Aller au contenu

Valona

Banni
  • Compteur de contenus

    1 268
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Valona

  1. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine C'est sympa, je découvre de nouvelles musiques. Je file, cet après-midi je n'ai cours qu'à 14 h15. (Retard du prof qui a prévenu ce matin). A bientôt... Bisou
  2. Valona

    Le papa d'une copine

    Il vient la chercher assez régulièrement. Je suis hélas certaine que ce n'est pas pour me voir. Je reste réaliste et je ne mélange pas le fantasme à la réalité. Même s'il me dévore du regard. Et ce n'est pas qu'une impression. Toutefois son sourire est apaisant et plein de compassion. A tout jamais les choses en resteront là. Bisou
  3. Valona

    Le papa d'une copine

    Le papa d'une copine Je l'ai entraperçu hier, sur le parking de la fac. Le choc. Il est venu chercher sa fille. Il m'a fait un beau sourire. Il faut que je me calme... Bisou
  4. Valona

    Le papa d'une copine

    Vais je finir par vous contacter par messagerie privée ?
  5. Valona

    Le papa d'une copine

    Vous devriez vous mettre à l'écriture. Votre imagination débordante y trouverait matière à exulter vos compétences littéraires. Bisou Je ne connaissais pas. Merci pour cette découverte... Bisou
  6. Valona

    Le papa d'une copine

    Mais, cher intervenant plein d'humour, ce n'est pas du tout un sujet à connotation sexuelle ! Il y est question de séduction, d'attractivité et d'attirance. Quelle déviance de voir du sexe dans les sujets qui n'en traitent nullement. Même pas de manière subjective ou suggestive. Veuillez donc nous jouer un air de votre guitare irlandaise. Au contraire de vous, je trouve que ce sujet a toute sa place ici... Bisou
  7. Valona

    Le papa d'une copine

    Je ne comprends pas tout ce que vous écrivez. Mais je compatis... Bisou
  8. Valona

