Aller au contenu

Persil-Fleur

Membre
  • Compteur de contenus

    7 008
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Persil-Fleur

  1. Dans l'histoire que je citais, c'est le cas. "L'autre femme" ( la maîtresse) était elle aussi mariée, sans aucune intention de quitter son mari avec qui elle a des enfants. Mais, celui-ci a peu à peu allongé considérablement la distance de leurs relations sensuelles. Ainsi que leur durée, se réduisant à un épisode un peu rapide pour elle et manquant de câlins. Cette femme ne concevait pas d'être avec un homme "juste pour le sexe" sans être amoureuse de lui. Elle a donc recherché un amant dont elle soit amoureuse. Et cet homme est lui aussi tombé sous son charme. Au final, la maîtresse est amoureuse de deux hommes : son mari et son amant. Son amant est amoureux de deux femmes : sa femme et sa maîtresse. Mais, aucun des deux n'envisage de quitter son conjoint. En effet, c'est long d'obtrenir une relation de confiance et d'amour absolu, impliquant notamment des enfants, une situation financière,.... D'ailleurs, au delà de la relation amoureuse, chaque personne garde ses qualités et ses défauts. C'est une chose de se rencontrer régulièrement pour passer un temps privilégié ensemble, sans les contraintes du quotidien (y compris pour des activités non sexuelles). C'est autre chose de vivre 100% de son temps avec cette personne, et de bâtir tous les compromis nécessaires pour qu'un couple fonctionne au quotidien. Il faut se méfier du miroir aux alouettes de la nouveauté par rapport à la sécurité et à la confiance d'une relation d'amour vieille de 10 ans, de 20 ans ou de 30 ans. Il est possible que la relation amant/maîtresse ne soit pas viable face à l'usure du quotidien, à la différence de la relation maritale qui a démontré sa capacité à défier le temps, et ce n'est pas un souci. Il s'agit uniquement de cas particuliers.. Chaque cas est unique. Chaque couple amant/maîtresse est unique. Probablement que pour Lastochka la situation est encore différente.
  2. Merci à toi pour ce très beau témoignange (tiens, je vais laisser la coquille) Ton récit m'a tiré une larme. Ou deux. C'est si difficile que l'autre ne ressente plus autant d'attrait pour un câlin intime et profond. Même si cela se passe bien à chaque fois... c'est un petit naufrage que d'autres envies passent avant celle-ci. La responsabilité est sans doute partagée. J'ai connu un cas où la femme était comme la tienne, profondément désolée, mais ne pouvait pas remettre en cause son cycle interne qui ne se commande pas. Le matin, elle commençait une approche physique. Elle lui disait "On n'a pas le temps ce matin, mais ce soir on en profitera mieux. On se fera une petite fête". Et puis, le soir elle était épuisée. Sa journée était passée par là. Et ses envies s'étaient envolées. Elle n'avait plus la force que de s'effondrer devant la télé. Et lui pleurait son rêve, caressé pendant la journée, de tendre câlin. Un jour, en discutant de cela, elle lui avait dit qu'elle comprenait sa détresse et qu'elle préférait qu'il fasse l'amour à l'extérieur plutôt qu'elle force sa nature. Mais, qu'elle ne voulait rien savoir de ça, car cela lui ferait trop mal. Lui , il avait assuré que le corps et les câlins étaient une réalité, mais que son coeur lui était acquis pour toujours. Par la suite, elle avait totalement oublié avoir prononcé ces mots. Et les récusait même. Mais, la graine était posée. Il avait trouvé une façon de ne plus souffrir tout en restant auprès de sa femme. Il est probable qu'elle sentait confusément cette situation là. Comme ta femme doit le sentir. Inconsciemment, elle devait percevoir que cela lui permettait de ne pas être pressant envers elle, de respecter son rythme, tout en ne niant pas sa propre personnalité. Ces récits sont toujours poignants, extrêmement émouvants. Car il s'agit d'amour avant tout, et de souffrance ou d'épanouissement de deux êtres amoureux.
