Aller au contenu

zeugma

Membre
  • Compteur de contenus

    670
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par zeugma

  1. A l'affiche aujourd'hui Zenalpha...son propos....son coup de pied en touche....et sa dérision... sa toute nouvelle triade de référencements ou Est-il grave d'être léger quand le poids des arguments du débat font pencher la balance... représentation unique et sans public. le prix de la place vous sera facturée en minutes perdues à le lire...
  2. "Tu te caches dans le brouhaha général ? " "il n'est de bruit assourdissant que pour des oreilles qui aiment le silence et de silence envahissant que pour des oreilles qui veulent une voix aimante "
  3. Sponzy vous dites : "Ainsi lorsque j'ai écrit "la science fournit plus de remèdes qu'elle ne cause de maux", cela n'a pas la même valeur que lorsque c'est Bacon qui le dit. " ce que vous devriez commencer d’apercevoir ce sont les principes de confluence de l'individuation, et pas seulement les causes d'influences, car le fait que telle personne singularisée dans son temps et son lieu, porte une somme d'informations, qu'elle en modifie de plus anciennes, que son état psychique l'oriente vers tel type de recherche, que son sens du bien commun lui ouvre les portes de ses confrères ou au contraire son manque les lui ferment, que son activité soit motivée par une recherche altruiste ou pas etc...tout cela c'est la confluence de son individuation...in fine de sa détermination de chercheur... les causes d'influences seront issues du contexte relationnel de sa vie de chercheur, de son conditionnement socio-culturel, des rencontres possibles ou improbables, de l'ambiance de travail qui l’accueil dans son équipe, car presque toutes les recherches se font en équipe aujourd'hui... bref, il y aura bien une détermination personnelle d'ordre psychologique à toute recherche, maintenant savoir en quoi elle peut influer sur son déroulement et ses résultats, c'est à vous de le dire, je ne suis pas scientifique après tout... codicille , vous dites : "Peut-être me direz vous qu'ils ne l'interprètent pas de la même manière, mais là, d'après moi, ils ne sont plus dans le rôle de scientifique. Ils sont dans celui d'un philosophe" vous venez de parler de l’interprétation ce sera surement le prochain développement de ce sujet tant il est intéressant...
  4. Sponzy, vous dites : Je pense bien que le théoricien aura un comportement différent suivant son humeur, son caractère, etc... Mais quel impact sur la science ? Je n'ai aucun exemple en tête d'impact de la psychologie sur une théorie. Autant je conçois un impact de la psychologie sur le scientifique, autant je ne l'envisage pas sur la science. existe-t-il une science sans scientifique ? c'est curieux comme logique... si cela était possible ? ce serait monstrueux non ?
  5. vous parlez à qui Sponzy ? et si vous dites "impacte de la phycologie" sur la physique, c'est que que vous n'avez pas du tout le sens de l'analogie, car celle que j'ai prise avec l'homéopathie est une analogie figurative qui est au niveau de la cause formelle, c'est à dire que ces points de contacts avec la logique mathématique sont de l'ordre de la délimitation et de la singularité de l'information, c'est pourquoi il me semble que l'on peut dire que à la fin de l'expérimentation concluante d'une théorie par exemple, il reste quelque chose du premier contact des données brutes, via une forme de logique qui en a "mimétisé" ou imprimé certaines spécificités... par contre si vous avez écrit phycologie en voulant écrire psychologie, c'est autre chose... car sans vouloir répondre à la place de Déjà-utilisé, je dirais que le sens même du questionnement en physique théorique dépend de l'orientation psychologique du chercheur, si il est lui même un esprit conquérant, innovateur...sa théorisation serra ouverte à une "supra-conductivité "fonctionnelle si j'ose dire , une force de circularité de l'information qui lui donnera l'ouverture sur de nouvelles formes théoriques...
