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Verax

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Tout ce qui a été posté par Verax

  1. Verax

    À partir de Rien.

    Décrire et expliquer sont des synonymes, ils se résument dans une expression simple ''brosser le portrait''. Comme dit auparavant, sort de ton utopie. Le big bang est devenu le dogme des cosmologistes, ils concèderont certains détails ici et là, mais ne le remettent pas en question, ils l'exposent comme la vision scientifique du parcours suivi par l'univers dans son développement. Il n'y a pas besoin de tout savoir pour expliquer, on peut simplement expliquer ce qu'on sait en faisant une simple description. Le dictionnaire est constitué d'une quantité limitée de mots, on pourra toujours réduire à sa plus simple expression n'importe quel d'entre eux. J'ai dit que tu étais vague et imprécis et j'ai interprété une des possibilités de compréhension. Le fait que tu sois obligé de venir t'expliquer et de clarifier est la preuve de mes dires. Si je dis : toute vérité n'est pas bonne à dire. Tu te retrouves devant 2 avenues parallèles, une autoroute à 2 voies. - Si aucune vérité n'est bonne à dire, l'expression est valide. - Si quelques unes des vérités, mais pas toutes, ne sont pas bonnes à dire, c'est aussi valide. C'est la même chose que lorsqu'on dit que ce n'est pas tout, il peut aussi bien ne rien y avoir qu'il peut ne manquer qu'un seul item. Alors, tu as bien fait de venir t'expliquer, de venir décrire en détail ce que tu voulais dire. Tout x n'est pas y, en résumé, ça veux aussi bien dire ''aucun x n'est y'' que ''il existe un x qui est y et un x qui n'est pas y''. Voilà pour la compréhension. Alors tu t'es expliqué, t'as corrigé tes vagues en ajoutant les mots qui manquaient, pour moi c'est correct, il n'y a plus d'erreur. Ben faut pas te plaindre lorsqu'on te dit que t'es vague dans ce cas, si tu compte sur le flou pour t'en sortir, c'est que t'es pas précis à la base et que t'as pas l'intention de l'être. Moi je me fie à mon intuition, faut croire que j'use de logique intuitionniste. Donc pour toi, le menteur est celui qui ne dit jamais la vérité, pour moi, il n'a qu'à dire un seul mensonge pour l'être, c'est ce flou qui donne la solution. Je m'étonne encore qu'un logicien flou comme toi ne l'ait pas reconnu. En fait, je crois que tu apprend beaucoup, mais que ne comprend pas bien, tu as des problèmes avec les variantes. C'est comme pour la proposition que je t'ai écrite ''Ceci est faux est ceci'', t'as même pas remarqué que la phrase te dis d'elle-même qu'elle est fausse, que ''ceci'' (la phrase) est ''ceci est faux'' (la phrase est fausse). La phrase est la phrase est fausse, en résumé. Tout comme la vérité proposée te disait que : ceci n'est pas ceci est faux, soit que si la chose n'est pas elle-même alors c'est faux. Tu ne m'épates pas l'ami, mais pas du tout. Et non, puisque si rien de ce que tu dis n'est vrai, alors la phrase ''tout ce que je dis n'est pas vrai'' est tout aussi valide. Il y a ambiguïté et double-sens. Faut pas juger les gens, c'est pas bien. T'as démontré que t'étais incapable d'en reconnaître un lorsque présenté avec la table de vérité qui servirait à la vérifier. Juste parce que les mots changent, tu perds aussitôt le sens. Et non, le vide des physicien n'est que l'absence de matière, il reste encore de l'énergie et même des photons à l'intérieur. Là tout est dit. Ce n'est pas de l'espace remplit d'espace, il reste encore quelque chose d'autre dedans. C'est comme pour ta manie d'appeler ''tautologie'' ce qui n'en est pas. Comme lorsque je te faisais remarquer que si tu appelles vide l'espace plein d'espace et que tu le ramène à de l'espace remplit de vide, si (vide) = (espace remplit d'espace) ben vide n'égale pas espace uniquement. M'en fous, j'ai précisé ce que j'entend par rien, j'ai précisé la définition du nom, t'avais qu'à le prendre pour ce qu'il est dans ma proposition, j'ai laissé aucune place à l'interprétation. C'est ta manie du flou qui t'a fait te fourvoyer. Pas du tout, tu vois, je suis logique, je doute du doute. Tu devrais en faire autant, tant qu'à aller au fond des chose, aussi bien y trouver son comble. Ta maïeutique consisterait à me faire rentrer dans l'utérus où tu trouves encore, quand tu verras la lumière tu sauras que t'étais prisonnier de ton petit monde, que tu n'as pas idée d'où tu te trouves et d'où partir. Alors, pour revenir au sujet, t'es d'accord avec le fait que le rien dont je parle, celui que je précise en tant que nom, ce serait l'espace pur et dur? Sinon, t'as une proposition de remplacement à faire? Tu sais quoi, j'ai versé une larme en te lisant. Je commençais à perdre espoir. Merci. Je devrais partir de rien dans pas trop longtemps, je m'étais fixé comme objectif d'avoir un équipage de 5 personnes avant le départ, mais je penses bien que c'était trop demandé au départ.
  2. Verax

