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Valona

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Tout ce qui a été posté par Valona

  1. Je suis en troisième année de fac. Je prépare un Master de sciences. Je peux en témoigner ici. Il y a un nombre similaire de cons chez les garçons comme de connes chez les filles. Même en faculté des sciences. Et croyez-moi, de vrais gros cons et de vraies grosses connes. L'intelligence ainsi que les aptitudes ne font pas dérogation à cette vérité fondamentale et universelle. Bisou
  2. Vous êtes complètement fou. Le sexe pour de l'argent ! Et pourquoi pas pour le trafic d'organes aussi pendant que vous êtes dans vos délires. Pour moi, sur ce forum, vous n'existez tout simplement plus. Il n'y aura plus jamais aucune réponse de ma part à vos logorrhées. Adieu _____________________________________
  3. Je suis étudiante en troisième année de sciences appliquées. J'ai d'excellents professeurs. Je prépare un "Master" de sciences. Je sais donc pertinemment de quoi je parle. Je suis une des meilleures de ma promo. J'ai les meilleurs enseignants. L'enseignement, j'y baigne. Et comme je me destine à devenir maître de conférence, je ne quitterai jamais le monde de l'enseignement. Quand à la gratuité. Ce qui m'importe, lorsque je fournis un travail, c'est d'être payée. Toujours. Je suis issue d'un milieu où c'est une règle d'Or. Et je ne dérogerais jamais de cet axiome. J'aime l'argent. L'argent m'attire. Mais toujours gagné dans la dignité, le travail et l'honneur. Je suis très conservatrice. Très "vieille France". Je ne suis pas le genre de fille à porter du jaune. J'admire la réussite... Bisou ________________________________________
  4. Je ne suis certainement pas une experte. J'ai même très peu d'expérience. Par contre, je ne fais jamais rien bénévolement. Pour moi l'éducation a toujours été un plaisir car j'ai toujours adoré apprendre. Apprendre, ça instruit... Bisou
  5. Quand je découvre l'ignorance des garçons en ce qui concerne la sexualité féminine, je ne suis pas étonnée de tant de drames. De problèmes ou encore de déséquilibres. C'est souvent consternant de bêtise. Plein d'idées toutes faites et de stéréotypes ridicules. C'est presque inquiétant. La plupart s'imaginent même qu'ils sont obligatoires à nos plaisirs sexuels. L'immense majorité s'imaginent encore, en ce début de XXI ème siècle, que c'est leur pénis qui nous procure plaisir, bien être et jouissance. Comme pour les alcooliques, il faudrait organiser des stages d'hygiène mentale et d'instruction sexuelle. Il faut le faire très vite car les garçons risquent fort de se retrouver rapidement avec un siècle de retard sur les filles. Je les embrasse malgré tout. Mais avec compassion. Courage les garçons. Un petit effort... Bisou
  6. D'où l'obligation cruciale qu'ont les femmes de retrouver la liberté qui leur a été spolié. Les femmes libres font peur aux hommes grossiers, vulgaires, de bas niveau d'instruction, de peu d'intelligence, de peu de tolérance et de peu de courage. Bestiaux. Les mêmes s'en prennent à elles parce que c'est plus facile de passer leurs haines sur les femmes libres. Des lâches, des sous hommes, des minables. Il est temps que les femmes partagent le pouvoir afin que le monde change enfin vraiment. En bien. en mieux...
  7. Non non, ce sont des préceptes dictatoriaux n'ayant rien à voir avec la culture occidentale. Il faut le préciser. Sans tomber dans aucun cliché à la mode. La libre expression est encore en vigueur sous nos latitudes...
  8. De plus en plus de femmes, en France, se font opérer pour redevenir vierges. Présentée ainsi, cette actualité sonne beaucoup plus juste. La bêtise n'a pas d'âge ni d'époque. La bêtise n'a pas d'origine bien définie. Et chacun s'aperçoit que tous les jours apparaissent de nouvelles bêtises. Typiques ou exotiques, mais toujours ridicules. J'ai eu un mal fou pour perdre ma virginité. Ce n'était pas simple. Ni d'un point de vue physiologique. Ni d'un point de vue physique. Et je suis fière de l'avoir laissé quelque part dans la chambre de mon "ex". Qu'il se débrouille avec. Je n'ai que 21 ans. J'espère ne pas faire de telles régressions mentales à 30 ans. Ne pas en arriver à de telles extrémités de bêtises crasses. Mais j'ai confiance en mon intelligence, à ma culture et à mes acquis civilisationnels. J'ai de la réflexion. Bisou
  9. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Ce week-end, je suis invité à l'anniversaire de mon ancienne monitrice d'équitation. Elle a 30 ans. Ça se fête. Nous serons une dizaine d'invités. Un comité restreint selon son souhait. D'autres garçons et d'autres filles du centre équestre que je fréquente deux fois par semaine. Je prépare un concours pour le début du mois de mai. J'ai d'excellents résultats hippiques. Il y a une pratiquante dont le papa est professeur d'arts martiaux, (en plus d'être professeur de lycée). Il est beau, athlétique, grand. Je vais certainement l'entrevoir. Dans la vie réelle, je garde mes petites préférences pour moi. Il ne me viendrait pas à l'idée d'évoquer ces choses là avec qui que ce soit. Les gens sont souvent stupides et interprètent les évènements. S'il y a matière à récit, je viendrais raconter ce week-end dans la rubrique "Autres Loisirs" dans le sujet "Séjour en chalet". Bisou
  10. Valona

