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Francis-Charles

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Tout ce qui a été posté par Francis-Charles

  1. Jusqu'où s'étend dès lors le monde macroscopique s'il ne concerne pas l'infiniment grand ?
  2. Que penser dès lors de la décohérence ? La décohérence a été mise à contribution pour jeter un nouvel éclairage sur une question fondamentale de la physique, celle de la frontière entre les mondes classique et quantique. Pour Bohr, l’existence d’un monde classique macroscopique est une condition préalable à la description du monde quantique microscopique. Pour lui, si je ne trompe, on doit donc admettre l’existence d’une frontière entre le monde quantique et la physique classique qui échappe à notre compréhension.
  3. 1 Oui, je m'accroche à cette hypothèse, j'en conviens. 2 Selon moi, et des milliards de gens sur terre - d'obédience scientifique ou non - , la réponse est affirmative : il existe un principe supérieur à l'Homme. 3 Vous dites "forcément toute cause découle de quelque chose" et ensuite vous dites qu'on ne peut établir une origine à toute cause... Que doit-on comprendre ? 4 Là, je suis d'accord.
  4. Les fondements de la vie de l'univers et de la nature restent mystérieux à tous niveaux, et personne n'est à même de percer ce mystère colossal de façon rationnelle. J'adhère notamment à l'intelligence végétale et animale démontrée par certains chercheurs. Y suis-je ou y sont-ils pour quelque chose dans leurs conclusions ? On peut tourner et retourner la question dans tous les sens et les réponses peuvent être contradictoires selon le chemin parcouru.
  5. Hihi. Bon... dis-moi dans ce cas s'il existe des choses qui ne sont pas influencées par l'observateur, et si oui, quelles sont ces choses !
  6. Si tu vois par exemple 20° sur ton thermomètre, tu penses que ton observation est en cause et force le résultat ?
  7. Bien sûr, j'aimerais en savoir plus et percer les mystères de l'univers, mais cette ambition semble hors de portée de tous les chercheurs, pour la simple raison qu'elle concerne la nature du ou des mondes invisibles qui ne peuvent être appréhendés par nos sciences limitées au monde matériel physique et quantique. On ne peut donc qu'adhérer ou non à certaines hypothèses et propositions d'ordre philosophique.
  8. Les univers passés ou futurs sont une hypothèse, mais rien ni personne n'interdit de les imaginer possibles en dehors de la SF.
  9. Puisque j'ai entamé ce topic sur le forum, au départ section science, et depuis section philosophie, autant continuer sur cette lancée... Répy se base sur les données scientifiques actuelles, non sur ses appréciations.
  10. Les scientifiques estiment que, l’espace d’une fraction de fraction de fraction de seconde après que l’univers a commencé, l’espace-temps a commencé à vibrer, ce qui a entraîné une température de 10.000.000.000.000.000.000.000.000.000 (1027) Kelvins. Même si cela reste théorique, étant donné que l’univers a continué à se rafraîchir et à grandir depuis, il est fort probable que cet instant infime restera, selon les sciences actuelles, comme le record le plus chaud jamais atteint. J'ajouterai cependant qu'on ne tient compte ici que de la création de notre univers actuel et non d'univers antérieurs ou postérieurs possibles à notre monde présent.
  11. Oui, mais ici je ne parle pas de l'observation purement visuelle sujette à caution, mais bien d'appareils techniques précis comme par exemple les appareils professionnels qui mesurent l'humidité du bois, de la maçonnerie, des crépis. Les mesures et les capacités de ces appareils sont reconnues comme étant très précises et ne se soucient pas de l'observateur.
