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algonquin

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Tout ce qui a été posté par algonquin

  1. P.S. A propos d'intuition, je me souviens que , confiant un jour en la mienne, je me suis royalement planté ! voici de quoi il s'agit. Il existe en mathématiques une extension des nombres aux nombres réels que l'on appelle "nombres complexes" qui sont des nombres de la forme z = a+bi où i est la racine carrée de moins un : i = √(-1). On peut effectuer sur ces nombres complexes TOUTES les opérations effectuables sur les nombres réels : addition, soustraction, multiplication, division, extraction de racines quelconques, élévation à une puissance quelconque etc. Aussi, m'étant demandé quelle pouvait être la valeur de ii (i puissance i) je m'attendais à un nombre complexe très ... compliqué ! Eh bien, je me suis totalement planté ! En effet, on peut écrire ii = eilogi d'où ei(1/2)πi = e-(1/2)π = finalement à 0.208....! Un nombre bien réel ! Moralité : Oui à l'intuition à condition de la VERIFIER !
  2. Franchement, ne croyez vous pas que la plaisanterie, cette fois, a assez duré ???
  3. Bonjour, Mais je n'ai rien dit d'autre ! Je ne réfute évidemment pas l'intuition qui est la base départ de toute théorie. Mais de départ seulement. Il faut aussi bien préciser qu'une théorie qui a été vérifiée par l'expérience et/ou l'observation dans son domaine d'application ne peut être infirmée mais englobée dans une théorie plus vaste. La Relativité n'a pas rendu caduque la théorie de Newton, toujours valable pour des vitesses et des champs de gravitation faibles. Par exemple, les Américains se sont contentés de Newton pour aller sur la Lune. De même pour la physique classique qui est celle qui se manifeste à notre échelle. Je n'imagine pas un instant d'employer la mécanique quantique pour décrire par exemple une trajectoire balistique ! Cordialement.
  4. Bonjour, Je n'ai rien à redire à votre commentaire. Je rappelle seulement que j'ai bien précisé "la vie TELLE que nous connaissons". D'autre part je n'ai aucune idée de la façon dont ce biophysicien s'y est pris pour son calcul, Cela fait appel à des connaissances que je ne possède pas, aussi je me garde bien de prendre position dans un sens ou un autre. J'ai simplement tendance à faire confiance aux spécialistes dès lors qu'il s'agit vraiment de spécialistes ! Mais je m'interroge quand même quant à la probabilité de la création due au hasard, et j'y crois nonobstant toute métaphysique, d'une séquence d'ADN ou d'ARN. Cette probabilité que je suis bien incapable de calculer doit avoir une valeur bien proche de zéro ce qui me ferait plutôt croire à l'exception de la vie terrestre. Mais ce n'est qu'une impression sans valeur scientifique. Pour ce qui concerne la multiplicité des Univers (le Multivers), le sujet m'intéresse peu car il se réduit nécessairement de nos jours à une simple spéculation rigoureusement hors de toute observation ou vérification expérimentale. Il ne s'agit donc que de réflexion philosophique et non vraiment scientifique. Tout cela est d'autant plus vrai que les "théories" sur la nature du multivers abondent à un point où on peut y perdre son latin ! Par exemple, de ces "théories", laquelle est-elle la plus à prendre en considération : - La théorie des mondes multiples de Hugh Everett III, - La théorie des Univers qui ont précédé le nôtre, - La théorie ekpyrotique jaillie de la M-THEORY qui considère notre Univers comme une 4-brane flottant parmi d'autres dans une 5-branes, le Big Bang étant dû à la collision de notre 4-brane avec une autre. - La théorie qui banalise les Big Bang, - Etc. Non, pour ma part, je m'en tiens à la Science vérifiable par l'observation et/ou par l'expérience, cela occupe largement mon esprit. Amicalement,
