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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Vous faites un effort terrible pour ne pas vouloir comprendre ! Laissez-vous plutôt aller !!! C'est comme à l'école. On voit pas mal de jeunes qui finissent leur scolarité sans savoir ni lire ni écrire. Et pourtant il sont restés dans des classes et avaient un instit ou un prof devant eux qui leur parlait pendant au moins 10 ans. ça veut dire que s'ils s'étaient simplement laissés aller, par simple osmose passive , ils auraient appris qq chose. Et ben non : ils n'ont rien appris ! ça ne peut s'expliquer que par un effort terrible et constant qui a duré plus de 10 ans ! Pendant 10 ans ils sont restés tendus et concentrés en se bouchant les oreilles et les yeux à se dire : NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! NON ! JE VEUX RIEN APPRENDRE ! JE VEUX RESTER CON ! C'est un véritable exploit la stupidité, quand on a quelques milliards de neurones qui tournent à vide et qui ne demandent qu'à attraper la moindre chose qui passe...
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Bien plus récent (2009): "Triangle, carré, cercle":
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J'avais commencé en partant des premiers problèmes sur un hypothétique premier animalcule vivant mais ça n'a intéressé personne ! Je me suis arrêté aux premières hypothétiques pulsions... inclure et exclure... qui auraient pu être les prémices des notions de "bien" et de "mal" via plaisir et souffrance. En restant dans du purement mécanique. Quelqu'un parlait de consciencisation. Oui ! Mais une consciencisation que l'on peut constater comme un certain cheminement de la complexification -sans qu'elle soit une finalité-. "L'invention de la plume (d'oiseau) est aussi une complexification remarquable presque autant que l'avènement de l'esprit" (j'avais lu ça qq part, et je le trouve pas si faux) Mais je suis de ton avis : tout est à défricher ! Mais je tiens bon : tant que possible, le "sens" (signification) est au bout du chemin, pas au début. PS : Dis ce dont le principe de l'évolution ne peut rendre compte qu'on y réfléchisse ...
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Pourquoi une vie après la mort ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de niark man dans Religion et Culte
Pas de pb : je me porte garant tu peux y aller !.. . NON JE RIGOLE ! (Euh... J'en sais foutrement rien !!!) -
Bravo à défaut de l'oeil c'est un poète qui émerge de la non finalité... 100% avec toi ! Théia : et un dieu du hasard, ça serait bon ? (Sans rire ) Mais qu'est-ce que vous avez contre le hasard : c'est pas un gros mot ! remplacez le par "accident" si vous voulez. La démonstration est pourtant simple : On sait que les mutations (par exemple sur l'hélice de l'ADN -et je ne suis pas spécialiste : j'ai juste une vague idée) se font par accident. Le mécanisme est compréhensible : un morceau est oublié ou un autre vient se coller à une autre place. C'est pas magique. Du coup les gènes sont un peu modifiés. ---Si dans un premier temps cette modification n'empêche pas la reproduction, elle est transmise à la descendance. (Mais si elle la contrarie, elle est éliminée d'office.) ---Si dans un second temps cette modification est "positive" c'est-à-dire qu'elle facilitera ou améliorera la survie de son porteur, elle favorisera forcément sa descendance qui se multipliera plus facilement et aura donc tendance à se généraliser dans l'espèce. (Mais si au contraire elle est un handicap, sa descendance sera handicapée et donc la mutation en question aura tendance à disparaître.) C'est le cou de la girafe ! avec son cou allongé elle a pu brouter les hautes feuilles des acacias, mais s'il n'y avait pas eu d'acacias, la " première girafe" au long cou aurait été handicapée pour se nourrir et aurait probablement disparu sans pouvoir se reproduire... Il faut penser que tout cela se joue sur des milliards d'années et des milliards de générations. Ce genre d'explications sans être enthousiasmante me semble suffisante. Mais ça revient à dire que la "nature" a un très net côté bricolage ! Et ça c'est bien plus enthousiasmant !!! Qu'en "bricolant" ça puisse passer (avec un peu de temps) d'un virus ou d'une amibe à un Einstein qui peut comprendre et utiliser les grandes lois de l'Univers, je trouve ça fabuleux : tous les espoirs sont permis !!! (Et on a de merci à dire à personne !!!!) Einstein, Thalès, ou Miquel Ange, ou Bach , ou Verlaine ou Villon : chuis pas restrictif...