  3. Merci de cette appréciation à contre-courant des avis habituels, Eriu Le couple c'est effectivement un équilibre à trouver entre les aspirations des deux personnes. C'est loin d'être facile. Le sexe n'est qu'un des nombreux domaines, avec l'alimentation, les loisirs, l'habillement, l'éducation des enfants, les vacances, les sports, les activités culturelles, l'intérêt des discussions, les sorties dansantes ou le cocooning, voire le programme TV et les films ou séries... où le couple devra s'accorder pour que chacun y trouve son plaisir. Les goûts ne pouvant être strictement égaux, cela demande des efforts pour aller vers l'autre, pour lui faire plaisir de façon équilibrée. Si l'on est pas prêt à faire plus de 3 fois l'amour avec son amoureux en 5 ans, il faut accepter de réfléchir avec lui au compromis le plus acceptable pour les deux personnes, dans l'intérêt du couple. Sachant que par ailleurs, on apprécie la plupart des autres domaines en commun. Naturellement, si on ne s'entend sur rien, il y a peut-être une erreur de casting. Mais, avant de se séparer au moindre domaine qui dysfonctionne, il faut en parler. Et la plupart du temps des solutions intelligentes existent pour que personne ne se sente contraint de faire quelque chose et que chacun soit heureux. Pour cela, il faut accepter de donner à l'autre un peu de liberté pour cultiver son jardin intime... ce qui lui tient à coeur et pour lequel on n'a pas nécessairement envie de le suivre. Très belle journée à vous, Eriu !
  4. La vie est si complexe. On est si différents les uns des autres. On fait chacun ce qu'on peut pour vivre heureux et donner du bonheur autour de soi. En même temps quand on aime sincèrement quelqu'un, on est si proche de lui. Alors, faut-il s'en éloigner pour des divergences corporelles quand les deux âmes sont soudées ? Si l'adultère avec sa part d'amour peut être un moyen d'éviter une séparation, alors c'est une bonne chose. Même si on sera tous d'accord pour penser que l'idéal serait que le couple soit en harmonie dans sa relation sexuelle sans avoir besoin d'aide venant de l'extérieur. Et des mensonges attenants, qui deviennent indispensables pour éviter la souffrance de l'autre. Quand, l'adultère permet de combler des manques affectifs et psychologiques chez les uns et les autres, qu'il fait suite à de longues discussions sur le sujet en vain avec le conjoint, il n'est pas nécessairement une menace pour les couples mais une solution. Pour les femmes par exemple, il arrive que certaines femmes mariées aiment profondément leur conjoint mais manquent de démonstrations de tendresse Si ce n'est pas dans sa nature, le conjoint masculin aura beau faire des efforts il restera toujours un peu distant et abrupt. L'amant peut leur apporter cette part d'attention, de compliments, de caresses et de tendresse qui leur manque pour avoir complètement confiance en elle, se sentir valorisées et pleinement heureuses. Sans que pour autant, il se substitue au mari. Ces idées sont particulièrement vraies dans le cadre de couples ayant une dizaine, une vingtaine, ou une trentaine d'années ensemble. C'est assez difficile de maintenir un couple dans la durée avec la même quantité de bonheur pour chacun.