  5. Bonjour, Il est exact que le but de la logique mathématique n'a pas celui d'accéder à la vérité mathématique, mais elle est nécessaire à vérifier la validité des raisonnement mathématiques, c'est pourquoi on l'appelle aussi "métamathématique". La logique mathématique peut bien souvent être très abstraite car elle ne se réduit ni au calcul propositionnel ni au calcul des prédicats, ni au concept de décidabilité, de complétude ni en général à ce qui tourne autour de la critique des systèmes d'axiomes. Lisez un texte concernant par exemple les fondements de l'arithmétique non standard ou bien aussi les études sur les ensembles hyperhyperimmunes et vous serez plongé en pleine abstraction. Les exemples abondent il n'est que de lire les articles d'une revue de logique mathématique pour s'en convaincre. C'est vrai que la sémantique ne joue qu'un rôle mineur en logique malgré les effort de formalisation du célèbre logicien Alfred Tarski. Voici un petit exemple, pas très sérieux certes, mais qui illustre bien le fait que la sémantique est absente intrinsèquement du raisonnement logique. En effet, il suffit pour s'en convaincre de lire une démonstration formelle pour s'apercevoir que tout discours y est exclu. Voici un syllogisme en barbara logiquement correct : Tous les animaux à deux pattes sont carnivores, Or, le chien est un animal à deux pattes, Donc le chien est carnivore. Oui, ce syllogisme est correct car il respecte la transitivité de l'inclusion indépendamment de la signification des termes employés. A propos de syllogisme, j'ai bien précisé "en barbara" car il en existe aussi en "cesare", en "darii", en "celarent" etc. Mais, comme le dirait un certain Rudyard, ceci est une autre histoire. Cordialement.
  6. Permettez-moi de préférer ça à toutes vos arguties : http://arxiv.org/pdf/gr-qc/9704009v2.pdf
  7. Je voudrais compléter un peu ce texte. Il ne suffit pas qu'une théorie nouvelle soit cohérente et retrouve tous les acquis des théories précédentes. Il faut, DE PLUS, qu'elle prédise des phénomènes nouveaux et que l'existence de ces phénomènes soit confirmée par l'expérience et/ou l'observation. On est très loin de la simple intuition élevée au rang de découverte ! N'oublions pas par exemple l'intuition qui a poussé nos ancêtres (et encore certains de nos jours !) à croire que le soleil gravite autour de la Terre au motif "qu'on le voit bien se lever à l'est, tourner au dessus de nos têtes et disparaître à l'ouest" ! Les exemples ne manquent pas montrant les énormes erreurs commises parce que l'on a fait jouer un rôle déterminant à la seule intuition.
  8. Bonjour, Il est évident que la plupart des découvertes en science ont pour origine une intuition. Mais ce qui distingue l'esprit scientifique est qu'il ne se contente pas d'une intuition pour la tenir comme vraie ! Le scientifique va d'abord soumettre cette intuition à un raisonnement cohérent lequel aboutit à une théorie, cette théorie est soumise à la critique de la communauté scientifique internationale et ensuite, dès lors qu'acceptée comme théorie valable, elle est enfin soumise à l'expérience pour vérification ultime, car l'expérience est seule juge. On voit qu'il a y loin, très loin, entre la simple intuition dont se contentent certains et son long chemin de vérification. Cordialement.
  9. Bonjour, Autrement dit, de connaître la probabilité pour que le génome minimum se crée par la seule intervention du hasard. Or, l'ADN ou l'ARN de la plus simple bactérie compte des milliers de nucléotides à assembler au hasard et dans le bon ordre ! Un biophysicien allemand dont j'ai oublié le nom estime cette probabilité à 10-500 environ ! Or, il existe dans l'Univers connu à peu près 1023 planètes au grand maximum. La Nature a donc droit à 1023 essais à comparer à la probabilité ci-dessus de 10-500, autant dire que, dans ces conditions, cette probabilité est pratiquement nulle. Cela dit, je ne vois aucun inconvénient à votre éventuel désaccord car chacun a bien le droit d'avoir ses propres idées aussi bien vous que moi. Bien sûr, il est préférable de laisser l'intuition céder la place aux faits. Cordialement.
