Aller au contenu

Lineole

Membre
  • Compteur de contenus

    715
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    4

Tout ce qui a été posté par Lineole

  1. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Tu es amusant de tant de naïveté, de tant d’agressivité, d'énervement ne sachant plus que dire ni comment, donnant des ordres, intimant de haut ("un ton plus bas", "Compris ?"), comme un petit nobliaux tout stressé ! Ahahah !!! :smile2: Et en affublant les autres de prétention pour essayer de cacher la tienne, si manifeste et expressive... Risible ! Allez rajoute des mots comme caca, c'est parfait, ça te va superbement !, C'est très "dans le ton anar" Toujours aussi démonstratif. Je ne me démonte pas, même devant tes petites accusations sans fondement. Car ce n'est pas moi qui suis intarissable de noms d'oiseaux. Je peux me contenter d'analyser tes logorrhées ! Et c'est un délice pour la démonstration critique :D Merci pour les lecteurs !
  2. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Ce message était un doublon non terminé. Voir, ce que je dis des sous-cultures (ce qui n'est pas une hiérarchisation mais une indication de taille et d'inclusion sociale). L'anarchie a toujours une armature théorique, ancienne et parfois un peu renouvelée, mais au final c'est une forme datée de vision sociale. LES ANARS ne sont plus, essentiellement que des individus en quête d'une distinction socio-culturelle et très vaguement politique. Ils ressassent des symboles, comme leurs adversaires intimes ! Cette création d'adversaires intimes est d'ailleurs très expressive de la réduction de cette identité à une sous-culture distinctive parmi d'autres !!! Qui se dotent ainsi d'ennemis intimes sinon ? (et sinon, surtout, ces ennemis eux-mêmes )
  3. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    On va la refaire à l'endroit alors : Tu as remené ta fraise sur l'anarchie alors que le sujet était les anars... Tu n'as pas apprécié d'être rappeler à la réalité du fil et de la sociologie des tes "faux frères". Pour ne pas perdre la face tu t'es enfermé dans un autre fil, inventé par toi, en crachant au passage sur les fondateurs de l'anarchie, ce qui n'a pas échappé à d'autres intervenants du fil Comme tu aimes jouer les Kadors sans en avoir les moyens intellectuels, tu t'es contenté d'insultes de poivrot (tendance punk à chien ?), suite à quoi je t'ai souligner tes lacunes et ton incurie à participer à un débat ! Comme tu n'aimes pas ça, tu vas continuer à jouer les marlous bobos à la Renaud et te défausser de tes agressions et insultes sur l'Autre, comme tout bon Nanar ! Un peu comme GrandFred qui aime (ailleurs) à rappeler qu'il sait casser des gueules et défoncer du facho comme tout bon nanar qui se respecte ! Tout cela est très illustratif remarque de ce que sont les nanars ! De leurs méthodes, du fond commun largement dégénéré qu'ils partagent comme dérive depuis les origines glorieuses du 19e s. décidément bien loin ! Je l'ai déjà dit ailleurs, les anars ont fini par rejoindre les fachos dans la rue pour y jouer, ensemble à la gueguerre, avec les mêmes outils, les mêmes méthodes, des discours symétriques, dans une identité collective qui relève de la sous-culture de distinction, comme d'autres portent du Lacoste, ou font du Cosplay !
