Morfou

Je fais les comptes d'une extrême gauche qui attise haine et détestation et oeuvre pour diviser plutôt que de souder... Ce sont des jean foutre extrêmement dangereux...

https://fr.vikidia.org/wiki/Liste_des_États_non_reconnus_internationalement C'est une histoire un peu compliquée que celle des inscrits, des représentés et des non reconnus... Quand il est mis à niveau Israël et la Corée du Nord et que l'on parle pays civilisés alors que des pays non civilisés ne reconnaissent pas d'autres pays certainement plus civilisés qu'eux... C'était juste mon propos...

La phrase à laquelle j'avais répondu disait que Israël n'était pas dans l'ONU... Et ce n'est pas une liste noire, mais une liste de la honte...bien d'autres pays devraient y avoir droit...dont la France à cause d'une certaine extrême gauche...

Non, c'est triste....

Oh que si on le voyait souvent à la tv...avec Thierry le Luron c'était le fin du fin! Mais non, quel boycotte? C'était beaucoup le visuel qui l'a fait connaitre... Qu'est-ce qu'il raconte? La bordélisation à l'AN ce serait donc de l'humour? n'importe quoi...

Il y a eu effectivement un avant..mais l'après..

On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui... S'il savait... C'est fade comme humour...si c'en est...

Evitez de vous poser trop de questions...vivez l'instant présent! Vous êtes trop cérébrale...ce que l'on reproche souvent aux femmes... Bonne chance...

Certains de nos politiques sont la honte de ce pays...

Il y avait déjà des juifs...il y en a toujours eu...et les premiers à venir de la satané grande russie sont vite repartis.. Les ottomans ne voulaient ni trop de chrétiens ni trop de juifs... Mais les ottomans n'étaient déjà plus là depuis un bout de temps pour la suite...

Le plan Madagascar (« Madagaskar Projekt » ou « Madagaskarplan ») était un projet du Troisième Reich visant à déporter quatre millions de Juifs d'Allemagne, de ses pays alliés et de ses territoires conquis, à Madagascar, alors colonie française. Ce plan ne fut jamais appliqué. -------------J'avais appris cela en regardant un docu ...

Enfants et conflits : Israël et le Hamas ajoutés à la « liste de la honte » de l’ONU

https://www.carep-paris.org/wp-content/uploads/2020/04/YoussefCOURBAGE_Les-Juifs-dans-lEmpire-ottoman-jusquà-la-Déclaration-Balfour.pdf Je ne comprenais pas votre "les ottomans refusant les juifs"...

Disons qu'en additionnant tous les faits il faudrait écrire un livre... Et chacun "sait" d'après qui il est et d'où il vient...et s'il est ou non impliqué dans les histoires juives et/ou musulmanes... Je suis neutre...n'étant ni juive ni musulmane... Explication de texte? Suis pas chrétienne, suis catho...et à ma sauce...

Relisez mon post... Comme tout peuple... Non, ce ne sont pas les juifs qui ont décidé de ce territoire...d'ailleurs ce n'était pas la destination première envisagée, mais une ile dont je ne me souviens pas du nom...mais qui aurait été vite saturée par les arrivants...

Si vous parlez des ricains...je ne touche rien d'eux...ni de personne d'ailleurs...

J'ignorais que le peuple vietnamien avait disparu.. Les bombes nucléaires ont sans doute sauvé bien des vies en arrêtant cette putain de guerre... Et à l'époque, à leur décharge, ils ignoraient les dégâts en résultant...à preuve, comme déjà écrit, ils ont exposé leurs propres soldats à l'explosion d'une bombe nucléaire en 1960 dans l'un de leur désert... Croupi le peuple d'Afrique du Sud? chavais pas que les ricains ...

Ce ne sont pas les juifs qui ont créé l'état d'Israël...si? J'associe religion et politique/géo politique dans ce conflit et bien d'autres où la présence musulmane joue un rôle...

Qu'elle noblesse? celle des terroristes? L'Etat d'Israël est devenu le 59ème membre de l'Organisation des Nations unies (ONU) le 11 mai 1949. ----

Celui que vous ne voulez pas voir...

Je ne pense pas...c'est notre coté occidental qui peut nous le faire penser... Mais chez eux c'est une autre histoire...le religieux et la politique sont bien trop solubles l'une dans l'autre pour qu'il en soit autrement...et le passé nous le démontre...