    Le papa d'une copine

    Tous les mecs de 45 ans semblent s'adonner à cet instrument. C'est d'ailleurs assez agréable et plus joli que les sonorités indéfinissables des bruits rythmés qu'on entend partout. Un vieux beau avec une guitare s'est plus rassurant...
  9. Le beau papa d'une copine de la FacCe sont quelquefois les papas de copines étudiantes qui ne me laissent pas indifférente. Il y en a quelques uns qui sont hypers séduisants. Attirants. Je ne dis rien. Mais je n'en pense pas moins. Il y a de quoi nourrir mes fantasmes. Je raconte une petite anecdote amusante. C'est au début novembre, l'an dernier, 2018. Je suis invitée à l'anniversaire d'une collègue étudiante. C'est chez elle. Nous sommes une dizaine. La fête se passe au premier étage de sa maison.Au début de la soirée, ses parents viennent voir si tout va bien. Si nous n'avons besoin de rien. Son père est beau comme un dieu. Grand, athlétique, les tempes grisonnantes, les cheveux un peu longs et ondulés. Je suis immédiatement attirée. Séduite. Bien évidemment, je n'en montre rien. Mais, durant les quelques minutes de sa présence, je ne peux m'empêcher de le fixer avec insistance. Je suis certaine qu'il remarque rapidement mon comportement. Surtout qu'il croise mon regard à plusieurs reprises.La fête bat son plein. Nous nous amusons. Je ne pense plus au beau papa. Les toilettes sont à l'étage. Tout l'étage de la maison est devenu l'appartement de ma copine. C'est son papa qui le lui a aménagé selon ses désirs. Mon papa est le même homme gentil. Je comprends. Quelle n'est pas ma surprise. Voilà le bel homme qui arrive dans l'escalier. Il me demande si tout va bien. Nous nous mettons à bavarder. Cet homme n'est rien que pour moi, là, dans l'instant. Quelle fabuleuse impression !Je suis réservée, plutôt timide. Cet homme sait me faire rire par des formules subtiles. C'est fin et spirituel. Je surmonte ma timidité. Je me surprends à vouloir faire durer ce moment. C'est comme dans un rêve. Je n'exagère jamais. Je le ressens ainsi. Je vais aux toilettes. Je rejoins les autres. Le papa est assis au milieu de la pièce. Il joue sur la guitare de sa fille. Et là, délice suprême, il me fixe. C'est comme s'il jouait pour moi. Cela ne dure pas. Personne ne se rend compte de rien. Cela se reproduit une nouvelle fois. En partant, à la fin de la soirée. Je m'arrange pour rester proche de lui. Je lui serre la main. Mon papa est là. Ils bavardent ensemble et avec les autres parents venus chercher les convives. Le père de ma copine me lance un regard qui achève de me faire fondre.Je ne l'ai plus revu. Mais je demande souvent à ma collègue étudiante comment vont ses parents. Son papa...Bisou
  10. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Aujourd'hui, entre midi et 13 h, j'ai posté l'épisode numéro 2. Il relate la seconde partie de mon week-end. Ce séjour dans le chalet. Je me suis finalement beaucoup amusée quand même. Mon prof reste cet homme inaccessible. Mais, après tout, n'est-ce pas mieux comme ça. Ma meilleure amie tempère quelque peu mon tempérament vindicatif. Je continue d'aimer les hommes malgré tout
  11. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les homme, (et mon prof) Voilà. Je viens de publier le premier des deux récits concernant mon Week-end au chalet. Il est visible, (et lisible), dans la rubrique "Loisirs" sous l'intitulé "Séjour en chalet". Je vous en souhaite à toutes et à tous une bonne découverte. Mille excuse, j'ai écris vite sans vraiment me relire. Je vous remercie toutes et tous pour l'intérêt que vous portez à mes modestes contributions. Demain, j'ai cours. Le lundi est toujours une journée ardues. Je ne reviendrai donc que rapidement. Entre 12 h30 et 13 h. Puis en soirée. Au plaisir de vous lire Bisous
  12. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Ce matin, comme tous les samedis matins, j'étais avec mes parents pour faire les courses. Nous sommes une famille unie mais également les meilleurs amis du monde. Depuis toujours. Nous avons fais les achats de ce qu'il me faut emmener au chalet. Les fruits pour la salade de fruits. Les pommes pour la compote et les oranges pour le jus du petit déjeuner. Ce n'est pas un chalet en montagne. Il est situé à 630 mètres d'altitude. Inaccessible en voiture. C'est un endroit préservé. C'est une construction récente. Vers 2005 je crois. Une annexe de la ferme auberge. Il y a les écuries à proximité. Cet après-midi, nous passons en vitesse chez ma tata et chez mon tonton. Ils ont embouteillé le jus de pomme de cet automne. Il est pasteurisé donc aucun risque de fermentation. Dans la famille personne ne touche à l'alcool. Je vais en faire goûter à mes amis de la fac. Chacun apporte une surprise à faire découvrir aux autres. C'est à chaque fois que nous faisons une fête ici, au chalet. Ma meilleure amie est excellente pâtissière. Je suis à me réjouir pour la surprise qu'elle nous réserve. Pour raconter ce séjour, je vais ouvrir un nouveau sujet dans la rubrique "Loisirs". Donc j'invite mon fidèle lectorat à découvrir les aventures concernant le chalet dans ce prochain post. Lundi. Si les modérateurs sont d'accords bien évidemment. Que les inquiets se rassurent, il n'y aura rien de "sulfureux" ou encore de "scabreux". Que les libidineux se rassurent, j'ai malgré tout une pensée pour leur misère sexuelle. C'est l'anniversaire de notre professeur préféré. Il fête ses 28 ans. Deux années de professorat. Il est grand, il est beau, hyper sportif, plein d'humour, tout ce que j'aime. Et je crois bien que je ne le laisse pas indifférent. Il chante des chansons américaines. Il nous a fait découvrir Willie Nelson. C'est géant. Il s'accompagne à la guitare. Il a préparé un répertoire. Nous lui avons préparé un grand gâteau. 28 bougies de toutes les couleurs. Je vous raconte bientôt. Je vous souhaite à toutes et à tous, un excellent week-end. Bisous