  4. C'était donc bien cela, tu n'as lu que le début de l'article, Et donc non pour en débattre mais pour essayer vainement d'avoir raison contre la vérité. Je vois ! Qui plus est, tu cherches maintenant à utiliser les programmes d'après 66 pour enrôler les années 60 qui ne sont pas mentionnées et même les décennies antérieures dont tu ne sais rien... (mais tant qu'à faire hein, autant y aller franco ! ). Bien, lien. Dès le Second Empire et plus encore sous la Troisième République, on considère que l’histoire scolaire doit servir le politique. Le « roman national » irrigue le projet patriote et républicain de la nouvelle école gratuite, laïque et obligatoire. Le projet de la troisième république est relativement limpide : un histoire « qui s’apprend par le cœur » disait Ernest Lavisse ; une histoire au service de l’attachement à un passé glorieux commun. Le roman national repose alors sur la mise en avant de grands personnages héroïsés, cristallisant toutes les valeurs de l’époque, fonctionnant donc comme des modèles identificatoires. Ces héros romantiques (masculins si l’on excepte Jeanne d’Arc), suivent une épopée rythmée par des événements significatifs de la gloire et de l’identité nationales... ...Les programmes, jusqu’à la fin des années 1950 restent sensiblement identiques aux précédents. C’est en 1957 que de nouveaux programmes introduisent l’histoire des civilisations extra-européennes. Après de nombreux débats, il est d’ailleurs décidé que ces changements ne s’effectueront que dans les classes terminales. L’historien Fernand Braudel en assume la paternité. Les contestations des enseignants seront si fortes que le programme est abandonné en 1966. Finalement, c’est surtout dans les méthodes que change l’enseignement de l’histoire à cette période.. les programmes Haby (1975) du collège sont les fruits de ce contexte favorable aux pédagogies actives. Les premiers souhaitent attiser la curiosité des enfants et le désir d’apprendre en décloisonnant les disciplines. Les seconds adoptent une approche traditionnelle une partie de l’année, puis plus thématique en encourageant à faire des « coupes » comme « La naissance et le développement des villes » ou l’ « évolution des navires et des transports maritimes ». Ils introduisent ainsi de l’histoire économique et sociale et revendiquent une « pédagogie par objectifs » Que comprends-tu alors ? Qu'on enseigne l'histoire des religions au collège depuis Napoléon III ? Donc tu es tire de petites conclusions arrangeantes... Ça ne mange pas de pain ! A aucun moment je n'ai dit qu'il n'y avait aucune composante religieuse dans l'Histoire, j'ai même précisé que j'avais bien vu les mythologies, mais rapidement, pas sur le fond de l'Histoire des religions ! Idem pour le moyen-âge qui ne peut s'étudier sans le christianisme comme le rappelle aussi Prométhée ! Mais il y a une différence énÔrme, que toi seul ne perçois pas (ou fait semblant de ne pas percevoir), entre la mention des religions et l'étude des religions... :smile2: Ce qui est ennuyeux, c'est ton obstination (probablement parce que tu ne sais pas faire la part des choses avec d'autres fil de discussion ), à t’enferrer dans des dénégations alors que nous pourrions en débattre sereinement pour observer un phénomène. Tu trouves un article intéressant pour discuter et tu le travestis, l'expurge des trois-quarts pour n'en faire qu'un outil lié à d'autres préoccupations que celle du débat... Non, tu n'as ni ma parole, ni rien d'autres d'ailleurs, si ce n'est ce que je viens de citer plus haut, et qui ne mentionne pas le fait religieux en soi et pour cause ! Car ce que tu te refuses à commenter (mais je reviendrais dessus autant que nécessaire, ne t'en fais pas !) c'est bien le débat des années 80 / 90 sur l'enseignement du fait religieux et sa motivation réelle à partir des années 95 / 96 Reprenons en effet l'article de Carpentier, que TU as trouvé !!! " À un autre niveau, les institutions, également, évoluent. Les programmes sont une tâche de Sisyphe… et une nouvelle rédaction en est demandée, avec de nouvelles orientations. Bien qu’envisagées dans des perspectives beaucoup plus générales, ces programmes de 1996 (ils sont rédigés en 1995), marquent, sous l’angle de l’histoire des religions, une évolution considérable, que met bien en valeur la comparaison des textes introductifs des programmes de seconde de 1987 et de 1996 : « comment assurer une meilleure préparation à l’étude du monde actuel, sinon une connaissance solide du xixe siècle, des idéologies et des changements politiques, économiques et sociaux qui en ont marqué le déroulement de la Révolution française à l’orée du xxe siècle et qui sont à l’origine de l’histoire de notre temps ? » (1987). « les programmes de lycée ont pour finalité la connaissance et la compréhension du monde contemporain. Le programme de seconde en pose les bases. Il est consacré à l’étude de six moments historiques qui jalonnent l’élaboration de la civilisation contemporaine. Le choix opéré ne suppose aucune continuité chronologique, ou aucun parcours thématique. Il repose sur l’étude de ce qu’est un citoyen dans un monde antique fort différent du nôtre, sur l’approche de la religion chrétienne, composante majeure de la civilisation occidentale, sur la diversité des civilisations médiévales, sur la nouvelle vision de l’homme et du monde à la Renaissance, sur le tournant fondamental représenté par la période révolutionnaire et les conceptions nouvelles qu’elle diffuse, enfin sur la manière dont celles-ci se sont progressivement imposées à l’Europe » (1995/6). " Puis, pour le début de la conclusion de l'article : ["i]Au seuil du nouveau siècle, le problème de l’enseignement du fait religieux a donc progressé. Son besoin s’en est manifestement fait sentir et, en histoire essentiellement, de nouveaux programmes l’ont pris en compte. Les fondations sont donc là, mais il reste à monter le bâtiment…[/i]" Situées oui ! Personne n'a jamais dit le contraire ! A part si tu veux inventer des propos pour faire les questions et les réponses ! En revanche, le fait religieux n'était pas étudié. Ce pourquoi il a été débattu et approché sur ces décennies évoquées... Certes il était possible pour un-e prof de parler de religion, mais ce n'était pas le cas dans la plupart des cas, pour des raisons sociologiques assez connu : la gauche très représentée chez les enseignants et le poids encore dans les années 60 / 80 du socialisme et du communisme.