Pourtant les accords d'Oslo "donnaient" une partie de la Cisjordanie à Israël...signés par toutes les parties!

politiques palestiniens et, au-delà, ceux identifiés comme « indésirables ». Ainsi, sur la longue durée, le nombre de travailleurs palestiniens en Israël employés principalement dans les secteurs manufacturiers et agricoles à des postes peu qualifiés diminue, et surtout, fluctue fortement d’une année sur l’autre en fonction des contingences politiques. Alors qu’il avoisine les 100 000 avant le processus de paix, il tombe à 25 000 en 1996 (en raison d’un bouclage sévère des Territoires), pour remonter à 140 000 en 1999, puis redescendre drastiquement à 16 000 en 2002 (au début de la seconde Intifada) et réatteindre 65 000 en 2007 pour la seule Cisjordanie (à Gaza, les flux sont proches de zéro depuis la victoire du Hamas aux élections législatives de 2006). En Cisjordanie même, le secteur d’activité principal de la population depuis la signature des accords de paix est le secteur public (23 % des actifs). Viennent ensuite le commerce et les activités liées au tourisme (18 %), à l’industrie (16 %) et à l’agriculture (14 %). L’aide internationale – massive – qui doit participer à la croissance économique et à l’emploi, permet surtout de maintenir le maximum de population « à flot ». Depuis la reprise de la violence armée entre les deux parties en septembre 2000, les fonds extérieurs servent ainsi à financer les dépenses courantes de l’ANP – et notamment, les salaires des fonctionnaires (en particulier, des forces de police) et ceux du personnel des innombrables ONG (investies dans les droits de l’homme ou le développement) qui vivent des mannes de la communauté internationale. Cette situation contribue à la formation d’une nouvelle classe sociale de « cols blancs » qui, certes, bénéficie de l’économie de la paix, mais dont le niveau de vie peut être très affecté par les variations du volume de l’aide internationale. La manne financière extérieure sert ainsi davantage à soutenir la consommation courante des populations qu’à constituer un secteur économique productif durable. L’économie de la Cisjordanie est donc fragile et les choses ne s’améliorent pas à partir de 2007 du fait de l’absence de toute perspective d’amélioration de la situation politique, tant vis-à-vis de l’État d’Israël que du rival palestinien à Gaza, le Hamas. La politique économique néo-libérale du Premier ministre Salam Fayyad, aux commandes jusqu’en 2013, accentue plus encore les difficultés – en particulier, pour les populations les moins diplômées et les plus pauvres –, dans la mesure où elle conduit l’Autorité de la Cisjordanie à diminuer sa masse salariale, à supprimer certaines subventions sur les produits de première nécessité et à contraindre les consommateurs des services d’eau et d’électricité à s’acquitter du paiement de leurs factures plus fortement que par le passé. Il s’ensuit une série de grèves, sit-in et manifestations – parfois violemment matée par les forces de police –, qui, à compter de 2012, s’en prennent à l’augmentation des prix (du fuel, de l’électricité, des aliments, etc.) ou au plafonnement des salaires dans la fonction publique (avec des mobilisations importantes chez les instituteurs, par exemple). Ces mobilisations collectives sont toutefois localisées et limitées dans le temps. Viennent s’y ajouter des protestations d’ampleur contre les raisons et conditions de détention des prisonniers politiques palestiniens en Israël (qui regroupent l’ensemble des partis politiques, mais aussi des jeunes non « encartés »), ainsi que des actions de dénonciation des violences perpétuées par les colons en zones rurales ; ces actions sont réalisées par des collectifs de militants à la fois palestiniens et israéliens, qui ont des connexions à l’international avec des associations de défense des Droits de l’homme. Le climat est donc à la montée des tensions sociales, à la remise en cause de la désunion nationale entre le Fatah et le Hamas, et à la lutte contre l’accentuation de la fragmentation du territoire. Le difficile processus de réconciliation intra-palestinien, lancé en avril-juin 2014 avec la formation du gouvernement d’union nationale sous la direction de Rami Hamdallah, pourrait semblait ouvrir la voie à une amélioration de la situation. Cette tentative est cependant un échec et en avril 2019 M. Abbas et le Fatah reprennent la main sur le gouvernement dont la direction est confiée à Mohammad Shtayyeh. -------------Cisjordanie abandonnée par la Jordanie en premier lieu...on se demande bien pourquoi! Pour l'autonomie on repassera..avec l'argent international, c'est tellement facile... Vous racontez vraiment n'importe quoi... et le zébu est d'accord avec vous...sont tellement mignons...

Vous êtes une grande croyante...ça vous obscurci l'esprit! L'Islam n'est que la troisième roue du carrosse...la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf! un copycat...

Surement plus près de la réalité que de ce qu'ils nous vendent...