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zeyas

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Tout ce qui a été posté par zeyas

  1. zeyas

    Debout face à la maladie

    Les traitements et le diagnostic de la maladie de Charcot Le diagnostic de la maladie est suspecté par un neurologue qui retrouve à l’examen neurologique et à l’interrogatoire des signes et des symptômes témoignant d’une atteinte progressive du premier et deuxième motoneurone. Cela se caractérise dans tous les cas par une perte progressive de la force musculaire, parfois associé à une fonte musculaire, ou une raideur des membres. Pour poser ce diagnostic, le neurologue s’appuie sur les résultats d’un examen qui permet d’enregistrer les signaux électriques entre les neurones et les muscles : un électromyogramme. Celui-ci atteste de la dénervation motrice des muscles, conséquence de la perte des neurones moteurs. Afin de confirmer ce diagnostic, il est indispensable que le neurologue puisse écarter, par le biais d’autres examens complémentaires, toutes les autres causes possibles de souffrance de neurones moteurs telles que les compressions mécaniques, les atteintes inflammatoires des nerfs moteurs ou tout autre processus pouvant endommager les nerfs. Dans le cas des formes familiales (10%) le diagnostic est établi de façon certaine lorsque le patient porte une des mutations connues, responsables de la maladie. Il y aujourd’hui plus de 30 gènes connus, et encore au moins 1/3 des cas familiaux n’ont pas de gènes identifiés (la proportion varie selon les régions du monde). Il n’existe à ce jour aucun traitement curatif de la maladie de Charcot, cependant, l’association d’un traitement neuroprotecteur et d’une prise en charge multidisciplinaire, permettant une prise en charge des différents aspects de la maladie, permet de ralentir la progression des symptômes.
  2. zeyas

    Debout face à la maladie

    3 citations les plus populaires sur le thème espoir :
  3. zeyas

    Debout face à la maladie

    La maladie de Charcot donne entre trois et cinq ans dʹespérance de vie dʹaprès tous les spécialistes. " C'est absurde ! Il en sera autrement " a décrété Lorène Vivier âgée de 35 ans au moment du diagnostic. Son témoignage est bouleversant, drôle et inspirant. Il dit son combat quotidien entre espoir, résilience et engagement pour faire avancer la recherche autour de la SLA. Lorène nous invite à célébrer la vie et à ne jamais renoncer. Son parcours est un message puissant dʹoptimisme et de détermination. Les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot se caractérisent par une paralysie complète des muscles des bras, des jambes et de la gorge entrainant une incapacité à marcher, manger, parler ou même respirer qui s’installe progressivement. La sclérose latérale amyotrophique (SLA) se déclare à l’âge adulte (40-80 ans) et va évoluer, en 3 à 5 ans, vers la paralysie complète et le décès du patient généralement par paralysie des muscles de la respiration. Dans la plupart des cas, la maladie débute par une faiblesse motrice des membres supérieurs ou inférieurs, c’est ce que l’on appelle la forme spinale de la maladie. Les membres touchés peuvent s’atrophier et devenir flasques quand c’est le motoneurone périphérique qui est le plus touché, ou au contraire devenir raides quand l’atteinte prédomine au niveau du motoneurone central. Le plus souvent, les patients présentent des crampes et des fasciculations (des petites contractions musculaires brèves et diffuses qui n’entrainent pas de mouvement articulaire). La faiblesse musculaire commence de façon localisée puis s’aggrave et diffuse progressivement à d’autres régions du corps. Dans environ 30% des cas, la maladie de Charcot débute par une atteinte des motoneurones du tronc cérébral (forme bulbaire) et la première manifestation est une difficulté à articuler. Le plus souvent rapidement s’associent des difficultés à déglutir sous forme de fausses routes. On retrouve également, dans cette forme de la maladie, un excès de salive dans la bouche et une hyperémotivité. Dans des cas plus rares (environ 10%), la maladie peut commencer par une atteinte de la musculature du tronc, en entrainant une tête dite tombante et une difficulté pour maintenir le tronc droit à la marche et/ou une atteinte de la respiration inaugurale. Dans la plupart des cas, la maladie qui commence dans une région du corps diffuse aux autres, de façon à ce que les patients qui présente une forme spinale, peuvent par la suite développer des symptômes bulbaires ou inversement. L’ensemble des patients développeront une atteinte des muscles de la respiration, responsable d’une insuffisance respiratoire lors des stades les plus avancés. C’est cette insuffisance respiratoire qui mettra en jeu le pronostic vital des patients, entrainant leur décès.
