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ping

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Tout ce qui a été posté par ping

  1. Le mot pipe=pipe symbolique. L'image de la pipe= pipe imaginaire. Et pipe réelle= tout ce qu'est d'autre une pipe, et qui n'est pas pris dans les filets du langage. C'est mieux comme ça?
  2. ping

    La citation du jour

    W.C. Fields disait : « Quelqu'un qui n'aime pas les enfants ne peut pas être tout à fait mauvais ». Je ne sais pas si Monsieur Fields a raison. Tout ce que je sais c'est que le bon Dieu l'a puni en lui donnant un nom de chiottes. C'est bien fait. Pierre Desproges.
  3. Ah mais je ne cherche à contredire personne, je donne ma version tout simplement. Oui ,bien sûr que l'on ne se ment pas déliberement, mais si l'on prend la definition de mentir comme " Ne pas dire la vérité ; dire quelque chose de contraire à la vérité ; cacher la vérité ", on se rend compte qu'on peut le faire sans intention à chaque fois qu'on ouvre la bouche, puisque la vérité est inatteignable et que ce qu'on cherche à dire n'en est qu'un aspect congru. On ne dit pas la vérité, ce n'est tout simplement pas possible. Les mots mentent en ce sens. D'ailleurs est-ce qu'un animal non-doué de langage ment?
  4. Ben evidemment. Un mot est une chose comme n'importe quelle autre chose est une chose. Mais la chose mot n'est pas la chose qu'elle nomme c'est tout.
  5. Le mot n'est pas la chose qu'il represente. Il est le symbole representant la chose que l'on imagine d'abord, mais il n'est pas la chose elle même.
  6. En disant que je mens si je dis la vérité, je ne mens pas, donc je ne dis pas la vérité... Disons qu'on ment par omission, ou qu'on ne pas dire la vérité puisqu'elle n'est pas à notre portée si vous préférez. Qu'est-ce que le refoulement sinon une dissimulation de vérités dérangeantes? Qu'on mente ou se mente sans en être conscient ça reste un mensonge non?
  7. C'est pas une question de mode d'abattage, c'est juste l'histoire de la paille et la poutre. Ce qui se passe en chine est horrible, tandis qu'ici, ce qui se passe est horrible aussi. Comme diraient les Suisses...
  8. Ils sont light les coups de baton sur la tronche des chiens en Suisse? Une mort douce et agréable au pays des vaches violettes et où pas un papier ne traine par terre. Pas comme chez les sauvages, on sait se tenir nous...C'est ça?
  9. C'est quel pays d'asie la Suisse? http://www.tdg.ch/vivre/societe/Des-Suisses-continuent-de-manger-chiens-et-chats/story/10121142
  10. Oui, c'est bien utile et de toute façon nous n'avons que ce moyen pour traduire notre pensée et la symboliser. Mais avant de la symboliser on imagine, on se represente la chose pensée avant de la nommer. Le mot qui servira à nommer la chose le fera toujours de façon limitée et incomplète. La métaphysique s'impose à l'humain au sens où justement elle est au-dela des limites du langage, et au-dela de la conscience( imaginaire). Le lieu de la métaphysique c'est l'inconscient au sens large. Ce qui echappe et echappera toujours au champ conscient, en quelque sorte.
  11. Quel que soit le mot que tu prononces ou que tu écris, tu mens. Le mot n'est jamais la chose.
  12. T'expliqueras au juge que le conducteur non maître de son véhicule n'est pas responsable. Dura lex, sed lex. Ce n'est pas parce-que certains nient la loi que celle-ci ne s'applique pas à eux. Même s'ils trouvent que c'est vraiment trop injuste...
  13. Voila. Et leur faire payer les dégats sur la carrosserie de la voiture du pauvre conducteur victime, plus le nettoyage. C'est salissant ces merdeux qui s'eclatent contre ta voiture...