    À partir de Rien.

    Pas vraiment, ce rien est déjà quelque chose à la base, il est tout autre chose en puissance. Tu peux prendre l'exemple donné par Aristote, celui du bloc de marbre et de la statue, le bloc de marbre est déjà quelque chose à la base, tout comme la statue est un bloc de marbre différencié, seule la forme du bloc change, mais une statue est quand même un bloc de marbre. Manquer ne signifie pas ne pas être, être absent signifie que l'on n'est pas là, pas que l'on n'est pas tout court. Disons plutôt que ce rien est singulier, il forme le tout à lui seul. Petite correction, avant le big bang, il n'y avait pas rien, en fait, on ne peut dire ce qu'il y avait, tout se confondait, c'est différent. Le big bang n'est que l'évolution de ce tout confondu et particulier. Ce tout est posé comme existant au départ, et le big bang n'est que sa différenciation, sa transformation. Il ne faut pas confondre ce qu'on ignore et ce qui n'existe pas, ignorer ce que c'est ne veux pas dire que ce n'est pas, c'est juste qu'on ne parvient pas à lui donner un nom, une identité propre.
  3. Verax

    La laïcité trahie

    Ben tu vois, écarter une religion et écarter Dieu, c'est pas la même chose. Ça c'est concret. Serais-tu du genre à confondre Dieu et religion?
  4. C'est un usage commun de transformer les noms d'une langue à l'autre, James pour Jean, Jack pour Jacques, etc... C'est pas méchant, c'est pratique, voilà tout. La personne concerné ne s'en formalise pas, alors pourquoi le ferais-tu? D'autant plus que tu n'es même pas la personne concernée. Penses-tu que ceux qui parlent de Iésous l'insultent et le détestent lorsqu'ils disent ou écrivent Jésus? Faut pas charrier l'ami. :p Ben si tu prends son nom pour ce qu'il signifie et que tu lui accordes de l'importance, c'est que tu le loues, puisque c'est ce que ce nom signifie dans cette langue et que c'est important pour toi. C'est alors que de le prononcer correctement revêt une importance capitale pour toi puisque tu en fait état. Donc oui, tu le loue, et ceux qu'on loue, ben on les adule à notre façon. On peut être indifférent, si la voie de la sagesse c'est d'être indifférent. Dans ce cas, si t'es pas musulman, t'es pas sage puisque tu te passionnes pour un rien, pour rien qu'un nom. Et si t'es musulman, ben la sagesse change de visage, elle serait donc à géométrie variable. Le plus sage, c'est de ne pas ruer dans les brancards pour une chose aussi insignifiante que la prononciation, quand on dit Mahomet, tu sais de qui il s'agit, c'est ce qui compte et la sagesse se trouve là.
  5. Verax

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Pour la Xième fois! :blush:
  6. Verax

