Anna Kronisme

Peut-être suffirait-il d'éclairer sa lanterne... "Et la lumière fut !"

Aucune idée... Mon humour reste incompris mais, je persévère. C'est de l'espoir, je crois. ^^ Pour le coup, je ne vais pas te laisser seul (MOI) dans ton incompréhension car je n'ai pas réussi à établir le moindre lien logique entre tes propos et la réponse vidéo de Miétou. Bien sûr, mon esprit tordu m'a permis d'élaborer différents "rapports" de causes à effets que ma pudeur et mon savoir m'empêchent de révéler publiquement...

**Se sent seule avec son ironie... **

J'envisage de mener la même étude et de noter les différences qui pourrait jaillir du fait que je dispose d'un profil féminin et validé. Tu t'opposerais à ce que je te demande en ami ?

Je pense que ce mystérieux individu fait une étude comportementale afin de répertorier les différentes réactions suite à une demande d'amitié virtuelle sans échanges préalables. D'après les observations faites, la majorité des personnes testées veulent comprendre POURQUOI un inconnu souhaite devenir leur ami. Nous pouvons donc en conclure que l'étranger est un déclencheur de paranoïa jusqu'ici demeurée latente. Ce qui a toujours été un fait établi. Conclusion : l'Homme n'évolue pas dans ce domaine. Très très intéressant...

Et toi, tu devrais prendre le temps de lire davantage, pep-psy... Les enfants abandonnés aux marches des églises ont certainement reçu de l'amour par la personne qui les a recueillis. Ils n'entrent pas dans le syndrôme de Spitz. Ce n'est pas l'abandon par la mère qui cause problème, c'est le manque d'amour et c'est bien de quoi nous discutons depuis quelques posts afin d'admettre que l'amour est vital pour un enfant. Ensuite, je ne comprends pas trop comment tu en viens à l'enfant maltraité... Est-ce que tu voudrais dire que c'est pire que de manquer d'amour ? Sérieusement, je ne parviens pas à suivre ton raisonnement. Question : est-ce que les micro-ondes peuvent tuer la plante ? Un con, fut-il excentrique, reste une particularité féminine... Dirais-tu donc, que tu es dedans ? Gaudriole peu glorieuse mais d'un air consentant. Je -->

Tant mieux si cette longue discussion t'a un peu aidé (même si quelques hors sujets inévitables mais qui parlent tout de même de relations amoureuse et de l'Amour donc, tu n'auras pas perdu ton temps à les lire). Après, pour ton souci de conversation... L'expérience me fait répondre que lorsqu'il est difficile de simplement discuter avec une personne, c'est soit que l'on n'a plus rien à se dire et donc rien à partager avec elle... Soit que les mots ne suffisent plus et qu'il est temps de passer au langage corporel... Mais, quelqu'un de bavard parlera en toute circonstance... :blush:

Quelle pédagogue ! ^^ C'est toi, le père qui répond à son gamin ? - Papa, comment on fait les bébés ? - Tu vois cette bouteille de lait ?" Si quelqu'un peut donc répondre à la place de Au-temps-pour-moi au sujet de l'attachement et de "ceux qui et aiment et ceux qui se laissent aimer". Merci d'avance.

Euh... Si, un enfant sans amour meurt. Du moins, s'il est privé de liens affectifs durant les premiers mois de sa vie. Spitz et l'hospitalisme : Dans le cas d'une carence totale en affects, si la séparation a été plus précoce et si la restitution à la mère n'intervient pas, les stades du syndrome partiel évoluent en un retard moteur grave, en un état de « marasme » qui évoque le tableau clinique de l'encéphalopathie ou de l'arriération, état qui peut être irréversible et même conduire à la mort. Pour le reste de ton intervention, je préfère ne même pas démarrer le moindre débat. PS : L'hospitalisme