  6. la logique mathématique agit comme un méta-conditionnement, qui répartie les données non-définies selon un ordre de conceptualisation linéaire, en utilisant des outils de structuration, comme la théorie, le système, le théorème... une fois que les données bruts de l'observation sont entrées dans ce système logique, elles se combines en lois et relations, fonctions etc... le résultat de l'expérimentation venant confirmer ou infirmer cette combinaison logique, et il est normal que cela désigne in fine des objets réels, puisqu'il y a eu contact au début avec le réel des données brutes, même si elles sont la reprise de reprise de reprise d'autres combinaison logique... analogiquement c'est ce qui se passe avec la mémoire de l'eau dans le traitement homéopathique d'une molécule initiale... du moins c'est une des explicitations de la saisie cognitive du réel, par l’abstraction scientifique...
  7. Holdman vous dites : "Je vous lis depuis un moment et je vois que vous êtes toujours entre la réalité l'observation et l'imaginaire dans 3 pages on en sera au même point ." et vous savez surement aussi pourquoi vous ne voyez pas que mon propos avance ?
  8. chose promise chose dû je vais répondre à un post de Zenalpha que je cite in extenso : "je vois que tu as dissocié le sujet et l'objet dans la suite de ton exposé et je suis d'accord, c'est un problème comme l'est d'ailleurs en mathématique la proposition auto-référentielle qui limite toute possibilité d'auto validation de cohérence d'un système complexe et qui limite dans le système l'accès à toutes les assertions vraies qu'elle contient" ce que l'on nomme le principe d'inéffabilité dans le tractatus de Wittgenstein...mais qui serait à discuter en profondeur... "De mon point de vue, il y a évidemment et les neurosciences le montrent bien une reconstruction par l'esprit mais dire que l'extérieur n'existerait qu'au travers (de) notre conscience pose le problème de l'ancestralité et donc de l'antériorité démontrée de cet extérieur à l'homme..." en effet mais la preuve de cette réalité objective, n'est pas à rechercher dans la manifestation matérielle d'un cerveau en réflexion, mais plutôt dans le consensus de la conscience humaine en recherche de bonheur, qui n'est pas une juxtaposition d'intentionnalités subjectives, mais bien la cartographie de l'existence d'un réel perçu en vu de ce bonheur, sensible corporellement, et compréhensible en vu de poser des actes volontaires à son obtention... "Maintenant si comme le suggère Wheeler le passé bouge encore....alors..." les équations d'états, qui prédisent la stabilité d'un objet spatiale en un état quantiquement "improbable" ne résolvent pas la dimensionnalité de l'univers, ni son mouvement fondamental qu'il soit extensif, rétractif, récursif ou autre...il a abandonné sa "géométrodynamique" ce qui ne prouve pas qu'elle n'ai rien à dire sur l'univers... "Dans tous les cas, oui, il y a lieu de s'étonner des ajustements fins sans savoir ce que cela signifie mais cet ajustement défie l'entendement d'où le Dieu panthéiste d'Einstein, celui boudhiste de Trinh Xuan Tuan ou la foi au loto cosmique d'Hawking." je vous laisse sur votre faim/fin pour cette assertion... "Pour Wheeler, je l'avais dit, il imagine même que le big bang ne s'est manifesté au niveau quantique que parce que nous sommes là aujourd'hui pour observer l'univers." ce que mon filet prend...vous connaissez la suite... Très anthropocentré mais ça défrise." je suis entièrement d'accord avec vous, sauf si vous incluez comme l'a fait Feuerbach cette antropocentricité à la foi comme projection du désir de toute puissance de l'esprit humain sur le monde de la matière et de l'esprit... "En "réalité" Personne ne sait sauf moi bien sûr." c'est bien ce que je disais vous tendez vers une auto-affirmation de votre intelligibilité de la réalité qui a la note d'humour nécessaire à nous mettre nous aussi dans le même bain...en toute pudeur il va s'en dire... bien à vous...
  9. Vintage vous dites " Pourquoi la religion est elle forcément une dérive ?" la phrase qui vous fait dire cela n'est pas de moi et je ne faisait que la cité du post de Blaquière sans y répondre pour le moment, car il y a des fusions qui ne s'obtiennent qu'à haute température, et pas à l'emporte pièce, si je voulais faire court, je dirais que la vertu de religion est l'unique emplacement où la transcendance divine puisse toucher notre âme en ce point subtil du lien intelligence/volonté... mais est-il bien prudent d'entrer dans une lecture de théologie naturelle ici, temple de la raison ?
