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Tout ce qui a été posté par Tequila Moor
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Un mannequin de 18 ans a vendu sa virginité aux enchères
Tequila Moor a répondu à un sujet dans Société
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Tequila Moor a répondu à un sujet dans Société
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Tequila Moor a répondu à un sujet dans Société
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Interview du mois... Entretien avec Konvicted, par Titenath
Tequila Moor a commenté un(e) billet du blog de Tequila Moor dans FFr Mag' 2.0
OK ! En général, je préfère les tortues boiling mais c'est plus fun avec Saint Homer. -
Interview du mois... Entretien avec Konvicted, par Titenath
Tequila Moor a commenté un(e) billet du blog de Tequila Moor dans FFr Mag' 2.0
"Running", dans le cas d'une tortue, c'est peut-être un peu présomptueux ? -
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Science... Le transhumanisme
Tequila Moor a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans FFr Mag' 2.0
En sus de m'ame Arendt, il me semble que la pensée de son ex-mari Günther Anders rend finement compte de menus problèmes sous-jacents au transhumanisme. Une introduction ici, en particulier en ce qui concerne les 2 concepts clés de cet auteur, à savoir décalage prométhéen et honte prométhéenne. Ces concepts sont décalés de la fierté prométhéenne, fierté de l'humanité de ne rien devoir qu'à elle-même au moyen du savoir, inspirée du personnage de Prométhée (titan de la Grèce antique qui apporte la connaissance aux hommes contre l'avis des Dieux). http://technologos.fr/textes/gunther_anders.php Le décalage prométhéen correspond au décalage entre les accomplissements techniques de l'homme et ses capacités (notamment le sens de la mesure et de la responsabilité). Tout au plus est-il capable d'évaluer les risques d'un phénomène particulier et de prendre diverses précautions pour le limiter mais il est foncièrement incapable de considérer le phénomène technicien dans son ensemble. A l’opposé de l'utopiste, qui imagine un monde qu'il ne peut réaliser, l'homo technicus produit un monde qu'il n'est pas capable d'imaginer. Cette incapacité d'appréhender les implications de ce qu'il fait, cet écart entre ses productions (prodigieuses) et ses capacités morales font de lui un "analphabète de la peur". Son irresponsabilité elle-même ne relève pas de la faute morale (car pour qu'il y ait faute, il faut qu'il y ait conscience ou possibilité de conscience de la faute) mais d'un défaut d'imagination et de sensibilité, dans la mesure où l'ordre technicien impose ses critères (en premier lieu l'efficacité) et se substitue à toutes les valeurs qui avaient cours jusqu'à présent. Elle résulte donc du fait que l'on succombe (que l'on soit général ou sergent, chef d'état ou simple quidam) à la croyance en la capacité de la technique à résoudre les problèmes de l'existence. [...] La honte prométhéenne est le sentiment que l'homme éprouve lorsqu'il se compare à ses productions, ne supportant pas au fond l'idée que, contrairement à elles, il ne relève pas du processus de fabrication rationalisé qui leur a donné naissance. Cette honte ne s'exprime pas seulement dans les tentatives d'avant-garde pour remplacer le vieil homme par le nouveau, mais également dans les situations les plus quotidiennes. Elle constitue la honte de son origine, la honte de devoir son être à la nature, à quelque chose qui ne relève pas d'un processus technique. On a « honte d'être devenu plutôt que d'avoir été fabriqué » résume Anders. La honte prométhéenne compense la fierté prométhéenne. Mais, comme elle, elle procède de la revendication à la liberté absolue : la fierté exprime une volonté de s'approprier intégralement les conditions de son existence, la honte relève de la conscience que quelque chose, en définitive, fait obstacle à cette entreprise de maîtrise intégrale. La mutation de l'humanité correspond donc à une volonté inconsciente de supprimer tout obstacle naturel par des moyens techniques, ceci afin de mettre un terme à la honte de se savoir un "produit de la nature". -
