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Tout ce qui a été posté par aliochaverkiev
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On finit toujours par se lasser... de tout !
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Argument d'autorité ? Sois mon roi, je te donnerai ma fascination. -
Oui, je te suis. Pourquoi y aurait il quelque chose de caché ? Ce qui signifie : y-a-t-il une réponse cachée à nos interrogations ? Je pense qu'il n' y a pas de réponse cachée. Nous devons créer. Je veux dire : nous avons en nous des pulsions, des désirs, des tensions...dont le but n'est pas à rechercher dans le passé, dans l'origine. Le but nous échappe, le but échappe même à nos pulsions. Les fins, nul ne les connaît. (A moins de croire en un Dieu qui les connaît). Mais, si je tente d'être lucide, je me dis : et s'il y avait quelque chose qui tendait vers un but ? En fait nous n'en savons rien. Comme nous ne savons rien du but recherché dans le cas où ce "quelque chose" existerait.
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On finit toujours par se lasser... de tout !
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Il avance ses pions le bougre. Je vais sortir ma reine. -
On finit toujours par se lasser... de tout !
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Ah ! ah ! ah ! le normalisé marque son territoire. oui. Petit pois est toute excitée, nous sommes tous émus. -
On finit toujours par se lasser... de tout !
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
Qia Vous nous ressortez tous ce que vous avez lu, sans distance. Une sorte de réingurgitation de toutes les études tentées par quelques spécialistes de "l'âme" humaine ( ha ha ha!!). Et ça y va, et la la lère, "J'ai bien appris la leçon, m'sieur, j'ai 20 sur 20 ?" . Bon , je vous note, my little boy, je vous donne un bon 10 sur 20. Peut mieux faire. -
On finit toujours par se lasser... de tout !
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de deja-utilise dans Philosophie
En effet il y a cette lassitude chez beaucoup de personnes âgées, une lassitude physique. Je ne suis pas sûr que les "anciens" meurent tous en toute sérénité. Souvent ils ne voient pas la mort arriver ou ne veulent pas la voir arriver, ultime combat pour affirmer un dernier souffle de vie : nier la mort. -
Quand j'essaye de "voir" ce qui différencie l'attitude des commentateurs de ce "fil", de mon attitude, je découvre qu'ils, les commentateurs, tiennent un discours sur la conscience, alors que je tente de faire l'expérience du fait conscient, de saisir quelque chose de l'expérience du fait conscient. Comment puis-je dire l'expérience du fait conscient ? Dès que nous prenons de la distance nous tenons un discours sur le fait conscient et nous parlons alors de la conscience. Comme un individu qui marche pour faire l'expérience intime de la marche, tandis que les spectateurs tiennent un discours sur la "marche".
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Jérusalem ville Multi-confessionnelle
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de Pales dans International
Oui l'athéisme juif existe mais ce serait difficile de lui expliquer. Chez les athées juifs le fait "Dieu" est un apport culturel des juifs au monde. Autrement dit pour eux ce sont les Hébreux qui ont conçu l'idée du Dieu unique, si bien que Dieu, l'unique, reste un fait culturel juif. Néanmoins je quitte ce topic car je suis trop concerné par les morts que vous citez avec autant de désinvolture. Je vois que vous ravalez la Shoah à une simple péripétie parmi d'autres. Un détail de l'Histoire ? Pour vous ne n'est pas un événement unique dans l'histoire ? J'ai compris. Comprenez aussi que je ne puisse plus débattre avec vous. Je quitte ce topic définitivement. -
Jérusalem ville Multi-confessionnelle
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de Pales dans International
