 • Par Handicap.fr / E. Dal'Secco poursuivis pour « provocation, non suivies d'effets, à la commission d'infractions d'atteintes volontaires à la vie, d'atteintes volontaires à l'intégrité de la personne et d'agressions sexuelles », tel que défini par le livre II du Code pénal. En vertu de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881, ce type de provocation peut être puni par une peine maximale de 5 ans de prison et 45 000 euros d'amende. https://informations.handicap.fr/a-condamnation-insultes-handicap-facebook-5871.php
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La qualité de la principale valeur sur ce terme est d'accepter que ce qui inapproprié pour l'un, ne l'est pas pour l'autre et inversement, c'est par exemple le sens de la laïcité, la loi mettant un cadre à cette cohabitation subjective. Justement, dans l'éducation le sens de la loi est posé de façon restrictive par des limites et des interdits ce qui permet de "borner" le respect des valeurs. https://www.arte.tv/fr/videos/096187-000-A/l-ecole-est-finie/
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La liberté d'expression art.10, valeur parmi d'autres dans la déclaration, est aussi cadrée par la loi. Pour le moment vous n'avez aucunement dit ce que sont les valeurs dont vous parlez et de quelle façon elles pourraient être mis en application : sans le cadre de la loi, tout le monde peut s'y asseoir dessus, comme vous dites.
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Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous. En conséquence, l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l'Etre suprême, les droits suivants de l'Homme et du Citoyen. Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance. Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée. Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi. Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée. Art. 13. Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés. Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée. Art. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration. Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
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ça c'est ce qu'on peut appeler une overdose confusionnelle. Ils sont en forme ce matin. Charles Martel s'était posé les mêmes questions, les grands esprits se rencontrent.
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Je crains trop qu'une fatwa soit lancée contre no-comment depuis ces débats, je pourrais me faire trancher mes posts en plusieurs morceaux.
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Je parlais de votre courage forumique, le nombre de courageux sur ces débats est impressionnant, ça m'intimide.
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Staline fut assez efficace contre les chieurs, l'avantage avec les Chinois c'est qu'ils éliminent pas rapidement, ils les recyclent, se sont des économistes pragmatiques, une sorte de stalinisme néo-libéral.
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Toute la semaine, H24, sur un forum : petit branleur.
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Malheureusement l'AK47 n'avait été encore inventée, heureusement, cela aurait pu faire des émules.