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Sortie du second numéro 2017 du Mag' FFr ! Lien vers le blog du Mag' : Lien vers l'édito du Mag' :
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Bonjour à toutes et tous, bienvenue sur ce second opus de la nouvelle formule du Magazine FFr. Pour ce mois de mars 2017, le numéro sera compact et concis, les plus courageux de nos rédacteurs ayant affronté milles dangers pour concocter des articles sur un thème en filigrane, à savoir la meilleure amie de l'humanité, à savoir la peur : et sur les 5 qui sont partis, seuls 3 sont revenus... Trêve de parlote, lisons plutôt : 1) honneur aux dames avec Titenath qui, poursuivant le tour de ForumFr, nous invite à découvrir l'indicible poète Konvicted, sous forme d'un étrange Entretien qui convoque tartiflette, amour et fantôme de Brassens. Rubrique "Interview du mois" : 2) salutations à l'angoisse avec Jedino, qui invoque ces jours pas si lointains où l'Homme ne sera plus l'Homme, introduisant les plus naïfs d'entre nous au Transhumanisme, ce champ de bataille à venir qui remettra en cause notre identité. Rubrique Science : 3) au delà du réel, Nathaniel évoque la filmographie d'Ed Wood, légendaire figure du nanar, l'homme qui se croyait femme, dans l'esprit duquel germait des histoires de morts-vivants ressuscités par des extra-terrestres voulant aider les humains. Rubrique Cinéma : Merci d'avance aux téméraires lecteurs, pour leur lecture avisée et leurs commentaires, pour leurs éventuelles idées de futurs articles, pour leurs possibles envies de devenir rédacteurs à leur tour ! Un exemplaire PDF de ce numéro du Magazine est également disponible, à télécharger ici : Mag' N°2 / mars 2017 / version PDF Nous passons trop de temps sur internet, bon retour chez nous... ^_^
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Interview du mois... Entretien avec Konvicted, par Titenath
Tequila Moor a posté un billet dans FFr Mag' 2.0
Doté d’un esprit que plus d’un forumeur lui jalouse, sa plume est à son image : exigeante, pertinente et parfois chiante. ^^ Ce mois-ci Konvicted a gentiment accepté de répondre à mes questions (même si le chèque que je lui ai promis doit y être pour quelque chose). Bonjour Konvicted et merci d'avoir accepté cette interview. Bonjour Titenath, bonjour vous qui lisez les premières lignes de cette interview avant de réaliser que vous n'en avez rien à foutre, et bonjour à toi qui me lis parce que tu t'y sens obligée bien que tu saches déjà tout de ce qui suit. Tout le plaisir n'est pas pour moi, je t'en laisse un morceau, mais quand même, je ne crache jamais sur une occasion de raconter ma vie. Comment vas-tu ? Le plus souvent sur mes deux jambes, parfois à cloche-pied. Mais c'est quand qu'on va où ? Cela fait quelques années maintenant que nous avons le plaisir de voir un Simpson arpenter les rubriques du forum, mais qui se cache derrière cet illustre personnage ? Un skateboard et un lance-pierre, mais si tu veux en savoir plus, je te suggère de demander directement à Bart_Sylvain. Attends, tu parlais de moi ? Moi qui n'ai plus d'avatar à l'effigie du dernier homme parfait sur terre, ce tire-au-flanc gras du bide dégarni exécrable et éminemment stupide, depuis la dernière version du forum. Erreur de débutante ! Me poser une question ouverte sur ma personne, c'est s'exposer à une réponse longue comme un jour sans pain. Je vais vous faire regretter Sophie la tortue, croyez-moi ! J'ai un quart de siècle, je suis apprenti en développement