    La laïcité trahie

    Et non, l'état ignore si Dieu existe ou non, et il n'ignore pas qu'il y a des gens qui ignorent la question et d'autres qui ne l'ignorent pas, qu'il y en a qui s'en moquent et d'autres qui s'en préoccupent. Mais le rôle de l'état laïc n'est pas de s'en moquer, ni de s'en préoccuper, il n'est pas là pour interdire cette question mais juste de s'interdire d'y répondre et d'être une réponse, il est là pour être juste et impartial vis-à-vis de la question, donner un espace pour ceux qui veulent s'exprimer, sans favoriser aucune position.
  7. Verax

    La laïcité trahie

    Quand tu choisi d'ignorer, tu choisis d'être un ignorant. Tu ignore si il existe ou non, parce que tu choisis d'ignorer l'hypothèse elle-même. Tu ignore ce qu'est l'ignorance on dirait, non? Tu sais qu'il n'existe pas, toi? T'as juste choisi d'ignorer l'hypothèse, et celui qui a choisi d'ignorer est un ignorant, doublement si il ignore aussi qu'il a fait le choix de l'être.
  8. C'est tout simplement parce que ceux qui l'appelle Mahomet, ben ils ne le louent pas. C'est quoi ce manichéisme voulant que si tu ne le loue pas, alors c'est que t'as de la haine, même inconsciente? Si tu prêche pour un juste milieu, ben t'es loin du compte, ton discours te trahit, tu ne le vois pas? Serait-ce parce que tu serais aveuglé par la haine toi aussi?
  9. Verax

    La laïcité trahie

    T'es incapable de distinguer croyance et religion on dirait. Fais un exercice très simple, remplace ''athéisme'' par ''ignorance'' dans tous tes discours à son sujet, parce que c'est ce qui caractérise l'athéisme, l'ignorance. Cette ignorance est tellement forte qu'à la limite, l'athée ignore qu'il est ignorant. C'est ton cas, alors soit logique, tu choisis volontairement d'ignorer Dieu et d'ignorer ce que c'est, tu orientes ta vie sur cette volonté de l'ignorer, de te refuser d'y penser. Tu censure toi-même ta liberté de penser, tu t'amputes volontairement. Alors, tu ignores Dieu, ben t'es ignorant, rien de plus et rien de moins. L'état n'a pas y ignorer Dieu, la laïcité est une absence de prise de position, c'est le fait de favoriser autant ceux qui ignore la considération de l'hypothèse que ceux qui s'en préoccupe tout en ayant des vues différentes sur le Sujet, sans prendre parti pour aucune. Laisser le champs libre et donner les mêmes rescources à ceux qui voudraient avoir une place pour exprimer leur sentiments propres à ce sujet, tout comme elle ne donnerait pas de ressource à ceux qui ont choisi de ne pas y accorder de place. Alors, ignorerais-tu que tu ne serais qu'un ignorant? Est-ce que c'est le terme qui te déplait? Verrais-tu l'ignorance comme péjorative au point de te mentir à toi-même et te trouver une fausse façade pour te cacher derrière, pour cacher ta honte et te recouvrir d'une peau qui en cacherait l'esprit? Ton ignorance est ta croyance, tu t'y réfugies par choix, parce que tu crois que c'est la meilleure chose à faire. En fait, tu ne sais pas, mais tu refuses de le dire, car il n'est pire ignorant que celui qui ne veut pas savoir, savoir qu'il est ignorant. :p
  10. Verax

    À partir de Rien.

    Parce que c'est ça qui est ça.
  11. Verax

    À partir de Rien.