Ill y a s'accrocher et s'accrocher... S'accrocher en cas de difficultés comme par exemple la distance géographique, des caractères opposés ou encore la maladie, etc... C'est presque noble mais lorsque l'amour est réciproque, ça en vaut le coup. S'accrocher alors que l'autre ne veut plus de toi, là, ça devient masochiste. D'où cette phrase que tu considères triste mais qui dit tout de même que l'autre peut s'être trompé et revenir mais, ne cherche surtout pas à le retenir car ce n'est peut-être pas le cas. C'est bien ce que j'écrivais plus avant. S'ils estiment avoir BESOIN de sexe, c'est qu'ils ne savent pas gérer ce que le MANQUE de sexe génère comme sentiments/émotions. Voilà pourquoi ils auront recours aux médicaments si le lien affectif et le rapport sexuel ne se présentent pas dans leur existence. Psychorigide, j'te dis... Là, je vais te demander de reformuler/préciser ce que signifie l'attachement et ce que tu cherches à dire en évoquant "les personnes qui aiment et celles qui se laissent aimer" car je ne comprends pas.

Je n'ai envie de tuer personne, rassure-toi, puisque cela t'inquiète. Je mettais en exergue la liberté de choix que tu utilises pour défendre ton idée sur ces mariages inter-générationnels qui ne peuvent en aucun cas être tolérés dans certains pays dont la Suisse fait partie. Et tu constates bien que l'enfant, dans ses pays là, est sous la responsabilité d'un adulte majeur faisant office de figure parentale. Sa liberté de choix, il l'aura à sa majorité... Pas avant. Et tout en respectant la loi du pays dans lequel il vit. Ton discours est indéfendable.

"La liberté engage la responsabilité"... C'est magnifique ! Veux-tu me rappeler à partir de quel âge un enfant est responsable de ses actes ? Tu es libre de ne pas me répondre... Bien entendu.

Regardpensant, j'aimerais bien choisir de tuer qui je veux quand je veux sans être jugée mais, aucun pays ne l'autorise... Je ne me sens pas libre...

Peu importe ce qui est antérieur à la migration... Il doit y avoir correspondance avec les lois du pays qui accueille. Un permis de conduire ou même un diplôme de chirurgien obtenu en Turquie, par exemple, ne sera pas valide en France. Si la loi d'un pays contient la protection des mineurs, elle doit s'exercer sur ceux qui y vivent... Non ?

L'adulte sain a besoin de respirer, boire, manger, uriner, déféquer, dormir et selon l'endroit où il vit, d'un abri et des vêtements pour palier aux conditions climatiques. Sans ça, il meurt. L'adulte sain peut vivre de nombreuses années sans le moindre contact avec la peau d'un autre et même sans rapport sexuel tout en restant en parfaite santé physique et mentale, il n'en mourra pas. Je suis psychorigide sur l'emploi de certains mots et en l'occurrence, le mot besoin car il est confondu avec l'envie et le désir par beaucoup beaucoup beaucoup trop de gens ! "J'ai envie de faire pipi" <-- ceci est un besoin et non une envie. "J'ai besoin de faire l'amour" <-- ceci est une envie et non un besoin. "J'ai besoin de quelqu'un qui partage ma vie" <-- ceci est un désir et non un besoin. Je comprends plus ou moins ce que tu souhaites exprimer, Au-temps-pour-moi mais, je n'y adhère pas du tout... Pour moi, et tu pourras relire plus haut, c'est de l'immaturité... Et quel bel exemple avec ton "peau à peau" si nécessaire au nourrisson...

Il y a une phrase qui dit à peu près ça : Si une chose à laquelle tu tiens par dessus tout t'échappe, laisse la partir. Si elle revient, elle sera à toi pour toujours mais si elle ne revient pas, c'est que dès le début, elle n'était pas pour toi. (Le mot "chose" peut remplacer d'autres termes) S'accrocher à une histoire terminée empêche la suivante de commencer. La distance peut simplement se trouver dans l'importance que tu accordes à cette femme et aux sentiments qu'elle a suscité en toi, sans modifier ton comportement. Et si tu ne parviens pas à développer une forme d'indifférence envers elle, ou du moins un intérêt autre qu'amoureux alors, l'éloignement conviendra peut-être. Mais, je le réécris, il n'y a que toi qui sais...