  5. Article 1 Article 2 Climatoseptique maintnenant ? Tu es un adepte de Disneyland ? Tu penses qu'en disant très fort : "tout va bien, tout va bien, tout va bien !" toute la journée, tu vas tout esquiver ? Le roi de l'illusion, de la solution magique... foi et espérance, c'est ça ? Je sais surtout ce que sont les manipulations vulgaires ... Etre raciste, c'est considérer qu'il y a des races humaines et qu'elles sont hiérarchisées. Dis moi où et quand j'ai soutenu cette affirmation ? Sinon, tu ne fais que pratiquer de la diffamation, par incapacité à argumenter. Comme tout ceux qui finissent par traiter n'importe qui de nazi s'ils n'ont plus rien à dire et qu'ils ne connaissent pas les définitions de leur propre vocabulaire... NON, les cultures ne sont pas un gloubiboulga permanent. Sinon, il n'y aurait pas des cutlures mais une seule et unique culture mondialisée... PAR DEFINITION ! Si cette évidence ne te frappe pas assez vite, je te citerai ce grand raciste devant l'éternel Levi-Strauss : « ... toute création véritable implique une certaine surdité à l'appel d'autres valeurs pouvant aller jusqu'à leur refus et même leur négation. Car on ne peut, à la fois, se fondre dans la jouissance de l'autre, s'identifier à lui, et se maintenir différent. Pleinement réussie, la communication intégrale avec l'autre condamne, à plus ou moins brève échéance, l'originalité de sa et de ma création. » Le regard éloigné. 1983. Mais il faut une certaine capacité critique pour allez au-delà de la réduction de l'individu primaire à son désir festif qui ne voit derrière le mélange des cultures que la bouillabaisse d'une boite de nuit, avec mélange de musique, de fesses, et de boissons. Je te laisse le soin d'expliquer aux Dogons, aux Peuls, aux Guaranis, etc. Qu'ils sont bien cons de croire avoir une culture singulière alors qu'ils sont en mélange perpétuel, sans le savoir avec les Bretons, les canadiens, les maoris, etc. Et puis tu iras aussi expliquer aux amérindiens qui tiennent à conserver leur culture, qu'ils sont des gros cons de racistes tant que tu y es ! Je considère que l'Histoire est faites de conquêtes légitimes et de défenses tout aussi légitimes face à ces conquêtes. Cette conception fait plus que t'intéresser puisque tu défends, toi-même, la conquête romaine et l'extermination gauloise. Juste un peu plus haut, retourne te lire !!! Il n'y a pas à trouver d'autre terme. La Laïcité suffit par son histoire, à montrer ce qu'elle est vis-à-vis de la religion : un combat pour l'évincer toujours un peu plus de l'espace public. elle implique d'ailleurs la lutte contre les sectes, pour éviter que ne se créée de nouvelles religions (toute religion étant à l'origine une secte). Ceux qui soutiennent des repas différenciés, le voile, l'interdiction des caricatures religieuses, etc. sont des anti-laïcs, des lécheurs de cul de prêtres et d'Imam. Tu vis là encore dans ton monde de poneys roses et d'arc-en-ciel. Soutiens un peu les chiites, comme ça, pour déconner auprès de tes potes, tu vas mieux comprendre ce que tu rates en ne faisant que jouer à la console avec eux ! Et sinon, essaies soit d'élargir ton cercle (en fait non, je n'ai aucune haine pour toi, donc évite de prendre des risques à la con), ou plutôt de comprendre que TON monde n'est PAS LE monde. Tiens donc ? On se demande bien pourquoi il y a des guerres alors ! Deux fous isolés ne font pas une guerre, mais un duel... Donc abordons le principe de la guerre, de la conquête, de la colonisation, des fondements de l'expansion humaine, juste un peu pour voir où tu peux aller !