  10. Bonjour, Je crois que la plus grande confusion règne dans son esprit et qu'il n'en est pas du tout conscient. Il peut révolutionner la logique tant que son imagination le lui permettra, qu'importe ! Moi, j'abandonne.
  11. Bonjour, Je crois que soit je me suis mal exprimé, soit vous avez mal interprété mon propos. Je soutiens en effet que pour pouvoir évaluer la probabilité pour que la vie apparaisse, il faut connaître le processus qui la fait naître, sinon, sur quoi baser cette probabilité ? Mais je n'ai certainement pas déclaré que ce processus nous est à jamais inconnu ! Aussi, puisque nous ignorons, pour l'instant, comment la vie est apparue sur Terre, comment pourrions nous en quelque sorte mesurer ses chances d'apparition ailleurs ? Là est ma question ! Cela dit, je suis le premier a m'indigner face à certaines objections concernant les acquis de la Science moderne. Trop souvent, des personnes sans culture scientifique tiennent pour faux tout raisonnement qu'ils ne comprennent pas. les exemples abondent. Par exemple, sur un autre forum il y a longtemps, un intervenant a déclaré que la Relativité est fausse car on a découvert des galaxies dont la vitesse de fuite par rapport à la Terre est supérieure à celle de la lumière. J'ai donc tenté d'expliquer qu'il existe deux façons d'interpréter la vitesse de fuite des galaxies. L'une par l'effet Doppler (red-shift), l'autre par la vitesse de dilatation de l'espace, cette vitesse n'étant pas limitée par la Relativité, car celle-ci ne concerne que les signaux ou la matière et donc que l'espace peut parfaitement se dilater à des vitesses nettement supérieures à celle de la lumière. En effet, la vitesse v de fuite d'une galaxie qui se meut dans l'espace est donnée par la relation très simple : v =cz où c est la vitesse de la lumière. La Relativité impose donc z<1. Mais si cette vitesse de fuite est due à l'expansion de l'Univers, alors cette formule devient : z = Rr/Re-1 où Rr est le rayon de l'Univers au moment où on reçoit la lumière de la galaxie et Re est le rayon qu'avait l'Univers lorsque cette lumière a été émise. z peut alors prendre des valeurs où la vitesse de la lumière est considérablement dépassée. Cette différence entre Rr et Re ne dépend évidemment que de la vitesse d'expansion de l'Univers et la Relativité n'intervient pas. Et que dire aussi de la façon dont est perçu le fait que l'Univers peut être fini mais sans borne ? Nous touchons à la topologie dont la connaissance est indispensable pour comprendre ce fait. Les exemples ne manquent pas et, de son côté, la mécanique quantique n'est pas avare de surprises dont la nature est contraire au sens commun. Pensez donc : Une particule peut être en deux endroits différents au même instant ! J'arrête là car j'ai peut-être abusé de votre patience. Cordialement.
  12. De pire en pire ! Ce cas est désespérant !
  13. Bonjour, C'est vrai, C'est une faute d'inattention où j'ai écrit "galaxie" en pensant à "univers". C'est d'ailleurs corrigé implicitement dans mon renvoi en fin de texte. Merci quand même d'avoir rectifié. Pour ce qui concerne l'Univers connu, certains cosmologistes estiment, aux dernières nouvelles, qu'il se confondrait plutôt avec l'Univers tout court. Je n'en sais rien. Bien à vous.
