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lumic

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Tout ce qui a été posté par lumic

  1. En parlant de mutation , donc de gène si je ne me trompe pas il existe un cas unique dans le monde d 'une famille possédant un gène bien identifié d 'une famille (italienne) qui ne ressent pas ou pratiquement pas la douleur .... Cela quelque part laisse songeur à toutes les répercussions que cela aurait pu avoir si ce gène avait concerné pratiquement la population mondiale et ce depuis des lustres ...
  2. Et oui , il suffirait que le monde eut été différent que l 'on chercherait la cause correspondante . Avec le hasard , c 'est assez facile de comprendre les évènements , la façon dont l 'homme agit sans soupçonner , deviner ni comprendre tous un tas d 'enchainements .Il me semble que cela demande une construction assez logique , de déduction du simple fait de notre réalité . Et mieux encore , le hasard , du moins pour moi , ce que j 'en ressens , permet de supposer toute autre état possible .De plus c 'est une situation de totale incertitude avec de multiples paradoxes utiles à notre intelligence , je dirais ...
  3. Oui mais dans ce cas l 'univers était aussi stupide d 'avoir crée une créature aussi stupide que ses pieds .Si il fallait nommer toutes les conséquences de la fameuse intelligence et bien il en faudrait des pages et des pages , d 'ailleurs l 'être humain sait être toujours aussi stupide mais intelligent nécessairement ... Pour ce qui est de nos facultés qui ne seraient plus ce que elles étaient il ne faut pas je pense réduire l 'intelligence à ces facultés sachant que un vrai génie peut être aussi un parfait crétin .Je rajoute donc que l 'intelligence peut être toute aussi émotionnelle quoique parfois démesurée ...
  4. En fait vous auriez pu écrire ceci , pouvons nous admettre que notre intelligence soit à la hauteur de la complexité apparente de l 'univers .Est ce un défi de trop ou d 'insurmontable au point de croire que nous serions dépourvu d 'intelligence ...
  5. Non , il ne s 'agit de décider de ceci cela mais d 'évoluer au sein même de notre intelligence en évitant des idées toutes faites . Autrement dit comment pouvons nous inclure une intelligence à cet univers sachant que nous sommes dedans , impliqués dans cet univers de façon intelligente ou pas , il n 'y a que notre intelligence qui peut en évoluer , concrètement c 'est ce qui se passe il me semble par la compréhension de notre propre réalité... Si on trouve une loi humaine stupide ou intelligente c 'est par notre capacité de discernement entre ce qui est cohérent , bien ou mal approprié , voir stupide .A propos je me demande si le mot comment est bien approprié si on cherche à expliquer comment l 'univers "fonctionne" . Toutefois , on peut sans doute se poser la question comment nous , nous agissons , faisons , croyons de cet univers juste pour rappeler que nous y sommes et comment nous abordons ces questions ...En fait c 'est aussi comment nous , nous " fonctionnons" Grosso modo la clef de l ' intelligence serait en nous dans ce rapport direct entre l 'univers et nous .
  6. En fait l 'univers est probablement cohérent à lui même sauf que cette cohérence ne repose pas sur une intelligence .Vous dites plus haut que l 'on peut trouver une loi humaine stupide ou intelligente sans reconnaître une once d 'intelligence à l 'univers .Si c 'est effectivement le cas votre comparaison est assez judicieuse puisqu 'il s 'agit de comparer ce que est notre intelligence par rapport à une intelligence supposer de l 'univers .Si la comparaison parait surprenante , prétentieuse il n 'y a de choquant que cette croyance qui consiste à croire qu 'il existe une intelligence bien supérieure ou trop difficile à notre entendement humain , ce qui d 'ailleurs est une idée fausse sur ce dernier point . Le problème peut être accentué du fait de notre façon de voir avec des idées toutes faites , surtout celle de l 'idée qu 'il existe quelque chose au dessus de nous de bien supérieur qui en fait n 'est que la représentation mentale , schématique de ces idées reçues ...
