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Verax

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Tout ce qui a été posté par Verax

  1. Verax

    Qui est Dieu ?

    Merci j'apprécie, mais il faut dire que je suis têteux de naissance! :p Ce qui ne veut pas dire que je le savais à ce moment là, je me contentais de l'être, ça c'est certain!
  2. Verax

    Qui est Dieu ?

    Ça me fais dire que les athées ne seraient que des ignorants à la base, ou que les ignorants seraient tous athées par défaut! :p À moins que l'on ne viennent pas au monde ignorant, évidemment, que l'on naisse avec un savoir de base incluant l'idée de Dieu. Naissons-nous avec un savoir de base? Si non, l'athéisme se résumerait-elle simplement dans l'ignorance crasse?
  3. Verax

    Qui est Dieu ?

    Avant même de se demander qui est Dieu, ne serait-il pas préférable de se demander qui l'on est soi-même! Je me dis que si on ne sait pas qui on est, on ne peut pas savoir si d'avance on ne serait pas déjà Dieu. Qui vous dirait qui est qui et qui ne l'est pas au final. Si je te disais que Dieu c'est toi, pourrais-tu me prouver que non? Pourrais-tu me dire qui tu es et me démontrer que Dieu est autrement que toi? Avoir l'idée de Dieu, l'idée d'un Être qui serait le meilleur, au-delà de toutes considérations, qui pourrait toujours faire mieux, ce n'est pas donner qu'aux religions! Ça prend sa source en chacun de nous dans la simple idée du superlatif. Le meilleur, en général, n'a pas besoin d'être le meilleur dans toutes les facettes du jeu, cet état de fait offre déjà une avenue vers une compréhension plus accessible de la question. Qui d'autre que toi serait le ou la meilleur pour être toi-même? Dieu?
  4. Ton corps a des ratés et il s'use, mais ne serais-tu qu'un corps? Moi je considère en avoir un, mais je considère aussi que ce n'est pas ce que je suis, un corps. Je préfère me voir comme un esprit ayant un corps et non comme un corps ayant de l'esprit. Nous serions-nous déjà brouillés? Si c'est le cas, en autant que tu ne me demandes pas de m'incliner devant toi alors ça devrait aller.
  5. Et bien, je suis content de savoir que je ne périrai jamais, que c'est uniquement la vie qu'on m'a donné et que je donne qui périra. Je suis donc immortel, mais ma vie n'a pas cette chance, pauvre de vie, elle finira par se perdre elle-même. Normal, tu ne pouvais t'attendre à moins de ma part puisque Dieu n'est pas qu'une réalité, c'est aussi ma réalité. Tu es déchu toi? Qu'est-ce que t'as fait à Dieu pour mériter une punition pareille? :) Moi j'ai refuser de m'incliner devant l'Homme lorsqu'Il me l'a demandé, depuis ce temps, je suis condamner à porter le poids de Son amour propre, uniquement parce que je n'ai jamais refuser de m'incliner devant lui, et uniquement devant lui. Mais il faut comprendre que je ne suis pas un homme ordinaire, mortel, vous le savez bien.
  6. Alors pourquoi dis-tu que comme toi, je suis un homme ordinaire, moi non plus je ne suis jamais mort, ça se saurait sinon, non? Serait-ce que je ne suis pas comme toi finalement, que si tu es mortel même si tu n'es pas mort, alors je peux me contenter de ne pas être mortel uniquement parce que je ne suis pas mort? Je pense qu'il y a quelque chose cloche. Sinon je me demande bien combien de fois je serais mort auparavant, ça m'éviterait de dire que je ne suis jamais mort parce que pas encore mort et alors je serais un homme ordinaire, comme toi!
  7. Verax

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Bon samedi Gorf! C'est la journée pour ne pas se retrouver à la remorque de rien ni personne. :)
  8. Verax