    Oui, et ce n'est pas que je ne l'aurais pas dit et redit. À force de se répéter, on finit par se dire que les autres sont sourds. Voilà justement l'idée que tu ne peux éviter, c'est une chose, c'est ce qu'est ce rien. Il n'a pas, pas d'importance, pas de valeur, pas de signification, mais il est. Il est ce qui n'a pas. Il n'a pas de place pour être, il est la place elle-même, il est l'espace nécessaire qualifiant tout ce qui est, car ce qui n'a pas de place, n'a même pas de place pour être. Ce rien est ce que tout ce qui est a pour pouvoir être. Du néant, tu ne peux dire qu'il est ceci ou cela, c'est un non-sens, il n'est pas, tout court. La moindre des choses, pour toi, ce serait le néant? Le néant serait? Je ne cherche pas ce rien, je l'ai déjà trouvé. Je cherche le consensus, à savoir l'accord sur le point de départ, que l'on soit d'accord sur ce dont je parle, car si on n'est pas d'accord sur ce que c'est au départ, on sera mal parti et on reviendra sans cesse dessus. La chose sans importance est une chose, c'est la chose qu'on oublie facilement, celle dont on se passe et qu'on considère comme acquise sans démonstration, celle qui n'a pas de valeur car tout le monde l'a, qui n'a pas de valeur car elle est surabondante. Et moi je vois ça dans l'autre sens, si tu voulais comprendre ce dont je parle, alors fais un pas vers moi et pose une question, demande des éclaircissements. Ce n'est pas à moi à t'ouvrir l'esprit, c'est à toi de le faire et de montrer ton ouverture, je propose et tu disposes, et si tu n'as pas compris ce que je propose, alors dis ce que tu n'as pas compris. Mais dis-moi, qu'est-ce que tu ne comprends pas au juste, ce rien dont je parle ou ce rien qui te parle, celui qui écrit les mots que tu lis? Une relation. Tout autant qu'un commencement serait une fin en puissance. Ce rien, c'est tout ce qu'il faut pour qu'un tout ne soit pas un tout. Qu'il ne manque qu'un rien, et ce n'est pas tout, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y aurais plus rien, car pour qu'il n'y ait plus rien, il faut que tout manque, tous ces riens qui finissent par former un tout. Alors, que celui qui ne comprend pas expose ce qu'il ne comprend pas, on en discutera. Que celui qui ne comprend rien s'expose à ce que l'on ne le comprenne pas, c'est indiscutable.
  12. Verax

    À partir de Rien.

