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Incorrect

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  1. Cela me paraît correct. Mais ne l'ébruite pas ... on peut se faire lyncher
  2. Ce soir il y en avait 1 000 de plus, ce qui ne signifie pas grand chose puisque ce ne sont que ceux qui ont bénéficiés du test. Le chiffre le plus intéressant c'est celui des hospitalisés, dont certains finiront en réanimation et le comparer avec les testés. Ce sont les hospitalisés qui actuellement saturent les hôpitaux.
  3. ça serait un complot? ils y mettent les moyens!
  4. Bonjour, C'est bien beau cette attestation de déplacement dérogatoire. Pour les chanceux il faut : une connexion internet, un ordinateur, une imprimante, une cartouche d'encre, du papier. Pour les autres il faut, un crayon bille, du papier et savoir écrire. Ne faites pas les étonnés, il sont plus nombreux que l'on ne croit. Pour ceux qui sont « fâchés » avec l’écriture, il est rare qu'il y ait chez eux de quoi écrire à la main. J'ai lu quelque part que 15% de la population n'était pas équipé numériquement et qu'entre 7 à 5% étaient « fâchés » avec l'écriture. Si l'on ajoute ceux qui sont carrément fâchés avec la langue française l'on arrive sans peine à 15%. 30% de malchanceux Les chanceux ne rigolez pas. S'il faut une feuille par motif de déplacement et ça m'étonnerait que les pandores acceptent que vous fassiez tout en même temps, il vous en faut cinq si, tous les jours vous allez au travail, faire des achats, consulter le médecin, visiter votre maman âgée et tout cela à pied pour garder la forme. Cinq feuilles pour 15 jours cela en fait 75. Va falloir repartir vite fait faire des courses surtout si vos enfants télé travaillent. Je suis plutôt rassuré pour les malchanceux . Avec le stock de papier Q qu'ils ont fait, deux ou trois rouleaux suffiront pour leurs attestation. Tout ceci ne concerne pas mon copain Popol, Piotr pour Doma dont la phobie m'échappe toujours, il est en cellule à la gendarmerie et le magistrat qui devait traiter son cas est en réanimation.
  5. Que je sois schizophrène, peut être parfois mais pas à ce point là
  6. Je vais lui demander s'il est d'accord. Pour le moment, il est dans un état épouvantable. Les gardes mobiles n'y sont pas allé de main morte. Bien que l'un d'eux l'a eu arrachée, la main. Mon pote n'est pas tout à fait inconscient toutefois, il vient de mordre un ambulancier. C'est bizarre cette fixette sur son prénom.
  7. L'armée dans la rue pour confiner? Popol et moi ont devrait être contents. On est réservistes, on va être rappelés. On pourra de nouveau bouffer correctement. Bon, pour Popol ce sera peut être un peu compliqué après les coups et blessures qu'il a infligé à l'escadron de gardes venu l'arrêter avec ses explosifs.
  8. Popol est revenu. Pas de bonne humeur malgré un des deux jerricans bien entamé. Je lui ai demandé comment cela s'était passé. Dans son français genre télégraphique, il m'a répondu : »pas bon, bouseux dans baignoire où faire bibine, femme aussi … gendarmes aussi ». Qu'elle idée de n'envoyer qu'une seule patrouille quand ce monstre de 1m90 et 130kg est contrarié ! Pour la modération c'est râpé ! Je lui ai appris qu'il n’y aurait pas de second tour aux municipales. Sans un mot, il a tiré sa cantine militaire de dessous le lit. Il en a sorti une douzaine de pains de plastic C-4, négligé le rouleau de mèche lente et fourré un paquet de détonateurs électrique dans sa poche. Il m'a dit : »toi venir avec moi ». Le ton pas interrogatif du tout. J'ai rétorqué qu'on était confinés, il a éructé : »NON ! CONS FINIS !». Je vais le suivre... c'est mon pote.
  9. Je n'y comprends plus rien, Aujourd'hui, les mêmes qui me disaient d'aller voter, il y a moins de huit jours, demandent de supprimer le second tour. Ils s'appuyaient lourdement sur l'aval du Conseil scientifique et qu'il fallait préserver la vie démocratique. Il semble que maintenant, le Conseil scientifique a changé d'avis et que la préservation de la vie démocratique n'a aucune importance. J'espère que les membres du Conseil scientifique ne pratiquent plus. Où, au moins, prévenir leurs patients que la validité de leur diagnostique est à prendre avec des pincettes (très utiles par ces temps ci ... les pincette). Quand, a son retour, je vais apprendre à Popol que nous avons risqué nos vies en allant voter et participé au dépouillement, sa réaction sera tout sauf modérée.
  10. Nom de Dieu! Si Popol goûte et constate que le bouseux l'a floué, va y avoir une exploitation agricole de moins dans le coin!