  10. réponse à Blaquière sur ses propre propos : "(On reste sur l'idée que l'âme est l'esprit bien sûr ?) On peut espérer ou imaginer cela. Cette connaissance de l'âme par elle-même. Mais justement en restant dans le domaine du vécu : L'esprit n'a guère plus qu'une certaine expérience de lui même." oui dans son vécu supporté par son conditionnement complexe et alternatif, complexe parce qu'il n'ai jamais en adéquation parfaite avec le réel, et alternatif parce qu'il se pose alternativement comme sujet et objet de sa propre étude... d'où d'ailleurs sa complexion psychologique étudiée par les psychologies, mais voyez-vous là l'unique vie de l'esprit ? n'avez jamais supposez que l'âme ne soit pas uniquement l'esprit en sa présence objective et en recherche de subjectivation du corps ? aparté....je laisse volontairement ces deux questions en suspend car le thème du sujet actuel risque de glisser vers ce qui fût dit ailleurs et par d'autres et que je n'ai pas encore lu... "Mais j'ai souvent eu l'impression que l'esprit ne se comprend pas, ne comprend pas du tout (d'instinct ou par intuition) sa propre nature, pas du tout ce qu'il est. D'où ses perpétuelles dérives métaphysiques ou religieuses." là vous répondez d'ailleurs en partie aux deux questions en reconnaissant les limites objectives de l'étude de l'âme humaine réduite dans la notion d'esprit... bien à vous...
  11. Zenalpha dans votre phrase ci jointe : "Le problème d'une éventuelle dérive c'est qu'elle ne peut exister sans avoir un cap, Disons que la science marque le cap et que la philosophie dérive tout le temps et la preuve en est qu'on parle de courants philosophiques "* ne voyez vous pas que le trait logique que vous employez est tout bonnement une forme aporétique de suspension du sens au profit de la signification ? car vous dites en substance : que le cap de la science est déterminé alors que celui de la philosophie est conditionnelle et donc occasionnelle... si oui cela confirmerait à minima je le reconnais, le fait que vous preniez la signification pour le sens et alternativement, et ceci selon l'implication de vos convictions d'homme de science dans un débat, que je respect en t'en que telles, mais qui relativise aussi la pertinence de vos propos... car ce changement, cette interchangeabilité des deux est justement ce qui caractérise l'expertise scientifique... prendre le sens pour une signification et une signification pour le sens, est l'analogie logique de la théorisation et de l'expérimentation, cela fonctionne dans l'intelligibilité scientifique, mais qu'en est-il dans l'intelligibilité de tout à chacun ? n'est-ce pas "dangereux" de substituer l'un par l'autre et inversement, je vais même plus loin en concluant, n'est-ce-pas parce que cette disposition de l'esprit est déjà à l'oeuvre en notre monde que certaines dérives de cap arrivent, et parfois aussi à partir d’occurrences scientifiques directs...(ce référer aux dérives techno-scientifiques de mes autres posts ). mais ceci reste une question argumentée, pas le verdict d'un jugement d'assise... bien à vous...
  12. succincte réponse à vous Déjà-utilisé.... quand vous dites : "Pour ma part je préfère jouer la carte, lors de l'imparfaite compréhension de tes textes brillants, qui consisterait à mettre sur mon dos plutôt que sur ton compte la charge de ce manque de clarté/captation." nous pourrions en déduire de même pour d'autres interventions, reste que si une phase ou une phrase du discourt échappe : soit par une sémantique inappropriée, soit par une syntaxe non défini et donc flottante, soit par un manque d'articulation logique entre les blocs de schèmes, soit par l'opposition factuelle de procédure stylistique, soit par la composition propositionnelle induite et pas déduite de la compréhension et de la réponse du texte commenté, soit par un effet d'occasionnalisme voir d'opportuniste galopant, soit par l’attractivité exclusive du sens au profit de la signification, soit par une quelconque habitude de s'auto-confectionner un modèle de langage théorique et logique qui exclurait de fait l'apport et le partage de chacun, soit en prenant comme base conceptuelle une position gyroscopique, faisant de sa propre conscience un centre de gravité(dans les deux sens du terme) , voir de trou noir pour toute la lumière des autres intervenants... bien j'arrête là sans avoir épuisé tout les cas de détournement du langage, ni en étant épuisé moi-même, mais parce que je suis sûr que cette fois-ci si je vous ai saoulé, c'est vraiment volontairement...(humour) bien à vous...