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    Je me répète, mais c'est que je l'aime cette chanson! :blush: C'est festif, entraînant.
  9. Ce 1000 feuilles n'est pourtant aucun des concepts qui le constitue, il est lui-même un concept bien différent, seul lui peut dire qu'il est différent de toutes ses feuilles, qu'aucunes de ses feuilles n'est lui en réalité, qu'il est au-delà de ses propres considérations. Il est logique de penser être un amalgame, une multitude, mais il est tout aussi logique de penser n'être rien de ce qui fait partie de cet amalgame ou de cette multitude, être l'amalgame ne convient qu'à l'ensemble, à l'idée de contenant, sinon on parlera d'être amalgamé, ce qui conviendrait à l'idée de contenu. Pour cela, il aurait fallu que tu sois moi! Car cette vie totalement différente, je te confierai que c'est moi qui la vit. :) Je me demande bien ce que suppose une amélioration de qui je suis. Savoir qui je suis ferait-il de moi un être amélioré? Et si je suis Dieu, le savoir serait-il le summum de l'amélioration en ce qui me concernerait? Ne me resterait-il alors qu'à l'être tout simplement? Peut-être que je suis Dieu et que je ne veux pas le savoir finalement!
  10. Ne serais-je pas moi-même, tout comme toi, une réalité de ce genre! Une réalité vivante. Ce qui me distinguerait de Dieu ne serait que le fait de distribuer une vie périssable, une vie qui meure, plutôt qu'une vie impérissable, qui ne meure pas? Mais ce qui m'interroge le plus serait le fait que Dieu, en tant qu'une réalité, et moi en tant qu'une autre réalité, serions soumis tous les deux à une réalité encore plus grande, la réalité. Au-delà de Dieu, il y aurait alors quelque chose. Encore faut-il comprendre une réalité comme n'étant qu'un tout petit élément de la réalité. Comprendre que la réalité n'est pas une réalité comme les autres. Je ne suis pas certain que tu ne serais pas tomber dans ce piège que tu voudrais éviter! Cette réalité et cette vie, ne sont-elles pas des abstractions ou des universaux. Je veux dire par là, as-tu déjà été confronté avec une réalité plutôt qu'avec du réel, avec une vie plutôt qu'avec du vivant? Si ce Dieu a un corps, je me demande bien si pour ma part j'en ai un ou si j'en suis un . J'ai toujours eu à l'idée que j'en avais un, que le corps n'était qu'une possession et qu'il était possédé par ce que je suis. C'est un peu dans l'esprit de ce que je suis, pas de ce que j'ai. En tant que corps, j'abrite un esprit, j'ai de l'esprit. En tant qu'esprit, j'habite un corps, j'ai une enveloppe. Comme pour une lettre à la poste, peu importe ou va la lettre ou l'apparence qu'elle prend, l'essentiel c'est le mot qu'elle contient. On est jamais aussi distant et lointain que lorsqu'on se réfugie dans nos têtes, si près et pourtant si bien bien caché. Peut-être vaut-il mieux chercher à l'intérieur ce qu'on ne réussi pas à trouver à l'extérieur. C'est en soi que l'on trouve les plus grands trésors, un trésor d'idées.
  11. Étrange! Si je suis mortel, donc périssable, c'est que c'est moi qui meure, qui périt. En disant que c'est ma vie qui est périssable, tu implique que c'est ma vie qui meure, que ma vie perd la vie. Je ne perdrais donc pas ''ma'' vie, ce serait elle qui perdrait la sienne selon tes termes. Mais encore, pourquoi serais-je un homme ordinaire comme tant d'autres et non pas comme tous les autres, pourquoi ce choix de mots? Y-aurait-il des hommes qui ne seraient pas ordinaires, comme toi et moi, et qui ne seraient pas mortels?
  12. « C'est une réalité vivante qui se voit, qui se sent, qui se palpe, qui se goûte et qui donne la vie impérissable.» Dieu ne serait donc qu'une réalité parmi tant d'autre, qui a la vie, qui est perceptible et qui distribue la vie qui ne meure pas. Je me demande, pour ma part de vie, si selon toi je suis la vie périssable ou si je l'ai? Si c'est moi qui meure ou la vie que j'ai qui perdra ce q?
  13. Pourquoi ne pas monter d'un cran? Si X2 - X1 - X0 = 0 représente la divine proportion alors que dire de X3 - X2 - X1 - X0 = 0? Une image du paradis? :p
