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Tout ce qui a été posté par ping
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Quelque part je me demande si l'anti-psychanalyse n'est pas tout simplement une réaction pour certains à l'anti-philosophie de la psychanalyse.
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La psyk n'a peut-être jamais rien soigné, si tu le dis... Mais elle a surement empêché des gens qui n'allaient pas bien de tomber dans le piège de laisser un type en blouse blanche etiquetter son mal être avec un nom de maladie. Et donc de se laisser persuader d'être malade. S'il y a d'autres voies, parfait, indique nous les, que l'on voit si elle ne sont pas influencées de près ou de loin par cette manie de poser des diagnostiques et de traiter des symptômes comme des arbres à abattre sans se soucier de la forêt qu'ils cachent.
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Et vive le DSM IV,et les petits casiers pour ranger les gens dedans.
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C'est arrangeant de decrire ça comme ça mais non. Le chien ou le chat de l'epoque n'avait pas envie ni besoin de collaborer avec l'homme. C'est l'homme qui a domestiqué et utilisé tous les animaux qu'il pouvait en fonction de ses besoins. De la même façon que l'on peut s'arranger à croire qu'un animal parce-qu'on le traite bien est heureux, ou qu'il est super soulagé quand on le castre, comme ça il ne sera plus embété par ses pulsions. De toute façons c'est pratique, il pourra jamais dire le contraire, :) Quand à leurs droits, vaste débat, mais je comprends la gêne du législateur qui est obligé de trouver un juste milieu pour, à la fois proteger les animaux dignes de plus d'egards que d'autres ( au nom de quoi?), et autoriser dans le même temps leur massacre quand c'est pour " la bonne cause". La réalité est qu'il y a une sorte de schizophrènie collective qui fait que nos amies les bêtes sont nos amies quand ça nous arrange, et il m'est avis qu'à la place d'une bête on serait en droit de penser que l'homme est un drôle d'ami dont il ne vaut mieux pas trop s'approcher.
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Ben c'est tout à fait ça. Mais pas que pour se divertir, mais pour eventuellement deceler ce qui ne peut emerger vers la conscience que sous forme "deguisée", ou cachée derrière le dit. Pourquoi faire pourrait-on objecter? Et bien tout simplement pour accuser reception de ces messages venus de l'interieur qui ne sont ni plus ni moins des choses ignorées de soi-même. On peut fonctionner convenablement toute une vie en ignorant sa vie interieure, ou être poussé à essayer d'unifier la raison avec le "n'importe quoi", chacun se debrouillant comme il peut.
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Ah oui joli! Ou utile et amer. C'est utile un amer pour ne pas se perdre en mer, un re père quoi...
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Les anciens avaient remarqué il y a très longtemps ce qu'ils appellaient la langue des oiseaux.
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C'est marrant ça, un déficit qui plombe. Un manque qui alourdit.
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Je t'expliquerais bien la difference entre une bagnole et une être vivant, mais je te connais et ça m'en coupe l'envie.
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Heureusement qu'il y a des tas de personnes qui les aiment et qui les rendent heureux. :) La question posée etait que faire au niveau global, quelle solution pour eviter toutes ces souffrances. Et bien mon avis est qu'il vaut mieux se passer du plaisir de posseder des animaux de compagnie à l'echelle collective plutôt que de continuer à alimenter les refuges à cause d'une partie non négligeable de connards abandonnistes. Mais pas de panique, elle n'est pas prète à faire l'unanimité l'idée, surtout qu'il y a du buisness à faire sur leur dos à ces amis les bêtes, ( veto, pet food, elevages...etc...).
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Ben on les assument et on en interdit le commerce et la reproduction par exemple?
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Certainement. En fait la vraie solution serait d'evoluer vers l'idée que l'homme n'a pas à avoir d'animal. Idée hautement idiote à première vue, mais si on creuse un peu, la source du problème est la domestication d'animaux qui n'ont rien demandé au départ. Vous aimez les bêtes? Foutez leur la paix, c'est la meilleure façon de les aimer, :smile2:
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Ben justement on ne fait que ça, interpreter, chacun à travers son propre prisme, son propre imaginaire. D'où les desaccords d'ailleurs.