    T'as qu'à prendre la théorie des cordes et me dire si ceux qui travaillent la-dessus sont des scientifiques. T'as personne qui se limite à simplement produire des faits, ils interprètent tous ces faits, en font des théorie qui chercheraient à expliquer pourquoi ces faits surviennent. Alors cesse avec ton utopie, tous les cosmologistes essaient d'expliquer le monde, tout ceux qui cherchent une théorie du tout, qui n'existe peut-être même pas autrement que dans leur imagination, sont à la merci de leur croyance. C'est bien de se dédouaner de la sorte, t'en es pas capable, alors personne n'en est capable? C'est médiocre et ça sert d'excuse uniquement pour ceux qui ne cherchent pas le dépassement. T'as généralisé à partir d'un exemple qui ne tient même pas logiquement la route, t'as seulement fait état d'un raisonnement qui te dépasse, que tu peux pas solutionner par toi-même, c'est tout. Parles-en au mathématiciens, dis-leur que leur langage est vague et sujet à interprétation selon ce principe que tu crois vrai car il fait partie de ta réalité, en oubliant bien sûr que ta réalité n'est pas la réalité. Connais-tu la différence entre tout et ''tout''? Chaque auto-référencement = n'importe quel auto-référencement. Tout auto-référencement = tous les auto-référencement. En disant : Tout chat n'est pas blanc, tu généralises, puisque tu ne précises rien, ainsi tous les chats sont noirs revient logiquement à dire que tout chat n'est pas blanc. En disant : Tout chat n'est pas blanc, il existe des chats blancs, tu précises, ça implique qu'il y a des chats blanc mais qu'ils ne le sont pas tous. En disant : L'auto-référencement mène à un paradoxe, tu ne spécifie rien, tu désigne un élément faisant partie des ''universaux'', l'auto-référencement, et non un auto-référencement particulier, dans ce cas, tu le désigne avec une particule adapté : cet auto-référencement, un auto-référencement, l'auto-référencement dont je viens de parler, etc... Tu n'avais qu'à compléter tes phrases, à y mettre la précision via les mots nécéssaires. Sinon on interprètera toujours ton propos car il restera vague. Pour ma part, je m'efforce d'être clair, lorsque je parle de la chose et que je ne la désigne pas, je ne parle pas d'une chose en particulier, mais bien de la chose en général, et lorsque je dis que tout x n'est pas rouge, alors j'ajoute que certains le sont quand même si ils ne le sont pas tous. C'est logique, rien de plus. Et non, j'ai des problèmes avec le vague et les vides. Quand je précise le ''tout'', c'est l'objet d'une citation, c'est le tout qui fait partie du connecteur universel logique et non un tout quelconque. Tout ce que je dis n'est pas vrai. Ça veut autant dire que tout ce que je dis est faux que ça veut dire que je dis le vrai mais pas en totalité. C'est cet ambigüité qui est justement la clé pour résoudre le paradoxe du menteur. Dans ce cas, fais ton possible dès le départ, convainc-toi que c'est possible et tu pourras éviter les interprétations causées par ta paresse. Et pourtant, j'ai précisé le rien en question, on peut retrouver sa définition précisée dans tous les dictionnaires. J'ai posé que c'était la moindre des choses, la chose sans importance, que je l'associais à l'espace physique, à l'objet espace. C'était d'une simplicité désarmante à comprendre, tellement simple pourtant, il n'y avait que ça à comprendre pour le moment, j'attendais qu'on me dise ''oui, c'est correct, c'est facile à comprendre, mais pour moi, ce rien ne serait pas l'espace, mais ceci ou cela...'' rien de plus et rien de moins. Alors oui, je suis le seul à rouler simplement dans le bon sens, à n'avoir pas pris le sens du néant, de l'absence, du vide ou de l'inexistence dont il n'était pas question, car je partais de quelque chose de tangible, pas d'un concept qui ne veut rien dire ou représenter, juste de quelque chose de simple. Tu n'as pas compris, tu devais te demander, comme plusieurs autres l'auront fait, où je voulais en venir? Je ne cherche qu'à partir de rien, c'est ce rien que je cherche, la moindre des choses, la chose sans importance, et personne n'a compris que je ne voulais pas en venir à rien, juste à me mettre d'accord avant de partir, sur ce que serait ce tout petit rien, à débattre de ce rien et non de ce qui n'est pas ou de ce qui n'existe pas, à la limite, je peux débattre de ce qu'il ne serait pas, mais il sera autre chose que l'espace. Alors penses que je suis à contre-sens, et je penserai comme pour vous tous, que vous ne comprenez pas les choses les plus simples. À qui tu le dis! J'aurai réussi à faire comprendre à quelqu'un ce qu'il suffisait de faire. :p Faut pas t'en faire, tu sais pas à quel point je peux être tenace, une vraie plaie. Pour la vérité, il suffit de commencer par savoir ce que c'est au minimum, ça ouvre toutes les portes, et la moindre des vérité, ben je sais ce que c'est, c'est ça qui est ça, rien de plus.
  13. Verax

    À partir de Rien.

    Ben déjà si tu le sais pas, t'es mal barré. Ce sont ceux qui contiennent les définition des mots que tu penses pouvoir dompter. Ceux qu'utilisent le peuple, tu sais, le peuple, ces gens qui ne se prennent pas pour d'autres. Il est à l'image de celui de l'invité, lorsqu'il s'invite et qu'il étale sa merde partout, ben faut pas qu'il s'étonne de se retrouver badigeonner avec. T'as le merci à la hauteur du présent que t'offres, tu le mérites amplement. Pour le reste, ta permission, j'en ai pas besoin. T'as qu'à retourner à ta vie de merde, tes pensées de merde et la merde que tu produis, je m'en tape. Pourquoi faire autrement puisque c'est ce que tu penses être, c'est ta nature. Si ça te dépasse, moi pas. Cherche pas à comprendre, t'en es pas capable. En fait, je te digère et j'éructe, c'est toute la valeur que t'as pour moi, la même que tu t'accordes, c'est juste et équitable, c'est dans ma nature.
  14. Verax

    À partir de Rien.