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Léopardi dit : "La finalité... Ils vous convaincront que la finalité n'est en rien légitime... Ces pauvres d'esprit !" Quelle inversion des rôles ! Les pauvres d'esprit c'est vraiment les partisans de la finalité ! Puisqu'il leur suffit aux questions que pose l'évolution de dire : "Finalité"! regardez au contraire les contorsions que nous devons infliger à notre entendement pour tenter de comprendre la complexité de cette même évolution sans cette satanée finalité ! Quant à la légitimité de la finalité elle n'est point mise en doute puisque NOUS essayons tous de nous en inventer une... Rendons à l'homme (mais pas à la nature) ce qui revient à l'homme ! (Et à Dieu : rien du tout !)
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Théia dit : moi -Blaquière-...)Moi, si j'avais eu à créer la vie, j'aurais fait que la simple respiration (ou un peu d'eau) suffisent à nous nourrir, par exemple.. toi : Tu n’arrives pas à te détacher de la notion de "création", alors qu’à aucun moment j’oppose évolution à création. Je ne parle à aucun moment de création, ni de créateur, ni de conscience supérieure, ni d’intelligence ou d’intention. Tu veux bien me relire s’il te plait ? Hé ? quand je parle de création ("moi, si j'avais eu à créer...") je blague !!! Mince, on n'est pas obligé d'être tjrs sérieux. à partir du moment où on sait ce que l'autre a dans la tête, il faut comprendre qu'il peut s'amuser gentiment : là je sous entends pour ceux qui sont croyants que si j'étais à la place de Dieu j'aurais mieux fait que lui. Ce qui ne peut que leur paraître scandaleux : Evidemment que c'est une vanne... Tu dis (Théia): "vous me donnez l’impression de ne pas pouvoir concevoir une finalité naturelle sans un dieu créateur." Absolument ! c'est bien pour ça que je t'ai demandé de nous l'expliquer : J'attends ! Ma position (momentanée?) est qu'il ne peut y en avoir car c'est contradictoire. une finalité nécessite une volonté (consciente) une intention dont la nature est à mon sens dépourvue. Il ne suffit pas de dire 'il y a une finalité naturelle sans Dieu" : si toi tu peux la concevoir, il faut nous la décrire, et nous expliquer d'où elle vient et comment elle opère. à partir du moment où les choses sont mystérieuses et... vaguement magiques, je pense qu'il faut essayer de s'en passer. On ne peut pas dire "la vie ne veut rien (pas d'intention); mais elle veut quand même (=intention) survivre" par exemple. Bien que ce soit difficile à concevoir dans le détail et parce que l'ensemble est d'un complexité étonnante, le seul hasard, la sélection naturelle et un temps très long (on parle qd même de milliards d'années) peuvent rendre compte de l'évolution.( Et des échecs par milliers, millions qu'il ne faut pas oublier). Pas la peine donc d'y mettre de la poudre de perlimpinpin. . Ton raisonnement est bancal : tu dis que la position philosophique (qui veut que seule la présence de Dieu permet de parler de finalité) donne du crédit à la présence d'un dieu créateur : mais non ! Seulement dans la mesure où la finalité est avérée. Ce qui à mon sens n'est pas le cas. En fait ce que je veux dire, c'est que si tu ne peux pas te débarrasser de la finalité, IL FAUT ABSOLUMENT QUE TU CROIES EN DIEU ! Si tu veux garder une pensée cohérente. En fait ton erreur c'est de ne pas croire en Dieu ! Ou finalité + Dieu ou pas de finalité et pas de dieu. A moins que tu nous démontres que la nature (sans Dieu) connaît la vision et comment la fabriquer avant que l'oeil n'existe. Qu'elle peut vouloir sans volonté... Enfin, tu vois ce genre de flottement. Si tu y arrives, je me fais moine ou curé. Amen ! (là je ris aussi !....)