    Le papa d'une copine

    Il faut le souhaiter. Comme chacun d'entre nous. Que la vie serait ennuyeuse et triste sans "l'onanitaire". J'ai une copine de fac qui prétend, l'air hautain, ne jamais pratiquer. C'est vrai qu'elle a l'air d'être déprimée le matin, démoralisée le soir et dépressive le reste de la journée. Ce qui n'est absolument pas le cas du papa de mon collègue étudiant. Mais alors pas du tout... Bisou
  11. Valona

    Le papa d'une copine

    Mon collègue étudiant vient de me téléphoner. J'ai fait excellente impression auprès de son papa...
  12. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'un copain En cette fin d'après-midi de dimanche, je reviens de chez mon collègue étudiant. (Collègue onaniste aussi). Nous nous sommes encore offert une délicieuse séance. C'était divin. Par le plus grand des hasards, en descendant pourtant par l'escalier de service, nous sommes tombés sur son papa. Il y a aussi des papas de copains qui sont très séduisants. Il m'a serré la main. Nous avons bavardé un peu. Il y a une superbe complicité entre mon collègue étudiant et son papa. Il m'a fait remarquer que j'étais devenue toute rouge. En effet, j'imaginais la tête du papa s'il avait notion de ce qui s'est encore passé là-haut, dans la chambre de son fils. Cette simple pensée suffit à me mettre dans tous mes états. Certes, ce ne sont que de divines séances onanistes, mais c'est comme si j'avais peur que cela se lise sur mon visage. Ma maman sait lorsque je reviens d'une séance de plaisir. Elle fait une amusante métaphore dont elle a le secret et son regard ne laisse aucun doute. C'est ma complice pour ces choses là. Même si je ne ressens pas le besoin de tout partager avec elle. Encore heureux ! Oui. J'apprécie également de croiser les regards et d'échanger quelques mots avec les papas de copains aussi... Bisou
  13. Valona

    Le papa d'une copine

    Il faut juste encore que tu assimiles bien cette dernière précision : JE M'EN CONTRE FOU Et tu seras enfin dans une totale sérénité en ce qui me concerne. Adieu... Bisou _____________________________________
  14. Valona

    Le papa d'une copine

    Voilà ! Tu as bien compris. Tu n'as plus qu'à te mêler de tes affaires, de tes écrits et de lire les miens. Bonne journée
  15. Valona

