Leste
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C'est dingue ! Aussitôt que l'on n'est pas d'accord avec vous et votre copine Aglaglae, on n'est illettré ! :smile2: Ais-je le droit de penser que son programme est très mauvais et qu'il va appauvrir encore plus la Grèce ? Ou dois-je obligatoirement penser comme vous ? Actuellement en France on est pas sous le régime de la dictature du communisme, je n'ai donc pas l'intention de penser comme vous. Mais est-ce trop difficile de comprendre pour Louise Arargon ? (ou plutôt Louis Aragon : Romancier communiste...)
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:smile2: Elle est bonne celle-ci ! Quand on ne comprend pas l'économie, on en discute pas !
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Son programme risque d'anéantir la Grèce, le fait de vouloir ainsi affaiblir les sociétés par de telles mesures va créer des faillites de société, du coup les licenciements seront bien justifiés.
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C'est évident que ce n'est pas simple pour le peuple grec, et que les remboursements qu'ils font à l'heure actuelle sont difficiles à faire pour beaucoup, mais si ils continuent ainsi dans quelques années ça ira beaucoup mieux pour eux. Mais je ne pense pas que c'est de toujours repousser le remboursement de la dette au lendemain que la situation va s'améliorer. Et la BCE comme le FMI l'ont bien compris. Le fait de repousser les remboursements augmentent le risque financier de la Grèce. La Grèce a besoin de s'endetter pour vivre, ce n'est pas pour rien qu'elle a demandé cette aide financière à la BCE, cela veut dire que si elle ne rembourse pas ses dettes rapidement, elle aura très vite besoin d'autres crédits et ceci sera à nouveau accumulé à ses dettes déjà existante. Du coup le peuple Grec sera encore plus endetté, et la pression sera encore plus forte qu'elle ne l'est actuellement. La meilleure solution est donc de respecter le plan de l'UE, d'ailleurs les chiffres montrent que la Grèce a déjà réussit à supprimer une partie de cette dette.
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Mais vous comprenez rien de rien. Les banques, assureurs, fonds d'investissement et fonds de pension grecs ont pris à leur charge 107 milliards d'euros. Personne n'a pris à sa charge la différence, l'obectif était comme le souligne votre lien de ramener le poids de la dette de plus de 160% du PIB actuellement à 120,5% en 2020. L'objectif n'a donc pas été de prendre à charge les 206 milliards d'euros concernés. D'ailleurs votre lien le dit bien en début de poste : L'échange de dette lancé par la Grèce à destination de ses créanciers privés est un montage complexe visant à soulager le pays en effaçant plus de la moitié de l'ardoise, soit 107 milliards d'euros. Pour bien que vous comprenez : L'UE et le FMI ont apporté une aide financière de 107 milliards d'euros à la Grèce car la Grèce ne pouvait plus respirer. Les grecs ont pris des mesures en échange de ce service comme le souligne mon lien wikipédia. La dette doit être remboursée par les banques, assureurs, fond de pension et investissement grec. Au final, ce sont les grecs qui ont payé et pas l'UE, l'UE n'a jamais effacé la dette grecque, au contraire ils l'ont soutenue dans le but que la Grèce se rétablisse.