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"la vie est l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort" ? Oui ! Les fonctions qui n'y résistent pas sont... mortes ! Justement ! L’observation de la culture va dans le même sens : Oui ! Bien sûr, mais c'est une forme de conscience, de prise de conscience du monde, des autres hommes, et de soi qui préside à l'élaboration des cultures. Là la finalité fait partie du jeu. L’observation de la nature va dans ce sens : Absolument pas ! D'ailleurs, la vie n'est pas du tout un mystère. La vie c'est la reproduction. Un mécanisme de duplication qui s'est complexifié avec le temps. Chaque fois qu'un organisme rate sa reproduction, il est éliminé de la course. Chaque mutation qui par hasard lui fait acquérir une qualité qui améliore ses chances de survie, par hasard, dans la mesure ou elle est transmise à ses descendants, elle est conservée. Si au contraire c'est un handicap : éliminé ! Il n'y a pas de force vitale magique ! (La meilleure preuve c'est que tout le monde meurt ! Et la plupart des espèces aussi ... avec le temps.) On a eu le pot (si on peut dire) qu'il y a très longtemps, un mécanisme de duplication se soit produit sur une structure chimique organique, et ait pu se transmettre (le mécanisme) à la structure dupliquée... et avec 4 milliards d'années, nous voilà ! Sur Mars et sur la Lune : Zéro ! Que dalle ! (Pas d'air ? Trop froid ?) Sur Vénus, que dalle ! (Trop Chaud ?) Etc. Aucun martien, aucun vénusien : j'y pense souvent avec émotion à tous ceux qui n'ont jamais existé... Il faut pas trop s'extasier sur les "réussites" de la vie non plus. Les yeux, c'est une bonne "invention" : On y voit, c'est bien ! Mais souvent on y voit... mal ! Très souvent même ! Et l' ouie, c'est pareil ! Et puis on craint le froid, le chaud, les microbes, les virus, les chutes... On mange c'est bien, mais flûte, quel boulot ! Moi, si j'avais eu à créer la vie, j'aurais fait que la simple respiration (ou un peu d'eau) suffisent à nous nourrir, par exemple... ,
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Pourquoi une vie après la mort ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de niark man dans Religion et Culte
Il faudrait s'entendre ! La mort est la fin de la vie. Oui ou non ? Oui ! Il n'y a pas de vie après la mort puisque la mort est la fin de la vie. La mort est la mort du corps. Ou alors, c'est que la mort n'est pas la mort. Le problème qui se pose n'est donc pas s'il y a une vie ou la vie après la mort, mais autre chose. On l'a dit le corps est mort. Il va se déliter, se fondre... j'en passe et des pires ! Le problème est donc est-ce que l'esprit va persister après la mort. Voyons comment il pourrait le faire. Il faut tout d'abord distinguer l'esprit du corps. (Qui lui est mort.) Qu'est-ce donc que l'esprit seul ? Isolons le ! L'esprit; c'est ma pensée, ma conscience, mes souvenirs.... Ma vision ? Non ! Mon audition ? Non ! Mon toucher, mon goût, mon odorat ? Non ! Tout cela dépend de mon corps et si mon corps puisque mort ne fonctionne plus, je ne puis plus ni voir, ni entendre, ni sentir, ni toucher, ni goûter, ni me déplacer Puisque les "récepteurs" ne fonctionnent plus, ni mon corps. On est d'accord ? Resterait donc mon esprit, mon jugement, ma conscience et mes souvenirs. Ma volonté ? Peut être. Mais si ma volonté est de voir le monde extérieur, ou d'aller faire une balade, elle ne pourra pas être satisfaite... On peut donc assez facilement imaginer ce que sera (serait ) le mode d'existence de mon esprit (qui lui ne serait pas mort) : J'entre dans ma chambre (que j'aurai pris soin d'insonoriser, bien sûr) ; je fais le noir total (je ferme les volets sans persiennes ) ; je m'allonge sur mon lit ; je ferme les yeux ; et je ne bouge plus ! Plus du tout ! Essayez ! (Vous pouvez même faire l'essai si vous vous réveillez au milieu de la nuit.) Voilà le type d'existence qui vous attend pour les siècles des siècles... Maintenant, si vous pensez qu'il vous sera possible de voir sans yeux, d'entendre sans oreille, de sentir sans nez, et de vous balader sans pieds ni jambe... Comment dire : par l'opération du Saint Esprit ? ça vous... regarde ! -
Quasi-Modo dit : "C'est ça, le débat pris au pied de la lettre, oppose athées et croyants, ce que j'ai tenté d'éviter au maximum !" Et pourquoi ? pour ne pas chercher à répondre au problème posé ? Reposons autrement puisque Théia disait (je crois me souvenir) que bien que pas croyante elle pensait à une certaine finalité dans la nature : Si une finalité existait dans la nature sans qu'il y ait de dieu, qu'est-ce qui pourrait "formuler" cette finalité ? Je disait qu'une finalité, ne peut être qu'un effet d'une conscience (ou d'une volonté consciente). Si vous avez une autre conception, il faut l'exposer ! Je pense qu'il est plus difficile de raisonner sans le principe de finalité (ce qui ne veut pas dire que faire appel à la finalité soit une marque de bêtise ! Il me semble que faire appel à la finalité serait le résultat d'une... comment dire, d'une "fausse évidence") : Lorsque l'on voit la complexité de l'oeil par exemple : s'efforcer de penser qu'un organe "aussi efficace" ne se soit fabriqué (au cours de l'évolution) qu'à coup de mutations anarchiques, et de hasard est plutôt difficile, plutôt ardu ... En fait si l'évolution est le fruit du hasard et de sélection, cela nous enlève un peu de notre prétention de "petits chouchous de la création". Et l'on en vient à penser aux milliards de milliards de mutations et de tentatives infructueuses qui ont tout simplement été éliminées sans plus de procès. Je trouve ce texte de Lucrèce, poète et penseur épicurien du premier siècle avant J.C. : "Depuis une infinité de siècles, les éléments innombrables de la matière, heurtés dans tous les sens, entraînés par leur propre poids, se sont assemblés de toutes les manières, essayant toutes les combinaisons capables de créer des êtres, de sorte qu'il n'est pas surprenant qu'ils aient rencontré à la fin l'ordre et le mouvement qui enfantèrent le monde, et qui le renouvellent tous les jours." "Quand même la puissance créatrice des éléments ne me serait pas connue, je n'en serais pas moins décidé à affirmer, par un grand nombre d'autres raisons, que la nature n'est pas l'oeuvre des dieux, tant elle se montre défectueuse !" Je suis totalement admiratif de ce bonhomme ! (et des épicuriens en général) De la modernité (dans le bon sens, et compte tenu de notre savoir d'aujourd'hui) de leur pensée et de leurs conceptions. En fait je comprends ça comme une discipline de l'esprit de chercher à "définaliser" sa façon de comprendre le monde ! Notre esprit prenant plus aisément (comme par instinct) le mauvais chemin facile et raccourci que le bon difficile !