  6. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Mais mon pote ! Tu apprendras alors à ne pas supposer la bêtise des autre si tu ne veux pas t'entendre rappeler à tes propres mots d'ordre... Et tes ordres de petits capo... :smile2: Et ça se dit anar ! Mouarf !
  7. Beaucoup plus qu’on ne le croit, ils permettent à qui le veut d’aborder solidement l’étude des faits religieux et le discours trop entendu sur l’impossibilité, alors, de l’enseigner est vain. Ce qu'indique ainsi Carpentier, c'est bien qu'il n'est pas obligatoire d'enseigner les religions, mais que les programmes le permettent ! Or je n'ai jamais soutenu qu'il était impossible à l'époque de l'enseigner mais que ce n'était pas fait, du moins dans l'école publique, urbaine, parisienne que j'ai connu avec bien d'autres... Mais j'ai du mal à comprendre ? Tu as donné cet article comme base de réflexion sur la façon dont l'enseignement du fait religieux a évolué ou uniquement sur la base d'un passage trouvé par google qui pouvait te donner raison sur "le programme scolaire" ? Sur l'aspect théorique tu as donc tord lorsque tu dis que le fait religieux est enseigné depuis toujours ! C'est entièrement faux et tu décides donc d'avoir raison depuis les années 70. Ce qui est vrai ! Du moins partiellement puisqu'il ne s'agit que des "programmes", et uniquement d'Histoire. Sauf que... L'article que tu cites expliques que si le débat sur l'Histoire, puis sur l'enseignement du faits religieux est né, c'est précisément qu'une LACUNE était constatée chez les élèves ! Et c'est tout l'intérêt de cet article d'ailleurs que de montrer ce qui a conduit au rapport Debray... Et donc à un enseignement de ce type... Encore que l'article n'approfondissent pas le climat socio-migratoire qui pèse sur ce débat. Si l'enseignement du fait religieux était enseigné depuis toujours, ce type de débat, de rapport, n'aurait jamais eu lieu !!!
  8. Je sais fort bien depuis quand elle est réellement enseignée, mais il y a eu une zone nébuleuse dont je me souvenais mal, voir ce que j'en dis à Moriarty. Et l'article qu'il indique aussi tant qu'à faire ! Non, le religieux est une vision du monde. vous pouvez croire qu'elle peut être mixte, mais elle implique nécessairement un arrière monde qui porte avec lui une défiance non pas institutionnelle et sociétale, historicisée, mais ontologique à toute production humaine, dont la "science" au plus haut point. Nombre de scientifiques patentés n'ont de ce fait pas d'esprit scientifique, mais des compétences techno-scientifiques, épistémologiques et méthodologiques, tout en portant une vision du monde qui peut très bien être créationniste. A vrai dire, avec l'explosion des doctorats, c'est même plutôt la norme. Les esprits scientifiques ne sont pas rares, mais ils ne sont, à nouveau, plus majoritaires dans le monde universitaires et de la recherche.
