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SPQR

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  1. SPQR

    éloge du socialisme

    Je suis plutôt d'accord avec ça. A noter que pour Arendt le fascisme italien était plutôt une dictature, le régime nazie et l'Union soviétique des totalitarismes. Dans son ouvrage c'est effectivement le totalitarisme qui pose question...
  2. SPQR

    éloge du socialisme

    Personnellement je ne suis pas tout à fait d'accord entre le rapport qui est partout (sur internet, dont Wikipédia) systématiquement fait entre nationalisme et impérialisme. Mais bon, passons. Ce que tu dis n'est pas faux, mais tu n'évoques là qu'une des nombreuses formes du nationalisme, cependant, effectivement il y a une très grande proximité entre impérialisme et nationalisme, comme disait lui-même Théodore Roosevelt. Mais pour ce qui est du National-socialisme revendiqué comme tel ça ne change rien. Pourquoi donc chercher à opposer ce qui se rejoint ? L'Allemagne nazie est un régime politique socialiste-national, il y a bien un socialisme de type nationaliste dans l'Allemagne Hitlérienne… pourquoi vouloir à tout prix dissocier les deux comme si c'était une chose impossible à concevoir ? : "Exemples de définitions et de classements de nationalismes[modifier | modifier le code] Un exemple de classement[modifier | modifier le code] Le politologue Denis Monière classe le nationalisme sous deux typologies44 : une typologie dite « classique », basée sur les critères d'appartenance, qui fait la distinction entre le nationalisme civique ou politique et le nationalisme ethnique ou culturel. Chacun renvoie à une conception de la nation bien particulière ; une seconde, basée sur des critères basés sur les objectifs, comprend quatre groupes : nationalisme de domination, nationalisme de libération, nationalisme de conservation, nationalisme de revendication. "https://fr.wikipedia.org/wiki/Nationalisme
  3. SPQR

    éloge du socialisme

    Par certains aspects c''était un internationaliste, il voulait créer un monde nouveau. Il faut lire Mein Kampf dans lequel Hitler explique que l'Allemagne et trop petite face aux empires de taille mondiale qu'étaient les USA, la Grande-Bretagne, l'Union Soviétique (et la Chine, je sais plus ?), il pensait que si l'Allemagne n'avait pas une politique impérialiste, d'expansion territoriale et de domination économique et culturelle , elle allait finir par disparaître… Elle devait, elle aussi, devenir un empire de taille planétaire. De ce point de vue, en me référant à la définition que tu proposes ici (et avec laquelle je suis d'accord) le nationalisme n'explique pas tout concernant le nazisme.
  4. SPQR

    éloge du socialisme

    Si c'est très important au contraire, je te renvoie à l'ouvrage de Hayek, La route de la servitude. Hayek, contrairement à ce que certains pensent ici, n'était pas seulement un économiste, mais aussi un philosophe, La route de la servitude n'est pas un ouvrage économique, plutôt une réflexion (pas vraiment un ouvrage philosophique non plus) sur la nature du socialisme, c'est un essai en fait. "La thèse du livre[modifier | modifier le code] Collectivisme, planification et servitude[modifier | modifier le code] Le collectivisme, dont la forme historique dominante est le socialisme, a plusieurs objectifs initiaux. Pour certains il signifie égalité, justice sociale et permet une meilleure régulation et une stabilité accrue du système économique. Toutefois « la direction centralisée de toute l’activité économique conformément à un plan unique, exposant comment les ressources de la société doivent être consciemment dirigées pour atteindre d’une manière déterminée un but déterminé » risque en fin de compte de servir un groupe particulier, par exemple une élite raciale (en Allemagne) ou les seuls membres d’un parti politique (en URSS). La planification économique coïncide avec l’émergence du fascisme, du communisme, et nuit gravement aux libertés individuelles selon Hayek." https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Route_de_la_servitude Le nazisme C'était un national-socialisme, en Allemand socialisme-national. Ce n'est pas le nationalisme en tant que tel qui est la cause de la deuxième guerre mondiale, mais l'impérialisme allemand.
  5. Je veux bien répondre (je dirai clairement ce que je pense), mais toi avant, qu'en penses-tu ?
  6. Un cercle vicieux, très dangereux...
  7. SPQR