Parce que c'est un aveu d'être religieux ? Vous pensez que c'est un mal de communier dans une mémoire religieuse ? Vous avez un problème avec les religions. Vous passez votre temps à traquer toute personne qui a une foi. Chez vous la laïcité est devenu la haine du religieux (quand je dis "vous" je parle des Français qui traquent toute religiosité). Quand à "droit de réponse" je ne réponds plus à un homme qui prétend que les juifs se sont tués eux mêmes, lui il fait fort en effet. -
Jérusalem ville Multi-confessionnelle
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de Pales dans International
Vous voulez la liste des pogroms ? Vous voulez connaître l'arbre généalogique de nos familles ? Vous niez l'histoire, est ce nous qui avons décidés d'être chassés de notre terre ? Vous ne connaissez rien à l'histoire juive. Bientôt vous allez me dire que ce sont nous qui nous sommes massacrés dans les camps; vous êtes vraiment des malades. Je laisse tomber ce topic de malades. -
Jérusalem ville Multi-confessionnelle
aliochaverkiev a répondu à un(e) sujet de Pales dans International
Le religion ne se transmet pas par la mère, ni même le caractère "juif". La filiation par la mère est en effet fixée dans la Mishna mais pas comme vous l'entendez. Dans une situation (ancienne) où les juifs étaient éparpillés (n'oubliez pas que ce ne sont pas les juifs qui ont décidé jadis de déserter la terre d'Israël. Remontez dans l'histoire et voyez ce qui fut fait aux Juifs dans les temps très anciens) il fallait que la mère fut juive, étant entendu que le père lui, était juif. La mère devait se convertir afin de préserver l'identité" d'un peuple éparpillé partout en Europe et ailleurs. L'identité recherchée était, et est toujours religieuse pas raciale. La racialisation que vous faites, concernant les Juifs, ce concept de race (caché chez vous sous le concept d'ethnie) fait partie de l'idéologie de ceux qui nous haïssent. N'oubliez pas aussi que les européens nous ont tués avec constance depuis toujours, c'est aussi à cause de vous que nous devons avoir une terre où pouvoir nous défendre, moins contre les palestiniens que contre certains d'entre vous. Etre reconnu comme juif exige quelques minimums d'appartenance, la circoncision chez les garçons, le document relatif au mariage etc. nous ne remontons pas à Titus, je vois que vous nous prenez pour des débiles. Vous avez décidemment un problème avec nous. Vous appelez donc "principes universels" les principes qui tendent à détruire notre identité. C'est donc au nom de votre universel que vous désirez la destruction de notre mémoire. -
Je reviens sur l'implication. Mathématiques L1, sous la direction de T.P. Marco, Pearson, page xxiii, : " Dans la pratique, afin d'établir que (p implique q) est vraie, on suppose p vraie et on cherche à démontrer que q est vraie". Cette habitude est tellement enracinée chez les mathématiciens qu'ils ne voient plus qu'ils posent que p est vraie. En effet, tout au cours de notre scolarité, quand nous devons démontrer un théorème ou le retenir, nous partons toujours de propositions supposées vraies. Quand nous démontrons le théorème de Pythagore nous partons toujours du principe que "le triangle considéré est rectangle" est une hypothèse vérifiée (vraie). Et c'est toujours comme ça. Parfois nous pouvons employer la contraposée certes, mais alors nous savons que la proposition d'origine est fausse. C'est-à-dire que nous savons toujours si la proposition d'origine est vraie ou fausse. On peut bien sûr signaler les ruses des prof qui posent comme allant de soi (vraie) une proposition en fait fausse ! histoire de fourvoyer l'élève ! Or, est-ce qu'un raisonnement juste, qui conduit à établir la vérité d'une proposition (Q), permet d'écrire : (P implique Q) est vraie ? Non, Car P peut être fausse et, du coup, P implique Q est fausse. Prenons un exemple. Soit la proposition P suivante : n< n. Elle est fausse (le plus petit est ici un plus petit "strict") Pourtant je peux démontrer, à partir de cette proposition fausse, que la proposition Q : n+1 < n +1 est vraie. Elle est vraie intrinsèquement, c'est à dire vraie en tant que résultat d'une démonstration, c'est là la puissance d'une démonstration, c'est d'arriver à des conclusions "internes" vraies. Bien sûr si je me reporte au "réel" je dirai que n + 1 < n +1 est fausse, mais si je reste à l'intérieur de la démonstration (n +1 < n +1) est vraie. Nouvelle digression (j'utilise manifestement le forum pour travailler, c'est-à-dire que j'utilise le forum comme un brouillon). Nous touchons là un point extrêmement important, c'est la question des connaissances a priori de Kant (qui s'appuie sur les connaissances a priori des Grecs) : si je pars d'une proposition vraie, et si mon raisonnement est vrai, je n'ai pas besoin de recourir à l'expérience pour être sûr que ma conclusion est vraie. Ca n'a l'air de rien mais c'est fascinant ! Mais il faut que je parte d'une proposition vraie pour avoir ce sentiment de certitude, que la conclusion est vraie. Je pense à ça (digression) :quand je pose la question: est-on sûr qu'un raisonnement juste, appliqué à une proposition vraie conduit à une conclusion vraie (poser une telle question est un comble ! car je pose une question qui remet en cause le raisonnement mathématique dans ses fondements mêmes) nul ne peut me répondre ! Cela me rappelle les crises de nerfs de mon frère aîné quand je lui demandais, lorsque nous étions ado : "pourquoi les corps tombent-ils vers la terre ? ". Lui, physicien, s'énervait : "Parce que Newton !" et moi je continuais : "Oui, d'accord, mais dis-moi pourquoi les pommes tombent-elles vers la terre ?" Et lui de s'énerver et d'appeler ma mère (chimiste) à la rescousse, laquelle m'engueulait : " Mais enfin est-ce que tu te demandes pourquoi l'arbre que tu vois existe ?" Ca me fermait le bec, mais, une fois seul dans ma chambre, je me disais "Oui, mais pourquoi l'arbre que je vois existe" ? j'étais loin de savoir que je me posais les questions fondamentales de la philosophie ! La fameuse question "Pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien ?" Je revient à mon implication : Ma démonstration est juste, mais l'implication est fausse. Bien sûr, si je suis de mauvaise foi je peux dire : " Oui mais dans le cadre de la récurrence, j'initialise, et gnan gnan gnan et gnan gnan gnan". Mais le problème n'est pas là ! Le problème est qu'un raisonnement juste ne permet pas d'être sûr qu'une implication est vraie ! Et que, dans les faits, nous partons sans le savoir, sans en prendre conscience, d'une hypothèse vraie pour démontrer qu'une conclusion est vraie. Bon je crois que j'ai le tour de la question.
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Je reviens sur l'implication. Les mathématiciens ont tellement été habitués à confondre raisonnement et implication qu'ils pensent qu'un raisonnement juste emporte une implication vraie. Sur ce point je sais que je ne pourrais pas faire réfléchir Spontzy ! Cette dernière remarque me conduit à explorer cette digression : l'argument d'autorité utilisé par Spontzy "je suis âgé donc j'ai raison" ne va pas avec les sciences exactes. C'est même un secteur, les sciences exactes, où les personnes jeunes sont toujours plus fortes que les personnes âgées. Dans ces secteurs-là c'est la puissance de calcul des neurones qui l'emporte, pas l'expérience. Or quand nous vieillissons nous perdons chaque jour des millions de neurones, nous sommes moins bons au fur et à mesure que nous prenons de l'âge, concernant les sciences exactes. L'âge permet de s'améliorer dans les connaissances humaines, dans les sciences humaines, même dans certaines activités de création artistique, grâce à l'accumulation d'expériences vécues humaines, pas dans les sciences exactes. Dans les sciences exactes l'argument d'autorité ne fonctionne pas. Et là nouvelle digression. Je réfléchis à l'énervement de "déjà utilisé" quand je lui ai balancé la théorie de la falsification de Popper. Je lui ai balancé cette théorie pour avoir raison sur lui, mais dans mon for intérieur, cette théorie de Popper, je m'en bats l'œil. Pourquoi ? Parce que, utiliser Popper, c'est utiliser un argument d'autorité. Or, dans mon for intérieur, un argument d'autorité, dès lors que nous parlons de sciences exactes, n' aucune valeur.