logiciel ; je développe une application de gestion pour la PME qui a eu la lucidité de m'embaucher. Quand je ne code pas, je m'affaire volontiers à bouffer de la tartiflette à m'en faire péter la panse, marcher sur les quais de la Seine et sous la pluie, écouter du Brassens en caressant un chat, remettre les gens à leur place et hier à demain. J'aime les esprits de velours dans des plumes de fer et les cœurs gros dans des poitrines décolletées. J'aime beaucoup moins les pannes de signalisation en gare du Nord, le cocktail nauséeux des effluves de parfums des passagers trop nombreux du métro qui n'arrange pas la réputation des Français relativement à l'hygiène corporelle, l'odeur du RER B même vide, les connards qui ne comprendront jamais que tout le monde gagne à laisser les gens sortir avant d'entrer, les touristes imprudents et les fumistes impudents qui affichent leur nonchalance provençale en campant sur la file de gauche de l'escalator, j'aimerais ne pas passer ma journée dans les transports, moi, bordel ! Parce que, oui, comme cette énumération peine à le cacher, je passe beaucoup trop de temps de train en train et de bus en tram. J'ai bien d'autres aversions, cependant. J'ai horreur des superstitions, des contradictions et des vendredi 13. Cette dernière est évidemment une pure fiction servant l'intérêt de la blagounette, mais je suis véritablement pétri de contradictions. Je pense que toute vérité est bonne à entendre mais je pratique le mensonge par commodité. Je méprise l'humanité dans sa globalité mais j'ai grand mal à détester mon prochain dans son individualité. Je suis épicurien en esprit, torturé en fait. Je suis un grand pessimiste mais je trie mes déchets et je suis fan de Grand Corps Malade. Je suis un modèle de bon goût et pourtant il m'arrive d'écouter du Calogero. On constate que ton avatar s'arrache les cheveux, est-ce que tu essayes par ce biais de faire passer un message à Caez aux forumeurs ? Si oui lequel ? Non mais tu t'es lu quand j'ai bu ? Si on te cherche, où est-ce que l'on te trouve ? Tu peux m'trouver sur un téton comme un poupon trentenaire. Si tu pouvais supprimer toutes les rubriques du forum pour n'en garder qu'une, ça serait laquelle et pourquoi ? « Amour et Séduction » parce qu'on peut y lire autant d'énormités que dans les débats mais avec l'animosité en moins – quoique ! – et la tension sexuelle en plus. Tu es obligé d'organiser une rencontre IRL, à qui proposes-tu ? Je ne propose pas. Je suis formé pour déléguer le sale boulot à des petites mains, alors j'impose à January de l'organiser à ma place, elle m'a l'air d'être une fille aussi sérieuse que la raison de son pseudo est à mourir d'ennui. Sitôt qu'on est plus de quatre on est une bande de cons, alors je n'invite que trois personnes. Je me suis récemment fait la réflexion que l'animosité accrue qu'on peut constater dans les échanges sur les réseaux sociaux et autres forums relativement à la « vraie vie » n'est pas tant encouragée par l'anonymat que par la conséquence de la réduction de la personne humaine à du texte, l'abstraction ultime qui nous fait intellectualiser l'autre plutôt que de le ressentir, privés de cette fenêtre sur l'empathie qu'est le croisement de regards. Je me dis que même les personnages les plus improbables et déconcertants, parfois méprisables, du forum pourraient bien nous sembler aussi humains que nous si on les voyait en face à face. Du coup, j'invite Dr Love, Monsieur montre-moi-ton-âme-je-te-dirai-si-on-va-passer-l'éternité-ensemble et n'importe quel fanatique religieux pour un débat sur la fellation. Quelle question aurais-tu aimé que je te pose et qu'y aurais-tu répondu ? Que serais-je sans toi que cette heure arrêtée au cadran de la montre ? Que veux-tu que j'y réponde ? C'est une question rhétorique. Fort bien formulée, certes, même qu'on la croirait