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@ aglaglae :smile2: Vous n'avez pas compris que c'était les Grecs qui payaient et non l'UE : "Au total, banques, assureurs, fonds d'investissement et fonds de pension vont perdre jusqu'à 107 des 206 milliards d'euros de dette grecque qu'ils détenaient." Votre lien va dans mon sens et fait suite au lien wiki que je vous ai donné. L'UE n'a jamais effacé la dette, une aide financière a été apportée mais au final ce sont les banques, assureurs, fonds d'investissement et de pension grecs (donc les grecs) qui ont mis la main à la pâte. Le père-noel n'a jamais existé. L'UE n'a pas pour objectif de payer la dette des autres, elle peut apporter un soutien financier mais qui doit être remboursé. Franchement, avez-vous vu les assurances françaises se plaindre de devoir payer la dette des grecques ? :smile2:
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Ne dites pas n'importe quoi s'il vous plait, l'UE n'a jamais annulé une partie de la dette grecque, rappel de ce qu'il s'est passé : Le 23 avril 2010, la Grèce requiert l'aide du FMI et de l'UEM. Après négociation un accord est trouvé le 2 mai 2010. Athènes obtient des crédits de l'Union européenne et du FMI à hauteur de 110 milliards d'euros sur trois ans (80 milliards d'euros prêtés par les pays de la zone euro et 30 milliards par le FMI). En contrepartie, la Grèce prend une série de mesures dont l'application sera étroitement surveillée41 par les bailleurs de fonds : le FMI et les pays de la zone euro. Parmi les mesures faisant partie de l'accord, nous pouvons citer : la suppression des 13e et 14e mois dans la fonction publique compensée par une prime annuelle de 1 000 euros pour les fonctionnaires gagnant moins de 3 000 euros et gel des salaires des fonctionnaires pendant trois ans si le treizième mois est maintenu dans le secteur privé, la flexibilité du marché du travail sera renforcée la durée de cotisations retraites sera portée de 37 annuités à 40 annuités en 2015 ouverture de professions fermées taxe sur les résidences illégales nouvelle hausse de la TVA qui doit être portée à 23 % http://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_de_la_dette_publique_grecque Cela veut dire simplement que la Grèce s'est endettée un peu plus pour sortir de sa situation, il n'a jamais été question d'annuler la dette grecque, en quelle faveur le ferait-elle ? Ca m'étonne que l'UE laisse passer quoi ce soit. On a bien vu ce qu'il s'est passé dernièrement entre l'UE et la Suisse qui voulait mettre des quotas à son immigration, la Suisse qui pourtant ne fait pas partie de l'UE va devoir revoir son programme.
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Article d'il y a 4 jours en arrière : La gauche radicale a prospéré en dénonçant la politique d'austérité imposée par les bailleurs de fonds de l'Union, qui ont prêté à la Grèce près de 240 milliards d'euros en échange d'un retour à une plus saine gestion des finances publiques, devenues folles. Or, s'il met fin à l'austérité en appliquant le programme annoncé, un Alexis Tsipras Premier ministre verrait se fermer automatiquement le robinet de l'aide européenne. Malgré les restrictions budgétaires, Dimitris Birbas, élu maire d'Aigaleo en 2014, veut instaurer une "communauté solidaire et sociale ". Circonstance aggravante, il veut effacer la moitié de la dette de la Grèce envers ses partenaires européens (en premier lieu, l'Allemagne, la France et l'Italie) tout en s'affranchissant des engagements des gouvernements précédents et en renouant avec une hausse des dépenses sociales -pas vraiment financées- et ce, en visant l'équilibre budgétaire ! Est-ce vraiment réaliste d'envisager pareil allégement, alors qu'à Rome et à Paris tout effacement, même partiel, de la dette grecque se traduirait par un surcoût budgétaire immédiat pour les budgets nationaux de ces Etats? En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/legislatives-en-grece-alexis-tsipras-et-apres_1643161.html#EbaR9Q52KZhLK5KJ.99
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Syriza veut faire annuler une partie de la dette par l'UE, et pas seulement en discuter pour l'échelonner sur le temps. La réaction de l'UE ne sait pas fait attendre, celle du FMI non plus : Interrogée sur un possible effacement de la dette grecque, Christine Lagarde répond: «Il y a des règles internes à la zone euro à respecter. On ne peut pas faire des catégories spéciales pour tel ou tel pays.» Elle évoque à ce propos «différentes hypothèses, dont nous discuterons avec les autorités grecques et nos partenaires européens».
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Tout est dit dans la source que j'ai cité, et ce n'est pas moi qui l'ai dit mais des dirigeants de l'UE. Les grecs ne peuvent pas infléchir la politique de l'UE pour des questions notamment juridiques, mais parce que la Grèce a passé des accords avec l'UE. Le meilleur moyen pour que la Grèce s'en sorte c'est de continuer à payer sa dette, peut être autrement comme le cite la source. Si la Grèce sort de l'UE, ce sera encore pire pour elle car sa monnaie ne vaudra plus rien, c'est pour ceci que les grecs veulent rester dans l'Europe, les élections avec Syriza n'auront pas servis à grand chose, et c'était déjà prévisible.
