marine10

Ils ont déjà trouvé chaussure à leurs pieds. Commerce de la drogue. Ils sont correctement payés.

Je supposes que tu as voulu dire : "Tu ne mets pas la table..." C'est la meilleure des sanctions, celle employée par une peuplade de l'Océanie (J'ai oublié laquelle et pas retrouvé). L'individu qui a commis une faute dans sa tribu cesse d'exister jusqu'à ce qu'il supplie d'être réintégré. Tout le monde fait comme s'il n'existait plus : on ne lui parle plus, on regarde au travers de lui, on ne l'aide plus. Pour moi, un enfant qui déconne, je ne m'occupe plus de lui, je ne lui mets plus son assiette, je ne lave plus son linge, je ne lui parle plus. T'inquiète pas. Il revient vite s'excuser.

Trois gouttes de sperme de taureau dans ta tisane et ta mémoire reviendra. Atchoum !

J'adore quand j'entends des parents hurler dans la rue ou dans un magasin :"Je te préviens, si tu continues, je vais sévir". Et de menacer, remenacer, reremenacer... sans rien faire bien sûr. Qu'est-ce qu'il doit se marrer, le morveux qui, finalement obtiendra gain de cause !

Mais non ! On sait très bien que tu n'es pas au courant après avoir lancé une pique au RN et LREM ? Comique, va !

Ca y est ! Notre Pascounet a un nouveau cheval de bataille : celui de démontrer que la racaille a raison de taper sur le Rrom. C'est évidemment la faute a Macron, encore une fois.

Ne pas oublier que chaque gosse a sa personnalité : il y a des petits cons et il y a des bonnes pâtes sympathiques. Dire que "Je ne n'ai jamais donné une (petite) baffe à mon gosse. Je suis un parent modèle. Je suis digne d'admiration. Les autres parents sont nuls, ne sachant pas s'y prendre, relève de la vantardise, de la brosse à reluire auto-satisfaite. Le jour où j'aurai un morveux qui viendra me les briser quotidiennement malgré mon désir de discuter ou de bien faire, il se prendra une baffe (ou une punition pour ceux qui détestent les contacts un peu virils) pour le remettre au pas. Point barre. Remarque : j'ai déjà eu des fessées (Merci à mes parents qui ont su me montrer la limite à ne pas franchir).

On en a de la chance !

C'est fou le mal qu'on se donne pour taire l'identité des agresseurs de ces Rroms alors que d'autres sont mis aussitôt en pâture sur la place publique. Deux poids, deux mesures ?

Ce sont surtout les bisounours qui se prennent des soufflantes. MDR

Devine. C'est la devinette de l'année.

C'est pourquoi j'ai abandonné la discussion.

On n'éduque pas un enfant à coups de baffes. Il s'en prend seulement une quand il franchit une certaine ligne entre l'attitude irrespectueuse et le respect. Dans ce cas, il comprend très vite.

Ce sont surtout les psychologues scolaires qui me sortent par les yeux. Ils prétendent donner des leçons aux enseignants alors qu'ils se mettent très rarement en situation, tous comme les Inspecteurs d'ailleurs.

Décédée ? Tu es sûr ?

Demande à Claude Halmos. Elle sait tout sur tout. Je l'appelle Madame Yaka.

Sauf qu'elle dégénère souvent en cancer bien plus tard.

Chut !

Après une telle éducation, on s'étonne qu'une fois devenu adulte, il manifeste dans la rue en insultant les autorités, en hurlant, en exigeant tout tout de suite sinon, il casse tout.

Une bonne baffe et j'aurais vite fait de régler le problème. Deviennent de plus en plus débiles, nos psychologues.

Mais qui sont ces vilains agresseurs de Roms ?

J'entendais les mêmes sons de cloche quand on avait Hollande, Sarkozy et les précédents. La critique est facile, l'art est difficile surtout quand on a affaire à des gens inertes qui jalousent les gens sérieux qui travaillent tout en essayant d'améliorer de façon sensée l'état du pays, pas en hurlant et cassant tout.

Aller habiter aux Philippines ? en Turquie ? Au Vénézuela ? en Corée du Nord ? et autres pays sanguinaires ?

Ce sont les signes avant-coureurs d'un nouvel ordre à la GJ.

Montpellier: Des policiers déguisés en «gilets jaunes» pour appréhender les casseurs. https://fr.news.yahoo.com/video-montpellier-policiers-déguisés-gilets-104320989.html Etonnant que mon Pascounet n'a pas encore commenté ce fait divers tragique : "Je vous l'avais bien dit. Nous sommes en pleine dictature. On trompe sans vergogne nos Gj."