    Et non, nous fondons notre argumentation sur la précision. Nous disons que le rien dont nous parlons et d'où nous cherchons à partir, est justement quelque chose, ce qui est absolument vrai, comme une chose sans importance l'est, comme la moindre des choses l'est. Ce rien est quelque chose par définition, et c'est vérifiable dans tous les dictionnaires, qui sont justement les recueils par excellence en ce qui concerne les définitions. Nous ne confondons en rien ce rien avec le rien de ''ne rien'', nous précisions ce qu'il est parmi les définitions qu'il y a sous ce mot, nous précisons qu'il y a celle du nom, et c'est de celle-là dont nous parlons. Ce rien n'est pas un concept, c'est une chose en soi, cette chose est, c'est un être en bonne et due forme, elle se rapporte à l'être également en tant qu'un être, dans le rapport existant entre un être et l'être, dans le rapport de propriété qui existe entre les deux, soit que l'être a tous les êtres pour être et qu'un être a l'être pour n'en être qu'un, soit que l'être n'est pas un être tout comme la chose n'est pas l'idée de la chose. Nous remarquons la confusion qui t'habite dans ce que nous avons mis en gras dans ton énoncé, soit que tu confonds être et avoir, ''qu'il n'y est rien'' en lieu et place de ''qu'il n'y ait rien'', nous pensons que ce petit rien n'est certainement rien pour toi, mais il est révélateur pour nous. Nous n'essayons pas de répondre à une question quelconque, nous expliquons simplement ce qui arrivera lorsque nous finirons par partir de rien, nous partiront de ce qui existe comme étant la moindre des choses, et nous lui donneront de l'amplitude, le feront grossir, se transformer jusqu'à devenir tout un univers, un univers différent de ce petit rien qu'il était au départ. Au départ, nous posons qu'un être, qui n'est pas l'être, s'affirmera à partir de ce qu'il n'est pas, qu'il s'engouffrera dans ce qui s'affirme comme étant différent de lui, l'être, et finira par le comprendre et donner ainsi naissance à tout l'univers. Nous ne sommes qu'un petit monsieur tout le monde, et nous affirmons l'autoréférence de notre propre identité lorsque nous évoquons l'univers, car nous sommes comme lui, c'est la moindre des choses, nous ne sommes que de l'espace divisé et amalgamé, un phénomène émergeant. De nous à toi, car nous sommes l'image du vous que tu interpelles.
  15. Verax

    À partir de Rien.

    Tu connais tous les scientifiques, toi? Tu crois que fabriquer un modèle cherchant à expliquer le monde, c'est pas chercher à expliquer le monde via un modèle, toi? Tu crois que personne ne peut expliquer le monde, toi? Tu crois que parce l'individu que tu es ne sait pas tout, personne ne pourrait comprendre le tout, toi? Tu crois qu'un aspirateur qui s'aspire, c'est pas possible, toi? Tu crois savoir ce qui ferait qu'un aspirateur est un aspirateur toi? Tu crois qu'un aspirateur qui ne fonctionne plus peut encore être qualifier d'aspirateur, toi? Tu crois que les croyances que tu évoquerais ici serait un auto-référencement, toi? Tu crois savoir ce qu'est un paradoxe toi? Tu crois avoir mis assez de précision et n'avoir oublier aucun mot dans ton texte, toi? Moi pas. Il y a tellement de généralité dans ton texte que c'est l'exemple même de la généralité que tu offres comme exemple. Tu crois qu'en disant ''tout'', tu ne généralises pas, toi? Pourquoi donc, l'erreur serait justement de chercher l'erreur, elle est déjà évidente. Et bien, je considère donc que l'erreur fait date. Tu n'aura pas eu besoin de moi pour préciser ta contradiction.
  16. Verax

    À partir de Rien.

    Si il ouvre le réfrigérateur et qu'il n'y a rien dedans, c'est qu'il vous montre le réfrigérateur tout simplement! Là, vous êtes comme ces fous qui regardent le doigts lorsqu'on leur montre la lune avec. :p Cherchez la lune, pas le doigt, vous pourrez ainsi échanger un doigt d'honneur pour un rien d'honneur.
  17. Verax

    À partir de Rien.

    Tu peux me la rappeler SVP? Je me sens un rien contrarié en ce moment.
  18. Verax

    À partir de Rien.

    Tout faire, est-ce aussi ne pas faire? Car ne rien faire, ça veut surtout dire ''ne pas faire quoi que ce soit'', non?
  19. Verax

    À partir de Rien.