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Je n'ai pas l'impression de me répéter depuis le début de ce poste, et j'ai répondu à vos questions. L'Europe accepte le vote des citoyens, mais la politique que pratiquera la Grèce ne sera pas en adéquation avec l'UE, cela sous entend que cette politique ne sera pas réalisable tant que la Grèce reste en Europe. Il ne sera pas possible à la Grèce de faire ce qu'elle souhaite. Le programme de Syriza coûte une fortune et pour le faire, la Grèce envisage une politique contraire à la conduite de l'UE.
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Comme je l'avais dit hier, l'Europe n'acceptera jamais de supprimer la dette des grecs, je rappelle que micro-onde avait dit qu'il suffisait d'une écriture comptable pour supprimer la dette, lol... En gros les grecs n'ont pas trop le choix, ils ne pourront pas appliquer leur politique tant qu'ils resteront dans l'Europe. "Il est pour nous important que les mesures du nouveau gouvernement visent la poursuite de la reprise économique de la Grèce, ce qui implique que les engagements pris soient respectés", a déclaré ce lundi 26 janvier, le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert. Steffen Seibert a assuré que Berlin allait "proposer au futur gouvernement (grec) de travailler ensemble" et répété que l'Allemagne voulait garder la Grèce dans la zone euro. "Depuis le début de la crise, l'intention et l'objectif du gouvernement (allemand) est de stabiliser la zone euro" avec l'ensemble de ces pays, a-t-il insisté. La victoire de la gauche radicale en Grèce laisse le pays dans une grande incertitude économique. Dirigé par Alexis Tsipras, le parti Syriza prône la fin de la politique d'austérité en Grèce et veut négocier une réduction de la dette grecque avec les créanciers de l'UE et du FMI. "Faire partie de la zone euro signifie qu'il faut respecter l'ensemble des accords déjà passés", a pour sa part déclaré le président néerlandais de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. "Sur cette base, nous sommes prêts à travailler avec eux", a-t-il ajouté à son arrivée à une réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles. "Les contribuables européens ne seront pas prêts à payer pour les vaines promesses d'Alexis Tsipras", avait prévenu plus tôt dans la journée le chef du groupe PPE (conservateurs) au Parlement européen, l'Allemand Manfred Weber. "L'Europe est prête à faire preuve de solidarité envers la Grèce si les engagements pris et les accords sont pleinement respectés. Tous les engagements doivent être remplis", a-t-il martelé. De son côté, la BCE a fourni ce lundi une fin de non-recevoir à la volonté du parti de gauche radicale, Syriza, de renégocier l'énorme dette de la Grèce (175% du PIB). "Il est absolument clair que nous ne pouvons approuver aucune réduction de la dette qui toucherait les titres grecs détenus par la BCE. Cela est impossible pour des raisons juridiques", a averti Benoît Coeuré dans une interview accordée au quotidien économique allemand "Handelsblatt". Le nouveau gouvernement qui sera formé après la victoire électorale du parti de gauche radicale Syriza "doit payer, ce sont les règles du jeu européen, il n'y a pas de place pour un comportement unilatéral en Europe", a-t-il affirmé ensuite au micro d'"Europe 1". "Cela n'exclut pas un rééchelonement", a-t-il ajouté. "Il y aura une discussion" sur la dette grecque, conduite par les gouvernements. La BCE détient actuellement 27,2 milliards d'euros de dette grecque négociable, soit environ 42% du total. Deux de ces obligations arrivent à échéance le 20 juillet, pour 3,5 milliards d'euros, et deux autres en août, pour 3,2 milliards d'euros. http://www.boursorama.com/actualites/grece--merkel-met-la-pression-sur-syriza-a2a98bceba68685f60980571a832530a
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Je pense surtout qu'il y aura de la terreur envers la bourgeoisie, ceux qui ont un peu trop vont devoir donner une belle partie de leur fortune, ce sera guerre des pauvres contre riches. Le communisme n'a pas d'autre choix que de s'en prendre à la classe la plus aisée surtout pour financer tout leur programme qui va coûter une fortune. Je doute que la bourgeoisie se laisse faire, surtout que les bourgeois ont tout retiré leur argent des banques, la Grèce à s'apprête à de longs conflits. Je pense que vous avez pas compris, le fait que la Grèce devienne communiste je doute qu'elle puisse encore rester dans l'Europe, ce n'est absolument pas la politique de l'UE.
