Guillaume_des_CS

À ton avis ? Y a-t-il un de ces mots que je ne comprenne ? (Tu m'as lu un peu ?). Non. Ce que je ne comprends pas, c'est ce que tu essaies de faire avec tous ces mots. Ceux-là, et tous ceux d'avant... Quelle langue parles-tu ? Écris-tu ? À l'évidence, ce n'est pas du Français. C'est incompréhensible pour moi, je t'assure.

Toujours pas compris, désolé... J'essaie, j'essaie... Allez, tiens, essaye toi-même encore une fois !?

Merci de cette précision. Mais c'est un peu abscons, non ? Je n'ai toujours pas compris ce que tu essaies de dire/de contredire ?

Pardonne-moi, mais sincèrement : je n'ai pas compris. Aurais-tu la gentillesse de m'expliquer ? En quelques phrases peut-être ? Merci d'avance.

Mdr ! Merci de m'avoir rassuré un peu (et inquiété beaucoup...). Si tu veux, j'ai un pote qui bosse dans une fabrique de cochonneries — il est chimiste, spécialiste dans les colles je crois... —, je peux lui demander de te contacter ? Il pourrait peut-être te donner deux trois conseils ?

De mémoire, je peux me tromper un peu : Échelle des salaires (nets) en France : 1 à 8 ; Aux Pays-bas : 1 à 3. Punt.

Kovanien est un personnage imaginaire... Il est moi, il est toi, pour autant qu'on le perçoit en soi... (L'intro du bouquin... Rubrique "littérature" ici sur ForumFR) Maintenant, si ta question était : "es-tu poète ?" (donc qu'elle s'adressait à moi ?), alors je réponds : j'écris depuis longtemps, beaucoup, beaucoup... Et de la poésie (j'espère), depuis probablement trois décennies... Mais suis-je poète ? Arf ! N'est-ce pas là la même question que j'ai posée à propos du "philosophe" ? Hum... peut-être pas (je me rends compte que je pense en écrivant ; c'est donc que je ne me suis jamais posé la question sous cet angle comparatif... là, je gagne du temps... ;-) Non, ce n'est pas la même question : suis-je philosophe ? Non. Suis-je poète ? Peut-être. Et peut-être le serai-je un jour, ou peut-être jamais. En tout cas : ai-je envie d'être poète ? Oui. Ai-je envie d'être philosophe ? Non. Bon, j'embrouille tout j'en conviens. Revenons à la case départ : suis-je poète ? Peut-on se déclarer poète ? Non. C'est donc à toi de juger, non ? Je dois donc te donner le moyen de juger... Hum... délicat. Heu... Non, finalement, ce n'est pas délicat : j'ai publié déjà deux ou trois poèmes sur... ce forum ! Tu ne les as pas lus ? Car enfin, c'est bien à toi de juger si je suis poète ou non, n'est-ce pas ? Je suis sûr d'en avoir publié un sur l'amour (un calligramme en plus !), et un autre sur la vérité... Ah oui, un autre encore sur "L'Accorderie"... Oui, ici, sur le forum... Si tu ne les trouves pas, je les rechercherai pour toi, no problems. Et sincèrement, Solla, ta réponse à la question de savoir si je suis poète — pour autant que ce fût d'abord la question, n'est-ce pas —, serait loin de me laisser insensible...

L'autre problème, c'est que je ne suis pas certain qu'il ait particulièrement brillé dans les mathématiques non plus... (Et je ne suis pas seul de cet avis je crois...) Cela dit, je me sers de lui j'en conviens, davantage comme d'un "synthétiseur" (un "chiffon rouge" ?) que comme d'un véritable "coupable". À mes yeux, il n'a fait que "formaliser" le raisonnement dualiste dans lequel nous étions déjà enfermés depuis... trois ou quatre millénaires ?! Merci pour cette belle esquisse en tout cas ! Elle est très riche et m'apporte beaucoup.

Et puis, FAUT FAIRE ATTENTION : moi, j'en dis souvent des conneries ! Et j'adore échanger avec des gens qui n'ont pas peur de dire des conneries ! Selon moi, cela procède de la confiance dans le dialogue qui seule permet la recherche "d'une" vérité... Autant te prévenir, tu n'as pas fini de relever des contradictions dans mon discours ! Puis-je dire que je te comprends ?...