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influence de Picasso ? 100% oui ! Un seul oeil ? mince j'en ai oublié un ! Meuh non : l'autre il est dans l'ombre ! En fait j'en ai mis qu'un parce qu'il était déjà trop excessif dans le genre oeil de biche. En plus son bleu a envahi toute une surface... La "pipe" en fait c'est la joue et la courbe du bas du visage. "L'oreille" ce serait plutôt l'arrondi du haut du visage. ... Il s'agissait de reconstruire un visages en ne citant que quelques uns de ses éléments : Pour ne pas saturer l'ensemble de symétrie. Tout en gardant un minimum de sens...
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Etymologie... Je sais ! Comme la notion de vérité, l'étymologie a été rayée d'un trait de plume. Et pourtant... Le mot "Philosophie" est bien sûr décrypté comme "amour de la sagesse". Et l'on comprend cela très rapidement comme une règle de vie, une morale, une sorte de prudence... Mais "sophia" c'est aussi, (son premier sens !) : "savoir" ! (Et l'on retrouve la notion de vérité !) Les présocratiques et même l'ensemble des philosophes de l'antiquité avaient tous cet amour de savoir, de la compréhension du monde en ligne de mire. Je pense que c'est à partir de ce savoir (vérité) de soi et du monde qu'ils envisageaient l'établissement d'une sagesse. Le mot "Logos" (la parole) contient aussi le sens de "logique" et donc de rationalité. Ce qui ferait penser à une parole créatrice de vérité, (à rapprocher du sens biblique d'une parole divine directement créatrice du réel !) Le latin, lui semble avoir séparé ces deux notions: "Loquor" (issu ou proche du logos grec) = "parler" seulement ; et "ratio" : "raison". Le grec "Alêtheïa" donne en français : "vérité" mais comprend aussi le sens de "réalité" et de "naturel". En latin : "Veritas" comprend aussi le sens de réalité. Même si le latin va apporter une distinction à partir de "res" (chose) qui va nous donner "le réel". Aisthêsis : sens et sentiment, mais aussi 'intelligence" et "connaissance" comme notre sens (=signification) (la connaissance par les sens.) (Scénon qui est mille fois plus calé que moi en latin et grec peut me rectifier si je me suis trompé !) Il y a en tout comme un enchaînement : Philosophie > sagesse, savoir > parole, logique, raison > vérité > réel, nature. (Ce qui n'implique pas que les sens et le sentiment s'effectuent hors intelligence !)
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Et de trois !
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Explique ! ce sera marrant !
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Pourquoi une vie après la mort ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de niark man dans Religion et Culte
J'espère que vous avez fait la part des choses (des interventions) dans la citation : moi je suis absolument d'accord avec vous. Je trouve par ailleurs tellement pathétique de faire appel à la notion de liberté pour justement refuser la liberté. Il y a un mode d'existence proprement minéral. les différents éléments chimique. Ces éléments le fer, l'oxygène sont-ils vivants ? Non! Une certaine organisation de ces éléments constitue un autre mode d'existence de la matière : c'est le mode biologique. Une certaine organisation biologique (le système nerveux, et le cerveau) permet l'apparition d'un phénomène intellectuel. De même que si l'on détruit les éléments chimiques qui la compose, la vie s'arrête, de même si l'on détruit l'organisation biologique cérébrale, qui produit l'esprit, le phénomène de production de cet esprit cesse et l'esprit n'est plus produit. Ce qui est troublant c'est que du fait que notre esprit est une production de notre cerveau, et donc d'une partie de notre corps, nous en avons des preuves quotidiennes. Le coureur allemand, là en ce moment : son cerveau marche plus ... ben ... y'a plus personne.Son esprit n'existe plus. Et pourtant son corps n'est pas mort. juste il ne produit plus son esprit. (J'espère pour lui que ce n'est que momentané.) Toutes les nuits, nous dormons. Mis à part les quelques minutes où nous rêvons et ou notre cerveau a quelque activité, le reste du temps où le cerveau au repos complet ne fonctionne pas, il n'y a plus personne encore, là encore... C'est tellement simple. -
En voici une autre de peinture Merci de vos commentaires...