    éloge du socialisme

    Tu as bu et/ou fumé quoi avant de lire ce texte ?
  8. SPQR

    éloge du socialisme

    = Mais non pas une comparaison ! Je relève un point commun entre les deux, ce n'est pas une comparaison ! Relis ce que j'ai écrit ! Un effort de compréhension de ta part serait la bienvenue ! Tu as l'outrecuidance de me taxer d'inculte, mais vu ton incapacité à comprendre un truc tout bête, tout simple, parfaitement logique, ça fait rire. Si tu n'es pas capable de différencier "comparaison entre les contenus" et "point commun entre deux choses distinctes" ce n'est pas la peine de continuer cette conversation avec toi. Mais si, toi-même tu l'avais admis dans notre discussion, je nous cite: "Je ne comprends pas de travers, ça s'appelle bien faire une comparaison. = Il y a eu différence entre comparer deux sites sur leur contenu et les comparer sur le fait qu'ils soient orientés. " je ne sais pas si j'ai une incapacité quelconque à la compréhension, nulle doute que toi tu as une incapacité flagrante à conserver le même discours, d'une page à l'autre. … Il est tout à fait possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un, mais à un certain point on peut appeler ça une maladie. = Soit, tous ceux qui te rejoignent sont les normaux et tous les autres sont bons à enfermer. Pourquoi discuter avec toi, franchement ? Sophisme. = Un sophisme est un raisonnement faux qui a l'apparence de la vérité. Donc quel rapport avec ma phrase au-dessus ? je t'ai déjà répondu, réfléchis avec ta tête s'il te plaît avant de répondre n'importe quoi, ne me fais pas répéter, merci, ce que j'ai dit: "je dis bien dans ma phrase qu'il est possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un , j'ajoute simplement qu'à un certain degré ça peut devenir une maladie. rien de plus. " Cette réponse concerne ta critique de ma phrase (que j'ai mise en vert) un peu plus haut, je la répète: "Il est tout à fait possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un, mais à un certain point on peut appeler ça une maladie." Donc, ta réponse est un sophisme: "Soit, tous ceux qui te rejoignent sont les normaux et tous les autres sont bons à enfermer. Pourquoi discuter avec toi, franchement ? " Ce raisonnement est faux, il n'a que l'apparence de la vérité. Je n'ai à aucun moment prétendu que ceux qui pensent comme moi sont normaux et les autres non. ... = Pas parlé de toi, mais de ton article. Pas de ta façon de penser mais DU CARACTERE OBLIQUE DE TON ARTICLE : Pfffffff. C'est fatigant. Arrête un peu la paranoïa. Et tu continues… tu ne fais que ça, parler de moi. Dans ma définition, le socialisme revendique la prise de possession et le contrôle par l'Etat des moyens fondamentaux de production (nationalisation) et de distribution des richesses, à l'aide de moyens pacifiques, démocratiques et parlementaires. Il s'oppose à la hiérarchie par la race et est favorable au rassemblement des peuples et à la coopération entre eux. Et bien voilà, elle est très jolie ta définition du socialisme, elle est très idéaliste. Mais c'est très bien, je suis à peu près d'accord (pour une fois) avec toi. Le nazisme théorise une hiérarchie au sein d'une espèce humaine divisée en « races », au sommet de laquelle elle place la « race aryenne ». Le nazisme est le seul type de fascisme incorporant à la fois racisme biologique et antisémitisme. Par extension, le terme nazisme désigne le régime politique inspiré de cette idéologie, dictature totalitaire et expansionniste dirigée par Adolf Hitler de 1933 à 1945 et connue sous les noms de Troisième Reich ou d'Allemagne nazie. Et au sujet de la prise de possession et le contrôle des moyens fondamentaux de production, il n'était pas question d'employer des moyens pacifiques, ni de partager avec tous les individus mais seulement avec ceux répondant aux critères de la race aryenne. Le recours à la force était encouragé. Pour finir, le nazisme était pangermaniste, mais pas favorable au rassemblement des peuples. Plusieurs intervenants t'ont expliqué cela. Je me donne la peine de le faire tout en sachant que ce sera en vain parce que tu ne te fais pas l'effort de comprendre. Les arguments qui ne vont pas dans ton sens, tu les rejettes comme des non-arguments. Serais-tu fidèle à la doxa non-dominante pour ta part ? Genre celle qui a fait du forum orange un lieu infréquentable ? Le forum orange, c'est à dire ? Mais ma chère, j'ai très bien compris ce que certains ici ont expliqué concernant le nazisme, je me contente juste d'affirmer que la théorie socialiste n'est pas fondamentalement contradictoire avec une idéologie racialiste, il n'existe pas une théorie unique et merveilleuse du socialisme gravée dans le marbre, qui aurait été fixée pour l'éternité telle une vérité indiscutable et sans tâche… C'est exactement comme l'idée de démocratie, les Etats-Unis ont été une grande démocratie alors même que dans une grande partie de ce pays les hommes noirs étaient traités en esclaves et les amérindiens chassés de leurs terres. Tu idéalises l'idée de socialisme. Ce n'est pas anormal d'idéaliser, mais attention, l'excès en tout est un vice, disait le philosophe Sénèque. Tu prends trop à cœur ce sujet sur le nazisme. J'ai constaté, par ailleurs, que tu sembles croire que j'ai horreur du socialisme et que j'essaie de le disqualifier par le biais de l'idéologie nazie… alors je te rassure, ce n'est pas le cas.
  9. SPQR

