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Solatges

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Tout ce qui a été posté par Solatges

  1. Qu'on donne des antibiotiques dans une épidémie d'une infection respiratoire semblable à la grippe n'est pas bien étonnant et si le central technocratique ne le comprend pas, c'est qu'il a besoin de repos ! Qu'il laisse faire les médecins, comme d'habitude. Surtout que les antibiotiques (surtout ceux actifs contre les germes intracellulaires) ont une efficacité certaine dans la covid !
  2. L'OMS n'a aucune valeur scientifique. Quand Buzin a placé le Plaquenil sur la liste des substances vénéneuse, après 50 ans de vente libre elle a dit que "les gens prenaient trop de médicaments"... C'est une notion très générale. En fait, les antibiotiques agissent sur des voies métaboliques ou des structures bactériennes, mais des virus peuvent utiliser les mêmes voies métaboliques. La distinction entre virus et bactérie est bien moins tranchée qu'on le croyait. L'IHU a étudié et utilisé avec succès l'Azithromycine dans le Zika, par exemple. Dans les grippes sévères, les antibiotiques sont recommandés, et Influenzae c'est un virus. (une surinfection bactérienne est grave : C'est elle qui a causé les morts de la grippe espagnole). L'HCQ a fait ses plus grosses ventes dans une indication antiinfectieuse : La malaria. C'est la résistance que l'agent du paludisme a fini par développer (après 70 ans de quinine) qui a fait abandonner cette indication.
  3. Et, comme chantait Brassens, ce n'est pas seulement à Paris ... Mulhouse : et dans toutes les villes. Non, ce ne sont pas 8 néonazis venus au pas de l'oie pour boire une bière.
  4. Oui, mais le conseil de l'ordre veillait... même sans décret. De plus, j'avais bien signalé à l'époque que les médecins pouvaient prescrire, après l'abrogation du décret qui réservait la prescription d'HCQ en millieu hospitalier. Et le protocole de l'IHU n'était pas autorisé, effectivement. Personne ne disait que l'HCQ était utile sans Azithromycine.
  5. S'ils sont tous antisémites, ça craint pour les israëlites !
  6. je n'ai pas dit ça. cependant, sans rapport avec le décret, une instruction de la direction générale de la santé avait interdit cette prescription, ainsi que toutes les prescriptions d'antibiotiques dans la covid. [DGS-URGENT] 2020-INF-37 Usage des anti-infectieux dans le Covid-19 Et un réseau de surveillance a été mis en place pour permettre les dénonciations de la part de pharmaciens. Le conseil de l'ordre des médecins convoque régulièrement des médecins prescripteurs. De plus, le produit étant devenu "controversé", beaucoup de patients en ont une peur injustifiée, ce qui limite encore cette prescription. Même les antibiotiques (qui sont recommandés en cas de grippe sévère) ont été exclus.
  7. Vous ne comprenez donc pas qu'un décret n'a pas pour objectif de permettre quelque chose qui n'a pas besoin de permission ??? Je répète : Ce décret interdit la prescription d'HCQ au bon moment hors AMM, et la reserve à l'hôpital ce qui est une honte.
  8. Pas du tout ! La prescription hors AMM est permise depuis toujours aux médecins, ce qui engage sa responsabilité davantage que dans les conditions de l'AMM. La plupart des prescriptions hospitalières, y compris en sortie d'hospitalisation sont hors AMM, surtout en pédiatrie. Tous les médecins font des prescriptions hors AMM sans l'ombre d'une autorisation de quiconque, leur diplôme suffit. Vous vous prenez pour un fastechaiqueur ?
  9. Celle là, en tous cas, elle est "du jour"
  10. Ah. T'es sûr ? Parceque rien qu'à Dignes les bains :
  11. Enfin, pas mal d'indiens sont tout à fait convaincus et l'épidémie a continué de plus belle dans les états voisins qui ont vacciné et pas traité. Des études, il y en a eu pas mal : il y a même eu l'équivalent du lancetgate, une étude frauduleuse de Roman&al FLCCC-Ivermectin-in-the-prophylaxis-and-treatment-of-COVID-19.pdf
  12. Ce n'est pas vrai, mais surtout, les "études" en "ery" n'ont pas conclu à l'inefficacité de l'HCQ, mais n'ont pas conclu à son efficacité, probablement du fait du trop petit nombre de malades, du fait que ces études (Recovery) administraient aux patient, non pas le protocle de l'IHU, mais une dose toxique d'HCQ, et qu'ils ne traitaient pas les patients au bon moment, mais bien trop tard. Du reste, la létalité dans tous les groupes de ces études allaient jusqu'à 10%, ce qui est la mortalité en réanimation à Marseille pendant ce temps là... Un sait surtout désormais que de saupoudrer un cercueil d'HCQ ne donne pas de résurrection. Rappellons que le Remdesivir a été acheté avec notre argent à hauteur d'un milliard. Beaucoup de traitements sont efficaces, c'est devenu une question d'acceptabilité en fonction des convictions... Ce qui est marrant, c'est qu'on affirme que les médecins généralistes se sont trompé en donnant des médicaments (antibiotiques, etc.) sur des dizaines de patients de leur patientèle mais qu'ils seraient capables de tout savoir des complications vaccinales de gens qu'ils n'ont jamais vu.