    Récapitulons : Alors, je vais faire court, face à quelqu'un qui se contredit carrément, quelqu'un qui n'est même pas capable de le reconnaître lorsque mis devant le fait accompli, alors je me dis qu'on me prend pour un vrai stupide et qu'on insulte le rien d'intelligence que j'aurais. J'avais un message remplit de contre-arguments sur pratiquement tous les propos que tu as tenu suite à ces petits messages. Mais ce serait d'insulter moi-même le rien d'intelligence que j'ai que de poursuivre une discussion sur ces bases avec un individu qui ne se comprend pas lui-même. Sur ce, je te . T'en comprendras ce que tu voudras, et même son contraire dans un même tenant si ça te chante, même si tu te comprend comme celui qui ne se comprend pas, moi ça ne fait plus un pli. Si tu veux que je te réponde encore, alors dis-toi que tu pars de loin, de vraiment loin en fait, de tellement loin que tu devras te dire que tu pars de rien et faire montre d'une compréhension minimale pour qu'il y ait une suite logique à la discussion. À toi de voir.
  20. Verax

    À partir de Rien.

    Il aurait fallu que tu arrives ici avec une idée du sujet avant d'exposer ton absence d'à-propos, ça se serait inscrit comme une suite logique plutôt que de n'être qu'une vulgaire chute dans le vide. Verax est arrivé ici avec une idée de base, le rien n'est pas nulle chose, ce que confirment tous les ouvrages digne de ce nom, il a posé ce rien comme étant la chose la moins importante qui soit, la plus insignifiante, qu'il a désigné comme étant la moindre des choses pour lui. Alors, tu aurais dû ouvrir le réfrigérateur en disant ''je vois qu'il y a rien à bouffer, c'est pas grand chose, mais c'est toujours ça''. Alors t'es pas pertinent, ce qui n'est déjà pas une bonne chose quand on s'invite, notre propre invitation devient de l'impertinence, rien de plus. Alors Verax ne demande qu'un minimum de respect à la visite, soit de se présenter à la bonne adresse. Refais tes classes l'ami, commence par lire, peut-être finiras-tu par voir que les mots t'auront ridiculisé et pas à peu près.
  21. Verax

    À partir de Rien.

    Je me dis que ça part ben mal pour un dompteur de mots. Ce n'est pas le ''rien'' qui désigne ici l'absence de ce quelque chose que tu aurais en tête, c'est le jumelage du (n') avec le (rien). Tu crois que le second est à ta merci alors que t'es déjà à la merci du premier. Il ne pourra pas te répondre correctement, puisqu'il ne sait rien du rien dont je parle. Pour ça, il aurait fallu qu'ils lisent les mots déjà écrits plutôt que de venir chercher à dompter son propre vent. :p
  22. C'est comme je disais, ceux qui ne protègent pas et n'assurent pas le développement ne sont pas des parents, donc l'accord des parents dans ce sens est un non-sens, une hypocrisie dédouanant les scientifiques via une pseudo-permission. T'as donc pas la permission des parents puisque ce ne sont pas des parents qui donneraient une éventuelle permission de disposer de l'embryon. C'est comme pour ceux qui fouillent dans les poubelles une fois rendues à la décharge, ils n'ont pas à te demander la permission pour prendre ce que tu aurais rejeté, c'est même plus à toi. Moi, ce que je comprends, c'est que tu ne sais pas plus ce qui fait qu'un parent est un parent que tu saurais ce qui fait qu'un embryon est un embryon. Les embryon sont des organismes en développement, ça ne fait que marquer le stade de développement de l'organisme, et ici, l'organisme en question c'est l'être humain. L'embryon, c'est le premier stade, l'adulte, c'est le dernier. Un enfant c'est déjà un embryon d'adulte. Cesses donc avec tes qualificatifs aussi inutiles qu'idiots, tout le monde ici sait que t'es un anti-religieux notoires qui laissent ses préjugés l'aveugler au point de ne pas voir les choses pour ce qu'elles sont. T'as qu'à dire que les scientifiques ont le droit de fouiller dans les poubelles des autres, c'est tout, pas besoin de demander la permission à quelqu'un qui ne porte même pas le titre de parent ou de propriétaire. Mais je suppose que tu juges aussi ceux qui fouillent dans les poubelles, et que les scientifiques auraient une aura qui les protègeraient d'être qualifiés de fouille-m...., que c'est au nom de la science et qu'elle serait au-dessus de tout, tout bon bigot scientiste le ferait, n'est-ce pas? ''Le mot « personne » évoque l'idée d'une présence ou d'une absence « humaine », et surtout d'un échange réciproque avec l'autre.'' L'idée de la présence d'un organisme humain au premier stade de son développement, celui de l'absence de l'homme adulte, et surtout l'échange de substance nutritive en retour du sentiment de donner la vie, c'est ce qui qualifie l'embryon de personne à part entière. Le légal n'est pas éthique, mon petit bigot de scientiste, c'est politique. Alors, on arrête avec les quolibets, mon petit wipette? Ou on continue à grand coups de bigoterie mal placée, au point de se signaler si il le faut?
  23. Verax