Que suis-je ? Rien sans toi. Mais je pourrais résumer ce "moi" dans cette entité que nous constituons toi et moi, en trois citations : "Ils ne sont debout que parce que nous sommes à genoux." (La Boétie - attribué à) "Celui dont on se défie s'étiole comme une flamme que l'on s'apprête à moucher. Celui à qui l'on fait confiance prend confiance. Il ouvre chaque jour des perspectives nouvelles. Le monde est son imagination et sa provocation !" (Bachelard) "Le temps ne respecte pas ce qui se fait sans lui" (Lao Tseu - attribué à),

Je ne partage pas ; je respecte et me questionne ; je vérifie (selon mon système de valeurs, j'en conviens) ; je ne suis pas d'accord -> j'exprime mon désaccord. C'est ce que j'appelle "dialoguer" (progresser ensemble ?). Je peux même... changer d'avis ! Horreur ! "Changer d'avis ?".... Non, JE peux davantage encore : m'excuser, c'est-à-dire "demander pardon" (car on ne s'excuse pas soi-même...) Note bien que je ne donne de leçon à personne : je ne parle que de moi (article "je" tout au long...) Cordialement,

Absolument en désaccord avec toi Francelibre : @versys ne me semble donner aucune leçon à personne dans son commentaire (si tel est bien ce que tu insinues). En tout cas merci ! Tu me l'as fait lire ce commentaire, et j'ai pu cliquer sur "j'aime"

Tu me perds, là... C'est bien toi qui a parlé de "profondeur", non ? Peut-on l'envisager sans d'abord passer par la géométrie ?

Ben si bien sûr que t'as quelque chose. C'est là. Mais bon, j'ai peut-être mal compris ? Tu voulais bien dire "qu'il n'y a pas matière à mesurer, n'est-ce pas ? Tout à fait d'accord. Je te propose une toute petite modif. : "...mais toutes les expériences et tous les interlocuteurs..."

Ben ça c'est vraiment vrai ! Figure-toi que moi par exemple j'arrive même à me noyer dans les miennes ! Et souvent en plus !... Faut dire que moi je pense vraiment profondément, n'est-ce pas ?

Oh, toi, je te vois venir... Ne lui dis surtout pas que tu penses à moi malheureux ! Imagine qu'il diffuse mes idées sur Facebook ! Arf...

Assez d'accord avec toi... Pas compris... Manque un mot ?

Ce serait sympa de partager ton idée sur la question, non ? Ça nous mènerait probablement aux philosophes...

À ma connaissance, cela n'a jamais été l'un des buts de la philosophie... Ai-je loupé quelque chose ? Et paf ! Dans le panneau : "quand on s'attaque à la personne pour discréditer ses idées, c'est qu'on est déjà couché" (qui a dit ça ?)

N'est-ce pas là... tout le problème ? N'est-ce pas là que prennent source tous nos problèmes actuels et à venir ? La raison suffit-elle à la gouvernance de la vie humaine ? Certitude cartésienne ?... Peut-être cette certitude n'est-elle pas discutable pour toi ; mais pour moi, elle l'est ! Et je le fais dans Kovanien, crois-moi...

Je te fais observer que c'est toi, et non moi, qui a brandi Socrate... Relis ton propre texte : tu ne fais qu'affirmer au contraire ! Et c'est très maladroit, en effet...

Bon, et sans l'humour, ça donne quoi ? Parce que les dictateurs populistes, eux, l'humour...

En effet, c'est très "à peu près"... Ça l'en est tellement, que sans préciser ce qu'était "la sagesse" dans le même contexte historique (étymologique), on peut aller jusqu'à comprendre l'inverse de ce que cela "disait", non ? Certitude donc, non ? Et pourtant, tu écris avant : ...hum...

Est-il "raisonnable" de continuer à philosopher à 80 ou 85 km/h quand des dictateurs populistes qui ne philosophent pas du tout avancent à 300 km/h partout sur la planète Terre ? Hé, philosophe, sur quelle planète vis-tu, toi ?

Pas compris. Désolé, je ne suis pas philosophe. J'ai googlelisé, on ne me parle que de philosophes ; tu pourrais me faire un résumé explicite du sens de ton message ? Évidemment, si tu es toi-même philosophe, ça complique... À moins qu'il ne s'agisse que d'une "guéguerre" de clochers ? C'est tellement courant chez les philosophes... Je ne sais plus, je ne sais pas... S'il te plaît, aide-moi !