no-comment

Ok, vous êtes pour la pratique libre de la zoophilie et sa non pénalisation ? Si oui, pourquoi? si non, pourquoi ?

Attendez qu'il analyse la phrase en question, cela devrait faire l'objet de grand nombre de multi-citations afin d'y voir plus clair sur une dizaine de pages.

Combien de débats tournent en rond sur ces espaces ? Ici le sujet étant sensible c'est d'autant plus remarquable, mais dans la forme rien de très nouveau.

Vous n'êtes pas foncièrement responsables des désoeuvrés qui trainent leurs guêtres ici.

Quand ils finissent par passer la quasi totalité de leur temps à répondre sur un forum il faut bien s'alimenter de matériel ce qui suppose le coupage de cheveux en 4,8 et plus, ce qui finit bien sûr par n'avoir plus que le sens d'étirer le contenu à l'infini, passant d'avocat du diable à bourrinage pur et dur.

Chanou ne parle pas d'une pénalisation mais d'une punition aléatoire (une possible maladie) donc "nous" c'est sans doute Chanou et vous-même, je ne suis pas concerné par cet échange. Une pénalisation découle d'une loi et nul n'est censé ignorer la loi, celles et ceux qui l'enfreignent sont avertis et agissent ou pas en conséquence. De plus la pénalisation revêt au moins deux aspects, subir une peine en réparation du préjudice commis et prévenir par la dissuasion, la peine effectuée porte aussi une charge dissuasive pour l'après peine. Tout cela se déroule dans un circuit juridique cadré où l'accusé a la possibilité de s'expliquer et de se défendre, là où sa victime n'a rien eu à dire : retour au monde des humains qui passe par la possibilité du langage, de l'échange non univoque et de l'altérité.

Vous répondez n'importe quoi à ce que je n'ai pas dit, vous êtes barjot.

Vous êtes en roue libre, de citation en citation vous perdez toute raison, libre à vous.

Le problème n'est pas de demander un châtiment mais une protection aux personnes et ou aux êtres doués de sensibilité ( ici les animaux) en situation "d'infériorité", ce qui passe forcément par une pénalisation ce que d'autres verront seulement comme un châtiment.

Pour les plus sceptiques il reste les larges et longues queues de paon, mais ça reste entre humains.

Faire l'amour avec un tigresse.

Vu ce que j'ai pu lire de DeDe : deux poules, trois clébards, Madame et il a pris ses vacances à la ferme pour un club de libertinage.

Le site serait fermé depuis belle lurette.

Là il est question des protecteurs des animaux qui souhaitent porter plainte. Vu qu'un mètre de neige est encore tombé depuis ce matin, je vois en résumé qu'il y a confusion totale entre la sexualité animale qui est de qualité quasi instinctuelle à des fins de reproduction et la sexualité humaine qui engage le désir et le langage bien au-delà des fins de reproduction. L'idée du consentement passe par le langage ( consentir : avec le consentement de l'autre, ce qui lie le rapport à une dimension altère), avant que d'être celui des corps, il y a un non ou un oui, d'autant plus que faire l'amour se rattache bien souvent à une histoire de sentiment ou tout au moins de relation minimale. Donc choper un animal au moment de ses chaleurs et déduire que si elle tend la croupe ou s'il bande "c'est parce qu'il a envie de forniquer avec moi" c'est tout simplement jouer au crétin intégral, ce qu'il s'agit de satisfaire là c'est sa propre pulsion qui n'a plus d'horizon dans l'altérité. Que d'autres crétins discutant ici se demandent pourtant si le dit animal ne serait pas consentant par hasard, est-ce étonnant ? Pas vraiment.

J'espère que c'est en coulis parce qu'une tomate entière sortant de la bite, bonjour!

Quand tu repasses lire le lendemain et qu'un mètre de neige est tombé dans la nuit.

Pour redonner un peu de désir au galop dans ce sujet.

Ce débat est trop technique pour moi.

Méta, non, méga, oui.

Ce n'est pas répréhensible, c'est une métaphore.