  11. Son prénom c'est Piotr et son nom est imprononçable et impossible à écrire à cause des lettres qu'on pas sur nos claviers. Tout le monde l'appelle Popol. Mais maintenant que tu m'y fait penser même les filles qui ne le connaissent pas et qui le ramènent parfois dans notre gourbi.
  12. Bonjour, Popol est parti au ravitaillement avec deux jerricans de 20 litres chacun. Parait qu'il connaît un bouseux qui fait de l'alcool en douce. De l'alcool à 98°. Quand je lui ai demandé si c'était pour pour faire du gel hydroalcoolique et gagner quelques sous, il est devenu tout rouge et a lâché sur un ton hargneux : « bibine ! ». J'ai beau être le copain, le seul en fait, de cet ex légionnaire polonais, j'ai bien cru qu'il allait me coller une mandale. Une mandale de Popol c'est le big trauma garanti, illico aux urgences alors qu'il n' a plus de place en réanimation. Je l'ai échappé belle ! J'en tremble tellement que j'ai eu du mal a allumer le transistor ! Je vais profiter de l'absence du dernier néandertalien sur la planète pour écouter les infos. Si j’apprends quelque chose qui m'inspire, je vous en ferait part. Même si vous vous en foutez !
  13. Peux pas savoir son nom. Il pleurait beaucoup et gémissait parfois. Il a pas lâché un mot comme le lui avait recommandé mon pote.
  14. Même si on est pas vraiment dans la norme, certains nous qualifient de border line, Popol et moi on n'est pas des asociaux. La preuve, aujourd'hui nous avons rempli notre devoir de citoyens, avec certes quelques aléas, mais en affrontant vaillamment le danger que beaucoup ont préféré esquiver. Nous avons un transistor, (petite radio sur piles pour les ignares) et nous nous tenons informés. Nous avons appris que ce sont les membres du Conseil constitutionnels, le président du Sénat, les chefs des Partis politiques et quelques autres qui auraient convaincus le Président de maintenir les élections municipales. Cette information a plongé Popol dans une profonde hébétude. J'ai pensé que l'alcool était le principal responsable de son état mais non. Il réfléchissait. Il s'est levé du banc, ce qui l'a remis à l'horizontale, et il m'a tenu les propos suivants. « On a risqué notre vie, en votant, à cause de ces mecs ! Ils méritent qu'on les force à laver, sans protection, les cadavres des victimes du virus liées aux élections, avant de les rendre aux familles. Ça les calmera !» J'ai eu les larmes aux yeux devant la clairvoyance mêlée à la grande compassion, toute slave, dont mon pote, l'ex légionnaire polonais, faisait preuve malgré son alcoolisation avancée.
  15. Ça y est. Le dépouillement des votes est fini. Un eu plus il y avait un drame. On devait être quatre à table, deux mecs sont venus nous rejoindre avec réticence, on pouvait les comprendre. Celui assis à côté de Popol, mon pote ex légionnaire d'origine polonaise avec 130 kilos de méchanceté, lui a demandé s'il était français à cause de son accent. Le mec ne savait qu'il mettait sa vie en jeu en plaisantant. Sans le regarder, Popol lui a posé la main sur l'avant bras, a serré un peu et on a entendu le craquement des os brisés. Il s'est tourné vers sa victime et lui a chuchoté à l'oreille en exagérant son accent « si tu moufte, je te pète l'autre bras et les jambes ». On a fait le dépouillement avec un mec en pleurs et l'autre terrorisé. Comme il n'y avait que des boissons sans alcool on s'est tiré. En partant, on a croisé une ambulance de pompiers. Ya pas que le coronavirus pour engorger les hôpitaux. Il faut aussi de la place pour les autres !
  16. Popol, mon copain ex légionnaire, a déjà éclusé toute notre réserve. Il est vrai que pour un polonais, c'est la canicule dans les Hauts de France. On a filé chez Momo, le tenancier de la supérette, pour reconstituer notre stock de bibine. Il nous a reçu le hachoir à la main prétextant l'ardoise, pardon : le tableau d'école, que nous avions chez lui. On s'est tiré vite fait. Ou trouver du pognon ? Chemin faisant nous sommes passé devant l'église, rare lieu encore ouvert. Église, quête, troncs à visiter, pognon … une évidence ! Personne dedans, sauf le curé en train de catéchiser un petit garçon. On a du être très persuasifs, puisqu'il a filé à la sacristie et est revenu avec un paquet de biftons. Après nous être ravitaillé chez un Momo rayonnant, on en a discuté, un peu péniblement, avec mon pote. On en a conclut que c'est dans les grandes épreuves, comme celle que nous traversons, que la cohésion, la solidarité, le civisme sont impératifs. En conséquence, nous allons réduire notre débit pour pouvoir participer, dans de bonnes dispositions, au dépouillement comme des citoyens à part entière ... pour une fois qu'on nous considère comme tels!