    éloge du socialisme

    mais d'où tu sais qu'ils ne l'ont pas été, c'est quoi ta réflexion, ton argumentation à ce sujet ? …………………. Je réitère, attends ta réponse.
  10. SPQR

    éloge du socialisme

    Je ne comprends pas de travers, ça s'appelle bien faire une comparaison. = Il y a eu différence entre comparer deux sites sur leur contenu et les comparer sur le fait qu'ils soient orientés. Exemple : un site de propagande d'extrême droite et un site de propagande d'extrême gauche, leurs contenus respectifs diffèrent mais leur point commun est que ce sont deux sites radicalement orientés. Je le redis mais sans espoir que tu aies compris, une fois de plus. Il y a une différence mais ça reste une comparaison. Donc je ne me trompe pas. Mais là je ne suis pas sûr de ton honnêteté, je pense en tout cas qu'au départ tu as voulu sous-entendre une extrême négativité concernant Contrepoints en faisant cette comparaison. Ce n'est pas un hasard, et c'est très vicieux même comme procédé, un procédé discutable. Il est tout à fait possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un, mais à un certain point on peut appeler ça une maladie. = Soit, tous ceux qui te rejoignent sont les normaux et tous les autres sont bons à enfermer. Pourquoi discuter avec toi, franchement ? Sophisme. je dis bien dans ma phrase qu'il est possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un , j'ajoute simplement qu'à un certain degré ça peut devenir une maladie. rien de plus. = Je ne me concentre pas sur toi, pour la énième fois (bon sang que tu es dur de la feuille) mais sur le caractère oblique du texte de contrepoints. C'est faux, tu ne parles que de moi, ta réflexion se limite à un jugement sur ma façon de penser, et à me dire que je choisis mal les journaux que je lis, tu ne parles pas du texte de Contrepoints, qui est à l'origine de ce topic. Tu n'as produit aucune réflexion critique sérieuse sur ce texte. Pour le reste, Hitler s'est prétendu socialiste ? Goebbels aussi ? Et alors qu'est-ce que ça change au fait qu'ils ne l'aient pas été ? mais d'où tu sais qu'ils ne l'ont pas été, c'est quoi ta réflexion, ton argumentation à ce sujet ? Il est normal que des socialismes diamétralement différents prétendent chacun être le vrai socialisme et que celui d'en face est un faux, je ne reproche pas à Benoît Hamon de rejeter superficiellement (par idéologie) la qualification de socialisme du nazisme, je te demande de m'expliquer en quoi , pour toi, le nazisme n'est pas un socialisme: ce à quoi tu vas forcément me répondre que le socialisme ne peut pas coïncider avec le racisme ou la haine de l'autre, la haine de classe par exemple, et c'est là que je te dis que tu te trompes. Tu as une vision très restrictive du socialisme qui t'empêche de rechercher et d'admettre la vérité. C'est pourquoi toutes les citations ou les preuves n'y changeront rien: tu crois, tu es une croyante, tu es une fidèle de la doxa dominante. Ne me relance donc plus à prétendre que j'ai dit ceci alors que tout le monde peut constater que j'ai dit cela, cela n'a aucun sens ! Tu ne fais que t'enfoncer. Ah bon Tu mens. Là encore je n'ai pas exigé que cela aille dans mon sens, je t'ai parlé d'orientation des sites, de fiabilité, du caractère oblique de ton texte. Et, un bon conseil : surveille ton langage ! Moi aussi j'aurais pu être tenté de t'insulter de malade mental ou autre, de dire que tu dis de la merde, mais je ne l'ai pas fait parce qu'on va rester polis, n'est-ce pas ?! Non, je ne mens pas, tu n'exiges pas que ça aille dans ton sens mais tu fais tout pour. Je surveille mon langage, crois-moi. Ce n'est pas t'insulter que de constater que tu ne connais rien, comprends rien au sujet dont tu parles ici.
  11. SPQR