  13. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Nous ne sommes pas dans les Alpes. C'est un paysage de collines à une vingtaine de kilomètres de chez moi. En ce moment les seules odeurs sont celles de l'humus. C'est encore l'hiver et il pleut assez souvent. Les tendres ébats, je ne crois pas. Nous allons chanter. Déguster des galettes à la frangipane pour tenter d'y trouver la fève. Beaucoup rire et nous amuser. Je vais vous décevoir, mais il n'y a pas non plus de furtives caresses en prévision. Par contre beaucoup de sourires complices. Point de baisers fougueux. On est une bande d'amis de longues dates, tous étudiants dans la même fac. Ce n'est pas du tout l'esprit "hippie". C'est un chalet en bois mais d'une teinte claire et très moderne. Au sommet de la colline. Nous privilégions une certaine élégance et la bonne tenue. Le "débraillé" n'est pas du tout le genre de la maison. S'il devait y avoir des anecdotes "sulfureuses", je les raconterais dans la rubrique "Sexualité". Mais en demandant d'y être guidée par un modérateur pour encadrer tout ça. Il faudra que je sois bien renseignée pour savoir les limites. Car je fixe toujours des limites. Nous partons demain à 17 h. Nous arrivons à 17 h30. Trois kilomètres de marche. On nous attend au chalet pour 18 h30. Soirée dans la salle du bas. Nuit au dortoir de huit lits. (Aucun bronzés qui font du ski). Petit déjeuner. Petite randonnée. Repas de midi. Quelques parents, (dont les miens), qui viennent nous rejoindre. Retour dimanche pour 17 h.
  14. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Merci pour votre mot si gentil. N'ayez aucune inquiétude. Je suis armée. J'ai les arguments. Ils ne seront pas nombreux à m'impressionner d'une manière ou d'une autre. Par contre, ils sont innombrables à me faire rire. Je les en remercie. J'aime tant rire. Vous aurez remarqué qu'il y a dans l'assemblée qui se bouscule ici, de véritables "pointures". Des intervenants qui se sont réellement surpassés. Je connais bien ces "collabos". Ces gentils petits toutous qui ne manquent pas une occasion de remuer la queue pour recevoir leur su-sucre. Ils sont adorables. Nous les filles nous les repérons très vite. Un peu délateurs, obséquieux, pédants, agissant toujours dans l'espoir d'une caresse. Le bâton et la carotte. Hélas, ils se contentent du bâton. La carotte c'est la féministe qui se la garde. Sex-toy écologique... Bien évidemment, grande jouisseuse de la vie que je suis, j'aime aussi tirer la langue aux médisants, aux critiques et aux moralistes de tous poils. Sans méchancetés, mais en farceuse, espiègle et mutine. Je vous raconterai en détail. J'aime les chalets mais je déteste les bronzés qui pourraient venir y faire du ski. Ils sont bien mieux ici, sur le forum. Bisous
  15. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Merci pour vos pensées optimistes, constructives et positives. Elles ne sont pas les plus nombreuses. Mais elles restent si passionnantes malgré tout. Et de savoir que c'est moi qui les suscite me comble d'aise. Je devrais être notée en fac pour cet impressionnant travail de "public relation". Nous partons demain. C'est papa qui m'emmène jusqu'au lieu de rendez-vous. Après il y a trois kilomètres à pieds, avec nos sacs sur le dos. J'adore. Nous sommes une dizaine. Cela fait quelques jours que nous gardons le secret sans rien avouer aux autres. Nous sommes un petit clan fermé au sein d'un groupe déjà sérieusement étanche. A peine une dizaine. Animés par une saine émulation, nous sommes en permanente ébullition pour rester les meilleurs. Dans mon sac à dos, maman a mis des fruits, des crudités et des céréales. Tout est "Bio" comme à la maison. Au chalet, c'est un peu l'auberge espagnol. Nous y trouvons ce que nous apportons. Depuis deux jours nous avons élaboré une logistique infaillible. Dans notre petite bande élitiste, pas de fumeurs, pas de buveurs ou encore de drogués. De plus, tout le domaine de la ferme auberge est non fumeur. C'est un espace protégé. Sans entrer dans le cliché de l'écologie "cu-cu-la praline", le couple de propriétaires élève des chevaux pour proposer des randonnées équestres. Super plan. Nous allons beaucoup nous amuser en ce lieu. Nous le fréquentons souvent pour nos petites soirées de qualité loin de toute promiscuité non désirée et surtout de toute promiscuité non désirable. Je vous raconte. Promis.
  16. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Je rentre de cours. C'est vendredi. C'est le début de mon week-end. Je m'apprête à passer du bon temps. Nous montons dans un chalet à quelques 600 mètres d'altitude. Notre petite bande élitiste de la Fac. C'est l'anniversaire d'un de nos profs. Adorable. Il n'est pas beaucoup plus vieux que nous. Et il chante en jouant de la guitare. Il fête ses 28 ans. Il est beau en plus. Trop bien. Je découvre que mon sujet a fait le buzz sur le forum. J'attire autant l'attention dans l'univers virtuel que dans le monde réel. J'adore être le centre du monde. Je tiens vraiment à remercier tous les intervenants. La plupart de leurs commentaires sont très intéressants. Je me suis amusée comme une petite folle à lire les propos des uns et des autres. C'est top. C'est impressionnant. Lorsqu'une fille de 21 ans exprime son attirance pour les hommes, elle suscite les commentaires les plus dithyrambiques. Cela va de la psychanalyse de bistrot à l'analyse politique et sociale gauchisante en passant par les diatribes moralisatrices. Je vous adore. Vous vous êtes surpassés. C'est beau. Je suis profondément touchée. J'ai bien conscience de tous mes privilèges. Celui en particulier d'avoir tant de succès. Et même sur un forum principalement fréquenté par des vieilles et des vieux. Je vous embrasse. Je suis heureuse de vous servir une soupe qui réchauffe un peu vos maisons. Je parle déjà de ce forum à mes copines de la fac. On va ramener un peu de sang neuf et des idées fraîches. Merci à toutes. Merci à tous. Vous êtes merveilleux. Je vous embrasse. Bisous
  17. Valona