  5. Il ne faut pas être triste pour Lastochka, mais heureux pour lui. Heureux qu'il ait réussi à préserver son couple malgré la bourrasque, voire la tempête. Il en a discuté avec sa conjointe. Et ils n'ont pas trouvé de compromis, ni de terrain d'entente. Elle n'a fait aucun effort pour passer de 3 relations sexuelles en 5 ans à ne serait-ce que 2 relations sexuelles par an. Une fois tous les 6 mois, ce n'est pas la mer à boire quand on aime quelqu'un et qu'on sait que son conjoint en souffre. Alors, que faire ? Insister, la forcer ? La quitter ? Se résoudre à la fin définitive de ses pulsions sexuelles envers l'autre et de toutes les caresses et la tendresse que cela implique ? La meilleure solution semble bien celle expérimentée par Lastochka, à savoir un report d'affection sur quelqu'un d'autre qui apprécie à sa juste mesure cet échange de tendresse et de sensualité. Qui en a besoin lui aussi parce qu'il vit la même chose inversée dans son propre couple. Cela évite de briser son couple, de faire du mal au conjoint qui vous aime toujours même s'il n'a plus envie de faire l'amour, de faire du mal aux enfants, à la famille, aux proches, aux amis,...
  6. C'est si vrai. La vraie fidélité c'est celle du coeur. Le corps n'est rien. Qu'on le partage avec d'autres n'a pas d'importance si cela n'altère pas le sentiment amoureux. Voire, si cela le renforce ou le maintient. Au contraire, après tant d'années de vie sexuelle commune, expérimenter d'autres choses ailleurs peut aider le couple à revivifier sa vie sexuelle. Aider à changer les habitudes, à innover. Aider à rester amoureux, à rester ensemble. La vraie infidélité envers l'autre c'est de le quitter. Tous ceux qui ont fait ça une fois dans leur vie sont de grands infidèles à leur compagne, compagnon, conjoint(e).
  7. C'est un très beau témoignage d'amour, Lastochka ! Un témoignage émouvant et sincère. Je connais plusieurs couples dans la même situation. Peut-on reprocher à quelqu'un de ne pas vouloir faire une croix sur la relation sexuelle dans sa vie ? Avec tout ce qu'elle comporte d'échange, de jeu, de tendresse, d'amour partagé ? En tout cas, à une époque où tout le monde quitte son conjoint et divorce pour un oui ou pour un non, c'est une belle continuité d'effort pour continuer à aimer son conjoint... alors que de son côté, bien que toujours amoureux, il n'a plus envie de partager ce moment d'intimité sexuelle si puissant et si fort qui renforce le couple.
  8. Il y a des gens comme vous, Léna, qui ont gardé une image idéaliste et exclusive du couple. C'est une belle chose. Mais réussissez-vous à vivre ce sentiment dans la réalité ? Êtes-vous toujours en couple actuellement, ou êtes-vous séparée ? Et puis, il y a des gens qui sont aussi partis dans la vie avec une vision très idéaliste de l'amour, et qui se sont également confrontés à des divergences d'envie dans le couple au quotidien. Mais, ils ont choisi de composer avec la vie. De trouver une forme de compromis. La plupart des gens autour d'eux se sont séparés, ont divorcé, ont choisi le chemin dur de la rupture face aux divergences. Mais eux, comme Lastochka ou d'autres, ont décidé de rester fidèles à leur amour pour leur conjoint. "Fidèles", ça veut dire qu'ils ont continué à l'aimer en dépit d'une divergence d'envies, de câlins, de tendresse, insupportable à vivre. Mais, pour autant, cet énorme besoin de tendresse n'est pas resté perdu au fond d'un puits. Ils ont trouvé une autre personne qui, elle-même, avait besoin de cette épaule à ce moment là. De l'amour est né avec cette autre personne. Quand on aime un enfant très fort, on ne cesse pas d'aimer ses autres enfants. Eh bien, c'est la même chose ici. Aimer très fort une nouvelle personne n'empêche pas de continuer à aimer très fort son conjoint. Au contraire, cela empêche d'avoir envie de choisir la facilité, et de le quitter. On a résolu le problème de divergence d'envies. On n'a plus de sujet de crispation dans le couple. Bien sûr, il reste cette gêne au quotidien de savoir qu'on fait des choses qui pourraient faire souffrir l'autre s'il en avait connaissance. C'est la raison pour laquelle il ne doit jamais le savoir, malheureusement. C'est un secret qui préserve le couple de la souffrance maximale. Il reste un peu de souffrance pour celui qui a l'amant(e). Mais, c'est le prix à payer pour sa part de tendresse et de bonheur recouvrée. Un coeur est infiniment grand. Il y a de la place pour tant de personnes dans un coeur aimant. Personne n'est lésé d'avoir une part très importante de ce coeur.
