Mite_Railleuse

Serait-ce le... nœud du problème ?

@Garlabanest une femme ?? On ne nous dit pas tout !!

Toutes façons, tant qu'ils en foutront partout dans les wouawoua, faudra déconstruire, épicétou !

Je ne pense pas en "anti" ou "pro". Et ce que je lis, ce sont des guerres de tranchées, comme sur bien d'autres sujets d'ailleurs. Des pages et des pages de "débats" stériles...

@JanuaryJe suis vaccinée, j'ai dû faire un choix, mais j'ai des effets secondaires sur le long terme et j'ai l'impression d'avoir du poison dans mon corps. C'est une sensation terrible... Je suis admirative des gens qui se font violence pour le bien de tous, sincèrement ! Sur le coup, je suis une cancre. Quand je ne crois pas à quelque chose, j'ai énormément de mal à m'oublier. Le chemin est long...

C'est pas vraiment l'impression que j'ai quand je lis ici, mais si je me fourvoie, ça me va

A t-on le droit d'être timoré, de ne pas déborder enthousiasme à l'idée de devoir se faire vacciner, sans être aussitôt taxé d'assassin en puissance, de dégénéré, d'égoïste ? Peut-on avoir une méfiance viscérale de l'allopathie, parce que c'est comme ça, parce qu'on ne peut pas toujours maitriser ses ressentis, sans être immédiatement estampillé stupide ou "connard" ? Est-il possible d'en discuter tranquillou, sans être agressé, ni cloué au pilori ?

C'est pourtant le vocable "nuance" que tu emploies. De la cohérence par rapport à quoi ?

Difficile de reprocher un manque de nuance, quand on en est soi-même dépourvu... Mais comme je l'ai déjà exprimé, ce terme de "féminisme" ne veut plus rien dire, il est dévoyé et seules ses représentantes les plus extrêmes, une minorité, sont brandies et exhibées comme étant LE féminisme. J'imagine que cela traduit un énorme malaise...

La radicalité de certaines féministes est outrancière et contre-productive. Mais elles ne sont pas les seules, hélas...

Non. Je viens d'aller voir de qui il s'agissait. Je ne suis pas une intellectuelle et le sujet ne m'intéresse pas ! Je vais me flageller et je reviens...

C'est tout à fait ça. Mettre les extrêmes en exergue et passer à la trappe, toutes les autres, la grande majorité. Avant de lire ce sujet, je n'avais jamais entendu causer de "déconstruction"...

Une CERTAINE parole féministe, c'est vrai. Mais c'est ce que font ici, certains, en ânonnant à longueur de posts : vénales, accros aux bad boys, intéressées, affabulatrices... Ça devient vraiment lourdingue et chiant cette guerre de tranchée !

La critique oui, mais dire de quelqu'un qu'il est "bête", ce n'est pas une critique, c'est un jugement. Et je pense qu'on se fourvoie en assimilant systématiquement dogme et croyance. De plus, à l'instar d'autres sujets, pourquoi un croyant se sentirait-il coupable d'exactions qu'il n'a pas commises ?

Quand même un peu quand tu accoles "bêtise" à ceux qui ne pensent pas comme toi...

Un peu comme toi en somme, qui cherches à imposer ta réalité aux autres...

Et ?

Et que dire de l'intolérance... Quant à la bêtise, elle est dans bien des certitudes. De ces certitudes qui empêchent de se détacher de son petit bout de lorgnette et qui transforment les pailles en poutres. La croyance aide à vivre, à donner du sens ! Parole d'athée...

Mais qu'est-ce que ça bien te faire ????

Je suis absolument d'accord. Va alors falloir dire à certains(es) que DES féministes ne sont pas LES féministes, et que DES femmes, ne sont pas LES femmes. Et pareil pour DES hommes, et LES hommes.

Si on faisait ici les comptes exhaustifs des sujets, des commentaires, "anti femmes", il ne serait pas question de déconstruction, mais d'atomisation...

Aimer les autres, c'est bien aussi. Et on peut les aimer sans être croyant... Je crois que chacun a bien le droit de croire, ou pas, sans que personne n'ait rien à y redire

Juger qu'une croyance religieuse "aide à être meilleur", c'est le dénier à tous ceux qui ne croient pas. Et le jugement de valeur n'est pas bienveillant, il est arbitraire et partial...

La bienveillance n'est pas assujettie à la croyance, quelle qu'elle soit. Elle l'est à la personne, indépendamment de ses convictions religieuses...

XXIème siècle et nous en sommes encore à fustiger les croyances ou les non croyances des uns et des autres ! En haut de la chaîne alimentaire, qu'ils disent...