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Et vous pensez qu'il y aura encore de la démocratie en Grèce maintenant ? On s'attend à de la terreur dans les mois à venir.
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La propriété privée a un lien inévitable avec la liberté d'expression dans le sens ou la liberté privée c'est assurer sa sécurité mais aussi sa propre santé. C'est donc pouvoir dire oui ou non, ce n'est absolument pas le cas du locataire.
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Se rétorquer contre la propriété privée c'est véritablement faire des pas en arrière. L'homme dans son histoire s'est toujours battue pour avoir droit à la propriété privée, la propriété privée va de paire avec la liberté d'expression, privé l'homme de propriété privé c'est le priver d'expression. C'est d'ailleurs toute l'histoire du communisme. Privé l'homme de propriété privé c'est aussi contraire aux droits de l'homme. La propriété est considérée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 comme l'un des quatre « droits naturels et imprescriptibles de l'Homme ». Elle est également considérée comme « inviolable et sacrée », et « nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité. » Sinon pratiquer le covoiturage ne remet pas en question la propriété privée, puisqu'il y a forcément un propriétaire. Posséder un véhicule est aussi très nettement une obligation pour la majorité des personnes qui ont un véhicule. En France il y a énormément d'endroits qui n'offrent aucun transport public, le seul moyen de se déplacer reste le véhicule personnel.
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A la base le communisme, comme son nom l'indique "commun, commune" avait pour objectif de relier les gens dans un esprit de partage, très vite ce communisme est devenu le socialisme, et depuis le sens du mot communisme a complètement changé et s'est complètement différencier du socialisme. Lénine a donné un nouveau sens au communisme, le parti des ouvriers. Depuis le communisme est affilé au parti des plus pauvres, contre le capitalisme et la bourgeoisie. Le communisme est qualifié d'extrême car il se met uniquement à la hauteur des pauvres, au plus bas donc à l'extrême, il est pas seulement contre la classe bourgeoise, il est aussi contre la classe moyenne. Extrême car l'objectif du communisme est donc de faire en sorte qu'il n'y ait plus de propriété privée, que tout appartient à l'état et que chacun en bénéficie. Extrême car l'objectif est que chacun reste dans un esprit de pauvreté afin d'éviter toute jalousie et faire une répartition de la richesse. Extrême car c'est un parti qui souhaite que tout le monde soit semblable ou plutôt commun (communiste), que tout le monde soit similaire, pareil, que tout le monde se ressemble, avec une pensée identique, ce qui est forcément difficile puisque chacun d'entre nous est différent. Extrême car le communisme c'est un renoncement à sa propre personnalité et à sa propre liberté, et le seul moyen pour qu'un parti communisme se fasse entendre c'est employé une forme de dictature notamment la violence comme l'a prouvé toute l'histoire du communisme. En somme le communisme est un partit autoritaire et totalitaire. Sur internet on peut encore voir ce qu'est le communisme moderne, le communisme que l'on retrouve par exemple en Corée du Nord, un monde commun, un monde similaire, sans beaucoup d'originalité et de réelle joie de vivre. Je reprends demain, et lirai le lien de mademoiselle Jeanne. Bonne nuit.
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Vous voulez dire sur le plan social ?
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Visiblement Aglaglae ne veut pas entendre dire que le communisme est un parti extrémiste tout comme l'est le front de gauche....