  9. Effectivement, la difficulté majeure du couple c'est de réussir à rester dans la séduction. La plupart du temps, avec l'arrivée des enfants, les couples basculent dans des statuts déséquilibrés, où le statut de parent se substitue en quasi totalité au genre homme/femme. Il me semble que ce syndrome touche plus particulièrement les femmes qui basculent plus facilement d'une vie de couple à une vie exclusive de parents (où la séduction et le sexe sortent en partie de l'équation). L'homme est souvent décontenancé et ne sait plus comment inverser la tendance, ou la rééquilibrer. Il n'y a pas de jugement de valeur de ma part. La vie est dure. Cumuler mari, enfants, foyer, job pour une femme est une vraie difficulté. Sans doute faudrait-il que le couple bénéficie d'un psychologue gratuit et systématique au premier enfant pour aider à passer les écueils de ce cap. Quand leur femme évolue d'un équilibre 80% femme/20% mère au sein de leur couple, à un équilibre 20% femme/80% mère dès le premier enfant, beaucoup d'hommes sont perdus. Et ce déséquilibre s'accentue au fil du temps. Beaucoup des infidélités que j'ai pu voir autour de moi, hommes comme (plus rarement) femmes étaient liées à une évolution très négative de ce rapport de séduction et à un rythme sexuel devenu très distant. Il est normal que ce rythme sexuel baisse avec l'âge. Toutes les études le montrent. La moyenne d'actes sexuels évolue de 2 fois par semaine à 20 ans, à 1 fois par mois à 50 ans. La relation évolue et les enfants modifient cette relation. Le souci c'est qu'il s'agit d'une moyenne. Certains couples passent à 1 fois par mois dès 30 ans et sont à 1 fois tous les trois mois à 50 ans. Quand on fait 12 fois l'amour dans l'année à 30 ans, cela signifie que la partie tactile de câlins, de caresses, de plaisirs sexuels échangés n'a plus de valeur. Sur 365 jours, le couple ne s'octroie que 12 occasions de célébrer leur amour de cette façon là. Et quand on fait l'amour tous les 3 mois, on peut dire que la sexualité a déserté le couple. Si c'est un choix commun tout va bien. Mais, tous les cas d'infidélité que j'ai pu voir autour de moi étaient liés à un décalage très important entre les envies des deux conjoints. Décalage qui créait un grand manque affectif et de communion tactile chez le conjoint "lésé" par rapport à la moyenne, qu'il soit homme ou femme. Et cette personne n'ayant pas réussi à infléchir le comportement de l'autre personne, se résolvait à chercher cette forme de partage et de réconfort affectif et physique chez une autre personne. Tout en continuant à aimer son conjoint. Il n'est pas rare ( c'est un grand nombre des cas de Glee...) que la femme mariée infidèle et l'homme marié infidèle créent une relation qui résolve leur deux frustrations, tout en créant une nouvelle relation amoureuse. Prouvant sans doute ainsi que la vie est plus complexe qu'on le pense. Et qu'il est possible d'aimer simultanément plusieurs personnes, comme on aime simultanément plusieurs enfants.
  10. Effectivement... il y a suffisamment de missions spatiales habitées ou non qui ont ramené des photos, venant de pays très différents, URSS, USA, Chine,... pour que ce soit impossible de truquer l'ensemble des photos
  11. Ravi de retrouver sur ce post un semblant de réflexion rationnelle ! Nos profils "non-complotistes" concordent à la question près. J'ai exactement la même hésitation. Euh... regarde plutôt une quelconque photo prise depuis l'espace par des astronautes. Ca ira plus vite !