Là c'est copié collé ( voyez comme je suis de bonne humeur ce matin) : Dans cette voie routière où je passe régulièrement, une chicane a été placée pour cause de sécurité ponctuelle, cela oblige les automobilistes à une circulation alternée d'intelligence réciproque puisque aucun système de feu tricolore n'a été installé. J'arrive devant la chicane, je regarde de l'autre côté, première voiture en face à 50 m environ, je m'engage donc, mais voilà c'était sans compter sur les capacités d'accélération de la voiture en question, il s'agit d'une Porsche décapotable, le conducteur me voyant m'engager ne le supporte pas, si bien qu'il arrive à l'entrée de la chicane de l'autre côté pendant que je suis au milieu, malheur, il est impossible que les deux véhicules passent en même temps, mais il donne une vive secousse, j'entends les chevaux rugir, nous sommes à présent coincé au milieu, je peux voir le conducteur et sa passagère à quelques centimètres de mon visage, sa femelle pousse un grand cri de hyène avec un fort accent du sud où je comprends par bribes quelques insultes mal articulées, le mâle ne me regarde pas, moi oui, il est bardé de gourmette et autres décorations en or, le moteur vrombit à l'arrêt, j'entends sa voix aussi teintée d'accent " Avance ! Avance ! où je te tue !", j'essaie de capter le regard de mon potentiel tueur histoire de voir ma mort en face, mais non il ne détourne pas le regard. Perplexe je réussi à avancer de quelques centimètres, la folle équipée peut d'un coup d'accélérateur s'échapper, joli son de moteur ( V6 la Porsche ?) et deuxième grand cri de hyène s'étirant dans l'air jusqu'à disparaitre dans le lointain. Voilà comment on passe en quelques secondes d'état de civilisation supposée avancée à l'état animal pur et dur, mais peut-être que cette civilisation est une simple illusion. Pour illustrer votre propos.

Dans cette voie routière où je passe régulièrement, une chicane a été placée pour cause de sécurité ponctuelle, cela oblige les automobilistes à une circulation alternée d'intelligence réciproque puisque aucun système de feu tricolore n'a été installé. J'arrive devant la chicane, je regarde de l'autre côté, première voiture en face à 50 m environ, je m'engage donc, mais voilà c'était sans compter sur les capacités d'accélération de la voiture en question, il s'agit d'une Porsche décapotable, le conducteur me voyant m'engager ne le supporte pas, si bien qu'il arrive à l'entrée de la chicane de l'autre côté pendant que je suis au milieu, malheur, il est impossible que les deux véhicules passent en même temps, mais il donne une vive secousse, j'entends les chevaux rugir, nous sommes à présent coincé au milieu, je peux voir le conducteur et sa passagère à quelques centimètres de mon visage, sa femelle pousse un grand cri de hyène avec un fort accent du sud où je comprends par bribes quelques insultes mal articulées, le mâle ne me regarde pas, moi oui, il est bardé de gourmette et autres décorations en or, le moteur vrombit à l'arrêt, j'entends sa voix aussi teintée d'accent " Avance ! Avance ! où je te tue !", j'essaie de capter le regard de mon potentiel tueur histoire de voir ma mort en face, mais non il ne détourne pas le regard. Perplexe je réussi à avancer de quelques centimètres, la folle équipée peut d'un coup d'accélérateur s'échapper, joli son de moteur ( V6 la Porsche ?) et deuxième grand cri de hyène s'étirant dans l'air jusqu'à disparaitre dans le lointain. Voilà comment on passe en quelques secondes d'état de civilisation supposée avancée à l'état animal pur et dur, mais peut-être que cette civilisation est une simple illusion. Pour illustrer votre propos.

De cause à effet, plusieurs générations ont utilisé le mot "sifflet" pour désigner le sexe du petit garçon, souvent de façon amusée par les grands mères et les mères, "siffler" une femme dans la rue oui c'est largement connoté. Et merci pour votre post au passage, voilà un vrai effort de pensée et d'analyse.

Econome, DSK était moins regardant à la dépense X escort la nuit, ce sont les petits déjeuners à l'oeil qui l'ont perdu. Notre Darmanin de l'intérieur se contentait de l'occasion au frais du service public.

La prostitution peut être aussi le fait d'un homme qui propose une relation sexuelle contre avantage matériel, situation qui peut prendre des tournures très ambigües quand la personne à qui la proposition est faite a peu de choix. Bien sûr nous pouvons tous nous abriter derrière des paramètres très cadrés sur ce qu'est la prostitution de base telle que vous la décrivez, j'y mets un bémol, bon nombre de prostituées de métier considèrent avoir été violées (rupture du contractuel décidé, abus du client pendant l'acte). Je me souviens de ce maire de petit village, soixantenaire qui dans le huis-clos de son bureau proposait logement contre quelques échanges sexuels, huis-clos, parole contre parole, jamais pris, ou cette amie qui prise à la gorge pour le paiement de son loyer accepta de s'allonger pour terminer la dette sur proposition de son logeur Nous en sommes là, à discutailler le bien fondé d'une nomination au ministère de l'intérieur, petit coq arriviste arrogant et sûr de lui, il m'apparait certain que seule la femme réduite à son état de femelle en sera pour ses frais.