  12. Lorsque le climat est analysé par des appareils précis, où se situe la perturbation de l'observation ?
  13. 1 J'ai posé la question parce que je pensais que le débat (fait d'opinions divergentes) pourrait être intéressant. 2 L'opinion d'autrui m'intéresse, et je ne souhaite pas accorder une intelligence à l'univers pour le simple plaisir, mais parce que je constate comme beaucoup d'autres que la nature créée par l'univers recèle diverses formes d'intelligence reconnues et démontrées. Et si des esprits de génie comme Planck, Einstein, Newton et d'autres sont ou étaient persuadés qu'il existe une intelligence supérieure à celle de l'Homme, c'était pour eux une évidence, sans pouvoir en faire une démonstration mathématique, tout comme on ne peut prouver l'existence de Dieu par une démonstration scientifique. On peut néanmoins faire une approche para-scientifique par l'intermédiaire de la pyramide de complexité qui positionne les structures de l'univers en fonction de leur complexité physique. Mais on se voit souvent obligé d'intégrer les sciences humaines et notre conscience dans ces analyses.
  14. Réflexions sur l'intuition et l'intelligence universelle. Extrait : L’INTUITION EST L’ÂME DE L’INTELLIGENCE Nos facultés mentales sont en relation avec une pensée conscience cosmique. Le problème est que nos « instruments » mentaux sont imparfaits pour nous permettre de comprendre exactement et profondément les messages de l’univers et de l’au-delà. C’est pourquoi nous devons augmenter continuellement nos facultés afin de sortir des contraintes et des limites de nos pensées, figées par le trop rationnel, le trop moral, le trop intellectuel… Il faut savoir qu’il y a des réalités qui appartiennent à un autre monde et que, pour les connaître, nous devons utiliser nos sens supra physiques et supra psychiques, Il ne s’agit pas d’organes corporels, mais bien de dispositions immatérielles qui sont localisées dans toutes nos cellules. Notre intelligence n’est pas uniquement définissable par de la volonté, de la raison, du jugement. Il s’y trouve aussi - et pourrait-on dire surtout - une lumière qui porte dans notre langage humain différents noms : intuition, inspiration, clairvoyance… Il existe une conscience - et une connaissance - absolue qui est au-dessus de l’intelligence terrestre. Cette conscience est originelle et complète, car elle saisit tout ce qui est pensée dans son essence et dans ses propriétés. Notre mental conscient n’est que l’ombre de cette intelligence vraie et totale. L’approche de cette intelligence universelle se fait en deux étapes. Une connaissance de Soi et une connaissance des Autres et du Monde. Ces deux connaissances se réunissent en une seule qui permet d’approcher - et non pas encore d’intégrer - cette intelligence intégrale. Tout commence par une connaissance et une acceptation de notre unité qui comprend notre corps, notre esprit et notre âme. Il faut accroître notre connaissance de nous-même, puis celle des autres et du monde, afin d’atteindre cette plénitude. L’approche de l’intelligence universelle et intégrale signifie qu’il nous sera alors possible de comprendre l’origine de toute chose. Cette compréhension commence par un contact avec notre entité psychique immortelle, au-delà de nos émotions et de nos sentiments terrestres. Nous pénétrons dans l’espace infini de nos vies passées, présentes et futures, dans cet espace que les penseurs appellent l’inconnaissable. Nous saisissons les vraies relations entre notre corps, notre mental et notre cœur, et surtout, il nous est communiqué des vérités essentielles sur la vie, la naissance, la mort, la vie après la mort, l’au-delà. Il s’agit bien d’une extension de toutes nos facultés mentales, au-delà de notre univers conscient et au-delà de nos limites humaines. Et nous formons Un avec le cosmos où se trouve cette conscience transcendée. Nous sommes une parcelle incarnée - de par notre existence terrestre - de cette Infini tout conscient et surconscience. Et c’est ainsi que nous devenons « supérieur » à nous-même et aux autres qui n’ont pas encore acquis cette existence cosmique. Nos intuitions devenant suprêmes nous permettent de « regarder derrière les miroirs ». C’est-à-dire de découvrir qui nous sommes réellement et par là même quel est notre devenir. Et cela à travers les successions d’événements et des changements qui constituent notre vie. http://eveildelaconscienceamour.over-blog.com/2015/12/extrait-l-intuition-est-l-ame-de-l-intelligence.html