  9. Merci de cet article, cela correspond assez bien. Le fait religieux commence a être réellement enseigné en tant que tel en Histoire vers la fin des années 80 dans les faits et non les années 70, relisez l'article plus en détail. Le débat des années 80 était justement lié alors au fait qu'il y avait des possibilités mais rien d'obligatoire. Et le plus souvent, heureusement à mon sens, une volonté manifeste des professeurs de faire avant tout de l'histoire pour collégiens. Je me souviens avoir vu la mythologie grecque et égyptienne mais de façon allusive mais nullement les hébreux où les chrétiens. Et jamais je n'ai entendu parlé de l'Islam, sauf dans mes études religieuses annexes. Le protestantisme et le catholicisme n'étaient qu'un cadre pour l'Histoire médiévale. Il n'y a jamais eu d'entrée théologique par exemple, ce que j'avais par ailleurs...
  10. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Il faut être un vrai Nanar bien intégré socialement pour ne même pas concevoir que de famille il puisse ne pas y en avoir et que ce puisse ne pas être un objectif... De fait je n'insinue rien sur moi, mais TU INSINUES pour te défausser de ton obsession familialiste ! De ton idéal petit bourgeois réalisé ! Petit-bourgeois, bien installé, avec enfants, travail, patron, voiture, maison, petit proprio, content de la réussite sociale de sa fifille... Ayant plein la bouche de son titre, plein l'orgueil de sa progéniture ! etc. etc. Ah la suffisance du Nanar... il fallait seulement l'aider un peu à se convoquer Car le Nanar se pense supérieur, lui aussi, et oui !!!! comme tous les autres ! Il clame bien sûr y échapper mais pour mieux s'y complaire finalement Il est l'archétype de l'hypocrisie qui va naître avec le romantisme, chez des poètes et littérateurs petit bourgeois, tous dotés d'une éducation urbaine. Tous refusant l'héritage de la monarchie ou de la bourgeoisie tout en acceptant l'héritage sonnant et trébuchant des parents (sauf quelques rares comme Proudhon justement...). Car l'anarchiste naît de l'exode rural et de la densification urbaine du 19e s. Il n'a aucune autonomie ne sait que rarement faire quelque chose de ses mains et fantasme le retour à une nature de l'homme sans hiérarchie, historiquement sans fondement. Une communauté primitive sans loi, heureuse et égalitaire. Un monde des bisounours en version intellectualisée pour les plus habiles, en version blouson noir, ma mob et mon troquet pour les autres ! (Renaud est un bon exemple de double jeu anar, de l'hypocrisie, des compromissions, de la passion egotiste, etc.). Rousseau bourgeois ? Tout petit pourtant, à côté d'un Pessoa ! Grand bourgeois... Vous me faites rire ! A être d'aussi pitoyables clown du grand cirque et tout aussi prompt à faire mine de ne pas en être ! :smile2: :smile2: :smile2: :smile2: :smile2: :smile2:
  11. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Voter FN n'implique nullement de glorifier la petite Marion ! (qui est si belle, sic). Tu peux essayer de me faire passer pour une réac, c'est de bonne guerre, d'autant que j'assume certaines réactions en particulier sur l'éducation même si pour le coup je suis aussi proche malgré tout d'Illich... Et tu devrais essayer d'assumer tes errances également ! Par contre, ce n'est nullement désinformer le lecteur que d'expliquer ce que sont, sociologiquement les anars. CELLES et CEUX qui se disent anar. Car un mouvement est composé de ceux-là, ne t'en déplaise. D'ailleurs TON anarchie ne serait pas non plus celle d'autres esthètes dans le même genre... Tu as probablement d'ailleurs beaucoup plus de facilité avec un dico (tant de gens n'ont ouvert que ça visiblement dans leur vie) qu'avec la lecture du titre d'un sujet : Qui sont les anarchistes (et non qu'est-ce que l'anarchie) ! Avant de supposer la bêtise des autres, instruis-toi.
  12. Tu devrais lire, ne serait-ce qu'un peu, les sites musulmans français pour constater que beaucoup de musulmans "français" sont loin d'en avoir peu à faire, car c'est bien, pour nombre d'entre eux, leur islam aussi qui est ainsi remis en cause. Et des intellectuels arabes et français musulmans, ne se mettraient pas en quatre pour faire de l'explication réformiste si elle était déjà acquise ! Tu passes à côté de ça ? Les guerres de religions n'avaient qu'une matière d'opposition. Ce n'est pas le cas de la guerre de religion musulmane, qui n'est d'ailleurs ni duale (comme ce fut le cas entre protestantisme et catholicisme) ni actuelle, ni avec la même géographie, ni avec le même cadre politique et géostratégique et économique. La comparaison a des limites très restreintes. Trop restreintes pour ton analyse.