  4. https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/debout-face-a-la-maladie-28941435.html
  5. https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/une-dose-de-reconfort-28958421.html
  6. https://www.rts.ch/audio-podcast/2025/audio/ma-vie-a-t-elle-un-sens-28920997.html https://www.babelio.com/livres-/sens-de-la-vie/7845
  7. Si tu n'a pas le sens de l'humour tu aura plus de difficutés à relativiser les choses de la vie Cadeau souvenir de ton enfance Paroles de la chanson C'est Bon De Rire par Mary Poppins (Oncle Albert:) C'est bon de rire Haut et fort et clair Et moi j'aime rire Je trouve ça extraordinaire Car plus je ris Et plus je suis en joie Plus je suis en joie Et plus d'm'amuser ça me plaît C'est embarrassant ! Et plus d'm'amuser ça me plaît (Mary Poppins:) De nombreuses personnes rient du nez C'est de cette manière-ci De nombreuses personnes rient les dents trop serrées Et sifflent comme fait un aspi (Bert:) D'autres vont trop vite Comme d'autres éclatent - ah ! D'autres comme des oiseaux gazouillent Et y'a enfin ceux qui n'se lancent jamais (Oncle Albert:) Quand la vie me paraît comique Avec sincérité je l'crie Et pour le crier très fort Il faut aussitôt un ho ! ho ! ho ! Et un ha ! ha ! ha ! C'est bon de rire Haut et fort et clair Nous aimons rire Pour qu'ici-bas tout s'éclaire Car plus on rit Et plus on aime la joie Et le coeur en joie Plus on rit, plus la vie nous plaît
  8. Merci Sirielle de participer à ce qui est pour moi une expérience qui cherche à valoriser la personne qui vient parler d'elle même ici tout en simplicité. Alors moi je me complimente pour l'amour et l'affection que me donne mon fils à chaque jour que l'on se voit. Je me félicite pour son éducation toute gratifiante de la part de notre entourage et donc je recois un doux parfum à chaque rencontre
  9. Je suis une mamie qui craque de tous cotés je suis craquante. Je me sens belle et en sagesse; j'apprend encore des choses de la vie. Je suis une mamie extraordinaire
  10. Pour bien commencer sa journée se dire des choses gentilles et agréable à l'oreille.
  11. Félicitations bien sincères à toi Tu peux en etre trés fier aprés une vie si bien remplie de photos et j'imagine de découvertes constructive pour notre monde. Tu a eu le courage d'user de la libérté que t'a offert la vie. C'est trés bien. Tu peux nous parler de quelques unes de tes inventions?
  12. Voici le côté sombre. Notre maman du côté lumière durant notre enfance était malgré ses amants une mére trépidante. Mére au foyer le dernier BB en 19 cent soixante douze fut confier à une aidante familiale tout comme nous. Maman vendait des tupperw et des cosmétiques. Nous ne manquions pas de nourriture et de bonbons, de sorties au cinéma le dimanche de piscine ou de sports. Les choses ont explosé vers mes vingts ans. Je devint attentive aus disputes de mes parents. Je t'entait d'intervenir avec humour. Papa souffrait et maman riait des ces éternelles victoires sur mon pére.A 22 ans je jetais les gants; je partais comme jeune fille au pair en Hollande pendant trois ans . Un sacré choc principalement pour mon pére. J'avais économiser chaque sous pour obtenir ma liberté en louant mon premier logement à mon retour au pays.Rien n'avait changé en trois ans. J'ai commencé à recueillir mes fréres un à un envoyés par ma mére.qui intervenait avec des colis alimentaires et sa rancoeur envers mon pére le pauvre qui ne faisait que subir et de réclamer le retour de ses garçons au domicile familial. Il me fallait fuir.Le plus grand de mes fréres trouva un premier travail.Je lui cédais mon logement et partais 25 km plus loin .Mes autres fréres ont alors aussi pris leur envol du logement.Maman toujours envahissante et déterminée commenca alors avec ses premiers travers cités plus haut.Ne lui ressemblant pas et ne suivant pas ses conseils qui me heurtaient (racisme, écraser les gens.....) j'encaissait les reproches. Elle