  14. Il rôde dans l'inconscient collectif . Moins je suis conscient, plus Il l'est. C'est correct, pour être consentant, il faut déjà être conscient. Terrain vague de l'entente, propice à la manifestation. Lorsque j'ouvre les yeux, je deviens cet intermédiaire, ce tout petit point de vue qu'a Dieu sur l'immensité de son inconscience, tout petit mais unique et différent. Au bout de 7 milliards comme moi, Dieu a conscience de qui Il est. On est peut-être trop? C'est plus dilué que dans l'antiquité.
  15. Parlerais-tu de l'existence de la probabilité de l'existence? Cette existence est-elle probable ou nécessaire pour la compréhension de la chose selon toi? Personnellement, je pense que l'existence n'existe pas, je le pense car je pense qu'un être ne peut s'avoir, que l'existence ne s'a pas, soit ça l'est, soit ça l'a. Selon toi, un être peut-il s'avoir?
  16. Si je m'attarde uniquement à partie définition, je peux déjà tirer certaines conclusions! Selon D2 : - Dieu n'est pas un être comme les autres (L'Être). - L'univers, en tant qu'ensemble des êtres, n'est pas un être comme les autres, sinon il ferait partie de lui-même. Conclusion de base, l'univers et Dieu ne sont pas des êtres comme les autres. Rien n'interdit à ce point de dire que la définition de Dieu est la même que celle de l'univers. Donc selon ces 2 définitions, Dieu serait l'univers. Maintenant, selon les prémisses : - Dieu ne change jamais. - Tout ce qui est dans l'univers change, mais l'univers, lui, ne change pas puisqu'il demeure l'ensemble des êtres par définition (êtres changeant ou non). Je peux aussi conclure ici que Dieu et l'univers ont la même propriété. Rien ne les distingue. Même chose au niveau des conclusions : - Dieu est hors de l'univers, tout comme l'univers est hors de l'univers puisqu'il en représente la somme. Un peu comme la quantité d'entiers dans l'ensemble des entiers, cette quantité n'est pas un entier. J'en viens à dire que les définitions D1 et D2 sont mal posées. Ça me fait même dire que si on comprend un être comme étant ce qui existe d'une façcon ou d'une autre, que si l'univers est l'ensemble de ce qui existe, alors l'univers lui-même n'existe pas, à moins d'être spécial, faisant partie de lui-même et étant ainsi autant dehors que dedans. L'être, n'est-ce pas ce qui inclut tous les êtres, la propriétés que partage tous les êtres, en ce sens que tout ce qu'on désigne comme étant un être fait partie de l'ensemble de l'être?
  17. Tant qu'à faire, on peut commencer par le commencement et se demander si l'existence elle-même existe! On peut même se la jouer binaire, soit l'existence existe soit elle n'existe pas. Mais on utilisera pour se faire un filtre défini qui sera celui de l'existence elle-même. :gurp: Imaginons que j'aies une idée, ce suffit-il à dire qu'elle existe, elle n'est pas matérielle, mais pourtant elle influence ma réalité, elle en fait partie intégrante au même titre que la douleur lorsque je me cogne un doigt avec un marteau. Les universaux, les concepts, les idées, ont-ils le même droit de cité au pays de l'existence? Nous ne pouvons que définir les choses que nous constatons, les différencier selon des critères ou les regrouper, mais déjà le fait de leur donner une réalité que je partage avec elles et une identité propre suffit pour moi pour dire qu'elle sont présentes à mon esprit. Et comme je pose à la base l'hypothèse que j'existe, alors tout ce que peux constater en réalité aura cette même vérité que celle que je m'accorde, soit de partager l'existence avec moi. Logiquement, si je pose que je n'existe pas alors tout ce que je pourrai constater d'une façcon ou d'une autre, tout ce qui m'influencera consciemment ou inconsciemment n'existera pas. Je constate qu'il y a quelque chose, même si je ne sais pas exactement ce que c'est, je peux alors aller jusqu'à dire que l'ignorance vient de commencer à exister pour moi, car elle partage ma réalité. Alors commençons par le commencement, l'existence existe-elle en réalité?