  14. Bonjour, A part le fait inattendu selon lequel une théorie générerait des axiomes (elle est quand même bien bonne celle-là !!), il ressort des déclarations de contrexemple (et autre) l'alternative suivante : - Ou bien la logique ment et par conséquent les ordinateurs ne peuvent fonctionner puisque basés sur l'algèbre de Boole qui n'est rien d'autre qu'une représentation particulière du calcul propositionnel sur lequel est basé la logique, - Ou bien c'est par pure divagation que d'affirmer que la logique ment ! Bien sûr, il reste le cas d'un extraordinaire génie qui a peut-être prouvé que la logique mathématique est une imposture. Alors, il ne fait aucun doute que la gloire mondiale attend celui qui aura fait cette fantastique découverte.
  15. Bonjour, Tout d'abord, je suis d'accord avec certaines objections à mon texte. J'ai fait allusion à une nouvelle récente dont j'ai oublié les références et qui annonçait que les cosmologistes avaient découvert que la Terre a été une des premières planètes dîtes "habitables", (ce qui ne signifie pas "habitées") ! Ce résultat tient compte du fait qu’un nuage de gaz et de débris de toutes sortes se maintient très longtemps avant que les forces gravitationnelles ne le fassent s’effondrer en étoiles et planètes. D’où, par raccourci, les 10 milliards d’années annoncées. Pour ce qui concerne la vie ailleurs, voyons cela de plus près en ne se basant que sur des faits. Dans tout ce qui suit, je parlerai de la vie telle que nous la connaissons : basée sur l'ADN et la chimie du carbone. Décomposons le problème ainsi : I) Zone galactique habitable (ZGH). C'est une zone loin du centre galactique où la densité des étoiles est trop élevée et dont les rayonnements gamma, X et ultraviolets empêcheraient toute vie. Pour notre galaxie, la ZGH se situe à 25000 années lumière du centre galactique et s’étend sur 6000 années lumière. C’est peu , très peu ! Par exemple, notre système solaire est situé entre le bras du Sagittaire et l'éperon d'Orion, dans une région pauvre en étoiles. Vous trouverez de plus amples renseignements sur la ZGH sur le Net. II) Zone planétaire habitable. C'est une zone dans un système stellaire où de l'eau liquide peut exister sur une planète. Mais cette condition ne suffit pas. Il faut des océans suffisamment importants pour assurer le cycle de l'évaporation, des vents transportant les nuages, les pluies, et le retour aux océans permis par un relief aux dénivellations suffisantes. Il faut aussi que l'atmosphère ait la bonne proportion d'oxygène et ne contienne pas de gaz toxiques. Il est aussi nécessaire que la planète soit accompagnée d'un satellite naturel suffisamment important pour stabiliser son axe de rotation par effet de marée, sinon cet axe de rotation de la planète basculerait trop souvent avec toutes les conséquences fâcheuses pour d'éventuels êtres vivants. Et enfin, pour que la vie apparaisse, il faut qu'au moins une première bactérie surgisse à partir de la matière inerte. Et cela est la grande inconnue ! Et, puisque l'on ignore totalement le processus qui a abouti à la création de cette bactérie, toute tentative d'en calculer la probabilité d'apparition est vouée à l'échec ! Par conséquent, il est vain de se référer au nombre astronomique d'étoiles ne serait-ce que dans notre galaxie. III) A propos des étoiles. Un calcul très simple nous conduit à un nombre d’étoiles de notre galaxie a 1022 environ (*). Mais attention : Seules les étoiles de types spectraux, F et G sont candidates à posséder des planètes où la vie pourrait apparaître. De plus, ces étoiles ne représentent que 12% du nombre d’étoiles de la galaxie. Les autres sont trop chaudes, trop lumineuses et ne vivent pas assez longtemps. Il s’agit des étoiles de types spectraux O, B et A. Quant aux étoiles de type spectral K, leur luminosité est bien faible, mais sait-on jamais ? Quant aux étoiles de type spectral M, (73% des étoiles de la galaxie) elles sont très « froides », de trop faible luminosité et leur zone habitable place leurs planètes bien trop près de l’étoile. A un