  7. En fait , c 'est peut être la question qui n 'est peut être pas vraiment bien adaptée à la loi de la gravitation universelle .Si des découvertes sont faites , saisies , comprises , admises c 'est aussi notre positionnement sur ce que est l 'intelligence qui devrait je pense être remise en cause pour requalifier ces découvertes . En fait la question est peut être insensée non point parce que vous l 'êtes mais parce que l 'évolution du langage et des idées ne suit pas forcément les découvertes . C 'est notre façon , de voir , d 'appréhender , de reformuler qui sont susceptibles d 'être remises en cause ...
  8. Ben tout dépend de ce que vous voulez aussi ...Si il vous plait que l 'univers soit intelligent et que cela dépasse notre entendement , c 'est votre point de vue , le sens même de votre démarche . Pour moi non , si je ne considère pas une intelligence sous-jacente à notre compréhension , c 'est que cette compréhension fait partie prenante de notre évolution ...
  9. D 'ailleurs on peut se demander un truc .Si la science est un domaine particulier , expérimental , reproductible y 'aurait -il aussi une science sans les humains , c 'est à dire existante sans nous ...
  10. En accordant à l'Homme un rôle d'observateur très privilégié, le principe anthropique sème le trouble dans les esprits. La vie est-elle issue d'un concours de circonstances ? Ou l'a-t-elle au contraire provoqué ? Une controverse irrationnelle est lancée pour savoir qui, de l'Univers ou de l'Homme, a engendré l'autre... Christian Magnan Collège de France, Paris Université de Montpellier II SECTIONS Nous habitons un endroit privilégié Coïncidences fortuites ou prévisibles Modifions une donnée... et tout s'écroule Avancer des propositions gratuites est inacceptable pour la science Pour poser une question, il faut une théorie La vie relève d'une suite invraisemblable de hasards Nous habitons un endroit privilégié Contrairement à ce que prétendrait un strict principe copernicien, la place que nous occupons dans l'Univers, du fait même qu'elle abrite la vie, a quelque chose d'exceptionnel. La Terre se situe exactement à la bonne distance d'une étoile de bonne température, cette « ajustement » ayant permis à l'eau d'exister sous forme liquide, ce qui a rendu possible le développement d'une chimie féconde en organismes vivants. Au contraire, sur Mars, la planète désertique, ou sur Vénus, l'étouffante fournaise, aucun être humain n'aurait pu naître pour remarquer que les conditions n'étaient pas propices... à son avènement. De même l'astronome Dicke fait remarquer que l'époque à laquelle nous nous trouvons, une douzaine de milliards d'années après le big-bang, n'est pas « arbitraire ». Plus tôt, et les étoiles n'auraient pas bénéficié du temps voulu pour fabriquer en leur sein les éléments dont nous sommes constitués ; plus tard, et les étoiles se seraient éteintes. Le fameux « principe anthropique » (du grec anthropos : être humain), introduit explicitement en 1974 par Brandon Carter, astronome à l'observatoire de Meudon, exploite ce genre de réflexions en affirmant que les propriétés de l'Univers observé sont le signe de la présence de l'Homme. Sous sa forme « faible », le principe anthropique attire l'attention sur le fait irréfutable que les points de l'espace et du temps d'où nous observons la réalité appartiennent à la classe privilégiée de ceux où la vie possible. Sous l'apparence d'une pure évidence tautologique, le raisonnement a présenté à l'origine l'intérêt de nous inviter à distinguer parmi certaines relations physiques remarquables celles qui peuvent être déduites de lois plus fondamentales de celles qui relèvent de la coïncidence fortuite. Derrière ces dernières circonstances se cachent certaines conditions nécessaires à l'émergence de l'espèce humaine et sont donc liées à notre présence. Retour au début Coïncidences fortuites ou prévisibles ? Quelques coïncidences célèbres - qui ont alimenté les théories les plus hasardeuses - illustrent cette progression dans le niveau d'explication. Ainsi, l'énergie de liaison d'origine électrique d'un atome d'hydrogène est 1040 fois plus forte, en chiffres ronds, que l'énergie de gravitation de l'électron