    éloge du socialisme

    Il faut que ça aille dans ton sens peut-être ? Mais tu ne connais rien, tu es inculte, donc la parole la plus sérieuse n'a pour toi pas plus de validité que le bruit de la chasse d'eau entraînant le caca au fond du trou... Contrepoints n'est pas un journal facho, c'est tout, il n'y a aucune raison pour qu'ils rapportent des conneries sur le nazisme. Que veux-tu que je te dise ? La discussion ne peut pas aller plus loin entre nous.
  12. SPQR

    éloge du socialisme

    Ah oui, c'est sûr ! Je ne comprends pas de travers, ça s'appelle bien faire une comparaison. Il est tout à fait possible de ne pas être d'accord avec quelqu'un, mais à un certain point on peut appeler ça une maladie. J'aurais préféré que plutôt que te concentrer sur moi pour m'expliquer que je dis des conneries, tu me dises pourquoi Contrepoints ment, selon toi, parce qu'alors tout le monde ici saurait enfin pourquoi ces citations d'Hitler et ses amis dans ce journal. Pourquoi Goebbels a dit ceci, à moins que ce soit une invention de Contrepoints ? Ce qui serait grave a mon avis. Pourquoi sommes-nous socialistes ? Par Joseph Goebbels Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand. Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie ! Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive. Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées. Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste. Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste. Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé. Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme ! Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme ! Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste ! Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands ! J'attends toujours ton argumentation, avec citations à l'appui (c'est important), et pas une argumentation du style : c'est faux, le nazisme c'est pas ça. Parce que ça c'est trop facile.
  13. Je ne prétends pas que les classes populaires des cités ne sont pas concernées, mais comment tu sais que les tenants des trafics en tout genre ne le sont pas eux, concernés ? Le jeune, A Fofana, qui , hélas!, est mort n'était pas seulement un représentant des classes populaires, mais aussi un grand délinquant d'après ce que j'ai lu ici et là… Et être issu des classes populaires ne signifie pas qu'on est un ange, ni que celle-ci et au-dessus de tout soupçon.
  14. SPQR

    éloge du socialisme

    Mais pas au point d'être orientés radicalement. De même qu'Egalité et réconciliation, contrepoints est un de ces sites radicalement orientés. C'est de notoriété publique, je n'invente rien et pas besoin d'aller consulter Wikipédia. Moi, je le dis, c'est pour ton bien : si tu tiens à être pris au sérieux sur ce forum, vaut mieux éviter de tirer tes sources sur un site radical ou ne mangeant que grâce au buzz. Fichtre! tu compares carrément Contrepoints à Egalité et réconciliation… tu n'y vas pas de main morte. Je crois que c'est de notoriété publique uniquement dans le cerveau malade de certains. Ne t'inquiète pas de savoir si je veux être pris au sérieux, ce que les imbéciles heureux pensent de moi et le dernier de mes soucis... c'est pas moi le sujet. Bon, inutile de répondre au reste. C'est pas le sujet du topic.
  15. SPQR