  13. Ces rapports ne jouent pas sur les peurs, arrête de t'endormir avec cette ridicule manie. Tu es le seul à avoir peur au point d'être prêt à te convertir... Et lit bien pour comprendre qu'il n'y a pas que des réfugiés climatiques. Et que beaucoup de ceux-ci sont aussi africains, ivoiriens ou sénégalais par exemple. Mais qu'il y a aussi une augmentation constante de migrations économiques. Mon problème est de deux ordres : - S'il n'y a pas de cultures supérieure à une autre, ma culture n'a pas plus de raison qu'une autre de disparaître. Et elle porte des valeurs auxquelles je tiens, contre d'autres, radicalement. si donc certains se sont reproduits sans se poser de questions, qu'ils en assument les conséquences. Inversement je suis pour la suspension des subventions à nos agricultures et la stratégie de dettes sur le sud. Mais cela ne change rien sur le rapport à une immigration limitée. - Le Bangali, ne me pose pas de problème, du moins s'il est hindou... Ce n'est pas un problème de racisme mais de lutte contre la religion, surtout le monothéisme, et surtout le dernier avatar, le plus militaire et conquérant. C'est une question géopolitique. Et là le principe des valeurs prends tout son sens... La laïcité, je l'ai déjà dit n'a jamais eu pour but la loi de 1905. Ce n'était qu'une étape pour défaire progressivement l'individu de la religion. L'interprétation de la laïcité comme le droit à toute les religions est une dérive, orchestrée par des religieux de tout poils, très actifs sur ce terrain tant ils n'ont STRICTEMENT rien d'autres à faire de leur journée ! En tout cas de plus urgent ! Et c'est bien ce qui est le plus réellement problématique. Que de voir comment le socialisme, et toute la gauche est devenu passionné de défense de la religion par lutte contre la domination capitaliste, tout en devenant très complaisante au final avec le libéralisme pratique... Et donc au final, économiquement de droite et religieuse au point d'être islamophile. Tout cela, justement, au dépend de l'innovation écologique ! Dans une stratégie d'instrumentalisation des religions et de leur capacité régressive ! Pour esquiver la remise en cause profonde du modèle économique qui a besoin des limites mentales du religieux. C'est à cela que se prête les défenseurs de l'Islam et du retour du religieux. Et c'est pour éviter d'avoir à se battre sur ce double front que certain-e-s préfèrent mettre la tête dans le sable et dormir.
  14. Certainement pas retourner à l'agriculture d'antan, qui s'y entendait par exemple pour labourer la terre systématiquement, par évidence paysanne millénaire... Alors qu'on sait maintenant qu'il vaut mieux, souvent, utiliser d'autres techniques pour les semis. L'agriculture moderne doit devenir plus couramment un métier d'ingénieur, de chercheur, et de conservateur autant que de production. Et je suis en accord parfait sur le principe de consommation éduquée également. Ce qui ne nous laisse que le désaccord sur la réalité de la soit disant pauvreté de l'écrasante majorité des paysans !
  15. Pardon ? La nécessité de radicalité de pousse-t-elle à tel point à la confusion ? Ainsi serais-je pour ta réduction contre l'immigration massive -> donc une facho -> donc anti écolo etc. ? Le ridicule te conduit à m'imputer cela même que je dénonce...
  16. Je suis allé à l'école publique et je n'ai jamais entendu parlé de religion en Histoire, comme tant d'autres. Et cela t'a déjà été signalé d'ailleurs... or tu as bien écris ceci non ?
  17. Et le créationnisme n'est qu'un aspect du problème. Il ne faut pas se cacher derrière son petit doigt. Le créationnisme n'est pas le fait de chrétiens, mais de musulmans. Et cela va donc également avec une affirmation de supériorité des hommes sur les femmes d'où la nécessité gravissime d'avoir besoin de cours sur l'égalité homme/femme et le genre à des enfants qui sinon (et d'ailleurs malgré cela) reproduisent une vision patriarcale et même souvent haineuse vis à vis des femmes. L'école laïque est surtout malade de son manque d'autorité par peur de racisme vis-à-vis d'une seule et unique expression culturelle religieuse...