  12. Oui, hi hi Par curiosité, tu réponds "oui" à combien de ces questions ?
  13. Ce n'est pas très difficile de définir à quoi ressemble ce noyau dur de gens "complotistes". Chaque personne étant unique tu ne trouveras pas ce que tu cherches... à savoir une homogénéité parfaite de croyances comme dans une secte. Ce n'est pas non plus, ce que dit l'étude IFOP. Les deux études IFOP 2018 et 2019 montrent autre chose. Elles montrent qu'il existe en France (comme d'autres études le montrent en Europe) un noyau dur d'environ 20/25% de la population particulièrement crédule envers les théories complotistes, quelles que soient ces théories. Ce n'est donc pas une secte, mais un noyau de gens perméables et crédules - (du fait d'un niveau d'études assez bas pour la majorité). Les questions de l'étude 2019 portent sur des théories complotistes sans lien avec les questions 2018 (à peine 3 questions en commun). Pourtant, on retrouve un même noyau dur de 20/25% de gens qui croient à 5 théories complotistes et plus. Cela signifie que ces gens là ont en commun certaines des croyances (celle sur l'industrie pharmaceutique), mais ont surtout en commun une personnalité assez paranoïaque, les conduisant à croire n'importe quelle théorie complotiste farfelue circulant sur le net. Leur forme de cerveau et de personnalité, rétive aux enseignements scolaires et scientifiques, est influençable ou paranoïaque. En cela, elle est perméable à toutes sortes de croyances irrationnelles et farfelues. C'est la raison pour laquelle on retrouve ces gens là en grande proportion dans les mouvements populistes en Italie ou en France (gilets jaunes). C'est assez inquiétant. Cela signifie que ces citoyens ont décroché d'une forme de pensée rationnelle. Ils sont inaccessibles à un débat quelconque. Ils sont facilement mobilisables par les extrêmes. Leur forme de pensée est trop méfiante, défiante, et incohérente pour qu'on puisse les convaincre de leurs erreurs. Ils sont si différents du citoyen "moyen" que leur montrer des preuves irréfutables ne sert à rien. Tout ce qui existe autour d'eux est ressenti comme maquillé ou trafiqué par une "élite" qui cherche à les asservir.
  14. Persil-Fleur

    Chansons françaises

    Au milieu de toutes nos failles béantes, un souffle de douceur...
  15. Ma réponse était si innocente qu'elle a disparu au milieu du torrent de mots crus qu'un inconnu masqué a déversé ici Alors là... je ne vois pas du tout de quoi tu parles S'il y a quelqu'un qui ne sait pas ce que veut dire le mot "excessif", c'est bien moi. Avec Prométhée, notre devise c'est "mesure, mesure... et mesure !" (la taille du sexe) Alors tu vois, on ne risque pas d'en rajouter ! Chui plus là non plus. Je pars en voyage de noces avec Plouj pendant une semaine. Bonne semaine !
  16. Bon, Kâli ne t'inquiète pas... on a un peu dérangés quelques meubles de ci de là pour animer ton post. Mais, on va tout nettoyer (la bave des escargots) et tout ranger (les godemichets) L'important c'est qu'on s'est montrés super fidèles à ton post sur l'infidélité !
  17. N'oublie pas de jeter un oeil à mon texte définitif avant le cantique de Fauré (il y a un mot doux pour toi) Douce nuit à toi, il y avait beaucoup d'émotions à expurger ce soir Une pensée tendre pour vous deux.
  18. Magnifique, en vérité ! En plus on nous reconnait bien, côte à côte...
  19. Ah, tu es trop beau mon Prométhée ! Et je n'ose imaginer la longue tige fleurie qui pousse harmonieusement vers le ciel, un peu plus bas... Euh mon Prométhée, surtout va relire mon inter. Il y a un mot pour toi dedans. Mais, tu as répondu pendant que je modifiais encore, n'ayant pas terminé...
×