  13. Blaquière vous dites : "Ou alors dire qu’il constitue (l'esprit) toute notre connaissance du monde, qu’il contient toute la représentation que nous avons du monde , Là oui" c'est bien cela qu'Aristote disait car il s'agit de comprendre ce qui différencie l'intellect agent et l'intellect possible... par contre quand vous dites : "Je ne dis pas que l’âme (ou l’esprit) est tout mais qu’elle n’est qu’une représentation, qu’une image du monde en soi (hypothétique, en tout cas connaissable qu’au travers de phénomènes mais pas en lui-même." ne me convient pas car il y a une connaissance de l'âme par elle même...vous restez dans la notion du vécu, et donc dans une phénoménologie de l'esprit type hégélienne...ce n'est pas ma voie du tout...le reste de votre questionnement est très intéressant, il est évident que notre corporéité est cause de la première spécificité de notre intelligence, j'ai nommé l'abstraction à partir de l'appréhension, que je décompte en dix niveaux...incluant l'abstraction propre aux sciences dures comme vous dites, mais aussi tous les autres types d'intelligibilités humaines...
  14. Zenalpha dit: " La question du "avant le commencement de l'univers" perd alors son sens puisque le temps n'existe pas...Du coup, plus besoin de créateur " ...mais dieu vous crée en ce moment même ...car l'acte de dieu est éternel... de plus le renversement de la probabilité de l'existence de l'univers aboutis à faire que notre existence est elle aussi dépendante de l'intelligence que nous en avons, ainsi vous rapportez ces propos : "Toujours pour Hawking c'est parce que nous observons un univers à trois dimensions que notre realité fixe dans le passé les histoires du big bang qui sont compatibles " et c'est justement parce que la conceptualisation est premièrement, dans sa cause matérielle, une distanciation qui provient de l'écart de temps entre l'appréhension et l'acte de comprendre, que vous, physicien, marchant de poisson ou fille légère, subirez le conditionnement de votre nature et vous offrira toujours cette tripartition du réel... l'abstraction nécessaire à l'élaboration d'un théorème ou l'écriture d'une formule mathématique est aussi dépendante de cet écart de temps que l'abstraction nécessaire au menuisier pour choisi sa planche et entrevoir les opérations qui lui feront fabriquer son meuble...juste que ce n'est pas la même abstraction... et donc vous dites: "Son approche descendante qui renverse la causalité dit que c'est parce que notre histoire est possible dans toutes les histoires initiales possibles que les lois et constantes sont exactement ce qu'elles sont puisqu'elles correspondent à ce que nous observons" à suivre...
  15. ...même ci ce derniers post de vous Zenalpha ne m'est pas adressé, j'y répondrais si vous le permettez après la réponse de Blaquière...
  16. Blaquière, oui une faute d'accord...c'est le le mot public me plais bien dans sa forme sans queue... mais cette faute révèle-telle aussi d'une faute d'accord entre notre respective participation...? je n'en sais rien de votre part, c'est pourquoi il est aussi important de relever chez les autres autre chose que la forme, le fond si il existe ou le manque de fond si il est patent... maintenant que votre phrase : "Ma compréhension (personnelle) serait que l'esprit qui pense imaginer, inventer des lois abstraites ou "hors-sol', les tirerait en fait de la nature (par l'expérience par les phénomènes), alors qu'elles seraient dans le noumène (ou chose en soi) absolument inséparable de son existence même (je ne parle pas d'être !). Et que ça ne peut être que cela ! C'est comme si une partie du réel en était détachée (virtuellement) par l'esprit, et que l'on s'étonne par la suite de l'y retrouver "!... c'est ce que dit Aristote dans son "de l'âme" « L'âme est d'une certaine manière toute chose (ἡ ψυχὴ τὰ ὄντα πώς ἐστι πάντα·) De anima, 431b20, trad. Bodeus... et que j'essayais de dire à Zenalpha dans ce passage d'un post précédent: "la vision proprement contemplative de votre constat d'une certaine "prédétermination de votre pensée" peut-être énoncée ainsi: toute connaissance porte en elle la délimitation de sa force d'abstraction, et si c'est bien l'objet qui détermine le mode d'abstraction de la pensée, il appert que votre réponse est incluse dans la nature biologique de votre présence hic et nunc et vous oriente vers ce que vous êtes comme sujet singulier... " bien à vous...