  15. Les défis de la cosmologie scientifique 6 La cosmologie relativiste affronte la question dirimante de l’univers comme objet unique d’une manière complètement originale. La physique moderne depuis Galilée et Newton a rejeté pratiquement toutes les hypothèses et tous les principes au fondement de la philosophie naturelle d’Aristote, sauf une qui paraissait si naturelle qu’elle n’a jamais vraiment été questionnée : que l’univers pris dans sa totalité – la configuration du système de toutes les étoiles – est globalement statique. Il est remarquable que cette représentation de l’univers renvoie à une conception sur l’essence du mouvement. Elle en est même inséparable, à tel point qu’elle justifie peut-être à elle seule le recours au Dieu architecte suprêmement prévoyant à défaut d’une cosmologie. Newton pense en effet que le mouvement disparaîtrait purement et simplement s’il n’était soutenu par le miracle de l’ouvrage de Dieu : « Le mouvement est beaucoup plus sujet à périr qu’à être produit ». Cette diminution de la quantité de mouvement dans le monde résulte des collisions et frottements entre corps matériels, donc de situations concrètes de fait, nonobstant le principe du mouvement qui, selon la mécanique newtonienne, assure l’équivalence du mouvement et du repos, donc la perpétuation d’un mouvement donné tant qu’il n’est pas perturbé. Étrangement, tout se passe comme si au niveau cosmologique la conception aristotélicienne du repos comme finalité du mouvement retrouvait ses droits, non plus certes comme principe d’intelligibilité, mais comme fait naturel compatible avec le principe. Mais s’incliner devant un fait naturel ne relève-t-il pas encore du sens commun ? La science moderne n’a-t-elle pas revendiqué son autorité à la suite d’une méfiance généralisée à l’égard du sens commun ? A suivre https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269
  16. « Naturellement, tout cela n’est que spéculation. »
  17. En tout cas, l'intelligence sous-jacente spécifique de l'univers, transmise à la nature et visible dans ses manifestations, est évidente pour bon nombre de physiciens et autres scientifiques anciens et contemporains. J'ai posé la question et libre à chacun d'en penser ce qu'il veut, ce qui ne m'interdit pas de donner mon opinion à ce sujet, comme tous les participants à ce débat peuvent le faire.
  18. C'est tout à fait possible...
  19. Ajout d'émoticones inutiles et encombrants....
  20. Einstein était un génie, mais en somme, sa science était limitée et d'ordre physique classique. Raison pour laquelle il s'est fourvoyé en abordant la mécanique quantique. Et cette dénomination "d'action fantomatique à distance" me semble erronée. Puisque l'intrication quantique à distance est bien réelle, elle n'est pas "fantomatique".
  21. 1 Les textes émanant par exemple de revues scientifiques ne sont pas négligeables et sont à prendre en considération, même si finalement on n'adhère pas aux conclusions proposées. En tout cas, ces textes sont une base solide pour investiguer plus en profondeur et méditer sur les sujets abordés. 2 Depuis le début de ce topic, j'ai manifesté mon opinion et je ne changerai pas d'avis : l'univers contient une forme d'intelligence spécifique dans ses prémisses (dessein organisé, création primordiale ordonnée des éléments chimiques nécessaires à la création d'un monde matériel) et dans ses lois physiques fondamentales. Mais j'ai toujours dit également que cette forme d'intelligence reste mystérieuse si on refuse ou si on préfère ne pas l'attribuer à une "volonté divine".