  18. Des connaissances ? Tu aurais des connaissances où ça ? Le rapport de Nicholas Stern sur les conséquences économiques du changement climatique indique en rejoignant Norman Myers, un chiffre de 200 millions de réfugiés potentiels d’ici 2050. L’Institut pour l’environnement et la sécurité humaine de l’université des Nations Unies propose quant à lui le chiffre de 150 millions. l’ONG Christian Aid annonce un milliard de « réfugiés environnementaux » à l’horizon 2050. Ce qui est une exagération liée aux populations concernées en fait par les migrations... Et ce ne sont que les estimations pour causes climatiques. Les politiques libérales, productrices de pauvreté, fabriquent beaucoup de migrants économiques. Au total, les migrations devraient représenter entre 400 et 700 millions en 2050. En 1950 il y avait moins de 50 millions de migrants internationaux, Ils sont plus de 250 millions en 2015. Certes la population mondiale à également augmentée, mais justement, pas du fait des pays qui accueillent mais du fait des pays qui produisent des migrants... Ce qui implique un changement rapide, sans précédent pour les pays accueillants : Les français de première et deuxième génération représentent maintenant plus de 11 % de la population. Lire ceci On voit ici la progression de l'immigration en France depuis le milieu de 19e : Et la France n'est pas le pays le plus modifié de ce fait en Europe, puisque l'Allemagne est maintenant composée pour 20 % d'immigrés ou d'Allemands de première ou deuxième générations. Oh, mais j'ai compris, j'insiste donc sur le fait d'appeler un chat un chat, un lâche et un pleutre, un lâche et un pleutre... Prêt à vendre les autres pour survivre. Ce n'est pas une Nature, mais un choix politique.
  19. Tu n'as rien fait du tout. Parce que tu n'as rien vécu. Sur 8 millions de gaulois, 1 millions et demi de mort, 1 millions d'esclaves, des mutilés par centaines de milliers. La conquête romaine était un génocide. Selon le mot de Pline, César a commis un humani generis iniuria, un crime contre l'humanité. Et c'est cela que tu appelles de tes vœux ? Mieux, tu nous expliques qu'il n'y a aucune chance de transformation, mais en donnant pour exemple de la sérénité culturelle des génocides et des conquêtes sanglantes ? Et tu voudrais te moquer des autres... ? Tu es décidément en grande difficulté intellectuelle sur ce sujet...
  20. Non, tu ne sais pas comment t'en sortir alors tu bottes en touche en inventant un autre débat... Mais tu peux toujours te défausser, je ferais en sorte qu'on se souvienne de tes propos ne t'inquiète pas ! Petit lapideur de femmes ! Ce sont des centaines de millions de migrants sur les 50 prochaines années qui vont vouloir se mettre en mouvement. Le mouvement n'a cessé de s'amplifier depuis 50 ans déjà. Et vous le savez. Vous n'aspirez qu'à la destruction du capitalisme par la destruction de la civilisation occidentale car vous êtes incapable de penser le changement autrement. Ce n'est pas un problème de trouille que vous instrumentalisez, mais un problème de gestion réaliste des risques. Votre travail d'endormissement est, au fond, plus haineux encore que celui de misérables partis d'extrême droite. Affligeant ! Certes les témoins de Jéhovah sont idiots, mais tu nous rappelles les attentats qu'ils ont commis ?
  21. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    J'en sais surtout trop pour toi... qui préfère rester dans le ciel des idées pures ! Les anars (le sujet), ce n'est pas l'anarchie idéale de quelques auteurs... Et c'est bien ce que je décris. La réalité de terrain, sociologique, des anars, qui ne sont plus que des consommateurs qui veulent égoïstement le mieux pour eux d'abord et leur famille, contre leur société, mais avec l'aide des sociétés qu'ils idéalisent, par pure ignorance et fantasme. De fait, tu ne réponds à rien ! Ni le religieux, Ni la croissance démographique et familialiste, Ni le rousseauisme naïf de la fascination pour le bon et pauvre sauvage contre le méchant occidental, etc. Et sur cela, tu es si visiblement gêné de répondre.