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Je vais maintenant en terminer avec la récurrence. La définition du raisonnement par récurrence, présentée par Spontzy, existe en effet. Je la retrouve dans les manuels de prépa de mes fils, mais cette définition date. Depuis, la définition du raisonnement par récurrence a été modifiée par nos universitaires, celle qui prévaut aujourd'hui est celle que je mentionne. La divergence entre ces deux définitions m'a intrigué. Je pars du principe que les mathématiciens qui pensent les programmes ne sont pas incohérents. Du coup je suis parti de la définition de Spontzy et je l'ai décortiquée. Bien sûr, ce fut long, mais même si mon exposé fut long, un esprit honnête verra que je ne fais que dérouler un raisonnement qui tient compte de toutes les possibilités. C'est donc un travail long. J'arrive à cette conclusion que les deux définitions disent, in fine, la même chose. Nos universitaires sont donc cohérents. Mais je suis encore intrigué : pourquoi nos universitaires ont-ils corrigé cette définition ? Du coup je regarde comment les exo sur la récurrence étaient traités lorsque prévalait la définition de Spontzy. Ces exo étaient traités exactement de la même façon qu'aujourd'hui ! A la différence près qu'à l'époque de Spontzy nous ne posions pas que P(n) était vraie. (Mais tous les raisonnements partaient bien de la proposition P(n) pour démontrer la proposition P(n+1) au contraire de ce qu'affirme Spontzy. Ceux qui possèdent chez eux les précis Bréal verront que dans le précis 2002, MPSI, cours d'Algèbre et géométrie, page 232, les corrigés partent bien de la proposition P(n) pour démontrer P(n+1)). Comment a-t-on vu qu'il fallait ajouter cette condition ? Ils l'ont vu à ceci. Avant, nous démontrions, à partir de la proposition P(n) la proposition P(n+1) et nous trouvions que la proposition P(n+1) était vraie. Sans rien savoir sur P(n) [et je comprends mieux Spontzy, qui, sans doute est honnête car éduqué à l'ancienne ] nous en déduisions alors que l'implication était vraie. Et c'est là que résidait l'erreur. Car la vérité de l'implication ne dépend pas du raisonnement mais de la valeur de vérité des deux propositions P(n) et P(n+1). Traité de logique mathématique, licence, master, Dunod, par Cori et Lascar , page 33 : "Il y a une autre difficulté dans l'implication, c'est que les mathématiciens (entendez les anciens) y voient en général une notion de causalité, dont le calcul propositionnel ne tient, lui, aucun compte". Le raisonnement, la causalité n'emporte pas la vérité de l'implication ! C'est la valeur de vérité des propositions qui emporte la valeur de vérité de l'implication. Si donc par le raisonnement je trouve que P(n+1) est vraie cela ne me permet pas de déduire que l'implication est vraie, il faut encore que je sache la valeur de vérité de P(n). C'est pour cela que les universitaires posent maintenant que P(n) est vraie. "P(n) vraie et P(n+1) vraie" permet du coup de poser que l'implication est vraie. Cette habitude : prendre l'implication pour une relation de cause à effet est incrustée depuis des décennies dans les esprits !!! J'ai commencé à déceler l'erreur de cette habitude en enseignant un petit de troisième. En voulant lui expliquer l'implication je me suis aperçu que cette habitude n'était pas fondée. Je me suis aperçu que l'implication ne peut pas être assimilée à une relation de cause à effet. Je l'ai remarqué parce que je m'efforce de transmettre à ce petit le meilleur de moi-même tant il est doué ! Mais avant, oui, j'étais comme Spontzy, je ne mettais pas en doute le fait que : implication et causalité était obligatoirement liées. Remarquons que, dans les tous nouveaux programmes de maths du secodaire, l'implication a disparu.
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Je vais réfléchir à ce que vous dites parce que, dans les faits, je suis en train de construire (en réel) Samuel (avec Nicole, Satinvelours). Vous n'êtes pas, d'emblée, accessible. Ce n'est pas une critique !
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31-12-2017 Dimanche Fin d'année.
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Oui c'est juste, mais ça m'agace votre remarque. Car, bien sûr, je vois bien qu'il y a une gradation, un subconscient, un préconscient, un presque conscient, etc. mais ça m'agace à cause de ma culture mathématique ! Pour moi une "chose" est ceci ou cela, pas un peu des deux. Je désire progresser en me disant : si une activité n'est pas consciente, alors elle est inconsciente. Quitte ensuite à nuancer. D'où cette constatation : le désir me pilote. Encore qu'il est probable qu'il pilote tout le monde.