    éloge du socialisme

    Tu as dit que les américains étaient contre, n'aimaient pas de Gaulle ? Tu as complétement raison, je conseille à ceux qui l'ignorent de lire, par exemple, le très bon ouvrage de François Kersaudy sur les relations entre de Gaulle et Roosevelt : De Gaulle et Roosevelt : le duel au sommet.
  16. SPQR

    éloge du socialisme

    3. « Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémite – et l’opposé, dans ce cas, c’est le Matérialisme et le Mammonisme, auxquels nous cherchons à nous opposer. » « Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ? » Adolf Hitler Un bêtisier historique.
  17. SPQR

    éloge du socialisme

    Pourquoi sommes-nous socialistes ? Par Joseph Goebbels Nous sommes socialistes parce que nous voyons dans le socialisme, qui est l’union de tous les citoyens, la seule chance de conserver notre héritage racial et de récupérer notre liberté politique et rénover notre État allemand. Le socialisme est la doctrine de la libération pour la classe ouvrière. Il favorise la montée de la quatrième classe et son incorporation dans l’organisme politique de notre patrie, et il est inextricablement lié à la rupture de l’esclavage présent, recouvrant la liberté allemande. Le socialisme, par conséquent, n’est pas simplement une question relative à la classe opprimée, mais celle de tous, pour libérer le peuple allemand de l’esclavage et est l’objectif de la présente politique. Le socialisme atteint sa véritable forme qu’au travers d’une fraternité de combat total avec les énergies d’avant-garde d’un nationalisme nouvellement réveillé. Sans le nationalisme il n’est rien, seulement un fantôme, rien qu’une théorie, un château dans le ciel, un livre. Avec lui, il est tout, l’avenir, la liberté, la patrie ! Le péché de la pensée libérale a été de négliger les forces de construction de la nation du socialisme, laissant ses énergies partir dans des directions antinationales. Le péché du marxisme a été de dégrader le socialisme en une question de salaires et d’estomac, de le mettre dans une situation de conflit avec l’État et son existence nationale. Une compréhension de ces deux faits nous conduit à un nouveau sens du socialisme, qui voit sa nature nationaliste, de renforcement de l’État, libératrice et constructive. Le bourgeois est sur le point de quitter la scène historique. À sa place viendra la classe productive des travailleurs, la classe ouvrière, qui a été opprimée jusqu’à aujourd’hui. Elle commence à remplir sa mission politique. Elle est impliqué dans une lutte dure et amère pour arriver au pouvoir politique, tandis qu’elle cherche à faire partie de l’organisme national. La bataille a commencé dans le domaine économique ; ellel finira dans le politique. Ce n’est pas seulement une question de salaires, ni seulement une question de nombre d’heures de travail par jour – bien que nous ne pourrons jamais oublier que c’est là une partie essentielle, peut-être même la plus importante de la plate-forme socialiste – mais beaucoup plus une affaire d’intégration d’une classe puissante et responsable dans l’État, peut-être même d’en faire la force dominante des politiques futures de la patrie. La bourgeoisie ne veut pas reconnaître la force de la classe ouvrière. Le marxisme la corsète dans un carcan qui la ruine. Alors que la classe ouvrière, se vidant de son sang, se désintègre peu à peu dans le marxisme, la bourgeoisie et le marxisme se sont entendus sur les lignes générales du capitalisme, et ont pour tâche maintenant de protéger et défendre cet état des choses de diverses manières, souvent dissimulées. Nous sommes socialistes parce que nous voyons la question sociale comme une question de nécessité et de justice pour l’existence même d’un État pour notre peuple, non pas une question de pitié bon marché ou de sentimentalisme insultant. Le travailleur réclame un niveau de vie qui correspond à ce qu’il produit. Nous n’avons pas l’intention de mendier pour ce droit. L’intégrer dans l’organisme étatique n’est pas seulement une affaire importante pour lui, mais pour la nation toute entière. La question est plus large que la journée de huit heures. Il s’agit de former un nouvel état de conscience qui inclut tous les citoyens productifs. Étant donné que les pouvoirs politiques actuels ne sont pas capables ni désireux de créer une telle situation, le socialisme doit se battre pour l’atteindre. Il est intérieurement et extérieurement un slogan de la lutte. A l’intérieur, il vise en même temps les partis bourgeois et le marxisme, parce que les deux sont des ennemis jurés de l’État ouvrier à venir. A l’extérieur, il est dirigé contre tous les pouvoirs qui menacent notre existence nationale et l’avènement de l’État national-socialiste. Le socialisme n’est possible que dans un État qui est uni au niveau national et libre au niveau international. La bourgeoisie et le marxisme sont responsables de ne pas avoir atteint les deux objectifs, l’unité nationale et la liberté internationale. Peu importe que ces deux forces se présentent comme nationales et sociales, elles sont les ennemis jurés d’un État national-socialiste. Nous devons donc briser politiquement ces deux groupes. Les lignes du socialisme allemand sont nettes, et notre chemin est dégagé. Nous sommes contre la bourgeoisie politique, et pour un authentique nationalisme ! Nous sommes contre le marxisme, mais pour un vrai socialisme ! Nous sommes pour le premier État national allemand de nature socialiste ! Nous sommes pour le Parti national-socialiste des travailleurs allemands !
  18. SPQR

