Solatges

Non. Parceque vous ne regardez pas les données de pharmacovigilance. Ne prenez pas d'attitude idéologique, s'il vous plaît. C'est une erreur.

Ne le prenez pas mal, mais je crois que vous vous laissez abuser par la propagande publicitaire incroyable qui nous entoure. Si on prend comme vrai tout ce que disent le gvt et les media, vous avez raison. Pesonnellement, je suis persuadé que la science repose sur des discussions et des preuves contre preuves. Nous n'y sommes pas et tout ce qui est dans le moule est impitoyablement éliminé et diabolisé comme étant "complotiste". On se croirait du temps de Galilée. Si on retourne aux données, on ne trouve aucune cohérence dans les slogans. Un traitement qui donne des effets secondaires, on l'arrète. Un vaccin ne s'arrète pas.

Diminue, oui. Pour le reste, personne ne peut le dire. Surtout pas pour les variants. Le CDC recommande le port du masque aux vaccinés pour éviter qu'ils ne contaminent les autres... Je ne comprends toujours pas pourquoi accepter sans réserve des vaccins qui n'ont sérieusement jamais fait la preuve ni de leur efficacité, ni de leur innocuité et qui visent la totalité de la population alors que nous disposons de médicaments qui ont fait leurs preuves sur les deux critères et qui n'exposent à des effets secondaires quasiment nuls la seule proportion de malades. Que les actionnaires de Pfizer soient convaincus de l'intérêt, c'est normal, mais pas le peuple français, par exemple.

Parfaitement. Tout d'abord, la vaccination n'empèche pas la maladie ni le besoin de réa. Dans ces conditions, les milliards que coûtent les vaccins seraient mieux investis dans le personnel des salles de rénimations que dans les poches de Pfizer. En effet, tous les ans depuis 15 ans au moins, les lits de réanimation sont saturés, par la grippe ou autre chose, en général en début d'hiver. Toute l'année, les réanimations sont pleines et on trie les malades pour estimer ceux qui en bénéficieront le plus probablement. Rétablir un peu plus de moyens servira toujours. Le vaccin, si il sert, ne servira qu'une fois. La mise à mort de l'économie réelle a été faite officiellement pour éviter cette saturation, sachant que les Allemands n'ont pas souffert au même niveau et qu'ils disposent de 5 fois plus de lits que la France. Le covid est très loin de représenter la première cause de mort et de maladie. Il est à craindre que le tissu sanitaire ne se relève jamais du covid.

Ben, comment dire, qui en parle ? Prouver que quelque chose n'existe pas est très difficile, sauf si elle existe : on peut prouver l'inverse. On a craint en début d'année qu'une petite augmentation des Kawasaki soit dûe au virus, mais cette idée a été abandonnée. Pour autant, on en a parlé. Je n'ai vu nulle part un seul cas de myocardite chez l'ado consécutive à la maladie.

tout est dit.

J'ai dit, et je répète, que personne n'a de certitude sur la nécessité (ni même l'intérêt) de généraliser la vaccination et tu tombes d'accord avec moi. Cependant, le rapport risque/bénéfice ne peut être évalué qu'au plan individuel. A ce niveau, les risques de faire une forme sévère pour les mois de 65 ans sont très faibles, et les effets secondaires des vaccins plus fréquents. Il n'est pas possible de généraliser cet intérêt de façon égale entre un octogénaire malade et un adolescent en parfaite santé. Tu parles de l'explosion de "cas" des pyrénées orientales qui touchent les jeunes. Rien ne permet d'imaginer que ce virus qui ne tue en quasi-totalité des gens de 80 ans et plus ne rende malade les jeunes gens testés positifs. Il n'y a pas de myocardites chez les jeunes "cas" ni de problèmes de thromboses. Vacciner les jeunes constitue bien un sacrifice, sans garantie de gain pour personne, et on leur en a déjà énormément demandé, et on en exige encore... On a déjà entendu parler à plusieur reprises de rajeunissement des victimes, mais les chiffres de morts ne bougent pas, et c'est le seul moyen d'évaluer la gravité. En effet, un nombre inconnus de lits de structures très différents sont groupés dans les rapports sous le terme de soins critiques, traduit dans les media "réa". Les lits de réanimation (5000 en France au début de la crise, non augmentés depuis) sont très normés et fixes. Il s'agit de 2 infirmières par lit, par exemple et d'un environnement technique très complexe. Les lits de surveillance continue n'ont pas du tout cette définition et peuvent avoir une infirmière pour 10 lits, et pas même de scanner à portée. Quand les lits ne sont pas occupés, on peut envisager d'être très prudents et d'y hospitaliser des gens qui ne sont pas aussi inquiétants que ceux qu'on y survaillait pendant l'affluence. Rappellons nous que ce qui avait le plus terrorisé les médecins au début, c'est qu'on pensait que le virus était très nouveau, et donc la population naïve devant lui. C'est certainement un facteur important (les enfants ont montré que ce n'était pas tout à fait vrai) mais on ne peut plus en dire autant actuellement : Une grande proportion de la population a été en contat avec le covid. Ce fait, la vaccination d'une part importante des fragiles et ce qu'on a appris depuis sur la maladie fait que le renouvellement d'un scénario à la novembre 2020 ou mars 2021 est devenu très peu probable, sinon invraisemblable. Le delta semble, d'après ce qu'on voit des brittaniques et même en France, provoquer peu de maladie grave, contrairement au variant qui a circulé en début de cette année.