et du proton qui le composent. Par ailleurs, le nombre de particules dans une étoile est de l'ordre de 1060. Bien qu'à première vue ces deux chiffres n'aient rien à voir l'un avec l'autre une relation très simple les fait correspondre, l'exposant 40 du premier représentant les 2/3 de 60, l'exposant du second. S'agit-il d'une pure coïncidence ? Non. Ce rapport relève d'une explication scientifique à deux étages. Premièrement l'étoile doit posséder une température suffisante pour que ses atomes puissent vaincre les forces d'origine électrique et déclencher ainsi les réactions nucléaires. Deuxièmement, les forces de gravité doivent pouvoir compenser les forces de pression résultant de cette température et ayant tendance à faire exploser l'étoile. Numériquement, comme l'énergie de gravitation d'un système (ici l'étoile) croît comme la puissance 2/3 du nombre de particules mises en jeu, cette énergie rattrape l'énergie électrique, 1040 fois forte au départ, lorsque la limite précédente 1060 est atteinte. Autre coïncidence remarquable : si l'on rapporte l'âge présumé de l'Univers, une douzaine de milliards d'années, à un temps caractéristique de l'échelle atomique, on trouve un nombre de l'ordre du fameux 1040 déjà rencontré comme rapport entre forces électriques et forces de gravitation. Après cette nouvelle correspondance de chiffres, encore plus étonnante puisqu'elle met en jeu l'infiniment petit et l'infiniment grand, le principe anthropique entre véritablement en scène. En effet, dès 1961, Dicke montre que si les deux nombres sont égaux entre eux, c'est que chacun est égal à un troisième, à savoir l'âge moyen d'une étoile. Voici pourquoi. (i) La durée de vie d'une étoile est liée à son débit d'énergie, lequel dépend du délai nécessaire à la lumière pour s'en échapper. Or, du fait que les particules de lumière traversent l'étoile par une série de zigzags aléatoires, on montre qu'ils mettent pour sortir un temps proportionnel à la puissance 2/3 du nombre de particules que l'étoile contient. Comme cette « loi en puissance 2/3 » est identique à celle qui caractérisait plus haut la gravitation, on retrouve pour la durée de vie stellaire le fameux 1040. (ii) L'égalité entre l'âge moyen d'une étoile et l'âge actuel de l'Univers se déduit quant à lui d'un raisonnement « anthropique » : notre présence implique que l'âge de l'Univers n'est pas quelconque par rapport à la durée de vie stellaire. En effet, comme les étoiles nous sont « vitales », il est nécessaire d'une part qu'elles aient eu le temps d'apparaître et d'autre part qu'elles n'aient pas eu le temps de disparaître. En prime, nous expliquons pourquoi notre Univers est si vaste. Alors qu'un bon Soleil et une bonne Terre nous suffiraient, pourquoi cette débauche de centaines de milliards de galaxies contenant chacune des dizaines de milliards d'étoiles ? Réponse : pour un Univers en expansion, un âge de douze milliards d'années correspond à une taille de douze milliards d'années de lumière. Et comme les équations d'Einstein relient la dimension de l'espace à la masse qu'il contient, cette dernière est fixée elle aussi : elle correspond à la présence dans l'Univers d'au moins 1080 - soit 1040 (encore le nombre magique !) élevé au carré - particules. En revanche, un Univers qui se réduirait à une seule galaxie aurait une durée de vie de l'ordre de quelques jours seulement ! Retour au début Modifions une donnée... et tout s'écroule Au-delà des explications précédentes, un problème demeure entier : pourquoi ces valeurs numériques plutôt que d'autres ? Pourquoi ce fameux 1040 et pas 1 ou 10 ? Peut-on invoquer un « principe anthropique » stipulant que la présence d'observateurs impose des contraintes aux propriétés même de l'Univers observé, y compris aux valeurs des paramètres fondamentaux de la physique qui le caractérise ? Aiguillonnés par l'apparent succès du principe anthropique faible, des chercheurs ont essayé de voir ce qui se produirait dans leurs équations s'ils faisaient varier les quelques constantes fondamentales de la physique (masse du proton, masse de l'électron, constante de la gravitation, constante de Planck...). Ils découvrirent que s'ils touchaient à quoi que