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Oui Krétine, je trouve que votre nouvel avatar est plus attrayant que le précédent, celui que vous aviez temporairement choisi pour remplacer le bocal. Je vous fais progresser, j'en suis heureux. Peut-être allez-vous sortir la tête du bocal ? Peut-être même n'allez-vous plus vous désigner vous-même par ce vocable : Krétine ? J'espère suffisamment vous agacer pour vous donner confiance en vous. [Affectueusement]
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Toutes les expériences des neurologues indiquent l'existence d'activités inconscientes, c'est-à-dire d'activités dont le sujet n'a pas conscience, c'est-à-dire d'activités dont le sujet ne peut pas rendre compte (ni à autrui, ni à lui). Grâce aux instruments de mesure développés par les physiciens nous pouvons mesurer, par des différentiels d'énergie électrique par exemple, une activité cérébrale dont le sujet n'a pas conscience. Par définition, alors, nous appelons ces activités : activités inconscientes. C'est une définition, d'où l'on tire ensuite le concept "fabriqué " d'inconscient. Cette intervention ça les fait rire les deux Zigs ! Blaquière et Don Juan !!! [Zig = terme affectueux]
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Ce que nous observons, avec Libet, c'est qu'il existe des activités inconscientes (c'est-à-dire définies par rapport à la qualité "conscient" puisque le mot "inconscient" est lui-même une négation) et des activités conscientes. Par commodité, par simplification, pour aller aussi plus vite dans l'expression et dans la communication les uns avec les autres, nous forgeons des mots "signes" mais les signes ne sont pas des objets réels. Je peux créer le mot jaune, le jaune n'existera jamais, en soi, comme objet observable, le jaune sera toujours une qualité, un "accident" comme on dit en philo. Croire le contraire c'est devenir platonicien, c'est finir par croire que les idées, non seulement existent, mais sont les seuls existants. Or je ne verse pas dans cette croyance. Mais je comprends qu'un platonicien, lui, puisse avoir cette croyance.
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Il y a une femme qui vit dans mon imaginaire, dont je sais qu'elle ne peut pas être réelle. Il y a les femmes du réel, de ma vie réelle. Il y a les femmes de l'imaginaire, de mon imaginaire, mais j'ai le sentiment qu'il n' y en a en vérité qu'une seule. Mais cette unique femme qui respire là, dans l'imaginaire, comme une femme réelle, se transforme sans cesse, elle parait rajeunir, sans cesse rajeunir. Elle est peut être une Ancêtre, les dieux des femmes et des hommes sont la présence des Ancêtres. L'image de Ken Wong lui donne, temporairement, un corps, une réalité éthérée. La femme qui fut ma mère, lentement, depuis qu'elle est morte, il y a longtemps, quand j'étais encore jeune, se dissout. Ma mémoire se modifie, ma mère meurt dans ma mémoire, elle meurt une deuxième fois. Elle permet à une femme d'apparaitre, surgie de mondes logés loin là-bas, au delà de tous les cieux sombres.
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Votre recherche n'en est pas une, car vous tendez à remplacer une idée par une autre idée [idée au sens kantien : opération de la raison pure]. Pour être au plus près de l'observation je parlerai plutôt d'activité mentale, activité qui peut être consciente ou inconsciente, activité continue, et non pas discontinuée entre un conscient et un inconscient, termes qui renvoient à des idées, non pas à des réalités observables. Le conscient et l'inconscient sont, de mon point de vue, des "qualités" comme la couleur jaune est une qualité des objets.
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A Krétine, Ici, vous ne serez pas hors sujet. Quelque soit le sujet que vous pourriez aborder. Ken Wong...Tout ne me plait pas. Mistaken Identity... J'aime le mystère que vous savez créer autour de vous. Gardez toujours cette aura mystérieuse.
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L'image est intéressante, mais je me demande si les activités inconscientes ne sont pas un peu folles aussi. Ce que n'est pas un ordinateur. Il faudrait créer un ordinateur fou.
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Vous n'êtes pas visée même si vous êtes une Ancienne. Vous pouvez bien avoir cent ans et je pourrais ne pas pour autant vous citer comme "vieillarde". Vous pouvez me rappeler le nom de l'artiste qui vous a inspirée pour votre avatar ? Le fil d'hier, où nous conversions, a été supprimé, suite aux incandescences de mon frère sibérien.