  17. Popol et moi on vient de voter. Personne ne nous a fait de réflexion. Valait mieux, vu le gabarit de mon pote et ce qu'il avait consommé ! Presque 50% de votants de moins qu'à la dernière à la même heure. On vit dans l'Oise. Popol a lâché à haute voix : « les manquants sont en réanimation ! ». Là ça s'est gâté. On a été punis. Désignés comme scrutateurs pour 18 heures. On a plaidé qu'on était population fragile en tant qu'alcooliques chroniques. On nous a rétorqué que raison de plus, pas besoin de solution hydroalcoolique pour nous. En revenant sur notre banc public, que nous avons privatisé depuis quelque temps, j'ai eu comme une angoisse. J'ai dis à Popol : « et si c’était pour se débarrasser de nous ? ». Il m'a regardé avec ses yeux vitreux injectés de sang et m'a répondu « faut finir toutes nos bouteilles avant 18 heures ! ». Le dépouillement risque d'être homérique !
  18. Mr Blanquer, ministre de l'Education nationale, a confirmé ce matin, ce que j'ai déjà écrit ici. Quand plus de la majorité de la population aura développé les anticorps, après avoir été infectée évidemment, la propagation chutera drastiquement. Pas sûr qu'il reste ministre longtemps le mec ! J'ai remarqué un certain énervement sur ce fil de discussion. Je recommande une boutanche de vin de Bordeaux comme calmant. Mon pote Popol, ancien légionnaire, en préconise une de vodka … il est d'origine polonaise, mesure 1m90 et pèse 130 kilos. Je suis toujours admiratif de ses performances. Cet aprem, on va lâcher notre banc public pour aller voter, lui avec ses chaussettes et moi avec le slip que nous avons bricolés (voir précédents post). Si la police municipale nous refoule, on fera un sitting devant le bureau de vote en gueulant au déni de démocratie ! … et en continuant à picoler off course !
  19. Mais non, c'était pour prévenir que j'étais con ... "peur de rien, c'est à ça qu'on les reconnaît"
  20. Enfin une bonne nouvelle, 50% des hospitalisés pour coronavirus ont moins 60 ans. Popol, mon copain, et moi on a voulu arroser ça. On est allé au bistrot. Le bougnat des Aurès avait déjà fermé son rade depuis la veille. Faut dire que ces gens s'y connaissent en matière de catastrophes. On est allé sur notre banc public, avec une bouteille de whisky achetée au Lidel, les commerces de première nécessite restant ouverts, et on a commencé à philosopher au goulot. Tous les deux on est tombé d'accord et avec Popol à moitié bourré c'est pas simple. Nos dirigeants ont eu raison. Fallait pas affoler le quidam, c'était bénin, ça passerait vite, une petite grippe en somme. Et puis, tout le monde le sait, les italiens sont des incapables, inorganisés, fainéants, sales, juste bons à faire des pâtes et à jouer de la mandoline. A mi chemin du Tiers Monde quoi! Là où on a failli se pisser dessus de rire, c'est quand ils ont recommandé de se désocialiser. Popol et moi ont a réalisé soudain qu'on étaient de sacrés précurseurs. On est partis acheter une nouvelle bouteille.
  21. TRUMP a passé le test de dépistage hier, aujourd'hui il n'a toujours pas le résultat ... GREAT AMERICA!
  22. Les gilets jaunes qui manifestent actuellement à Paris ne seront dispersés ... ils ont menacé d'éternuer sur les forces de l'ordre (source : mon copain Popol)
  23. Blanquer, ministre de l'Education nationale : "enseignement à distance, ça fait plusieurs mois que nous sommes préparés" devin le mec ou complice? "l''Education nationales n'a jamais connu ça" donc en 1918-1920 (grippe espagnole) personne n'était scolarisé ou alors cela avait un autre nom (nuance fumeuse).
  24. Moi, j'ai peur de rien ... comme ça tout le monde est prévenu!
  25. Demain je vais aller voter et je veux me protéger Evidemment, pas un masque ou un gant à l'horizon. Mais j'ai trouvé une solution. Pour les gants pas de problème. Dans la cabane de jardin j'en ai une tripoté. Pour le masque, je vous ai déjà recommandé le bricolage avec de l'essuie tout et du PQ. Mais ce n'est pas suffisant, je veux que personne ne s'approche de moi. Comme un français sur quatre, je ne change pas de slip tout les jours. De tout façon j'en ai que deux. Un du lundi au jeudi et l'autre jusqu'au lundi suivant. Sous le lit, j'ai retrouvé celui de lundi dernier. Quelques coups de ciseaux, un lacet de godasse et le tour est joué. Sûr que dans la file d'attente du bureau de vote personne va se risquer à me serrer de près! J'en ai parlé à mon pote Popol. Il a trouvé l'idée géniale mais il n'a qu'un slip. Il va essayer avec des chaussettes. Il en deux paires.
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