  18. Tu sembles dire que le néant serait simplement l'absence de matière . Moi, je me dis qu'alors il reste encore l'énergie, l'espace, le temps et même une relation entre ces composants, un potentiel de base, ce qui n'est déjà pas une absence totale. Pour moi, ta formulation implique déjà plusieurs petits ''quelque chose''. Tu prendrais tout un monde (+1) et tu le joindrais (+) à tout un ''autre'' monde (-1), et tu nommerais leur union, ce troisième monde, ''néant''. Mais je peux aussi comprendre ta formulation comme étant plutôt (+1) - (+1) = 0 et dire que le néant serait le retranchement du tout au tout, l'absence totale. Assimiler ''néant'' à ''neutralité'' serait un poil trop facile selon moi, je dirais que 2 mondes nous séparent. Dis-moi, l'énergie existe-t-elle selon ton entendement? L'espace? Le temps? Une loi de conjugaison? Le fait que quelque chose soit immobile suffit-il à la réduire à néant? Appellerais-tu alors cette chose ''immobilité''? Pour te résumer ma pensée, l'idée de néant que tu me présentes me fait plutôt penser au tout, l'addition de tout ce qui aurait une réalité, je me demande même pourquoi tu te limiterais à seulement 2 mondes opposés, pourquoi pas 3 comme pour les couleurs et dont la conjugaison donnerait alors du blanc, ou même plus? Ainsi tu conçevrais le néant comme une somme, comme un ensemble résultant? N'est-ce pas à l'opposé même de ce que représente le néant?
  19. Tu me parles de néant, mais tu évoques aussitôt l'existence du ''temps d'une impulsion''! Temps et impulsion existerait déjà dans ce cas. Tu évoques aussi l'émergence d'un mouvement à partir de l'immobilité, c'est donc dire que quelque chose était immobile au départ, et que ce quelque chose avait aussi une probabilité de mouvement existante! Quel est donc ce quelque chose qui existerait (donc pas de néant) et qui serait immobile? À ce point je pense comprendre que tu poses la ''non existence'' comme quelque chose qui existe et se transforme, or si la ''non existence'' existe, on ne peut pas parler de néant. En fait, je pense que tu oublies d'accoler une qualité à la ''non existence'' pour qu'elle représente vraiment le néant, soit qu'elle doit être totale ou absolue. J'ai certainement mal compris ce que tu voulais expliquer, quelque chose m'échappe?
  20. Là je me demande si l'être est un être? Si on peut dire de l'existence qu'elle existe vraiment? Ça me fait dire que tu poses Dieu comme étant quelque chose ou quelqu'un, que tu le définis, ai-je bien compris? Un intervenant est passé pour dire qu'il ne croit pas en Dieu, qu'il ne comprend pas que des enfants meurent de faim, et je me demande bien si il a bien compris qui laisserait ces enfants subir un pareil sort! Dieu ou les hommes? De même, si il ne croit pas en ce Dieu auquel il dit ne pas croire, cela le limite-t-il à croire que Dieu ne serait pas différent de celui qu'il évoque? Qu'il n'aurait pas vraiment idée de ce que serait Dieu, nous disant qu'il ne croit pas en l'idée que d'autres en auraient sans même avoir la sienne en propre qui lui permettrait d'affirmer si catégoriquement qu'il ne croit pas en Dieu plutôt qu'en ce Dieu ci ou ce Dieu là? Un autre intervenant est passé pour l'assimiler au rien, mais lorsqu'il évoque ce rien, ne le conçoit-il pas comme occupant de l'espace? Qu'en est-il de cet espace? Ne serait-ce pas déjà quelque chose? Certains ont parlé du fait que rien n'empêcherait quelque chose de surgir de rien, mais si rien n'existe, alors on ne peut pas dire que des probabilités existent, ou même que le temps existe! Or si un changement survient, il doit bien survenir dans le temps, non? Ce serait donc que le temps existe dans ce cas, que ce ne serait déjà pas rien. Tu parles aussi du fait que Dieu serait présent partout dans l'univers, pourquoi ne serait-ce pas plutôt le contraire? Pourquoi ne serait-ce pas plutôt l'univers qui serait contenu en totalité en Dieu? Tu te diras certainement que je n'apporte aucune réponse! Que je ne fais que poser des questions sans vraiment répondre! Mais peut-être que pour moi, tout commence par une question, que cette question serait ma réponse et mon hypothèse première, que si Dieu est la question alors c'est aussi ma réponse. Des questions?
  21. Verax

    La citation du jour

    Si le cerveau était assez simple pour être compris, nous serions alors sans doute trop simple d'esprit pour le comprendre! :gurp:
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