Bravo pour la recherche. Pendant cette période, les hospitalisations sont au plus bas et concernent des gens qui ont été probablement infectés un mois avant. Le pic des vaccinations (covidtracker) se situe au 16 mai et la vaccination n'était pas effective en fait quand les gens se sont contaminés. La photographie est donc déjà un peu ancienne. Le variant delta est en passe de venir majoritaire, réduisant l'efficacité de la vaccination, comme le dit le CDC https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/fully-vaccinated-guidance.html "Jeudi 22 juillet, le ministère de la santé israélien a cependant dévoilé des données suggérant que le vaccin de Pfizer et BioNtech ne protégerait plus qu’à 39 % contre l’infection, tout en restant très efficace pour prévenir les hospitalisations. La nouvelle a fait depuis couler beaucoup d’encre, mais de nombreux scientifiques estiment qu’il est encore un peu tôt pour en tirer des conclusions." https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/30/covid-19-de-nouvelles-donnees-suggerent-que-les-personnes-vaccinees-peuvent-transmettre-le-virus_6090012_3244.html Tout celà nuance un peu les conclusions du rapport. Ce qu'on ignore, c'est à quel point les tests sont pratiqués sur les vaccinés. Si on ne teste que les non-vaccinés, on n'a que des non-vaccinés covid+ et ça peut aussi affecter les hospitalisés et les morts, puisque la responsabilité unique ou prépondérante du covid dans la survenue des décés ou des hospitalisations n'est pas même recherchée par les indicateurs. Leur ministre dit que les patients vaccinés morts du covid ont bénéficié de la campagne de vaccination : Grâce à elle, ils seraient morts d'une forme plus légère !!

L'oxyurose est une maladie grave, alors. La tuberculose, le cancer et les maladies cardiovasculaires sont insignifiantes, puisque elles menancent beaucoup de monde. Vous devez avoir raison, puisque la liberté, c'est l'esclavage et la paix c'est la guerre. Merci Orwell.

La meilleure de l'année.

On croirait que vous y êtes. C'est l'imagination créatrice.

Mais ils ne l'ont pas compris.

avec une grande incertitude que lève le pass. On peut retrouver un terroriste avec le smartphone, mais pas la totalité de la population. un bout de chocolat n'est pas toute l'usine.

Ce n'est pas parceque vous ne comprenez pas que ces arguments sont mauvais.

vouàààlà.

Vous serez pistée avec le papier de la même façon. Le pisage du pass n'a rien à voir avec le niveau de celui du smartphone, car tout n'est pas égal à tout. Avec ce dispositif (le pass), si quelqu'un veut vous écarter, il trouvera que vous étiez dans un restau où il y avait un "cas" et vous vous retrouverez assignée à résidence 10 jours, sous le contrôle de la police.

Ils ont soigné des mineurs. L'expérimentation sur les enfants, c'est "monsieur vaccins" Fischer qui les a faites. Le "charlatan" a soigné 30 000 personnes et aucun n'a porté plainte. Et ses résultats sont les meilleurs au monde. Ceux qui l'ont traité de cette façon sont mis devant la justice, et ils perdront leur procès. Continuez votre feuilleton, mais ça n'est pas la réalité.

Oui, ils sont confinés parcequ'ils ne veulent pas se vacciner, mais il y a 3 fois moins de morts du covid à la Martinique qu'en métropole et les affirmations apocalyptiques sont évidemment fausses.

je n'en crois pas un mot.

Ne croyez pas trop Castex : Même Franceinfo le débunke (comme Véran débunké par "Le Monde") : https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou-fake/vrai-ou-fake-covid-19-jean-castex-a-t-il-raison-d-affirmer-que-96-des-18-000-cas-positifs-annonces-mardi-ne-sont-pas-vaccines_4710761.html Bien sûr, là aussi, le media est très magnanime. On ne teste plus les vaccinés, et hop ! les positifs sont tous des non-vaccinés.

Mis si tu fais le total, tu trouves 498 morts libyens par million d'habitants et 1,708 en France (3,5 fois plus). Le fait qu'il y ait peu de morts en France actuellement et autant en Libye n'apporte pas grand chose de contradictoire. En Libye, je crois que l'intoxication aigüe au plomb est plus problématique que la covid. L'opposition Tunisienne, je l'ai montré hier, conteste avec véhémence les chiffres officiels. Donner des chiffres de "cas" pour parler de la gravité de la maladie est un leurre, et covidtraker n'est pas une source reconnue hors de la doxa. "Guillaume Rozier a 24 ans, il est ingénieur diplômé depuis seulement 6 mois et suivi par plus de 36 000 personnes sur le réseau social Twitter, dont le ministre de la santé Olivier Véran. Il est le fondateur de CovidTracker et lorsque vous tapez son nom dans Google, vous obtenez environ 600 000 résultats." ... Bling bling et népotisme ?

On continue ?

"En réalité, la seule spécificité des vaccins anti-Covid est que les tests sur les animaux ont pu être menés en même temps que les tests sur les humains, et non auparavant, comme cela est la règle habituellement. " Donc, on a bien injecté des humains avant la fin des tests animaux. Pourquoi ?

Beaucoup sont vaccinés.

Et un chiffre tout à fait epsilonique de malades chez eux. Aussi.