    éloge du socialisme

    Je ne m'étale pas là-dessus, c'est hors-sujet. Mais bien évidemment je peux t'expliquer pourquoi je prétends que ce n'est pas la raison de l'intervention française en Algérie. Mais pas ici, c'est tout, c'est pas le sujet.
  19. SPQR

    éloge du socialisme

    Théorie foireuse, mon petit univers lol Non, c'est vrai Hitler était, et se revendiquait socialiste. Merci pour ta petite "propagande" d'extrême gauche. Tu ne veilles à rien du tout, tous les journaux sont orientés en matière politique, ce qui ne signifie pas qu'ils mentent ou que tu dois être systématiquement d'accord avec eux. Non je n'ai pas dit que les socialistes sont méchants, je le répète: tu amalgames tout, il n'y a pas un socialisme, il y a autant de visions socialistes qu'il y a de socialistes, et de conceptions du socialisme qu'il y a des théoriciens du socialisme. C'est toi qui est dans ton petit univers, en compagnie de Gouderien, qui n'avaient pas, tous les deux, suffisamment de culture politique. Comme je l'ai dit plus haut, tu penses que Contrepoints est un journal de droite parce que c'est ce que tu as lu, qui est rapporté dans Wikipédia sur ce qu'en dit le journal lui aussi très orienté Libération. Tu n'as rien lu d'autre, jamais, tu ne connais pas, ne maîtrises pas ce sujet, c'est tout. Tu ne discutes pas du nazisme, tu te contentes de t'attaquer à moi avec tes ridicules préjugés, en affirmant péremptoirement que je suis sophiste, de droite, que j'ai une théorie foireuse etc... Moi je pense que tu n'as même jamais rien lu en soi sur la gauche, le socialisme (je ne parle pas du nazisme là), sinon tu n'aurais pas ce genre de réaction complétement hystérique. C'est marrant au départ, et c'est ce à quoi je m'attendais de la part de personnes comme toi, mais à la longue c'est vrai que ça devient lourd. Calme toi et va étudier ton sujet. Et surtout arrête de croire que je viens ici parler du nazisme pour amalgamer négativement tous les socialismes.
  20. SPQR

    suppression compte

    Les responsables du forum en pensent quoi ? Personnellement je trouve assez normal qu'on puisse partir tout aussi simplement qu'on est arrivé, sans demander la permission.
  21. SPQR

    éloge du socialisme

    Loargan Cesse de venir affirmer que je ne suis pas sérieux ou que ceci et cela, c'est pas moi le sujet... argumente, explique nous en quoi l'article de Contrepoints est mensonger, cite tes sources, mais vraiment, arrête d'affirmer des choses autour d'un sujet que tu ne comprends pas toi-même, ça devient lourd. Pourquoi la petite bourgeoisie ? Je suis juste curieux.
  22. SPQR

    éloge du socialisme

    Non c'est faux, l'Algérie n'a pas été conquise pour cette raison.
  23. SPQR

    éloge du socialisme

    Oui, effectivement.
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