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La Chine est communiste et elle a une économie libérale donc c'est possible.
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Je vois pas le rapport entre ses liens et avec ce que j'ai dit.
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mais oui, mais oui...
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Vous avez pas dus en faire beaucoup de cours d'économie pour dire que la dette se résume à un jeu d'écriture ! Dieu soit loué ! Ce serait bien de mettre des preuves de tout ceci, c'est possible mais avec preuves ce serait mieux.
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Vos liens vous contredisent, d'ailleurs lisez bien, Syriza a collaboré de nombreuses fois avec le KKE, ce sont deux partis très proches. C'est genre le front de gauche et le PCF pour la France, d'ailleurs c'est marrant mais sur le site du PCF, le front de gauche y est bien présent : :blush: http://www.pcf.fr/ Il fait bien ce qu'il veut Syriza du moment qu'il paye ces dus.
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:smile2: Alors là j'avais déjà lu des inepties, mais pas comme celle ci jamais !!!Imaginez j'emprunte 200 000 € à ma banque, je ne peux plus payer au bout de 10 ans, il me reste 100 000€ à payer. Vous pensez vraiment que je vais sortir à mon banquier, c'est juste un jeu d'écriture, il suffit d'effacer quelques zéros par là et ma dette est réglée de toute manière personne ne paie cette dette elle est juste virtuelle. Bien sure que si il y a quelqu'un qui paie cette dette, et au final ce sera la population (cf : exemple avec les grecs) et pas l'ordinateur à vous croire. Mais visiblement il faudrait que vous fassiez quelques cours d'économie pour comprendre ! La vidéo pour enfant de 12 ans que vous m'avez gentiment adressé dit que lorsque l'on emprunte de l'argent à une banque, elle va pas le chercher dans son coffre, elle en fait un jeu d'écriture. Mais ça ne veut pas dire qu'elle achète pas cet argent, cet argent est acheté sur le marché financier. Par exemple, je reviens sur mon emprunt de 200 000€, si je le fais à la Société Générale par exemple, la SG a une énorme tour à la défense à Paris ou travaille peut être 1000 personnes. ces personnes ont pour but d'acheter cet argent sur le marché des bourses au meilleur taux, ils vont pas seulement acheter mes 200 000 € mais tout le reste des emprunts et autres produits financiers que la SG aura engagé. Il n'a beau pas être touchable et manipulable, il est existant. Il ne suffit donc pas d'annuler cette dette sur votre ordinateur, elle sera toujours présente. De qui vient cet argent ? C'est assez complexe, tout dépend comment est fait la transaction. Le marché des bourses est un échange, cet argent peut très bien venir de l'Europe, d'une société, d'un particulier etc... Même si cet argent est virtuel, il est existant, il doit être remboursé il ne suffit pas de tirer la chasse d'eau. Par exemple les USA doivent essentiellement de l'argent à la Chine, vous pensez franchement que la Chine va dire un jour aux USA c'est bon c'est juste un jeu d'écriture... Il faut savoir aussi que le modèle capitalisme a pour but de s'endetter pour grandir plus vite, ce n'est pas le but de tous les pays. La Chine justement n'est pas endettée, elle est prêteuse car sa politique n'est pas capitaliste, elle est communisme, son objectif c'est de faire avec ce qu'elle a. La Grèce justement a trop utilisé le capitalisme et maintenant veut changer de virage en espérant que ceci aille mieux. Alors dire que la dette n'est qu'un jeu d'écriture, c'est vraiment la chose la plus insensée que j'ai entendu ! Jeune ? Lol. Je dis n'importe quoi ? Reprenez la source que vous m'avez donné et tourner la tête légèrement à droite, et vous allez voire qu'il est écrit idéologie : Socialisme démocratique, écosocialisme, eurocommunisme, altermondialisme, laïcité, anticapitalisme. :smile2: Désolé mais je n'ai fait que reprendre votre source pour argumenter ! :smile2: Donc oui Syriza est un bien un parti avec des buts communistes !