  14. Et voila. Tu persiste et signe. C'est la faute de la victime, bien fait pour sa gueule. Et ça sur quasi tous les sujets. Donc à te suivre, les passages cloutés c'est fait pour quand toi tu les emprunte, pour te proteger, mais quand c'est pour les autres non?
  15. Là encore tu t'identifie dans l'histoire au pauvre type injustement condamné alors que c'est quand même pas de sa faute si le méchant passant se jette sous ses roues. Si tu veux une vision juste de la situation, identifie toi à la personne à qui on vient d'annoncer que sa gamine s'est faite ecraser sur un passage pièton, ça rétablira peut-être ta vison singulière de ce qu'est véritablement une victime.
  16. Comment expliquer le réel au sens où je l'ai employé? En citant Kant? Ein leerer Gegenstand ohne Begriff (Un objet vide impossible à saisir par le concept). La réalité est une contruction imaginaire. Le réel lui est tout ce qui est au-dela du champ de notre conscience. Un couteau ne pouvant se couper lui-même, la pensée et ses constructions imaginaires ne peut que tailler et decortiquer que dans cette réalité qui n'est qu'un aspect des choses. Mais du réel de ces choses, on ne peut rien savoir. En ce sens c'est pour cela que je pense que la métaphysique est en fait le questionnement imaginaire d'un réel non-atteignable, mais dont on pressent la "sous-jacence". Les rayons de la roue convergent au moyeu. Ils convergent vers le vide. Et c’est grâce à lui que le char avance. Un vase est fait d’argile mais c’est son vide qui le rend propre à sa tâche. Une demeure est faite de murs percés de portes et de fenêtres, mais c’est leur vide qui la rend habitable. Ainsi, l’homme construit des objets, mais c’est le vide qui leur donne sens. C’est ce qui manque qui donne la raison d’être. (Lao Tseu)
  17. Il y a au moins cent mille ans que les humains enterrent leurs morts. On ne pourra jamais verifier, mais il est fort à parier que très tôt nos ancêtres se soient mis à adorer ou craindre des phénomènes naturels et à les associer à des divinités. Si elles n'ont pas débuté avec l'existence de l'humain, les religions ont du suivre de très près, en toute logique.
  18. L'objet de la métaphysique c'est le réel. Non pas la réalité qui elle est la surface perceptible, imaginaire donc, ou la symbolique des choses, mais ce monde indicible et inimaginable qu'est le réel.
  19. J'ai plutôt l'impression que sa solution serait de rendre ça légal, puisque ces pauvres gens ne sont pas capables de se retenir, et dédramatiser tout ça en discutant avec eux. J'ai juste?
  20. Non, du tout, au contraire, je suis d'accord avec ça. Le moi, ( ce avec quoi nous interpretons, imaginons le monde) a tendance à se percevoir comme le soi ( l'être, la totalité), ce qu'il n'est pas. Donc quand je dis je, je parle de moi, mais pas de qui je suis.
  21. Ce n'est pas une maladie, ça ne se soigne pas. La seule chose qui peut eventuellement empêcher un pervers de passer à l'acte c'est la loi, même si hélas celle-ci ne se revèle pas toujours suffisante. Tu comprendras alors que le genre de discours que tu tiens, banalisant et comparant ça à des comportement legaux ne vont pas dans le bon sens en la matière. Est-ce qu'on ouvre le dialogue avec quelqu'un qui grille un feu ou un stop? Non, on le sanctionne et basta. Resultat, quand tu conduis, tu fais gaffe, même si t'as l'âme du'un rebelle, tu vois?
  22. Que faire? Punir ça à la hauteur des dégats que ça occasionne, c'est à dire très sevèrement.
  23. T'es en train de dire qu'un jour on tolerera les pédophiles?
  24. Et moi j'espère que tu as bien compris que personne n'a à demander à des homos d'aller contre leurs désirs, ceux-ci n'etant pas hors la loi. Que cette comparaison homo/pédophile a un relent malsain.
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