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Je trouve que vous enterrez la Vérité, un peu vite ! (Du point de vue philosophique et même en général.) Le fait de mettre autant en avant ce que vous appelez les "raisonnements" sensibles, affectifs, ou de sentiments, me fait penser qu'il pourrait bien s'agir en fin de compte d'une exploitation très rationnelle des comportements irrationnels chez autrui aux fins de manipulations... On peut réagir irrationnellement par instinct ou grâce (!) à un apprentissage poussé. On est "victime" d'illusion d'optique, ou d'images subliminales... ou on sera capable de lire (vite sans convoquer la raison à chaque lettre.) (Je veux dire que rester ainsi dans le réflexe n'est pas toujours négatif.) Et bien sûr qu'on peut décider de ne pas réagir rationnellement. On peut décider de se lâcher... (C'est à la mode!) On peut aussi fumer un joint ? ça existe, il paraît ! Dans les deux cas, qu'il s'agisse de pratiques rationnelles (trop rationnelles : pourquoi pas qui peuvent inhiber notre comportement) ou irrationnelles, sans juger a priori de leurs valeurs respectives, D'un pt de vue philosophique et aussi moral, je les pense légitimes si elle contribuent à un épanouissement personnel; mais pas légitimes si leur finalité est un asservissement de l'individu. Si elles visent surtout à une bonne fiabilité ou efficacité du comportement social. Ou alors nous nous retrouverons à privilégier deux types de comportements. Celui des moutons et celui des élites.
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Pourquoi une vie après la mort ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de niark man dans Religion et Culte
Thalès de Milet, (Vème siècle avant J.C.) le premier, prétendit que les âmes étaient immortelles. ... mais il attribuait des âmes même aux êtres inanimés, prenant comme exemple la pierre magnétique (l'aimant) et l'ambre. -
Pourquoi une vie après la mort ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de niark man dans Religion et Culte
Steph issy : Blaquière, le 01 février 2014 - 12:26, dit : L'incarnation, c'est prendre (faussement) le problème à l'envers. C'est dire que l'esprit existe en premier, et tout seul, et qu'il vient par la suite s'installer dans un corps physique. La réalité, c'est la "spiritualisation progressive" de la matière ! Il suffit de considérer un petit enfant durant ses toutes premières années pour.constater que son esprit et son intelligence se fabriquent petit à petit à partir de son corps. C'est le corps qui est premier. Non l'esprit. Il suffit d'observer. C'est d'ailleurs absolument magnifique à regarder, cette apparition, cette fabrication, cette composition progressives de l'esprit, cette montée en puissance de la conscience à partir de la seule biologie/physiologie, de la seule "matière" donné au départ . Vous avez ça, ce "miracle" sous les yeux tous les jours et vous ne le voyez pas ! Vous lui préférez un délire totalement irrationnel ! REGARDEZ ! C'est le réel qui mérite votre émerveillement ! L'esprit ne peut être une émanation du corps, un produit de la matière. L'esprit est doué de liberté mais tout ce qui est matière ou en dérive obéit aux lois physiques et naturelles, et est donc incapable de liberté. Ce qui implique que dés la conception un esprit est adjoint à notre corps. En voilà un raisonnement qu'il est beau !!! Si vous prenez un oeuf et que vous le lâchez il tombe et s'écrase par terre. Si vous prenez un oiseau et que vous le lâchez, il s'envole. En conclusion, il est absolument impossible qu'un oeuf donne un oiseau. J'ai bon ? -
Scénon : Oui : pour moi les noms de penseur et de philosophe désignent des personnes très proches, En fonction des sujets étudiés, bien sûr. Et la recherche de la Vérité (ou de vérités) sur soi et sur le monde, reste à mon sens au centre des préoccupations du philosophe. Ce qui signifie qu'un philosophe, de notre époque (ne riez pas !) ne peut que tenir compte des connaissances actuelles de la physique, de la biologie... etc. Même s'il n'est pas spécialiste. Il est bien connu que des découvertes sur la matière du siècle dernier comme les atomes sont à rapprocher de l'atomisme de Démocrite par exemple. Ou l'infini indéfini d'Anaximandre, ou les 4 éléments d'Empédocle... Ou la non finalité de Lucrèce de l'évolution des espèces. Voilà. La particularité des philosophes les plus marquants (peut-être par rapport aux autres penseurs qui sont moins considérés "philosophes") est bien d'avoir conçu des systèmes philosophiques qui donnent de l'ensemble du monde de ses origines et de ses phénomènes des explications, des interprétations qui se veulent être la Vérité.