point que pour raison de résonnance gravitationnelle, ces planètes présentent toujours la même face à leur étoile : On cuit d’un côté et on gèle de l’autre ! Mais il y a pire. Les étoiles de type M sont le siège souvent de brutales émissions de rayons X qui tueraient toute vie si il y en avait ! Enfin, il est bon de savoir que notre galaxie contient autant de systèmes stellaires doubles, triples, quadruples que d’étoiles simples. Or, les équations de la mécanique céleste montrent qu’il est peu probable que les systèmes binaires (doubles) possèdent des planètes à l’orbite stable. Quant aux systèmes plus complexes (triples, quadruples et même quintuples), aucune orbite stable ne peut s’y manifester. On voit bien que le nombre d’étoiles susceptibles de posséder des planètes porteuses de vie est très limité. Conclusion. Tout ce qui précède n’est qu’un rapide survol qui aurait certes besoin d’être un peu plus développé.. Mais c’est à partir de ces faits résumés que chacun peut se faire son opinion sur l’existence éventuelle d’apparition de la vie ailleurs dans l’Univers. Pour ma part, bien que plutôt partisan du fait que seule la Terre abrite la vie, j’admets fort bien que les avis soient partagés car il n’existe aucune preuve convaincante d’un côté comme de l’autre. Cordialement. (*) Voici ce calcul : On compte en gros 1011 étoiles par galaxie. On compte en gros 1011 galaxies dans l'univers connu. En tout 1011 x 1011 = 1022 étoiles. Si on suppose à peu prés 10 planètes par étoile, cela nous donne donc 1023 planètes maximum dans l'Univers.
  16. Bonjour, Le Soleil et la Terre sont âgés en gros de 5 milliards d'années. L'Univers existe depuis en gros 14 milliards d'années. La Terre est formée, entre autres, d'éléments plus lourds que le fer ce qui prouve qu'elle est née des débris d'une supernova. Mais une supernova est une étoile qui explose à peu près 10 milliards d'années après sa naissance. Par conséquent, la supernova, dont nous sommes en quelque sorte les descendants, est née presqu'au moment du Big Bang. La Terre est donc une des premières planètes apparues et pouvant porter la vie. Ce constat pourrait expliquer à ceux qui croient que la vie existe ailleurs que nous sommes parmi les toutes premières civilisations et que, s'il en existe d'autres, alors étant pratiquement au même stade que nous, elles n'ont pas encore trouvé les moyens de voyager dans l'espace. Ceci pourrait être une réponse au paradoxe de Fermi. Mais il existe d'autres réponses à ce paradoxe : - S'il existe d'autres civilisations, elles auront peut-être exploité totalement leurs ressources en minerais métalliques, ainsi qu'il en sera pour nous même dans un siècle environ. - Nous sommes seuls dans l'Univers et ainsi on ne risque pas de recevoir de visites. Voilà de quoi réfléchir un peu peut-être ... Cordialement.
  17. Bonjour, Votre dérobade ne démontre rien du tout. Je persiste à affirmer votre méconnaissance de la logique mathématique. Aussi, je ne vois aucune utilité à poursuivre un dialogue ave vous. Enfin, le fait que vous me refusiez toute expertise en logique mathématique ne me fait ni froid ni chaud. Bonne chance quand même. Bien à vous.
  18. Bonjour, Je regrette beaucoup mais je suis obligé de vous dire que votre propos n'a aucun sens ! Vous ignorez tout du problème de "l'immortalité" des machines de Turing ! C'est essentiellement une question d'indécidabilité qui n'a qu'un rapport très lointain avec l'informatique laquelle est née bien plus tard que le concept de machine de Turing bien que sa logique lui doive beaucoup ! Connaissez vous la notion de "chiffre" d'une machine de Turing ? Je crois fermement que vos connaissances en ce domaine sont, une fois de plus, limitées à de vagues lectures de vulgarisation. Et cela ne peut tromper un VRAI spécialiste en logique mathématique, spécialiste que je suis !!! Par exemple, démontrez nous le théorème suivant : Théorème. Le problème de la décision de l'auto-applicabilité est algorithmiquement insoluble. (Il s'agit de l'auto-applicabilité des machines de Turing) Bien à vous.