Si tu t'inquiètes de ce que pense ou penserait l'autre c'est que l'autre ne s'exprime pas suffisamment ou du moins que ce que l'autre exprime ne te suffit pas... Gare à la parano ! Au moins, tu sais que tu aimerais certainement une relation dans laquelle la communication serait primordiale. Là, il n'y a que toi qui sais de quelle façon il convient de poser une distance entre elle et toi...

En effet, nous ne nous sommes pas compris, Au-temps-pour-moi. Le "besoin" est effectivement à ranger dans l'immaturité et j'insiste bien sur ce point. Avoir besoin implique un manque lorsque ce besoin n'est pas satisfait et ce manque engendre de la souffrance et parfois même de la douleur. L'enfant pleure loin de sa mère car il n'est pas suffisamment autonome pour gérer divers sentiments générés par l'entourage ou certaines situations extérieures. Il aura besoin d'elle pour le sécuriser et lui permettre d'apréhender voire même d'affronter ses difficultés. Sa croissance terminée, s'il a suffisamment été satisfait dans ses besoins affectifs, il saura gérer "seul" ses sentiments, ses angoisses, ses vides, ses incertitudes, sa solitude, etc. Cette autonomie n'empêche cependant pas d'avoir recours au point de vue des autres concernant une difficulté ponctuelle ou récurante. L'amour d'adulte à adulte devrait donc être basé, non pas sur un besoin, mais sur un partage, un échange qui tient davantage à l'harmonie de deux entiers complémentaires qu'à deux moitiés qui ne font qu'un. Donc, ceux qui n'ont pas besoin d'amour (de la façon dont tu l'exprimes) ne sont pas obligatoirement égocentriques ou sans égo ou encore dans la compassion universelle, ils sont simplement orientés vers un désir, leur désir de partage, d'échange et d'harmonie de leur unicité. C'est quoi comme genre de légume que tu as offrir ? Carotte, concombre, navet ? :blush:

Tu as raison, Éventuellement, quelqu'un qui se prend la tête est dans l'excès et parvient rarement à passer à l'étape suivante mais, j'évoquais les personnes qui estiment que lui se prend la tête... Ou autrement dit, une accusation ayant comme véritable sens "Tu me prends la tête !". Je disais donc à Baltazard de ne jamais donner raison à ces personnes puisque ce sont elles qui ne veulent pas élaborer afin de construire. Et dans son cas bien précis, son ex-copine ne veut tout simplement pas l'aider à construire de quoi faire son deuil de leur relation. Une sorte de "Débrouille-toi tout seul, je suis passée à autre chose." J'espère que c'est plus précis.

Bien sûr que c'est une erreur mais, la majorité des personnes peuplant notre planète fonctionne ainsi. Combien de fois ai-je entendu "Tu me manques", "J'ai besoin de toi", "Pourquoi tu m'aimes ?", "Sans toi, je ne suis rien", etc. Le niveau le plus bas d'amour ou disons le plus immature... Celui d'un enfant à son parent. Je passe sur la suite de ton commentaire... La p'tite graine, tout ça, tout ça... :blush: Ah ! Ne donne jamais raison à quelqu'un qui estime que tu te prends la tête, que tu réfléchis TROP ! La réflexion est nécessaire et indispensable à ce schéma : élaboration -> construction -> réalisation. Les personnes qui n'élaborent pas (ne réfléchissent pas) et passent directement à l'action (construction) n'aboutissent jamais à la moindre réalisation. Ils tournent en rond, en mode "échec permanent" et ont cette tendance dégueulasse à rejeter la faute sur les autres. Prends tes distances...