  17. Zenalpha, extrait : "pour lui, ces 2 conceptions sont dépassées et il nous propose une nouvelle approche dite de réalisme modèle dépendant dans lequel La question de la réalité d'un modèle ne se pose pas et seul compte son accord avec l'observation" je serais surement aussi de cet avis si mon champs d'investigation était scientifique, car c'est ce que je vous disait au sujet du temps humain diffracté et donc multi-opératif pour la conscience humaine... extrait : "Il abandonne l'idée d'une logique d'ensemble pour une multitude de petites logiques partielles donc de facto, il nous dit que la nature fondamentale de la réalité est multiple " c'est exactement pour cela qu'une seule connaissance du réel est impossible... et comme je vous le disais dans un autre post : "le réel résiste à une formalisation pour une raison qui n'a pas été encore débattue ici..." vous concluez : "Je renvoie vers Klein pour qui la marchandise est survendue voire sur le recul nécessaire de la philosophie sur la science....pour moi, les philosophes perdent énormément voire toute substance néanmoins s'ils ne s'y intéressent pas du tout" S'intéresser à une discipline ne convient pas d'un destin de vassalité, comme le voyait Popper dans son épistémologie évolutive... si vous vouliez bien positionner les recherches scientifiques dans un cadre de recherche globale de connaissances de la conscience humaine, cela serait plus simple de communiquer sur la couche de complexité du réel...
  18. Hors sujet assumé en place public sous l’œil de témoins... Dompteur de mots vous me dites : "Ma foi, vous êtes aveugle ! Vous voyez bien que vous ne me laissez pas indifférent. Je vous trouve intelligente mais seulement, vos interventions ne me satisfont pas. D'abord, vous écrivez trop. Vous interventions ne sont pas mûries. Vous devriez lire mon magnifique Éloge du silence. Je vous dompterai Zeugma ! " si vous croyez que le silence suffit à tout, je suis d'accord, mais certains bruits du monde sont omniprésent, je cherche juste ici, lieu d'échange et de travail communautaire, à ouvrir une nouvelle voie de connaissance... si mes propos ne vous semble pas "mûris" et trop quantitatif, c'est que vous ne voulez pas vous donnez le temps de l'effort, pour les lire en détails et objecter au moins ceux qui vous semble correspondre à de réelles conneries... quant à me dompter, je ne vois pas en quoi vous auriez une quelconque autorité à cela, une fois de plus si c'est un trait d'humour de votre part il ne me fait que peu rire mais perdre juste le temps de vous répondre...