    Le papa d'une copine

    Nous n'avons strictement rien à nous reprocher. Je terminerai définitivement d'évoquer ce qui semble tourmenter celles qui aiment à renifler dans les culottes par ce simple constat. Je ne fais de mal à personne. Je ne conspue personne. Je n'agresse personne. Je n'insulte personne. Je ne fais de tort à personne. Je ne me mêle des affaires de personne. Je n'ai de compte à régler avec personne. Je n'ai de contentieux avec personne. Il n'y aura donc plus aucune intervention de ma part, avec qui que ce soit à propos de la curiosité malsaine, des enquêtes et des investigations des unes et des autres que j'ignore encore davantage. Avec la plus parfaite et la plus neutre des indifférences. Laissons causer, laissons gloser, laissons se ridiculiser les concierges de l'immeuble... Je vous embrasse
  16. Valona

    Le papa d'une copine

    C'est rassurant Il m'importe peu que d'autres femmes viennent renifler dans mes culottes. Cela m'amuse. Je les ignore toutefois avec beaucoup de désinvolture. Je ne viens pas sur les forums où j'aime à m'amuser, pour répondre aux logorrhées, aux provocations, aux piques et aux propos dispendieux. Je viens pour m'amuser et partager. Uniquement. Je ne me mêle pas des affaires des autres. Je ne cherche pas à savoir qui ils sont, ce qu'ils font. Je suis intéressée par leurs interventions et pas par leurs personnalité. Il m'importe très peu de savoir qui se cache derrière tel ou tel pseudo. De toute façon, sous l'anonymat de nos pseudos, nous sommes toutes et tous, des "fakes". Rien d'autre. Et je m'en moque... Bisou
  17. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Mais je ne désire pas du tout que les choses "avancent". Total respect pour les hommes mariés. Ce qui ne m'empêche pas d'aimer les voir s'encanailler à l'idée de ma proximité. C'est toujours si amusant, un homme qui s'embrouille, qui trébuche, qui se met à tenter de séduire. C'est beau... Bisou
  18. Valona

    Le papa d'une copine

    Pures spéculations Sur les forums, comme dans la vie, j'ai pour principe de ne répondre et de ne m'adresser qu'aux gens dont les interventions m'interpellent. J'ignore totalement les autres. Depuis petite j'ai la faculté de m'abstraire des pensées négatives. Grâce à des parents très aimants. Pour être honnête, je ne lis même pas les provocations, les propos haineux ou encore les échanges négatifs. Ces individus sans réel intérêt qui viennent régler leurs comptes sur des forums. Et dans des sujets où leurs logorrhées sont complètement hors propos. En plus ! Je zappe... Les gens qui ont une vie intéressante, riche, pleine et positive n'ont que des échanges en adéquation avec leurs existences. Les autres viennent y déverser leur mal vivre, leur mal être, leurs malaises. Ne serait-ce pas ces "vampires" qui vident les autres dans l'existence réelle ? Qu''il vaut mieux éviter de fréquenter ? J'en suis intimement convaincue. En ce qui vous concerne, vous et quelques rares autres intervenants, il y a le plaisir de vous lire, puis le plaisir de répondre. Ce sont toujours des échanges positifs. Sains. On y devine aucun cynisme, aucune rancœur, aucune aigreur. Tout ce qui me laisse indifférente. Bisou
  19. Valona

    Le papa d'une copine

    Avant de retourner en cours, je réponds à ce message pertinent : MERCI. Je tâche d'appliquer ces principes à mon quotidien. Bisou
  20. Valona

    Le papa d'une copine

    Merci pour ce magnifique récit qui m'émoustille beaucoup. Il est curieux de découvrir le nombre de quadragénaires qui jouent de la guitare parmi les parents de mes collègues de fac. A croire que c'est une génération ou cet instrument faisait partie du cursus scolaire. C'est souvent de la bonne musique. Musique d'un autre temps mais fort plaisante. Le papa d'une autre copine chante des chansons d'un chanteur de folk américain avec une voix de fausset. Elle m'a fait écouter le disque. Et bien le gars chante vraiment comme ça. Une voix de fausset. "Tell my Why". Mais c'est très agréable... Bisou __________________________________________
  21. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Je suis convaincue ne pas être la seule à vivre d'aussi délicieux tourments. Si peu son pourtant assez sincères pour le reconnaître. J'ai des copines de fac qui se présentent comme de véritables exemples de vertu. Si on gratte un peu, on découvre qu'elles ont quantité de défauts bien plus pertinents que les jeux de regard ou encore de séduction passive. Bisou
  22. Valona