empruntée à Aragon, mais rhétorique tout de même. N'y vois là aucun message subliminal mais je me suis dit qu'une petite interview « nulle » serait la bienvenue. Prêt ? Merde, mais c'est à quoi que j'ai répondu jusqu'à présent ? Tu préfères ton père ou ta mère ? La question ne se pose pas. C'est mon père qui fait la tartiflette. Comment ma mère pourrait-elle rivaliser ? Le mot le plus con en amour : merci, alors, oui-oui ? Si. Enfin, c'est le seul que je connaisse. Tu croises un extra-terrestre, il te dit : « t’es qui ? » ; tu réponds quoi ? Celui qui a mal tourné, mais toi, qui t'es pour me tutoyer ? On n'a pas élevé les buggalos ensemble. Si tu étais en vente dans un sex-shop, tu serais … ? Un petit compagnon de bain. Je suis en effet, à l'instar du canard, laquais des désirs de la dame pour laquelle je vibre. Sais-tu pourquoi les abri-bus n’abritent pas les bus ? Parce que pour faciliter leur transport, on préfère mettre les cars en sac. Si tu avais un perroquet, tu lui apprendrais : « t’as fermé le gaz », « t’as pensé à la capote », « coco arrête la coco » ? Il serait dissimulé derrière la porte d'entrée et cueillerait les invités avec un : Tu accordes plus de circonstances atténuantes à un vieux qui se tape une jeune ou un jeune qui tape sur une vieille ? J'aime les percussions alors je serais sans doute plus indulgent envers le jeune mélomane un peu naïf qui croyait pouvoir obtenir un son décent en frappant une peau fripée. Pis si la vieille a du mal à s'en remettre, on pourra toujours la retaper. Tu préfères passer la nuit avec Anne Sinclair, Laure Sainclair ou Bret Sinclair ? Ouh là là, que le choix est difficile ! Anne Sinclair n'est plus de première fraîcheur, faut dire qu'épouser Dodo la Saumure n'était pas la plus sage décision et, question de génération, sans vouloir t'offenser, je n'ai jamais vu ce monsieur Sinclair à l'écran. Ne reste plus que Laure, tu m'en vois bien emmerdé. Aimes-tu les chiens ? Pas comme Metal Guru les aime, si c'est la question. Je n'aime pas le côté servile et dépendant des chiens et je trouve bien des races de clébards disgracieuses. Ton fan club me harcèle pour que je te demande ton 06... Peux-tu les satisfaire ? Ah bon, j'ai des fans ? Mais quelqu'un leur a dit ? Le mot de la fin ? Salut les trouducs ! Merci Konvicted, ce fut un plaisir. C'est ce qu'elles disent toutes. Avant d'ajouter : « que tu n'étais pas tenu de garder pour toi ». -
Aujourd'hui chers explorateurs du cinéma bis, nous parlerons d'un réalisateur culte, au sommet du panthéon des réalisateurs de nanars. Un réalisateur en fait si peu doué qu'il gagna le titre, aussi injustifié que peu flatteur, de "pire réalisateur de l'histoire". Magouilles, vols, amitié avec des vampires, et même une malédiction au sommaire, l'existence d'Edward Davis Wood Junior est aussi atypique que sa carrière. Dès sa naissance le 10 décembre 1924, la vie d'Ed Wood est déjà peu banale. En effet Lillian, sa mère, se réjouissait déjà de mettre au monde une fille. Las, la fille est en fait un garçon, qu'elle appellera Edward. Pas un problème, elle l'habillera durant toute son enfance en fille. Cette particularité n’empêche cependant pas le jeune Ed Wood de rêver de folles chevauchées dans l'Ouest américain, celui de ses bandes dessinées. C'est probablement à cette époque que la passion de la mise en scène lui est venue : en effet, il recrute des gamins de son quartier pour rejouer des scènes entières de western, avec Ed comme metteur en scène. En 1942, peu après l'entrée en guerre des USA contre le Japon et l'Allemagne, Ed est tout juste âgé de 18 ans. Il est enrôlé dans le corps des Marines des Etats-Unis. Il affirma plus tard craindre une blessure, car il portait sous son uniforme des dessous féminins. Du reste, il ne s’illustra guère dans les combats et finit la guerre comme dactylo. Après la guerre, Wood