est morte quelques années àprés papa qui se calmait en fumant; mort d'un cancer du poumons dans des conditions teribles. Il est couché sous une simple pierre de récupération que l'on a abrazé pour faire disparaitre le non du précédent propriètaire de la pierre. Quand à Maman elle a une tombe de toute beauté chose qu'elle ne méritait pas Je reste choquée de cette injustice .Je n'est pleuré pour aucun de mes deux parents. Je n'ais pas hérité des défauts de ma mére . Sa dernière vacherie m'avoir refiler le diabéte. Moi ma soeur et mes fréres sommes épparpillés avec les dégats phicologiques que nous ont infligés nos parents. J'ai réussit à ne plus rien garderde mes traumatimes aprés une dépression et un séjour médicalisé . J'ai bientôt 63 ans et je regréte toutes ces années perdues à me battre contre la violence dans la famille. Aujoued hui je vais bien Je m'occuppe de mon fils et lui il prend soin de moi . J'ai trouvé enfin la maison ou je désire mourrir je veux une vie calme et sereine avec baucoup d'amour de la part de mon fils et aussi l'extréme gentillesse de ma propriètaire. Je ne veux rien de plus. Mercis pour tes mots.Oui je souffre encore de tout çà J'ai échoué pour certaines choses mais j'ai eu aussi quelques victoires dans le malheur et c'est ce qui m'a permis de tenir debout. Enfant,je jouais à l'infirmière avec mes poupées et plus tard je jouais un rôle de princesse avec mes amies.Grande imaginative c'est ce qui m'a sauvé dans mon adolescence.Toute jeune déjà je défendais mes fréres et ma soeur. toute jeune déjà je montrais ma rébellion J'ai souffert durant mon mariage et toujours rebelle ce fut une lutte de1985 à 2001. Quand mon fils est né je me suis jetée corp et âme dans son éducation je lui ai appris plein de choses utiles pour sortit du cercle de violence dans lequel je vivais harelement dénigrement humiliations. Mon fils est un miracle de résilience il est doux prévenant il anticipe les difficultés dues à mon age qui avance. il est merveilleux. C'est maintenant un grand homme de 33 ans sociable aimable mais il ne faut pas lui parler de religion lui aussi a souffert méme si je lui est appris à s'en sortir. Il est aussi un rebelle il y met des gants mais c'en est un . Ambitieux avec plein d'amis il ira loin.Avec lui je connais le mot amour Il n'y a pas de conditions entre nous nous sommes fusionnelss. Je l'aime tellement Pour ce qui est du chemein de pardon à ma mére la réalité est un grand calme plat je suis toujours en révolte contre l'injustice des sépultures de mes parents Le chemin du pardon? non je crois pas il reste les cendres de l'histoire de violences et des souffrances que je porterais les reste de mes jours. Je fais tout pour que mon fils garde de moi les souvenirs les plus chouettes Le lien d'amour avec ma mére est inexistant et je trouve cela bien malheureux. J'ai reconstruit ma vie plutôt facilement n'ayant pas de critéres avec elle J'ai grandi librement faisant les chois qui me convenaient. Ses sentiments ses actions m'ont destabilisée et c'est uniquement mon instinct de survie qui m'a sauvée ainsi que quelques personnes que j'ai rencontré et qui ont été bienveillates avec moi. Il y a eu un jour oû j'ai décidé que la gentillesse et la bienveillances feraient partie de ma vie.Dans ma vie , pendant quelques années j'ai fait du bénévolat.Cà m'a définitivement sauvé de mes multiples déprimes et j'ai appris, compris les difficultés que pouvaient traverser les gens Je me croyais à une époque étre la seule à soubir la souffrance du moment. Je suis devenue une personne forte et puis j'ai appris à aimer les gens à les aider parfoispar la parole les conseils toujours avisés et vérifiés ainsi que les actes.En viellissant je me suis inscrite surdes sites de dialogue J'ai un amis francophone à Madagascar, une copine au Québec et plein d'aciennes connaissances sur fk.Le bilan aprés mon enfance cahotique n'est pas mauvais du tout.