  22. Lineole

    Qui sont les anarchistes?

    Dire que l'anar ne veut pas de maître à penser est faux. Les anarchistes, comme les autres se situent dans une mouvance de pensée. Pour sa version positiviste souvent employée à tort et à travers de nos jours, comme ici sur ce forum par beaucoup de faux "anars", elle se construit dans le socialisme, avec Proudhon, comme dépassement des hiérarchies, dans une lecture proche de Marx mais opposée dans les moyens de fin des classes. L'anarchie se construit malheureusement avec des énergumènes souhaitant surtout l'anarchie comme terrain de leur liberté, à eux ! Et à ceux qu'ils estiment dignes : les pauvres... Sans se soucier de savoir si ceux-ci le veulent ou même ce que sont leurs motivations. On voit bien l'erreur avec la commune de Paris en 1870, qui sera rejeté par beaucoup d'ouvriers non parisiens, et par toutes les campagnes, même pauvres et soumises. L'éducation que suppose l'anarchie est bien vite oublié comme préalable indispensable, par les ultra gauchistes, amateur de castagne, de bière et de révolution festive qui vont déformer la pensée et l'action, y compris dans la violence la plus stupide et discréditante. Et la plupart des "anars" sont dorénavant des égoïstes primaires, amoureux de leur liberté à EUX et à leur PROCHE ! Haineux vis à vis de cibles qu'ils se sont donnés pour mieux s'identifier, mais se comportant comme eux : les fachos (terme générique fourre-tout, dont ils sont incapables de délimiter une réalité à analyser et à combattre). Etre "anar" parce que ça fait cool ! Epais, très masculin aussi. Beaucoup de jeunes voyous se sont "reconvertis" en anar, y trouvant une possibilité de justifier leur parcours à posteriori : "je n'étais pas un mauvais garçon mais simplement un anarchiste qui veut vivre libre et sans toutes leurs lois à la cons et leur propriété ! Et celui qui touche à ma moto, j'lui éclate la tronche". J'en ai rencontré beaucoup des comme ça. Je doute même que ce ne soit pas l'essentiel de ce qui reste du mouvement de nos jours. Ils ont aussi épousé l'anti-racisme obsessionnel, parce qu'il semblait que le "facho" soit raciste (alors que ce lien est loin d'être toujours réel), et de fait la détestation de la culture, mais uniquement la leur puisque c'est d'elle qu'ils veulent s'absoudre. Ils survalorisent en revanche les cultures des autres, des ceux qu'ils croient être les dominés, reprenant par là même l'erreur marxiste de croire que la dictature du pauvre, du prolétaire, n'en sera pas une... L'anar ne vit que dans le temps présent, il ne connaît par le futur. Il partage cela avec le courant punk avec lequel il s'est confondu depuis quelques décennies. Toujours la même quête : liberté individuelle contre tous, festive, quasi suicidaire puisque refusant à l'homme tout futur. Les sont cependant, sociologiquement, des consommateurs, très bien intégrés socialement. Nombreux sont même fonctionnaires, crachant évidemment sur l'état et la fonction publique... Ils ont enfants et familles, utilisent la loi et la propriété, voire même la rente capitalistique sans sourciller ! J'aime à voir ce réclamer sur ce forum plusieurs dizaine de personne de l'anarchisme, tant ils ont l'impression ainsi de s’ennoblir, alors qu'ils ne trompent quasiment personne sur l'identité de pauvreté intellectuelle que cela révèle, d'incohérences et de contradictions massives, grossières, vulgaires. Ils aiment aussi de ce fait, bouffer aux râteliers séduisant. Beaucoup se découvrent ainsi une fibre écolo, alors même que l'écologie réelle s'oppose le plus souvent aux questions sociales telles qu'ils les perçoivent à travers leur continuité religieuse judéo-chrétienne... Encore une belle incompréhension des origines ! Ces tenants du Ni Dieu, Ni Maître comme simple slogan vidé de son sens sont pour la famille et pour le "croissez et multipliez"... Ils en arrivent même à être pour l'expression religieuse libérée, et par détestation de leur culture et valorisation de ce qui peut la détruire, pour l'expansion de l'Islam... Ou comment marcher sur la tête !
×