ce soit à l'édifice tout s'écroulait, au sens où toute possibilité de vie disparaissait. Par exemple, puisque l'immensité de l'Univers est liée la faiblesse relative de la force de gravitation, imaginons de rendre notre monde plus petit en augmentant la force de gravitation, que nous multiplierons par 1010. En reprenant textuellement les calculs présentés plus haut, le fameux 1040 devient 1030. Le nombre de particules dans une étoile, 1015 fois plus petit, tombe à 1045. Par contrecoup, la durée de vie de cette même étoile se retrouve 1010 fois plus faible qu'auparavant, pour atteindre l'ordre de l'année, ce qui est insuffisant pour qu'aient eu le temps de se produire les réactions physiques et chimiques complexes ayant conduit à l'être humain. Le résultat est le même si on imagine de changer d'autres constantes. On aboutit ainsi à la conclusion que la fabrication des éléments chimiques et la mise en place des conditions nécessaires à la vie exigent un ajustement hautement subtil de tous les paramètres en jeu, lesquels ne tolèrent donc pas la moindre modification. Retour au début Avancer des propositions gratuites est inacceptable pour la science Face à cet enchevêtrement incroyable de coïncidences, les inventeurs du principe anthropique fort déclarent : si le monde a les caractéristiques que nous observons, c'est parce que nous sommes là pour les observer (puisque, s'il était différent, nous ne serions pas là...). C'est donc notre présence qui détermine les propriétés de l'Univers. À ce niveau, le « principe anthropique » est inacceptable pour un scientifique car il ne répond à aucun des critères qui distinguent la science parmi d'autres formes de pensée. Le principe anthropique fort contient une hypothèse implicite massive : il suppose qu'il existe d'autres univers de caractéristiques différentes, dotés de paramètres physiques de valeurs numériques quelconques. Parmi ces univers multiples et hypothétiques, seul un infime sous-ensemble, dont notre Univers, serait susceptible d'abriter la vie. Mais les difficultés que soulève une telle proposition sont insurmontables. Déjà, pour avoir un rapport avec la réalité, une proposition scientifique doit pouvoir être soumise à une interprétation physique et à une vérification par la mesure, directement ou indirectement (dans ce cas, par une expérience imaginaire dont la réalisation, impossible en pratique, ne s'oppose pas à un principe). Or il est parfaitement impossible de tester l'hypothèse de l'existence d'autres mondes qui par définition même sont inaccessibles ! En effet, on peut se demander dans quel « espace » et quel « temps » se situeraient de tels univers puisque selon nos théories actuelles notre propre Univers, étant lui-même « espace - temps - matière », englobe la totalité de l'espace et du temps. Parler d'autres univers est donc une proposition purement gratuite pour un scientifique. Proposer, comme une variante aux multi-univers, que notre Univers constituerait une portion d'espace « vivable » au sein d'un univers infini est également absurde car l'infini, concept mathématique, n'est pas une notion physique. Utiliser l'adjectif « infini » à propos du monde réel est donc abusif et trompeur. Retour au début Pour poser une question, il faut une théorie Pour être valable, une proposition scientifique doit répondre à une deuxième condition : être formulée dans le cadre d'une théorie. En imaginant que l'on puisse changer et choisir les paramètres physiques d'un univers, les tenants du principe anthropique font appel ipso facto à une théorie de « création des univers à paramètres libres », laquelle... n'existe pas ! Si la relativité générale nous a permis de comprendre quelque chose à l'évolution de l'Univers, elle est incapable de traiter de sa naissance. Remontant le temps, elle rencontre en effet au départ une singularité, connue sous le nom de big bang, exclue du modèle : l'Univers ne contient pas son origine. Il faut reconnaître que la cosmologie, étude de l'Univers dans son ensemble, occupe une place à part en sciences parce qu'elle se heurte à au moins deux difficultés de principe qu'il est utile d'analyser. (i) La science ne raisonne que sur des classes d'objets. Forcée