    À partir de Rien.

    Mais c'est ça la danse... on apprend à se fondre dans l'élan, et vient un temps où on se fait assez confiance pour en profiter sans avoir peur de se marcher sur les pieds. :p Ben tu vois, j'étais certain d'avoir quelques problème avec les ''pas'' des autres en cours de route, j'en suis encore à ce point, un pas de néant, un pas d'absence, un pas de vide, un pas d'inexistence, j'apprivoise ces ''pas'' pour les rendre inoffensifs en partant, et ne pas les mêler à mes propres pas en cours de route. C'est ardu mais nécessaire. Partir de rien n'est pas si facile que ça pour tout le monde, ca demande de la patience, surtout si comme moi, on est un petit monsieur tout le monde. En attendant, comme tu serais sculptrice, tu peux te prêter à un exercice plutôt relaxant, sculpter un rien et voir ce qui en ressortira, ça fait concept. Tu part de rien, disons une grosse boule de substance, bien malléable. Tu ne fais que la diviser en petites boules égales entre elles, sans rien perdre de la substance, et tu recommence le manège, à chaque jour, jusqu'à ce que les boules, de plus en plus petites et prenant de plus en plus de place, finissent par déborder de ton univers personnel pour envahir l'extérieur de ta place. Tu pourra ensuite en faire ce que ton cœur te dit, les agencer comme bon te sembles selon tes propres règles, en laissant aller ton imagination. Peut-être auras-tu moins peur de te faire marcher sur les pieds à ce moment, et que tu auras une meilleure idée de ce que je me propose de faire avec ce petit rien d'où je partirai le moment venu, peut-être même mèneras-tu la danse à ton tour à ce moment, et que tes pas prendront le dessus sur tes ''pas'', forte de cet univers de possibilité qui s'ouvrirait devant toi. :) T'auras qu'à souffler un peu de ton esprit dans la terre glaise, un peu de ton imagination pour lui donner forme et vie. Une sorcière devrait bien pouvoir faire ça, non? Sorcière bien-aimée, je crois? :smile2:
  24. Verax

    À partir de Rien.

    Moi, je connais quelqu'un qui disait le contraire soit : ''l'auto-référencement n'est pas possible, sans conduire à un paradoxe''. Si, pour un rien, c'était toi, alors je me dirais qu'il y a contradiction dans les propos de cette personne. Je sais si tu le reconnais de ton côté, mais moi je sais qui c'était. Sans doute as-tu des difficultés à me comprendre, mais je crois que je comprends pourquoi maintenant. Ben, dans ce cas, on va commencer par s'entendre sur les termes, par principe bien sûr, c'est comme pour rien, faut s'assurer de partir d'une base consolidée et tangible. Alors : Sur la vérité. (Elle se lit autant de gauche à droite que de droite à gauche, la vérité n'a pas de sens, elle fait sens). Ceci (est) vrai si : Ceci (est) ceci. Ceci (n'est pas) vrai si : Ceci (n'est pas) ceci. Ceci (est) faux si : ceci (n'est pas) ceci. Ceci (n'est pas) faux si : ceci (est) ceci. Vrai si : Vrai (n'est pas) faux. Faux si : Vrai (est) faux. Sur la proposition. Ceci est faux est ceci. Ça te vas? Cool! Alors on construira à partir de petit rien qui nous unit, ce ridicule petit rien.
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