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Y-a aussi les chiens qu'on ne voit jamais, nés et elevés en sous-sol, torturés puis euthanasiés pour... http://www.stopauxmassacresanimaliers.fr/ce-telethon-qui-tue/#
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Salut les zemmoureux. Joe Dassin.
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On peut lire ça comme ça oui. Ou alors lire ça comme l'idée que le lieu où est tchouang tseu ( son soi, son Je, pas son moi) n'est pas là où il se perçoit et s'imagine être à l'etat de veille, ( moi lié au corps et imaginaire).
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Quelle est notre position dans le rêve, sinon en fin de compte d’être foncièrement celui qui ne voit pas? Il ne voit pas où ça mène, il suit, il peut même à l’occasion se détacher, se dire que c’est un rêve, mais il ne saurait en aucun cas se saisir dans le rêve à la façon dont dans le cogito cartésien il se saisit comme pensant. Il peut se dire « ce n’est qu’un rêve », il ne se saisit pas comme celui qui se dit, « mais malgré tout je suis conscience de ce rêve». Aussi bien Tchouang-Tseu rêve qu’il est un papillon. Ça veut dire qu’il voit le papillon dans sa réalité de regard, car qu’est-ce que tant de figures, tant de dessins, tant de couleurs sinon, ce « donné à voir» gratuit avec ces marques pour nous de la primitivité de cette essence du regard? C’est un papillon qui n’est pas tellement différent de celui qui terrorise l’homme-aux-loups, et Merleau-Ponty en connaît bien l’importance et nous y réfère dans une note. - Quand Tchouang-Tseu est réveillé, il peut se demander si le papillon qu’il rêve n’est pas lui, il a raison. Il ne se prend pas pour absolument identique à Tchouang-Tseu. Parce que, étant ce qu’il était, il devait savoir si bien dire qu’effectivement, c’est quand il était papillon, qu’il se sait à quelque racine de ce papillon, que c’est par là, en dernière racine qu’il est Tchouang-Tseu, - Quand il est le papillon, il ne lui vient pas à l’idée de se demander si quand il est Tchouang-Tseu éveillé il n’est pas le papillon qu’il est en rêve. De rêver d’être... (c’est qu’en rêvant d’être papillon il aura à témoigner plus tard qu’il se représentait comme papillon), ça ne veut pas dire qu’il est captivé. Il est capture de rien dans le rêve, c’est quand il est réveillé qu’il est Tchouang-Tseu pris dans le filet à papillons J.LACAN
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C'est le rêve du papillon de Tchouang Tseu.
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Un hot dog? :smile2:
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Esperons le oui. En fait il faudrait regler tout ça bien en amont, à la source du problème, deja en se posant les questions de fond sur le droit de l'humain à disposer des animaux.
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Ben là: http://www.forumfr.com/sujet721620-abandon-d-animaux-une-photo-poignante-fait-le-buzz.html?view,findpost,p,10382781
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Ne pense pas ta vie, vis tes rêves.
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Et bien c'est une vraie question. Que faire? Le type abandonne son chien, la SPA le recupère, cherche à le caser, n'y arrive pas et le zigouille. Du point de vue du chien, peut-être que de ne rien faire eut été preferable. Du point de vue du type qui abandonne c'est cool, tout est caché, bien propre, d'autres s'occupent de tout, pourquoi s'en faire? Et du point de vue des bénevoles de la SPA, se pose une question de savoir en quoi consitent les termes de protection des animaux, et à partir de quand il est legitime de tuer un animal en pleine santé. L'enfer est pavé de bonnes intentions parait-il...
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C'est vrai que receuillir des animaux pour les euthanasier, on peut difficilement appeller ça de la protection des animaux. Je pense que le coup de gueule de Sirielle pointe cette contradiction.
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-"Le progrès existe en matière de morale, et le rapport que nous entretenons aux animaux s'avère être un marqueur sévère et efficace pour vérifier l'état d'avancement de nos consciences".