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Votre analyse de l'Université n'est pas fausse ! Je pense et même pensais déjà la même chose que vous sur bien des points. La ressemblance de son enseignement avec l'enseignement ésotérique est vrai. Mais ressemblance seulement. Je ne l'aurais pas traitée d'ésotérique. Pour être allé il y a quelques années sur un forum ésotérique qui malheureusement a disparu, je puis vous assurer que le vrai esprit ésotérique est autrement plus "lourd" ou "grave" (si vous voyez ce que je veux dire.) C'est pour le coup là oui, que l'irrationnel rayonne ! Le vrai irrationnel. Une grande salade mystique, numérologique, astrologique et kabbalistique, le "culte" des grands initiés, Pythagore en tête, la gnose, l'hermétisme, avec Hermes trismégiste, Evangile de Thomas et nombre d'or en prime... Je pensais que c'était de cet ésotérisme là que vous parliez ! Alors, d'accord : l'enseignement universitaire a bien des points communs avec l'ésotérisme. Mais ne relève pas absolument de l'ésotérisme. Vous dites : "Par exemple, le rite initiatique d'entrée à l'université, le bac, absolument indispensable à la possibilité de suivre formation et étude supérieur, sert à éliminer 30% de la population, et les priver d'accès à la connaissance, (et surtout à la re-connaissance). Et ainsi maintenir une population d'ouvrier, qui ne pourra pas sortir de son carcan, et ne pourra acquérir de reconnaissance que par son travail manuel et servile." Je suis absolument d'accord ! Témoignage personnel : ce qui est encore plus étonnant, c'est que lorsque un savoir vrai (en fait il ne s'agit que d'un savoir faire) vient plus ou moins s'opposer à un savoir officiel, il ne saurait être reconnu par les "ayants-droit". Et ce qui est encore plus amusant c'est quand il est matériellement sous leurs yeux en toute évidence et qu'ils feignent de ne pas le voir ! Ceci dit je vous mets (gentiment) en garde contre une certaine mauvaise foi. Pour moi, en tout cas, il m'importe peu d'avoir raison sur vous coûte que coûte. (Je viens de le montrer.) Par exemple vous dites : "Pour ma part, je considère que rejeter la réflexion sur le sens des mots et des concepts est assez semblable à brûler tous les textes philosophiques, et empêcher toute réflexion philosophique." Vous semblez par là me reprocher de "rejeter la réflexion sur le sens des mots". Faux ! Citation tronquée. Puisque j'avais dit plus haut : "L'étymologie permet souvent d'analyser, d'approfondir les concepts. C'est vrai." Autres exemples : je dis : "Le terme de "raisonnement' :pareil ! Il est à mon sens réservé à ce qui est en rapport avec la raison. Et vous : "La raison, oui, mais pas la rationalité." (Excusez-moi mais je trouve la distinction... forcée. Vous aussi d'ailleurs, je crois ! La rationalité étant le mode de penser selon la raison.) "Et vous me dites que je ne définis pas assez mes termes... c'est injuste." Non, je ne pense pas avoir dit ça. Je dis que de façon générale il faudrait essayer de définir ses termes. "Je vous ai expressément décrit ce que j'entend par raisonnement, et raisonnement rationnel." Raisonnement rationnel, pour moi ça reste un pléonasme ! Encore une foi, raisonnement et rationnel ont le même sens. Tout raisonnement SE VEUT rationnel S'il ne l'est pas c'est juste un mauvais raisonnement. "Sachant pertinemment que ces mots sont brouillé par la prédominance dans notre culture de l'idéologie rationaliste. (cherchant à s'accaparer la seule part du gâteau)" Parler de raisonnement sensible ne veut rien dire à mon avis.Je pense même que c'est une façon de se brouiller les cartes à soi-même. "Si, très exactement ce que ça