  13. Tu a dû en voir de toutes les couleurs Cà va comment aujourd hui ?
  14. Handicap visible et invisible : comment les différencier ? Un fauteuil roulant ou une canne blanche ne définissent pas toute la sphère du handicap. En 2023, la France comptait 12 millions de personnes en situation de handicap, dont plus de 9 millions vivant avec un handicap invisible. Ces derniers représentent toujours 80% des personnes handicapées, sur le territoire national. Mais alors, comment différencier handicap visible et handicap invisible ? On vous explique. D’après la loi Handicap promulguée en 2005, le handicap constitue la “ limitation d’activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d’un polyhandicap ou d’un trouble de santé invalidant.” L’Organisation Mondiale de la Santé liste en tout 5 catégories de handicap. Les handicaps visibles comprennent : Le handicap sensoriel (handicap visuel et le handicap auditif). Le handicap moteur (amputations, atteintes musculaires, atteintes articulaires qui entraînent une réduction plus ou moins importante de la mobilité et de la motricité empêchant la pratique de certaines activités (sportives, manuelles…). Quand les handicaps invisible comprennent : Le handicap mental (maladies génétiques, les anomalies chromosomiques, la trisomie 21, les virus, les parasites contractés durant la grossesse ou encore la prise de tabac ou d’alcool au cours des neuf mois, un virus, un traumatisme crânien, une maladie infectieuse contractée dans la petite enfance peuvent aussi faire partie des causes). Le handicap psychique (troubles bipolaires, troubles dépressifs, schizophrénie, paranoïa, névroses obsessionnelles, burn-out…). Les maladies invalidantes (maladies respiratoires, auto-immunes, digestives ou infectieuses). On ajoute à cela trois catégories de handicap invisibles non-répertoriées par l’OMS : Les troubles DYS ou troubles cognitifs spécifiques (dyslexie, dyspraxie, dysphasie...) Les troubles neurologiques (Les affections neuromusculaires, les maladies d'Alzheimer et de Parkinson, l'accident vasculaire cérébral (AVC), le syndrome de Guillain-Barré, la sclérose en plaques…) Les troubles musculosquelettiques (tendinites, lombalgies, syndrome du canal carpien au poignet…) Mais la ligne entre handicap visible et handicap invisible peut parfois sembler très mince. Tout se joue dans le contexte. Dans certains cas comme celui des handicaps psychiques, la maladie devient rapidement visible en cas de crise. Pareil pour la sclérose en plaque, maladie neurologique et initialement invisible, mais qui, selon le contexte et les symptômes, peut s’apercevoir, notamment pendant une poussée. À l’inverse, on peut ne pas s’apercevoir qu’une personne atteinte d’un handicap visible, comme la surdité, soit atteinte d’un handicap visible si ses appareils auditifs sont cachés sous ses cheveux ou si elle n’est pas appareillée. Quand l’invisible devient handicapant Contrairement au handicap visible que l’on connaît tous, le handicap invisible, lui, ne se perçoit pas directement ou même pas du tout. C’est pour cela qu’il n’est souvent, par essence, pas reconnu en tant que véritable handicap. C’est à la fois une bonne et une mauvaise chose. Quand les personnes en situation de handicap visibles ne peuvent pas le cacher, ceux qui souffrent d’un invisible peuvent parfois choisir de faire part de leur maladie ou non. Mais bien souvent, beaucoup préfèrent garder leur souffrance pour eux, ce qui peut parfois s’avérer d'autant plus lourd. Ce phénomène qui peut parfois empirer les symptômes ou conduire le malade à l'épuisement permet de rentrer dans les cases pour ne pas subir le regard des autres. Il s’explique par plusieurs raisons : Tout d’abord par peur que leur souffrance soit incomprise, minimisée ou carrément niée. Les personnes en situation de handicap invisible font souvent face à des remarques négligentes, dont la plus connue qui explique que “c’est dans la tête”. Vivre au quotidien avec un handicap a de lourds contre coups et se trouve être fatiguant. Les personnes malades ont donc besoin d’un rythme de sommeil plus important car leurs journées leurs sont souvent plus épuisantes qu’en moyenne. Viennent alors les jugements et stigmates : “Tu pourrais faire un effort”, “t’as qu’à dormir plus la nuit”, “tu te cherches des excuses”, “moi aussi je suis fatiguée”. Des propos souvent dit dans l’ignorance de la souffrance vécue, mais qui peuvent s'avérer blessantes. Validisme : là où le handicap prend place, l’éloignement social se creuse Et même si les personnes atteintes d’un handicap visible disposent le plus souvent d’une compréhension et d’une bienveillance qui ne sont pas à la portée des handicapés non visibles, les deux font face à un fléau dénigrant : le validisme. Aussi appelé capacitisme, le