d'établir ses lois en comparant des situations analogues dans le fond mais diversifiée dans la forme, elle ne peut rien déduire d'une observation isolée. L'Univers étant par nature absolument unique et non duplicable, la science se trouve complètement désarmée devant cette unicité embarrassante qui lui interdit de procéder à des comparaisons expérimentales. (ii) Ensuite, notre monde existe, au sens le plus fort du terme, c'est-à-dire comme le donné essentiel qui ne laisse précisément aucun choix. Or, cette vertu d'existence est totalement étrangère à la science, qui ne possède pas encore (!) la moindre « théorie de l'existence ». Le principe anthropique, en se permettant de parler de ce qui existerait ici-bas ou dans un au-delà inconnaissable, sort du cadre scientifique en ouvrant la porte aux déviances de toutes sortes. Retour au début La vie relève d'une suite invraisemblable de hasards Quelle est la place de l'Homme dans l'Univers ? Les discussions engagées autour du principe anthropique ont sans conteste fait avancer la question, mais en aboutissant à un résultat inattendu. La conclusion qui se dégage en effet c'est que l'apparition de la vie repose sur une telle série de chances qu'elle apparaît comme l'exception, même dans un Univers soi-disant « spécialement conçu » pour l'abriter. Pour bon nombre de partisans de ce principe anthropique, nous sommes très vraisemblablement les seuls habitants de l'Univers (et c'est notamment la conclusion développée dans le livre de Barrow et Tipler, The anthropic cosmological principle), ce qui est un comble pour qui voyait au départ l'Univers comme le reflet de l'Homme ! Ainsi, plus que jamais, en dépit des prétentions anthropiques, l'être humain reste-t-il (d'un strict point de vue scientifique, bien entendu) étranger à l'Univers !
  11. Bon , il est bien ou pas Christian Magnan , recommandez vous ses lectures car sur l 'ex forum orange il y 'avait un gars qui s 'y connaissait aussi et conseillait d 'aller sur son site et de ne pas hésiter à lui poser des questions .
  12. Ben non si vous voyez une intelligence universelle initiale antérieure au simple hasard , ce n 'est plus du hasard ...Pour le comprendre comme je vous le propose c 'est de voir et d 'admettre les faits comme ils sont , exemple , la situation du monde actuelle et comment l 'homme de tout temps à partir d 'une condition initiale celle ci ou une autre a crée son histoire comme l 'humanité connait .Si le hasard crée une certaine situation déterminante pour l 'homme il fait encore mieux si on y réfléchit un peu car il vous place théoriquement dans n 'importe quelle situation ou condition dans laquelle vous auriez pu être ... Ce qui signifie que toute position donnée ne l 'est que illusoirement ... Vous dites que lorsque l 'homme aura détruit ce monde dans lequel nous évoluons , les milliards de galaxies qui nous entourent continueront d 'exister .Certes , sauf que vous ne pouvez pas l 'envisager si nous n 'étions point , allez savoir pourquoi .....Ceci pour dire que tout état est un point de vue envisageable ...
  13. Non car si le hasard crée une quelconque situation , que d 'autres éléments se greffent autour de cette situation , qu 'une évolution en ressort , prend de l 'expansion , il s 'agit là d 'interaction ...
  14. Quoiqu 'il en soit pour le hasard je ne peux que conseiller d 'y réfléchir que par vous mêmes ... Perso , c 'est ce que j 'ai fait , j 'ai pris le mot hasard et je me suis qu 'est ce que cela peut -il signifier .Pour le comprendre il faut tenir compte de la réalité exactement pour ce que elle est et notre façon finalement peu objective d 'agir dans celle ci , l 'observateur se plaçant généralement dans une position donnée , celle par exemple ou il est né , agit , croit , pense etc Faut vraiment creuser la question que par soi même , ainsi donc , lorsque vous recherchez une cause ou une intelligence derrière cela il n 'y en a pas . Ensuite il peut y avoir plusieurs façons d 'opérer , d 'analyse . Premièrement il est impossible d 'affirmer que l 'univers existerait sans nous car de toutes les hypothèses envisagées , toutes le sont de nous dans et de cet univers , c 'est un fait incontestable .