  22. Je ne suis pas télépathe, donc pas d'inquiétude à avoir... (+ économie de quelques centaines d'euros, car inutile d'acheter une cage de Faraday). Sinon, la transmission de pensée est, parait-il, parfois possible. Extrait : Communiquer avec quelqu’un à des milliers de kilomètres, sans prononcer le moindre mot ni taper sur un clavier semblait jusque-là réservé aux films de science-fiction. Mais depuis l'expérience publiée dans la revue américaine Plos One, le terme de «télépathie» n’est plus un gros mot dans la bouche des scientifiques. Pour la première fois, un message mental simple entre deux personnes, l’une installée en France, l’autre en Inde, a été transmis, certes avec l’aide d’un support informatique, mais sans utiliser les cinq sens humains. Pour que cette «transmission de pensées» s’opère, le sujet actif porte des électrodes sur la tête transmettant via Internet ses activités cérébrales. L’ordinateur convertit ces impulsions électriques en code binaire, avant de les envoyer à un autre ordinateur qui les transmet au cerveau d’une autre personne sous forme de flash lumineux. Une prouesse scientifique qui ouvre déjà la voie à quelques pistes de réflexion, voire à certains fantasmes. Source : https://www.20minutes.fr/sciences/1439843-20140909-telepathie-jusquo-peut-aller-transmission-pensee
  23. Les leçons de l'histoire 4 Certes, nous avons aujourd’hui une science cosmologique digne de ce nom. Fondée sur la théorie de la relativité et la mécanique quantique, elle semble avoir réussi à penser l’univers à la manière de n’importe quel objet physique dans l’univers, avec les problèmes qui lui sont propres. S’agit-il pour autant de penser la « nature du Tout » avec les moyens mathématiques qui lui seraient enfin appropriés ? Les défis de la cosmologie scientifique 5 Élaborée au début du vingtième siècle par Einstein, la théorie de la relativité restreinte a marqué le point de départ d’un renouveau de la cosmologie scientifique. Cette théorie est celle de la mesure des invariants d’espace-temps. Elle considère les lois de la physique comme invariantes par rapport au groupe de Lorentz, qui est un groupe de transformations uniformes dans l’espace et le temps : c’est-à-dire un groupe global. Une préoccupation pour le monde comme totalité s’y fait jour par l’intermédiaire de la question de la causalité, en particulier le besoin d’éviter ce qu’on pourrait appeler des « trous » de causalité dans l’espace-temps. Einstein a insisté sur le fait que l’abolition de la simultanéité absolue était corrélative de l’élimination de l’action à distance au sens de Newton. En effet, pour un signal se propageant à vitesse infinie, cause et effet coïncideraient temporellement dans un référentiel pour des points situés à une certaine distance l’un de l’autre ; mais il peut arriver que pour un autre référentiel en mouvement inertiel par rapport au premier, les deux événements ne sont pas simultanés, de sorte que l’effet pourrait précéder sa cause. Ensuite, la théorie de la relativité générale prend en compte le phénomène de gravitation. Pour arriver à décrire ce phénomène selon une identité d’essence entre la masse inerte et la masse gravitationnelle, le groupe de Lorentz n’est pas remplacé par un autre, mais il est modifié : il n’est plus valable partout et en tout temps, mais seulement au voisinage de chaque point et d’instant en instant. Ainsi on est passé du groupe global au groupe local en faisant apparaître un champ d’interaction, à savoir le champ gravifique. Comment le champ gravifique est-il configuré dans tout l’espace-temps de manière à satisfaire la condition d’une causalité naturelle ? Source : https://journals.openedition.org/etudesplatoniciennes/269
  24. Impossible de la manquer : comme l'année dernière, Sabrina Gonzalez Pasterski fait encore le buzz et ce n'est guère étonnant. Il faut dire que la jeune physicienne états-unienne de 24 ans et d'ascendance cubaine a de sérieux atouts et qu'elle fait incontestablement partie des jeunes surdoués qui vont loin. Admise à 17 ans, en 2010, au célèbre MIT (d'où sont sortis Feynman et Wilson) sur recommandation d'un prix Nobel, elle en sort major quelques années plus tard avec un score maximal. Entrée à Harvard, elle termine en ce moment sa thèse avec Andrew Strominger, grand maître de la gravitation quantique, rendu célèbre en 1996 par sa dérivation de l'entropie des trous noirs à l'aide de la théorie des cordes en compagnie d'un autre luminaire de Harvard, Cumrun Vafa.
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