Baltazard, les échecs sont nécessaires à l'apprentissage, ils en sont même la base. L'enfant apprend à maîtriser son équilibre après chaque chute pour savoir marcher... Alors ne les laisse pas te ruiner mentalement et sentimentalement, t'es échecs ; fais-en une force... Envisage-les comme l'expérience qui t'est favorable pour devenir plus stable. Et tu as raison, tu n'es pas le seul à te remettre en question après une rupture amoureuse mais ce qui m'attriste en te lisant, c'est que tu ne l'orientes pas positivement, dans le sens où tu n'en retires rien de positif puisque tu as cette sensation de ruine. Ce que je cherche à te faire comprendre depuis plusieurs posts, c'est que tu ne parviendras à rien en orientant tes questions vers les femmes... "Ce qu'elles attendent, ce qu'elles aiment ou pas". Remets-toi en question TOI, pas elles. Tu veux devenir meilleur pour qui ? Elles ou toi ? Devenir meilleur implique quoi au juste ? Ton bonheur ou celui d'une femme ? C'est bien de toi qu'il s'agit... Pourquoi t'ont-elles rejeté ? Certainement parce qu'elles se sont trompées tout comme toi tu t'es trompé en les choisissant. Elles souffrent probablement de cette erreur même si elles n'en montrent rien et elles sont possiblement en train de se remettre en question également. Pourquoi suis-je allé(é) vers cette personne ? Qu'ai-je appris sur moi dans toute cette histoire ? Est-ce que je sais un peu mieux qui je suis, ce que je désire et ce que je peux offrir, ce que je peux tolérer ? Ai-je grandi ?

Ok... Je vais te donner quelques similitudes qui concernent les gens. Pas les femmes ou les hommes mais les gens ou plutôt, "les autres". Ils attendent tous d'être aimés pour ce qu'ils sont alors qu'ils n'ont aucune idée de qui ils sont. Ils pensent avoir "besoin" de quelqu'un, une motié, une âme sœur, un(e) partenaire, un être d'exception qui pardonne l'imperfection à la mesure de leur amour, qui donne sans attendre en retour, qui est présent à chaque instant. Les gens, ces autres, sont comme toi, ils se questionnent, ils se trompent, ils sont heurtés puis ils aiment aveuglément en souhaitant de tout leur coeur que cela ne s'arrête jamais. Il n'y a qu'une seule forme d'amour qui peut être satisfaisant et qui devient comme un impératif, c'est l'amour propre. Connais toi, accepte toi, aime toi et alors tu iras vers des gens, des autres, et tu attireras des gens, des autres qui te correspondent. Tu n'auras plus cette nécessité d'une moitié puisque tu te vivras entier... Tu auras simplement à coeur de partager et non plus de combler un manque à être. N'attends pas la bonne personne pour être heureux... Deviens la bonne personne.

Serais-je aussi bonne que l'année que tu me souhaites, Tar Baby ? Tu sais quoi, je te souhaite une harmonie sans faille (ou presque pas) entre tes désirs et leur accomplissement.

Ne pas brûler les étapes, avancer à pas mesurés, oui. Tout ne se partage pas d'emblée et avec frénésie dès le début d'une relation et d'autant que les sentiments amoureux se manifestent toujours différemment d'une personne à l'autre. Et je ne parle pas d'une manifestation entre deux personnes (moi et un autre) mais de celle qui me relie avec un autre et plus tard un autre, et ainsi de suite. Le sentiment amoureux n'est jamais identique dans chaque relation que nous vivons. C'est pour cette raison que je trouve hasardeux de faire un portrait de ce qu'attendent les femmes ou les hommes...

C'est de la stratégie, non ? Il y a le risque de verser dans la manipulation en agissant ainsi... C'est si vite arriver, malgré soi, le plus souvent... Je comprends qu'établir un portrait général de ce qu'attendent les femmes puisse être rassurant car ce portrait formerait alors un cadre dans lequel évoluer. Mais, ne serait-il pas plus humain d'accueillir une personne en oubliant tout ce que l'on croit savoir d'elle - parce qu'elle est une femme avec des attentes générales, par exemple - et d'être simplement attentif à ce qu'il se passe en soi à son contact ?