vivote en réalisant diverses productions mineures aujourd'hui perdues. Mais en 1953, un producteur cherche un réalisateur pour mettre en scène un projet de film d'exploitation sur Christine Jorgensen, premier homme à subir une opération de réassignation sexuelle. Pour « Glen or Glenda », Wood réussit – on ne sait comment, mais probablement avec un chèque confortable – à engager Bela Lugosi, ancienne star du cinéma, mais drogué et presque ruiné. Le film est une succession de plans sans rapport les uns avec les autres, l'histoire – s'il y en a une – est aussi incompréhensible que la diction de Lugosi. Le film est un échec artistique et commercial, mais Wood ne désespère pas. Beaver ? Bivère ? Beware ? Lugosi a bien du mal à articuler : Deux ans plus tard, Wood met en chantier son deuxième long métrage, « The bride of the monster ». En plus de Lugosi, Wood engage l'ex-lutteur Tor Johnson, gentil colosse de 400 livres, mais acteur tout à fait raté. Le scénario : depuis des semaines, des gens disparaissent mystérieusement. La rumeur prétend qu'un monstre rôde dans les marais. Un soir, deux chasseurs égarés croient pouvoir se réfugier dans un manoir qu'ils pensent abandonné : en fait, la demeure appartient à un savant fou (Bela Lugosi) ayant donné vie à un monstre (Tor Johnson), tel le docteur Frankenstein. Encore une fois le ratage est à peu près total : Wood use et abuse de stock shots (images d'archive) hors sujet afin de prolonger la durée de son film, de plans inutiles... Wood va même jusqu'à voler dans un studio de cinéma une pieuvre mécanique afin de l'utiliser dans son film, mais oublie de dérober le moteur censé l'animer. En résulte une des scènes les plus ridicules de la cinématographie de Wood, avec un Lugosi luttant contre un animal en mousse bien peu vivace. Malgré tout, et c'est un cas unique dans la carrière de Wood, cela sera le seul de ses films à être un peu rentable. En 1956, Wood travaille sur ce qu'il pense être son chef d’œuvre : les profanateurs de tombes venues de l'espace. En bon magouilleur, il fait financer son film par une Eglise Baptiste à la condition qu'il renomme son film « Plan 9 from outer space ». Pour ce film, outre Lugosi et Johnson, il réussit à embaucher "l'actrice" Maila Nurmi, mieux connu comme étant Vampira, sur laquelle Wood fait une véritable fixation (pour la petite anecdote, elle fut fiancée à l'acteur James Dean, contre qui elle aurait lancé une malédiction peu avant le décès de ce dernier, suite à leur rupture). Cependant, Lugosi décède le 16 août 1956, ce qui contraint Wood à engager le médecin de sa femme pour le remplacer. Ce dernier devra cacher son visage durant tout le film avec sa cape, la ressemblance avec Lugosi n’étant franchement pas frappante. Lugosi est néanmoins crédité au générique, car il apparaît dans une scène, tournée au hasard par Wood. Le film est légendaire de par ses nombreux faux raccords (la cicatrice sur le visage de Tor Johnson changeant sans cesse de place) et maladresses (une pierre tombale en carton qui tombe à peine effleurée, le fil d'une soucoupe volante très bien visible à l’écran...) ou encore des perches de micro apparaissant en plein champ. Le scénario est lui tout aussi ridicule : des extra-terrestres, inquiets de la montée en puissance de l’énergie atomique, décident d'avertir les humains de leur erreur. Mais, devant le déni des humains, les extra-terrestres décident de les punir en ressuscitant les morts... Plan 9, ridicule à souhait et faisant plus penser à une blague de vidéastes amateurs, est totalement fauché avec un budget d'à peine 60000 dollars et peine à trouver un distributeur, et le film ne sortit qu'en 1959. Depuis, Plan 9 from outer space à été élu pire film du monde. Vérification en VOSTFR : (fin de la première partie de l'article)
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