validisme est un système de valeurs oppressif faisant de la personne dite "valide", autrement dit sans handicap, la norme sociale. Qu’il soit glorifiant : “Tu es courageux”, “je ne pourrais pas faire la même chose si j’étais à ta place” ; ou victimisant : “La pauvre, elle ne pourra plus jamais marcher”, le validisme est très souvent maladroit. Il peut aussi prendre une autre forme : celle de la remise en question de la condition de la personne en situation de handicap. Cela est plus susceptible d’arriver dans le cas des handicaps invisibles. On va par exemple venir demander “Elle est vraiment handicapée ? on dirait pas comme ça”. Et dans le pire des cas, certains valides viennent à évincer de missions professionnelles ou de moments en communauté des personnes handicapées, en pensant mieux connaître leurs capacités, en choisissant des endroits sans accès PMR ou encore en ne les conviant pas. Ecrit par Pauline Guilcher
  15. Chez nous nous avons créer une association sans but lucratif qui encourage la personne à rester tant soit peu autonome en lui donnant la possibilité d'apprendre plein de choses commes les options possibles à leur bien étre. Nous avons des conférences sur tous les sujets possibles. Nous organisons des aprés midi de bricolage adapté avec l'aide d'animateurs. Nous entretenons leur moral avec du théatre et des thés dansants (cyclo danse) chaque jeudi aprés midi. Il y a aussi le scrabble qui est fort demandé. Nous avons dû hélas instaurer des dates. Je fais partie du comité de gestion et en ce moment nous préparons une sortie en car d'un jour à la mer du Nord. https://www.petitemu.fr/blog/handicap-visible-et-invisible-comment-les-differencier
  16. Nous allons comparer France Belgique puisque je suis en Belgique. Je souffre d 'handicaps visible (difficultés de me mouvoir, chaise roulante parfois et invisible diabéte.) J'ai engagé une aide ménagére et une aide familiale pour aller faire mes courses. Je suis entourée mais çà coûte cher. Elles sont jeunes et efficaces. Par contre c'est parfois difficile de les avoir à la maison. Désistements, changements d'horaires sont possibles. Il y a des restrictions de personnel. Je suis donc devenue bénéficiaire et je viens d'apprendre que mon aide ménagére est seule à oeuvrer dans le service pour ma région. Dis moi ce qui te met en coléresur ce qui se passe en France pour les seniors. Quelles sont les difficultés que tu recontre dans ton cas personnel.
  17. Je ne suis pas là pour me vanter mais pour dire que ces personnes extraordinaire ont besoin des personnes valides et que cotoyer ces personnes est d'une grande richesse. Je voudrais que les mentalités de la peur de l'inconnu évoluent vers encore plus de bénévolants. Tout ce que j'ai fait il fallait que je le fasse pour moi seule. Merci à toi mais je veux juste un merci pour mes actions. Nous sommes nombreux avec des chemins différents et c'est toujours l'amour qui nous guide.
  18. Quelle est la différence? Vous pouvez me posez des questions si vous le souhaiter à comprendre cette différence. les deux cas d'handicap sont à prendre avec des pincettes car le mental , la pensée la résilience de la personne pourrais vous désarmer par sa force de caractére..Ce sont toutes des personnes qui vous répondent cach si vous les heurtez dans leurs convictions trés fortes.J'ai travailler dans ce milieu là comme aide ménagère durant 10 ans (handicapés et personnes agées dépendantes de nos divers services de soins de maintien à domicile) Un jour le bureau m'a convoquée et m'a proposé une formation d'aide soignante/aide familiale.(soit deux ans), . J'ai fait des stages en domiciles et en maisons de repos tous les jours de congé y compris les dimanches. Nous avions des cours chaque jour de la semaine. Etant en pleine immersion auprés des infirmières et des aides soignantes, je me suis retrouvée dans un environnement qui me convenait et qui me rendait enfin ma vie intéressante aprés des études fastidieuses en secrétariat qui m'aient permise de rester régulièrement au chomage. A 45 ans j'entamais donc mes études avec ma mére qui me disait que j'étais trop vieille.En fin du dernier module, j'obtenais mon premier diplôme; celui d'aide familiale avec un contrat de 5 ans. Merveilleuse périodes dans le monde des gens extraordinaires du handicap . J'ai rencontré la sagesse; la résilience, la chaleur humaine parce que nous étions pour la plupart les seules personnes qui étaient là pour elles .Ce sont des personnes qui se confient et qui ont besoin de parler de tout et de rien et de rire. Ils et elles n'avaient pas peur de parler de leurs maladies et de leurs séquelles présentes et futures.Je prenais le temps de les écouter , de les réconforter et de prendre leur RV chez leurs médecins. Je faisais les repas et