    Le papa d'une copine

    Où est le mal ? Les beaux papas Ce sont quelquefois les papas de copines étudiantes qui ne me laissent pas indifférente. Il y en a quelques uns qui sont hypers séduisants. Attirants. Je ne dis rien. Mais je n'en pense pas moins. Il y a de quoi nourrir mes fantasmes. Je raconte une petite anecdote amusante. C'est au début novembre, l'an dernier, 2018. Je suis invitée à l'anniversaire d'une collègue étudiante. C'est chez elle. Nous sommes une dizaine. La fête se passe au premier étage de sa maison. Au début de la soirée, ses parents viennent voir si tout va bien. Si nous n'avons besoin de rien. Son père est beau comme un dieu. Grand, athlétique, les tempes grisonnantes, les cheveux un peu longs et ondulés. Je suis immédiatement attirée. Séduite. Bien évidemment, je n'en montre rien. Mais, durant les quelques minutes de sa présence, je ne peux m'empêcher de le fixer avec insistance. Je suis certaine qu'il remarque rapidement mon comportement. Surtout qu'il croise mon regard à plusieurs reprises. La fête bat son plein. Nous nous amusons. Je ne pense plus au beau papa. Les toilettes sont à l'étage. Tout l'étage de la maison est devenu l'appartement de ma copine. C'est son papa qui le lui a aménagé selon ses désirs. Mon papa est le même homme gentil. Je comprends. Quelle n'est pas ma surprise. Voilà le bel homme qui arrive dans l'escalier. Il me demande si tout va bien. Nous nous mettons à bavarder. Cet homme n'est rien que pour moi, là, dans l'instant. Quelle fabuleuse impression ! Je suis réservée, plutôt timide. Cet homme sait me faire rire par des formules subtiles. C'est fin et spirituel. Je surmonte ma timidité. Je me surprends à vouloir faire durer ce moment. C'est comme dans un rêve. Je n'exagère jamais. Je le ressens ainsi. Je vais aux toilettes. Je rejoins les autres. Le papa est assis au milieu de la pièce. Il joue sur la guitare de sa fille. Et là, délice suprême, il me fixe. C'est comme s'il jouait pour moi. Cela ne dure pas. Personne ne se rend compte de rien. Cela se reproduit une nouvelle fois. En partant, à la fin de la soirée. Je m'arrange pour rester proche de lui. Je lui serre la main. Mon papa est là. Ils bavardent ensemble et avec les autres parents venus chercher les convives. Le père de ma copine me lance un regard qui achève de me faire fondre. Je ne l'ai plus revu. Mais je demande souvent à ma collègue étudiante comment vont ses parents. Son papa.. Où est le mal ?
  23. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Merci pour vos gentils retours souvent éclairés. Je ne sais pas si mon papa à moi croise quelquefois des jeunes filles de mon âge qui lui font briller les yeux. Par contre je vois briller ses yeux quand je les surprends au salon avec maman. Au bureau ou encore à la cuisine. Ils n'arrêtent pas. C'est beau. Je trouve ça génial. Ma maman est une femme très belle, sportive comme moi. Elle est attractive et attire beaucoup l'attention et les regards. Mon papa trouve ça élogieux et ça le rend fier.Car c'est lui qui est avec. Moi aussi, ça me rend fière de ma maman. Sans les jeux de séductions, la vie ne serait plus que l'enfer où l'on semble vouloir nous enfermer de plus en plus. Bisou
  24. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Que de méchanceté gratuite à mon encontre. Je ne suis pas plus bête qu'une autre et je sais parfaitement la réaction des messieurs d'âge mûr à l'encontre des jeunes filles. Je ne me fais aucune illusion. Je me fais juste plaisir. Je n'ai pas encore l'âge de l'aigreur et des frustrations. Je vous embrasse malgré tout
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