    J'aime les hommes

    J'aime les hommes Je n'ai pas posté ce sujet pour me perdre dans de ridicules polémiques de sémantique. Avec qui que ce soit. Mais pour que d'autres filles puissent proposer leurs ressentis. Car à en discuter entre filles, à la fac, nous avons l'étrange certitude que ce sont les dirigeants qui sont entrain d'instituer et de mettre en place un véritable sexisme. Avant, ils essayaient de monter les ethnies les unes contre les autres. Les quartiers les uns contre les autres. Les classes sociales les unes contre les autres. Mais à présent cela devient un véritable danger de civilisation. Les mêmes cherchent à monter les femmes contre les hommes. Les dirigeants, pour des raisons qui nous échappent, ne seraient-ils pas entrain d'instituer le sexisme comme nouveau dogme social ? Ça y ressemble drôlement... NOTE Cela ne me déplaît pas du tout que des garçons, au restaurant universitaire, se moquent un peu de nous les filles et qu'ils nous taquinent. Bien au contraire. Cela nous donne la certitude d'exister. Et, il faut le confesser, nous les filles, nous faisons la même chose avec les garçons. N'en déplaise aux vieilles ministres toutes sèches, déjà flétries et moches. Méprisable petite dame qui ferait mieux de s'occuper de choses réellement importantes. Pauvre idiote...
  18. Valona