veux dire. Que les sentiments, sensations, concepts symboliques... sont des productions du cerveau, et peuvent se manier, s'enchaîner, se créer, se mettre en rapport, en relation. De façon rationnelle... ou pas." Absolument ! de façon rationnelle, ce sont des raisonnements, et de façon non rationnelle, ce sont des enchaînements de pensées. Et vous avez le choix pour les nommer : des intuitions, des impressions, des inspirations, des rêveries, des fantasmes, des délires, de l'humour, des humeurs, des révélations, des illuminations, des sensations, de la joie, du bonheur, de la colère, des illusions... mais des raisonnements non, ce n'en sont pas. "La réduction des sentiments à de vagues choses simples, inertes, basiques, élémentaire et difformes, sur lesquels nous n'avons aucun contrôle, n'est qu'un préjugé obscurantiste destiné à propager et promouvoir l'idéologie rationaliste." Là je suis d'accord et pas d'accord ! Que tout ce qui touche aux sentiments soit extrêmement complexe et tout le contraire de simple, inerte, basique, élémentaire et difforme :à coup sûr ! Que nous cherchions à avoir du contrôle dessus, ce peut être un idéal à atteindre, Pas facile. Que ce soit "un préjugé obscurantiste destiné à propager et promouvoir l'idéologie rationaliste" ? Par Qui? On n'est pas loin de la théories du complot là ! Ceci dit un raisonnement peut être correct s'il est en accord avec la raison, ou mauvais s'il n'y est pas. "Oui, un sentiment peut être correct ou pas." Là je vous suis mal ... Un sentiment non correct ? Une sensation, une impression ? Un sentiment comme l'amour, l'amitié, l'estime ? Dans la mesure où un sentiment est ce que l'on éprouve, comment le qualifier d'incorrect ? si je ressens de l'amitié pour quelqu'un ou de l'amour ou du respect et que c'est incorrect, il ne faudrait pas que je l'éprouve, que je le ressente? Mais c'est trop tard, c'est déjà fait ! "Le tout est d'arriver à avoir suivis les bons raisonnements sensibles pour arriver à clairement les identifier, les différentier et surtout les ressentir précisément. (et oui, certains sentiments, peuvent être diffus, comme certaines idées peuvent ne pas être très claire.)" Si vous y arrivez, vous m'expliquez comment faire. D'ac ? J'ai même un peu peur que de vouloir contrôler ses sentiments n'entraîne vers un cynisme... que je n'ose même pas y penser ! Plus le risque de passer carrément à côté de tout !. (Vous voyez, là c'est moi qui défends le côté irrationnel de la vie !!!) Même si je pense qu'il faille souvent contrôler ses pulsions au mieux. "Bon nombre de personnes se trompent fondamentalement sur ce qu'elles ressentent réellement" Ah oui !ça, c'est vrai ! Et j'irai même plus loin :Bon nombre de personnes veulent (croient vouloir) ce qu'elles ne veulent pas vraiment et jouent un rôle qui n'est pas le leur. Eh ! Mais si l'on veut contrôler tout ça, faut être philosophe ! (Gnoti se auton !) On a du boulot ! "Et commettent donc des erreurs de raisonnement sensible. Ne vous en déplaise." Vous m'avez bien jugé, là ! (Ne vous en déplaise) Dès que vous parlez de "raisonnement sensible", pour moi ça ne veut vraiment plus rien dire, je ne peux m'empêcher de pouffer ! Sensible : raisonnements des sens ? C'est la perception, une suite, un enchaînement de perceptions ? Les tableaux plats de Vasarely qui donnent l'impression du relief sont des erreurs de raisonnement sensible ? Ou raisonnement sentimentaux ? J'ai déjà dit : erreur de raisonnement sensible si l'on n'aime pas la bonne personne ? "C'est même très souvent le cas des personnes (trop) habitués à manier les raisonnements rationnels." Ouf ! Ce qui n'est heureusement pas mon cas !