  19. celle ci est pas mal non plus lol
  20. Zenalpha, je ne reviendrais certainement pas sur votre avant dernier post vu qu'il n'a pas besoin de mon avis pour dire ce qu'il dit...mais juste ajouter une paraphrase au dernier, car vous ne semble pas bien distinguer la contemplation acquise et infuse... "Je pense que le spirituel doit bien se différencier du rationnel en effet" oui et surtout dans la mesure ou leur champs "d'autorité" respective ne sont pas régies par les mêmes exigences, ni la même finalité... Ceci étant, il y a forcément derrière le religieux, le philosophe et le scientifique une recherche de sens certainement oui mais par quelle unité ses sens sont présent dans la volonté et l'intelligence de la personne humaine ? "A mon sens contredire la science dans ses démonstrations évidentes décrédibilise une motivation initialement sincère." sans doute encore faut-il que le sens qui émerge de la recherche scientifique puisse être lisible par celles et ceux qui ne font pas de science... "quand l'église veut expliquer la nature et malgré quelque inquisition, on a vu ce que cela a donné" la théologie de St Tomas d’Aquin donne une lecture chrétienne de la nature qui à servi aussi de base à la composition de l'éducation subséquente, mais que la morale judéo-chrétienne est omis certaines dimensions de la personne humaine oui cela est vrai ... "Le bouddhiste est censé être un monstre d'empathie donc je pense que l'exigence d'écoute est encore plus grande chez lui" il y a une décorporation dans la tradition bouddhiste qui lui permet de survolée certains traits du "patos" humain, mais nous nous trompons pas la voie bouddhique n'est pas une partie de plaisir...la compassion dans le bouddhisme ne recouvre pas exactement ce qu'il est chez les chrétiens par exemple, bouddha à perçu la viduité de" l'étant", son impermanence et cela lui fait découvrir aussi en creux les souffrances de ceux qui sont encore soumis à l'illusion du monde... pour le chrétien, la compassion est une extension de se charité, jusque dans le "pâtir avec" d'où le mon com-passion... bien à vous
  21. citation de dompteur de mots : " Je ne vois pas en quoi il aurait été utile de personnaliser le débat." est vous de ceux qui au profit de la virtualité du " Net "osez dire et prétendre n'importe quoi ? non je ne le pense pas alors il y a bien dans toutes vos interventions quelques choses de votre présence, et dons de votre personne... et puis vous dites : "Par ailleurs, c'est vous qui êtes intolérante. Je vous ai observée Zeugma. Dès que la discussion philosophique s'éloigne de votre cadence chérie de rubrique nécrologique, les poils vous retroussent. La preuve en est de l'attention que vous accordez à la partie polémique - et somme toute inoffensive - de mon argument. Vous ne trompez personne avec les oripeaux de votre bienséance .. si vous pensez que je suis ici pour user de mon droit de parole comme un défouloir, c'est bien révélateur du peut d'intérêt que vous portez à la lecture de mes messages, la seule tolérance que je garde c'est de vous remettre devant le fait que votre jugement est aussi expéditif que sa portée est exiguë, mais sans doute si cela vous suffit à prendre au sérieux les remarques que l'on vous faits, cela en dit plus sur vous que vous ne dites sur moi... car de mon coté si je vous dis que votre bienséance est le triste reflet de votre manque d'intelligence, là je vous estime en tout objectivité...ainsi je ne trompe personne et surtout pas ceux qui comme vous n'en ont pas besoin vu qu'ils se trompent eux même...
  22. Zenalpha vous dites : 4- Si vous ne voyez pas de relation entre syntaxe et sens, arrêtons de nous écrire, d'utiliser des lettres, des mots et des phrases qui répondent à des règles d'orthographe et de grammaire et nous verrons si nous comprenons mieux nos bedebedeuhhhebedehhh, le formalisme est clairement dans la structure de mon écrit et malheureusement, le sens que j'y place n'est pas celui qui fait écho chez vous. " j'ai dis que vous confondiez sens et signification ce n'est pas pareil, la syntaxe rend compte de la signification mais pas du sens, sinon je comprendrais immédiatement ce que vous dites... si vous voulez je vous donne un exposé synthétique sur cette question...? et vous poursuivez : "Le problème est d'étudier la logique pour donner sens à ces rapports isomorphique parce qu'ils ne correspondent pas mathématiquement à ce que vous voudriez qu'il soit même en le voulant très fort.... mais à ce qu'ils sont." la logique comme système cohérent des fonctions et définitions ne permet pas d'atteindre la nature ultime du "sens"...parce que celui ci est la totalité des déterminations de la présence de la personne et de la nature, et qu'aucune logique, même systémique, même probabiliste, même selon la théorie des graphes ou des groupes, ou des algorithmes type DPLG... n'est un être humain ...le réel résiste à une formalisation pour une raison qui n'a pas été encore débattue ici ...