  15. Oui , il se pourrait bien que le langage de l 'univers soit de plus en plus à notre portée sans être absolu mais n 'est ce pas là tout ce qui nous revient , créer , définir , affiner au mieux notre pensée car il me semble que le sens , l 'emploi des mots change tout sur la façon de considérer le problème . En fait en supposant une intelligence sous-jacente , c 'est admettre que notre intelligence se limite au seul sens de notre observation , donc dans une certaine limite de ce mesurable , de notre perception , de nos sens et de tous nos instruments validant toute mesure ...Est ce une raison pour supposer que cette limite ne peut que s 'expliquer par une intelligence sous-jacente ? Non . D 'ailleurs l 'univers me fait penser à ceci , à un "voir pour être vu " , c 'est à dire que nous le voyons comme il est naturellement de le voir ainsi dans les limites de notre perception .A ceci près que "pour être vu " ne dépendra pas uniquement d 'un point de vu donné , actuel , mesurable à cet univers mais évoluant comme une intelligente permanente , changeante , fluctuante autant que nous le sommes. De rappeler que tout ce que nous supposons n 'existerait pas sans nous tandis que notre présence nous permet de supposer toute autre état possible et qui sait d 'autres réalités plus ultimes , plus abouties dans une histoire du temps ...Le luxe en fait étant de ne point savoir quelle est la position idéale , quel est le meilleur point de l 'observateur car tout observateur le serait par rapport à quelque chose , en comparaison de ce quelque chose comme ci il jugeait de ce quelque chose ... Intelligence mineure , supérieure , pas vraiment puisque le monde du vivant à n 'a pas à se justifier de ce qu 'il est .Autrement dit notre présence est assez relative , du moins pouvons nous en prendre conscience du fait d 'être , nous serons peut être plus intelligents ...
  16. A propos du pourquoi j 'ai été interloqué que Stephen Hawking l 'évoque , ce qui du coup m 'incite à revoir ma position sur cette question . Tout dépend , comment on définit ce pourquoi .
  17. En fait quelques uns de ces scientifiques qui attribuent la création de notre univers à un facteur Divin finissent par poser leur propre limite du fait même de ne pouvoir apporter la explication croyant peut être que il y 'en aurait une dans la démarche même de ces chemins scientifiques alors que dans l 'histoire il y ' a déjà cette part d 'eux mêmes et de nous tous ... Le mieux à mon avis est de s 'en rapporter aux faits comme ils sont avec les déductions qui vont avec .Ceci dit les dernières découvertes et hypothèses scientifiques sont formidables pour notre intelligence puisque elles éveillent celle ci , notre propre réflexion ...
  18. " La mutation singulière d'un non-espace-temps à un espace temps fini correspond selon moi à une action, une interaction intelligente fondamentale, sans pour cela l'attribuer de facto à une volonté "divine". Cela y ressemble un petit peu quand même que de cocher la case Dieu sans vraiment se l 'avouer ...Ce qui n 'est pas un reproche puisque vous avez aussi la possibilité de l 'envisager sans les mêmes mots . Pourtant il y 'a déjà quelques erreurs induites par le langage , exemple "quelle est l 'origine de cette force" comme ci cette force était en dehors de notre connaissance alors que nous pouvons appréhender cette force inhérente à l 'interaction de toute chose .Vous pourriez ajouter mais par quel phénomène en exprimant dans votre mental une projection de ce phénomène . En fait cette notre façon de voir je pense qui est déjà corrompu par les mots ou les associations d 'idées pour expliquer un problème alors que nous accentuons le problème dans des considérations propre à notre nature . Vous me direz que nous avons des appareils capables de mesurer au quotidien et scientifiquement beaucoup de choses mais qui donc crée et produit ces appareils ? L 'homme et sans nous aucune mesure , aucun repère , rien ... Si nous pouvons voir l 'univers comme il est correct de le voir et le mesurer , en fait il est probablement seulement correct de voir l 'univers comme ci il était intelligent , de notre intelligence , ce qui n 'est pas tout à fait pareil ...