les courses.avec une formation reçue sur le diabéte.et les différents régimes. J'ai pas pû travailler avec un contrat en tant qu'aide soignante ayant raté le dernier module. Je suis donc restée aide familiale encore quelques années. Contrat non renouvelé car mes 54 ans avaient sonnés je me tournais vers le bénévolat sur conseil de mes patrons De mars à Noél ou Nouvel an , je faisais mes valises pour des séjours en tant qu'animatrice et aidante pour manipuler les personnes en chaise roulantes et pour les mettre au lit. J étais référente en binôme pour tenir compagnie à la personne , la nourrir si nécessaire et m'assurer qu'elle était toujours propre sur elle. Tous séjours en Belgique étaient pris en charge par mon patron. Je nais jamais participé aux voyages à l'étranger avec l'association.A chaque séjour d'une semaine il me fallait me reposer une semaine car etre bénévole ce n'est pas compter son temps . Il m'est arriver de faire des gardes de nuit. Les autres nuit toute la semaine je ne dormais que 5 heures par nuit. Je garde de merveilleux souvenirs. J'ai des centaines de photos. J'ai des contacts fréquents avec mes anciennes et anciens collégues par face bk et maiels. On se téléphone. Six années de joie de camaraderie et d'éclats de rires pour nos bétises; nous faisions rires nos bénéficiaires. A chaque séjours nous réussissions nos mission. Rendre heureux des gens malgrés leur handicap
  19. Quelle est la différence? Vous pouvez me posez des questions si vous le souhaiter à comprendre cette différence. les deux cas d'handicap sont à prendre avec des pincettes car le mental , la pensée la résilience de la personne pourrais vous désarmer par sa force de caractére..Ce sont toutes des personnes qui vous répondent cach si vous les heurtez dans leurs convictions trés fortes.J'ai travailler dans ce milieu là comme aide ménagère durant 10 ans (handicapés et personnes agées dépendantes de nos divers services de soins de maintien à domicile) Un jour le bureau m'a convoquée et m'a proposé une formation d'aide soignante/aide familiale.(soit deux ans), . J'ai fait des stages en domiciles et en maisons de repos tous les jours de congé y compris les dimanches. Nous avions des cours chaque jour de la semaine. Etant en pleine immersion auprés des infirmières et des aides soignantes, je me suis retrouvée dans un environnement qui me convenait et qui me rendait enfin ma vie intéressante aprés des études fastidieuses en secrétariat qui m'aient permise de rester régulièrement au chomage. A 45 ans j'entamais donc mes études avec ma mére qui me disait que j'étais trop vieille.En fin du dernier module, j'obtenais mon premier diplôme; celui d'aide familiale avec un contrat de 5 ans. Merveilleuse périodes dans le monde des gens extraordinaires du handicap . J'ai rencontré la sagesse; la résilience, la chaleur humaine parce que nous étions pour la plupart les seules personnes qui étaient là pour elles .Ce sont des personnes qui se confient et qui ont besoin de parler de tout et de rien et de rire. Ils et elles n'avaient pas peur de parler de leurs maladies et de leurs séquelles présentes et futures.Je prenais le temps de les écouter , de les réconforter et de prendre leur RV chez leurs médecins. Je faisais les repas et les courses.avec une formation reçue sur le diabéte.et les différents régimes. J'ai pas pû travailler avec un contrat en tant qu'aide soignante ayant raté le dernier module. Je suis donc restée aide familiale encore quelques années. Contrat non renouvelé car mes 54 ans avaient sonnés je me tournais vers le bénévolat sur conseil de mes patrons De mars à Noél ou Nouvel an , je faisais mes valises pour des séjours en tant qu'animatrice et aidante pour manipuler les personnes en chaise roulantes et pour les mettre au lit. J étais référente en binôme pour tenir compagnie à la personne , la nourrir si nécessaire et m'assurer qu'elle était toujours propre sur elle. Tous séjours en Belgique étaient pris en charge par mon patron. Je nais jamais participé aux voyages à l'étranger avec l'association.A chaque séjour d'une semaine il me fallait me reposer une semaine car etre bénévole ce n'est pas compter son temps . Il m'est arriver de faire des gardes de nuit. Les autres nuit toute la semaine je ne dormais que 5 heures par nuit. Je garde de merveilleux souvenirs. J'ai des centaines de photos. J'ai des contacts fréquents avec mes anciennes et anciens collégues par face bk et maiels. On se téléphone. Six années de joie de camaraderie et d'éclats de rires pour nos bétises; nous faisions rires nos bénéficiaires. A chaque séjours nous réussissions nos mission. Rendre heureux des gens malgrés leur handicap
  20. C'était bien ce temps là C'était vraiment chouette
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