  23. Zenalpha vous dites : "Sauf que voila, ce n'est pas au philosophe de déterminer le carcan qui entre dans les lois de la nature...on constate les lois et il existe certaines limites qui, dans certaines circonstances ne peuvent être dépassées dans les circonstances qu'on connait et qu'on expérimente." vous évincez dès le début la question que je vous posais, mais pas grave, il est de plus en plus distinct qu vous avez opter pour une épistémologie évolutive(proposée entre par Popper) qui délimite ad libitum le parcours scientifique, au niveau de la conscience de son énoncé et plus au niveau de sa pertinence pour la pensée humaine générale... puis vous dites : " Après attention, quand je parle d'apophénie, je ne vous traite pas de malade mental... je donne du contenu au débat en expliquant que l'homme a tendance à mettre du sens là où il n'y en a pas dans une situation particulièrement marquée." et pourquoi vous n'appliquez pas cette nouvelle nuance à la recherche scientifique... au risque de nous inclure tous comme une" fonction" de relativité générale où plus personnes n'aurait la possibilité de donner son avis, c'est à dire un sens à sa vie et au réel... au risque aussi de laisser chacun conduire sa barque...seulement de cette façon vous faites sur le fait que nous vivons ensemble dans un monde clos et que chacun interfère même sans intention... puis vous poursuivez : "je suis heureux d'avoir des contradicteurs parce qu'ils me poussent à structurer mes arguments qui sont motivés par cette alerte de Nietzsche que je partage très très fortement et je m'épouvante du manque de connaissance scientifique et de sensibilité dans le domaine de la théorie épistémologique de la connaissance." mais c'est justement sur cette alerte que nous devrions nous retrouvez, car en voulant faire de la connaissance scientifique la mesure du jugement de la conscience humaine, vous prenez le risque de facto qu'il y ai des gents n'entrant pas dans cette lecture du monde, retrouvent l'obscurantisme que vous redoutez et moi aussi du reste, c'est pourquoi je réclame une discussion sur les bases conceptuelles de la recherche scientifique, pour éviter justement qu'elle ne s'enferme dans une modo définition du réel et ne favorise un rejet en masse de ses apports... vous me dites : " J'attire également l'attention sur un point de mon caractère. Je suis potache et j'aime de temps en temps charrier mon interlocuteur. " vous savez que j'ai aussi cette propension à la répartie, et à la potacherie ; mais toujours en vue du bien commun ce que je vous reconnais aussi, pour moi l'enjeu est de taille et aussi vital que l'eau et l'air dont nous avons besoin tous les jours... la recherche de vérité en ce XXIème siècle qui ne peut se passer des connaissances scientifiques, doit aussi percevoir l'enjeu évolutif qui à été posé par le XXème siècle et s'orienter vers une nouvelle "fabrication" de la conscience humaine, pas seulement à causes des injustices sociales ou des pollutions ou des erreurs de gouvernances du siècle passé, mais aussi parce que la complexification des réseaux informatifs nous oblige à un ordre, je dirais presque de sagesse, pour savoir ce qui doit être "en première ligne" de nos priorités... si on suit la demande de Mr.Klein je vois bien que les apports scientifiques sont considérés comme indispensables au bien commun, car en plus du fait que la recherche se trouve motivée pour elle même et se justifie par elle même, elle ne peut être séparée du monde et à donc une influence sur la conscience communautaire, et c'est justement là que se justifie le consensus que je réclame... vous concluez en disant : "Je me demande parfois si c'est mon libre arbitre ou si mes réponses étaient inscrites dans le temps parce que je suis une machine biologique qui subit des manifestations plus fortes que moi." Que dit la contemplation la dessus ? Parce qu'il en faut de la méditation avec un Zen au stade Alpha. je vous ferais cette réponse que vous devrez prendre avec toute la réserve qui caractérise votre intelligence zététique et prudente... le désir de connaitre est une puissance de notre métabolisme transcripteur d'informations sensitives, de devoir conceptualiser sa pensée pour répondre à une sollicitation extérieur est autre chose de répondre à son propre questionnement, comme il est évident que de suivre un avion dans le ciel n'exige pas la même adresse que celle d'échapper à un poursuivant, ce simple exemple implique deux forces de contraintes, pour le poursuivant