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Oui ! L'étymologie permet souvent d'analyser, d'approfondir les concepts. C'est vrai. Il n'empêche qu'il nous faut tenir compte de l'évolution du langage et des sens que tel ou tel mot a pu prendre aujourd'hui. L'exemple typique est le terme d'intuition. Nous savons le sens habituel populaire : l'intuition est une impression plus ou moins vague, la saisie irrationnelle, instinctive de quelque chose, Pour Kant, l'intuition sensible c'est la sensation, et pour Descartes, l'intuition, l'opération selon laquelle une chose est considérée comme évidente. Mais ils le précise. Pour nous, le sens habituel, commun de raison de rationnel a à voir avec un enchaînement logique de l'expression, du jugement, du discours (logos!) A partir du moment où l'on parle de raisonnement irrationnel, que donc le qualificatif vient contredire le prédicat lui-même auquel il se rapporte, il me semble qu'on n'est plus dans une expression SAINE . Plus dans un discours logique. (Il peut bien sûr s'agir de poésie où cet effectivement oxymore (!) peut permettre de faire jaillir un sens inattendu. Mais on reste dans un mode d'expression intuitif, subjectif. Et non objectif ce que devrait être -a mon avis- le discours philosophique .) Après tout comme le faisait remarquer Freud, il n'est pas rare que le même mot signifie une chose et son contraire. Exemple "plus" qui signifie à la fois "quantité supérieure" et "plus" qui signifie "rien" . C'est à celui qui s'exprime de décider. Si je décide que pour moi, "raison" signifie "délire", il suffit que je le dise à mon interlocuteur pour qu'il comprenne ce que je veux lui dire. Il me semble plus sage d'utiliser le plus souvent possible les sens habituels et communs du langage. Ainsi quand on parle de raison et de rationnel, je pense que tout le monde sait de quoi on parle. Il est aussi évident que ne serait-ce que par sa forme même, le mot "irrationnel" signifie le contraire. Mais le discours d'un philosophe me semblerait particulièrement obscur et inefficace si celui-ci considérait que pour lui "rationnel" signifiait "irrationnel" !
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J'ai un peu l'impression que vous vous faites des idées fausses sur notre environnement, sur notre époque ! On serait dans un environnement trop rationnel ? Ceux qui sont capables de raisonnement rationnel prendraient le dessus sur les autres ? Vous ne voyez pas que c'est tout le contraire ? C'est plutôt de vraie raison, de vraie rationalité qu'on a besoin : pour ce qui est du délire, on est déjà bien servis est en surabondance ! Regardez simplement les manifestations de ces derniers temps avec des vieux de soixante ans qui se baladent avec des drapeaux bleu et roses : bleu pour les petits garçons de 65 ans et rose pour les petites filles de 60. Vous trouvez du raisonnable là dedans ?
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Bon sang, vous y tenez, tous à des raisonnements ou à la raison non rationnels ni rationnelle ! Un raisonnement non rationnel, bien sûr que ça existe : c'est juste un mauvais raisonnement ! J'ai relu récemment Hobbes il a raison d'insister sur la nécessité de préciser les définitions des concepts et des mots eployés en début de réflexion. "Université" : S'agit-il de notre Université actuelle (faculté de lettres, de science, de médecine, etc.) que vous dites "ésotérique" ? L'enseignement de "notre" université serait ésotérique soit obscur, caché, secret, essentiellement axé sur l'Être de Dieu, du monde de l'Homme ? Je ne le crois pas. Vous donnez donc à ce mot d'Université un autre sens que moi. Alors de quelle Université s'agi-t-il ? Dans les textes d'archives du XV ème et XVI ème siècle que j'ai souvent étudié, le mot "université" avait souvent le sens de "communauté". Ce n'est pas le sens non plus que vous lui donnez ? Le terme de "raisonnement' :pareil ! Il est à mon sens réservé à ce qui est en rapport avec la raison. Parler de raisonnement sensible ne veut rien dire à mon avis. Ceci dit un raisonnement peut être correct s'il est en accord avec la raison, ou mauvais s'il n'y est pas. Pour Raisonnement sensible, il vous faut donc trouver une autre appellation. Et vous verrez que ce simple changement, nous permettra d'y voir plus clair. Evidemment que la raison n'est pas tout. Mais parler d'une raison pas raisonnable, même si ça a un aspect original et apparemment subtil, ne nous fera pas progresser en quoi que ce soit à mon avis. C'est juste de la poudre aux yeux, du vent. Juste un effet de style : il n'y a rien derrière. Si vous pensez à une approche poétique, symbolique, mystique ou religieuse du monde, je suis d'accord. Mais il n'est plus question d'étudier la raison en tant que telle. Parlons raisonnablement (tant qu'il s'agit de discours) des sources de l'inspiration, d'esthétique, d'émotion. de plaisir, de jouissance, de foi. Mais vous pouvez aussi écrire un poème, faire une peinture ou une sculpture, composer de la musique, danser, entrer en transe religieuse...
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La volonté ou la conscience. Vous constaterez que je me suis abstenu d'un raisonnement plus général du genre "Dieu a-t-il un oeil ?" Et que dans la mesure où il est vraisemblable que non, il ne connait pas lui non plus la vision, et ne peut donc pas l'instituer comme finalité d'un oeil hypothétique . Ce qui m'inciterait à dire que dieu ou pas tout principe de finalité est nécessairement à proscrire... Revenons au sujet : ne se reproduisant pas et ignorant de ce fait ce que pourrait-être la reproduction il ne peut non plus fixer comme finalité de la vie cette dite reproduction ! Bon j'arrête ! (Je crois que là Descartes s'éloigne...)