  19. Supérieur ? non ...Personnellement je ne place pas le niveau du vivant sur un plan inférieur ou supérieur du fait même de notre intelligence dite supérieure mais supérieure à quoi ? Aux poissons parce que ils ne savent pas voler alors que nous vidons les océans , alors que nous massacrons les animaux pour notre assiette etc
  20. Un aboutissement ? Non .Il n 'y a pas d 'un coté l 'univers et à coté , nous mêmes , notre terre .Ce que nous sommes n 'est point négligeable puisque entendant également notre participation active à cet univers si même il est extrêmement difficile de soupçonner notre propre implication au delà de nos perceptions habituelles . Qui crée qui , qui fait quoi , il n 'est point question , ni envisageable de créer un univers puisque nous sommes cette part de l 'univers , en dedans avec notre degré d 'implication , notre point de vue qui lui même découle du hasard . Le hasard justement fait toujours bien les choses car si il vous place dans une position et détermine le sens de notre action , c 'est ce même hasard qui nous place là ou nous posons notre questionnement sur des hypothèses , par exemple . En fait de là ou nous sommes il se pourrait peut être bien que nous soyons hypothétiquement ailleurs du moins théoriquement si on admet que notre point de vue ne l 'est que d 'un état donné .Ce qui laisse sous entendre que toute autre point est tout aussi envisageable , possible sur son propre degré d 'intelligence ou d 'évolution . Par contre je refuse , si je puis dire toute idée d 'état supérieur ou inférieur puisque cela reviendrait à dire que l 'évolution devrait obligatoirement passé par un état primaire , juste pour donner un exemple d 'autant que l 'évolution de notre espèce n ' a jamais rendu celle ci meilleur . En fait la nature même de notre état , de notre espèce laisse seulement supposer tout autre état possible , ce qui est déjà pas si mal ...
  21. Certes nous ne sommes pas utiles mais nous sommes là dans cet univers comme utile à lui même dans ce qu 'il est et ce qu 'il pourrait être toujours dans ce questionnement ... utile Oui la vie pourrait très bien sur cette terre se passer de nous mais nous sommes là à un niveau d 'évolution non négligeable .Ce qui s 'est passé avant fut utile mais on peut toujours admettre que tout peut s 'écrouler du jour au lendemain . La conquête spatiale est un projet d 'avenir en une perspective qui pourrait se révéler utile à l 'humanité et qui l 'est déjà , moyens de communications et mesures scientifiques , ce n 'est qu 'un début . Cette opportunité qui est la notre peut très bien disparaitre mais nous sommes toujours là sans que rien ne vienne brutalement mettre un terme définitivement à cette opportunité ou possibilité .C 'est certes assez motivant pour saisir cette opportunité , en être stimulé dans un univers chaotique mais il semblerait que nous ayons comme le temps nécessaire pour en évoluer davantage . Soit nous en évoluons ou soit un évènement majeur , ce qui est une possibilité , anéantisse tout .Dans l 'une ou l 'autre option nous évoluons de ce degré d 'incertitude dans une fenêtre de temps favorable à cette évolution , du moins dans l 'état actuel de cette possibilité . Dans l 'hypothèse du cas contraire , l 'idée même de possibilité ne tient plus puisque cette possibilité est réduite à néant .Sans doute alors faut il exclure cette idée de possibilité , d 'opportunité ... Si l 'univers est aussi chaotique que l ' homme ou vice versa il semblerait néanmoins que l 'intelligence puisse en émerger , s 'acquérir , devenir comme la meilleure intelligence possible ou nécessité utile . En fait pour bien faire il faudrait tour à tour inverser le début et la fin car là ou nous pourrions imaginer une intelligence beaucoup plus évoluée , la condition même de cette intelligence évoluée serait liée à tout état possible comme le notre , par exemple . D 'ailleurs d 'une certaine façon , n 'est ce pas le cas du fait même de concevoir à partir de notre état , de notre condition tout autre état encore plus intelligent ou plus avancé .