d'anticiper un axe géométrique, pour le poursuivi d'inventer une courbe innovante, et bien c'est la même chose pour la pensée, l'innovation et l'anticipation sont les deux forces qui nous font croiser nos discourt avec en plus une mutabilité au niveau de la préséance, parfois c'est l'un parfois l'autre qui prend les devants ou est poursuivant... que nous soyons déjà "programmé" pour être poursuivant ou poursuivi ne se regarde pas dans un lien de causalité fermé, mais dans justement ce que vous appelez "libre arbitre" car c'est à mon point de vue le moyen terme de toute action cérébrale ou physique...c'est pourquoi il est indispensable de rester maître de son action, et de la suspension de son action... quelques références en plus : la machine biologique prédestinée, me fait penser à la vision de l'automate de Hobbes, même si lui l'appliquait à l'état, dans son Léviathan, il est assez notable que la détermination fine du cosmos dans ses lois d'applications aux corps complexes recèle aussi une forme d'échange cybernétique tel que le développe O.Costa de Beauregard quant il dit : " la clef que nous proposons pour permettre effectivement la conversion d'une information en néguentropie, (ce qui est le processus de l'action, où la genèse de l'organisation, où le psychisme est actif), sera un principe anti-Bayes de prédiction aveugle interdite. Ce sera là, très précisément, une légalisation formelle du principe de finalité... la vision proprement contemplative de votre constat d'une certaine "prédétermination de votre pensée" peut-être énoncée ainsi: toute connaissance porte en elle la délimitation de sa force d'abstraction, et si c'est bien l'objet qui détermine le mode d'abstraction de la pensée, il appert que votre réponse est incluse dans la nature biologique de votre présence hic et nunc et vous oriente vers ce que vous êtes comme sujet singulier... de cette "prescience" vitale, il suit que l'alignement volontaire de votre conscience réflexive sur cette prescience vitale est une source d'unité, et donc de cohérence entre votre ipséité et votre pensée... la méditation à cette fonction opérante de faire coïncider toutes les dimensions de notre personne, mais elle est le plus souvent choisie comme repoussoir à la complexité du réel, et pas pour elle même...ce qui est bien dommage... bien à vous...
  24. Zenalpha bonjour, je comptes vous répondre mais avant une question : pensez-vous que ça en vaille le coup...? vous semblez ignorer certaines de mes remarques et en réduire d'autres à une lecture psychologique du réel... je vous cites : "Zeugma nous propose une quinzaine de représentation du temps différente qui correspondent en réalité à des types d'événements dans le temps ou a des perceptions psychologique du temps Si je considère vraie sa théorie Il existerait un temps psychologique différent du temps biologique différent du temps social différent du "temps cosmique" Et on voit bien qu'un individu devrait porter 4 montres et être schizophrène s'il devait mesurer son temps psychologique différent de son temps biologique de son temps social du temps mesuré par l'horloge de son clocher... Ce n'est pas conforme à l'expérience et Il existe dans ce cas autant de temps que d'individus alors que l'objectif d'une connaissance est de qualifier des attributs invariants pour tous" Au regard de la science, poubelle cette théorie.." si c'est vraiment le sens de votre conception de l’intelligibilité du réel, je pense que le débat va prendre un tout autre ton et tournure, car votre psychologie à vous est beaucoup plus conditionnée que je ne pensais... votre conscience est dominée par une addiction réductive, celle de la formalisation scientifique, qui est évidement aussi une forme d'obscurantisme, puisqu'elle ne laisse plus la place à la diversité de jugements sur le réel... ces quelques phrases que je cites de vous, nous donnent bien en creux ce dont il est impérativement utile de parler, à savoir : l'enfermement de la conscience communautaire dans une lecture scientifique de son destin... et vous aurez beau nous me traitez de schizophrène, ce qui dans le contexte est un abus de langage déplacé compte tenu de la réalité de ce trouble mental, vous ne pourrez évacuer aussi rapidement mon propos... je me tiens à votre disposition pour continuer ce débat sur une base plus saine et comprendre enfin pourquoi il faut se poser la question de la pertinence de l'intelligibilité scientifique pour vivre aujourd'hui et dans ce monde... merci à vous...
×