  19. Bonjour, Voilà un raisonnement qui tient la route et dément ce qui apparaît de plus en plus nettement comme de simples élucubrations ! Et que viennent faire, ici plus tard, les problèmes NP-complets en cette affaire ??? Là je rêve ! On assiste à des déclarations faites de suites de mots disparates sans lien entre eux et employés à tort et à travers sans en connaître le sens ! Je crois que cette fois la plaisanterie a assez duré ! Cordialement.
  20. Bonjour, Il ne s'agit évidemment pas de croire aveuglément qui que ce soit, fût-il célèbre, mais si on n'est pas d'accord, alors il faut argumenter. Pour ce qui concerne la panspermie, cela ne nous dit pas comment ces "briques" de la vie ni comment la première séquence d'ARN sont apparues ! Le mystère reste entier. Je vous signale quand même que Christian Magnan se prononce sans ambiguïté contre le principe anthropique, surtout dans sa version forte. La valeur de l'argument de Magnan tient dans sa remarque sur les probabilités. C'est surtout cela qu'il faut bien comprendre avant de discuter son raisonnement. Cordialement.
  21. Bonjour, Oui, mais tout ceci ne nous éclaire pas sur l'apparition de la première chaîne d'ARN ! Tout est là ! Quelle pourrait être la probabilité, non pas pour que la vie apparaisse, on n'en sait rien, mais seulement pour que le hasard crée une séquence viable d'ARN ??? Autrement dit pour que le hasard assemble dans l'ordre qu'il faut les milliers de suites de nucléotides C A G T ??? Car il faut bien reconnaître que tout part de là ! J'insiste : Lisez le texte que je vous ai proposé ci-dessus et on y constate qu'il y a un monde entre l'intuition et la réalité. Cordialement.
  22. Bonjour, Et comment se crée une bactérie ? Seriez-vous le SEUL au monde à pouvoir répondre à cette question ? Et comment sait-on, comment savez-vous, qu'il faut des millions d'années pour que se forme une bactérie ? Je brûle de curiosité, répondez moi vite ! Merci d'avance ! P.S. Lisez donc ceci : http://www.lacosmo.com/petit.html
  23. Bonjour, Oui, tout à fait d'accord ! De plus, ce curieux "raisonnement" remet tout simplement en cause la transitivité de l'inclusion, c'est-à-dire qu'il nie que si A est dans B et que si C est dans A, alors C est dans B ! Cela revient tout simplement à démolir une des bases les plus solides du raisonnement humain ! Cette fois, c'est franchement désespérant ! Cordialement.
  24. Bonjour, Personne au monde ne sait par quel processus la vie est apparue ne serait-ce que sous la forme de la première bactérie. Dans ces conditions il est évident que la notion de probabilité d'apparition de la vie n'a absolument aucun sens, le concept même de probabilité n'ayant de sens que dans la manifestation en grand nombre d'un phénomène dont on connaît son mode d'apparition ! De plus, il suffit de recenser toutes les contraintes que doit réunir une planète pour que la vie, telle que nous la connaissons (ADN + chimie du carbone) puisse apparaître et se maintenir, pour émettre de sérieux doutes sur l'existence de la vie ailleurs. Voir par exemple la réflexion argumentée de Christian Magnan, professeur de cosmologie au Collège de France sur son site que l'on obtient tout simplement en tapant sous Google : Christian Magnan. Lisez le et vous aurez de quoi réfléchir. Cordialement.
  25. Socrate ayant été un homme est mortel et non mortelle.
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