  13. C'est à dire interdire le médicament dans ses conditions normales et optimales d'utilisation : Ce n'est pas à l'hôpital, en présence de complications graves (embolie pulmonaire...) qu'il faut donner un traitement dont l'innnocuité est connue (si on respecte la posologie) depuis 60 ans, qui ne coûte rien et qui se prend par la bouche. Ce qui a fait interdire l'HCQ, c'est l'étude bidon du Lancet. Les autres sont "sorties" très longtemps après et les bras HCQ avaient été arrétés après le lancetgate. Les médecins n'ont jamais eu besoin d'un décret pour prescrire hors AMM.
  14. Le coût finacier de la vaccination a, d'après toi, été évalué, alors qu'on parle de 3éme dose. L'Union Européenne et la France ont très largement contribué à leur élaboration (combien de milliards?) et leur prix augmente... Le coût humain de la vaccination, n'a pas non plus été évalué. On a un chiffre pour l'Europe de 20 000 morts, qui peut être abaissé de quelques pourcent du fait que ces gens seraient peut-être aussi morts la mois de leur "vaccination" s'ils n'avait pas reçu l'injection, mais qui peut être multiplié par 10 ou 100 en raison de leur sous-déclaration contitutive de la pharmacovigilance "passive". Et beaucoup de séquelles définitives aussi. Et on n'a pas encore tout vu, puisqu'on est à 55% de vaccination et qu'on vise les 100% !
  15. Le virus ne tue pas tellement plus qu'une grippe, mais rien ne dit que le vaccin va abaisser la létalité. Sauf la publicité.
  16. Ce n'est pas le cas des soignants qui, en général, ne peuvent pas être remplacés... Non, quelqu'un de bonne foi et toi m'ont sorti une étude invraisemblable qui ne venait pas de l'INSEE mais d'un auteur exotique. Je crois que ce qui va passionner les historiens, c'est de voir qu'on a mené en bateau beaucoup de monde.
  17. C'est pas vrai. Les pays hypervaccinés ne se sont pas débarassés du virus et "libé" admet que 80% des hospitalisés en Israël sont tout à fait vaccinés. Et on n'a pas du tout le coût ni humain ni financier de cette "solution" qui n'est pas encore terminée, puisque le suprême parle de 3éme dose, et de vacciner les enfants. Un prix qui n'est pas négligeable, c'est l'abandon de l'état de droit et des droits de l'homme...
  18. 157 000 morts par jour toute cause confondues dans le monde. Sur deux ans à peu près 113 millions... ça en fait des airbus... certes, sinon, ce ne serait pas une maladie. Mais la moyenne d'âge des morts étant à peu près l'espérance de vie à la naissance de ces gens là, "de nombreuses années" est un peu optimiste. C'est plutôt un an ou deux, ou 0. Il ne faut pas les laisser mourir ! Il faut s'en occuper, il y a des gens pour ça, c'est des médecins. Ils n'ont jamais eu besoin d'avoir un ministre de la santé au cul pour faire ce boulot. Quand on parle de comorbidité, il y a de tout : Cancer terminal comme hypertension. Les "morts du covid" n'ont pas tous une cause de mort = covid certifié. C'est une simplification. Ils sont morts, et avaient un test positif ou une suspicion de covid. Du reste, il n'y a pas eu 100 000 morts de plus que prévu pendant ce temps là.
  19. En plus, ce ne sont que des gens qui ne seraient jamais morts sans le covid !
  20. Arrète de rester le nez dans l'AFP toute la journée. Bien sûr qu'il y a un obstacle au soins du fait de cette blague de vaccins.
  21. et toute la société ! Les vaccinés tiennent à l'écart les non-vaccinés qui sont victimes de ségrégation légale. Le droit du travail vient d'exploser avec une bonne part de la constitution. L'état d'urgence qui ne repose que sur la terreur impose que les conseil des ministres est chapeauté par les réunions secrètes du "comité de défense". A Rome, dans l'antiquité, quand la nation était menacée, les sénateurs nommaient un dictateur. Le problème, c'est le retour à la normale.
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