  22. "et de réflexions personnelles , personne n 'en doute et c 'est ce qui est bien , que vous puissiez exprimer vos réflexions , opinions , avis ...
  23. Perso , je n 'envisage pas "fallait -il que nous soyons " sous la croyance d 'un projet déterminé d 'origine Divine mais pas du tout .Je pose cette interrogation du fait même de notre questionnement par rapport à cet univers d 'autant que nous en sommes directement issues . La seule évolution des espèces n 'explique pas tout vu que l 'univers est suffisamment chaotique pour détruire comme il crée . Tout peut arriver et bien nous sommes toujours là dans la perspective d 'un avenir possible , faisable pour l 'humanité , tel par exemple la conquête spatiale ... Sinon on peut imaginer sans problème notre disparition et du coup de l 'inutilité de l 'apparition de la vie , de notre espèce et là hop nous sommes toujours là mais quelle chance si on peut appeler cela de la chance , chose que je ne crois pas tout comme je crois de moins en moins à la seule notion de probabilité . En fait j 'imagine plutôt la vie , l 'univers , nous mêmes un peu comme un effet miroir comme ci toutes les réalités possibles pouvaient êtres intrinsèquement liées sans limite de temps ... A mon avis le simple fait de notre existence est complémentaire ou sous-jacente à toute autre réalité ou du moins envisageable .
  24. lumic

    La conscience

    " La mise en esclavage des Hébreux est un moment seulement de leur histoire. " Ce pourquoi dans ma réponse j 'ai répondu à partir de ce point particulier qui était à ma connaissance ...
  25. Ce quelque chose dont on ne sait rien et qui dépasserait notre entendement ... Par entendement humain , n 'est ce pas là une idée fausse , croire que ce qui nous est incompréhensible , l 'est incompréhensible car dépassant notre entendement comme ci quelque part se cachait quelque chose , une énigme à résoudre comme ci le dit Dieu était une savonnette qui nous glissait entre les doigts . Remarque , cela répond en partie à ma question dans l 'hypothèse que ce qui nous échappe l 'est du fait que nous soyons ... Si on peut admettre que l 'univers puisse exister sans nous , créer et produire de la vie sans nous toutes nos questions et toutes nos hypothèses le sont cependant , de cet univers .Ceci pour dire que la résolution du problème serait faussé , impacté tout en laissant maintes possibilités devenir ou s 'ouvrir sans que nous puissions identifier une cause primordiale à toute condition . Ceci dit , cette impossibilité le serait par nature des choses .En gros cela signifierait que le fait d 'être est la nature même du problème , le point de vue , l 'état , la condition , le positionnement actuel sans que rien ne soit figé .D 'ailleurs l 'histoire de l 'univers n 'est -elle pas en même temps son évolution , sa découverte , ses possibilités insoupçonnables au fur et à mesure de notre propre évolution . A mon avis , les possibilités sont déjà en ce que nous sommes .Un univers sans nous , je n 'y crois pas des masses non point que nous fûmes indispensables en son évolution mais comme ci nous en étions aussi la condition utile ...Aïe La question est fallait -il que nous soyons ?Apparemment non mais le hic est que nous sommes dans ce questionnement dans le fait d 'être .Il est donc totalement impossible d 'y répondre avec une totale objectivité .Cependant dans cette impossibilité on peut supposer ceci cela , ce qui ouvre réellement le champ des possibles . En somme c 'est à la fois être dans la position du fait d être dans ce questionnement possible et l 'impossibilité d 'y répondre , d 'imaginer quoi que ce soit si nous n 'étions pas ... Un extraterrestre hypothétique pourrait -il se dire ai je été humain ? Peut être que oui d 'une certaine façon de là ou il n 'aurait plus rien d ' humain ...
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