    J'aime les hommes

    Bonjour, (ou bonsoir) Oui ! J'ai l'impression qu'il ne fait pas bon exprimer ses ressentis lorsqu'on est jeune, insouciante et qu'on désire vivre dans un présent déjà suffisamment difficile. Sur ce forum tout particulièrement. Pas d'inquiétude. Il y a d'autres filles de mon âge qui vivent dans leur époque. Et qui le font sans passer à côté des petits plaisirs qui se présentent dans leurs existences. Toutes ces vieilles ne peuvent plus comprendre que c'est nous, les filles qui choisissons ce qui est bon pour nous. Et nos sens. Il y a tant de beaux garçons partout. Dans les transports en commun. Dans les discothèques, les restaurants, les bibliothèques, les bars. Les universités. Dans toutes les rues. Dans tous les magasins. Il n'y en a plus pour toutes ces vieilles pseudos intellectuelles d'un autre âge. On peut comprendre qu'elles ont la rage. De se tromper d'époque. Ça fâche. Les garçons ne nous laissent pas indifférentes. Ce ne sont pas non plus les mêmes mecs qu'elles ont connu. Aujourd'hui, ils sont beaux comme des dieux et ne ressemblent plus à ces syndicalistes barbus qu'on voit sur les vieilles photos. Ce monde est à nous. Et on va travailler pour payer les retraites de ces vieilles acariâtres. C'est révoltant quand on y pense.
  19. Valona

    J'aime les hommes

    Lorsqu'un esclave recouvre la liberté, jusqu'à la fin de sa vie, il va ressasser le temps de son esclavage. C'est comme un traumatisme dont il ne se défera jamais. Par contre, ses enfants ne sauront jamais de quoi il parle exactement. Et c'est tant mieux. Il en va de même pour ses "combats" d'un autre âge qui ne concernent plus que quelques vieilles rancunières encore en vie. Les vétérans des tranchées de 68 aussi...
  20. Valona

    J'aime les hommes

    Un monde médiocre, fait pour des médiocres, par des médiocres.
  21. J'aime les hommes J'apprécie leur compagnie. J'apprécie ce qu'ils sont. J'apprécie les émotions secrètes dont ils m'envahissent. Sans doute parce que j'apprécie la vie. Sans doute parce que je suis hédoniste avant d'être suspicieuse et paranoïaque. Je ne suis absolument pas féministe. Je n'ai aucun compte à régler avec ma féminité. Je n'ai aucun compte à régler avec ma condition de femme. Je n'ai aucun compte à régler avec les hommes. Je n'ai aucun compte à régler avec les conventions de la civilisation occidentale qui est la mienne. Même si je préfère être séduite, plutôt que d'être draguée, un petit mot gentil, un petit compliment, en faculté, en cours, ne constituent pas pour moi des agressions, des grossièretés ou encore des vulgarités de la part des messieurs ou encore de mes collègues étudiants. Bien au contraire. J'ai le recul nécessaire, la réflexion nécessaire, et je possède la capacité à l'humour. Ce qui ne m'empêche pas de remettre à leur juste place quelques mâles libidineux qui ne situent pas toujours très bien les limites de la bienséance. Mais, c'est ainsi depuis la nuit des temps. Pourquoi irai-je croire que c'est un reflet de notre société actuelle ? C'est ridicule. Je ne suis pas le genre de fille à être angoissée le matin. Je ne suis pas le genre de fille à être déprimée le soir. Je ne suis pas le genre de fille à être dépressive le reste du temps. Je ne suis pas le genre de fille à me prendre la tête. Je ne suis pas le genre de fille à transformer chaque petit détail fâcheux de ma vie en insoluble problème existentiel. Je suis optimiste. Malgré mon jeune âge, j'ai déjà compris à quel point tous les frustrés, tous les paranoïaques, tous les pervers, sont entrain de transformer notre existence en autant de prisons mentales. Un monde dans lequel tout contact est devenu suspect. Le sourire d'un inconnu dans la rue devient un délit. Un monde médiocre, fait pour des médiocres, par des médiocres. Pour vivre heureux, vivons cachés. Jamais cet adage populaire n'a eu autant de signification...
×