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Tout ce qui a été posté par Blaquière
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Bien sûr, j'aimerais... Il y a quelque temps, j'avais répondu à la question "est-ce que quelque chose va changer après cette épidémie?" : -- RIEN ! (Rien ne va changer!) Je crois que j'étais optimiste ! Et ça commence à se dessiner : ça va empirer ! Ça ne peut que s'empirer ! : Mensonges, manipulations, avidité à tous les étages, pour commencer... Les plus faibles vont obligatoirement disparaître... On voit beaucoup de nos dirigeants (Bruno Lemaire par exemple) qui ont de la peine à cacher leurs ricanements...
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Et donc, s'il arrive à bien conduire son économie (ce qu'on semblait nous dire encore récemment), ne devrait-on pas conclure que l'économie est est en soi une imbécilité ? (Mince : et Marx avec !)
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Hier mon fils m'a dit "ce confinement est une façon de contrer l'épidémie parfaitement médiévale !" C'est vrai, ça laisse songeur sur nos prétentions contemporaines... Et l'an 2000 est déjà loin derrière nous!
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OUI ! La métaphysique n'est pas morte !
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TRUMP - MENGELE ! Trump vient d'avoir une idée géniale ! Puisque les détergents tuent le virus, pourquoi ne pas faire des piqûres de détergents aux malades ! Et allez ! Une intraveineuse d'eau de Javel et le tour est joué ! Il était content de son idée ! A côté de lui, y'avait des docteurs... Ils regardaient leurs chaussures !
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Le 13 Février 1541 « IL SERAIT GRANDEMENT DÉPLAISANT À DIEU... » Faite exposition par Messieurs les Syndics, que En ce village Il y a beaucoup de pauvres gens qui n’ont ni blé, ni farine ni argent ni aucune chose qu’ils puissent mettre à cuire pour leur servir de nourriture ou de potage et qu’ils sont en grand danger de mourir de faim et qu’il serait grandement déplaisant à Dieu si par notre défaillance quelqu’un venait à mourir de faim. Pour cela, ce serait bien faire que de faire moudre deux charges1 de blé de la ville à détailler aux pauvres gens, livre à livre2 afin qu’ils se fassent de quoi manger. Entendue cette exposition bien dite ils ont accepté que le trésorier pèse les sacs Et envoie au moulin deux charges de blé et puis quand la farine sera faite nous la pèserons et verrons combien il faut payer par Livre Et qu’on la donne contre de l’argent à qui en aura besoin. Item, (Idem) que s’il y a quelque(s) pauvre(s) personne(s) qui n’ai(en)t pas d’argent, que le Trésorier leur (en) donne (quand même) et le note. À Dieu plaise, qu'avec le temps, ils paieront... 1Environ 150 kg 'entre 100 et 150kg) la charge d'une ânesse = "saumo" 2Environ 1/2 kg
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1541 e 13 de Febrier « SERIO GRANDOMENT DESPLASENT A DIEU » Facho esposesion per Mosen los Sendegues que En aquest luoc a belcop de pauros gens que non an blat ni farino ni argent ni deguno causo que puscon metre coyre per far viando ni potage que son en gros dangiet de morir de fam que serio grandoment desplasent a Dieu si per nostre defailhiment degun venio a morir de fam. Per so serio ben fach de far mourre doas Saumados (1) de blat de la Villo e despartir a pauros gens a lieuros que fasson de viando. Entendudo l-esposesion ben dicho an acordat que lo Tresorier pese los sacs e mande al molin doas Saumados de blat e pueys cant la farino sera facho la pesaren e veyren a cant si deu paguar per Li. e baile per d-argent a qui n-aura mestier. Iten que si a calque pauro persono que non ajo argent lo Tresorier lur baile e escrivo que si Dieu plas anbe lo tens paguaran. (1) une saumado c'est le poids, la quantité de blé, porté par une "saumo", une "ânesse" entre 100 et 150 kg Je vais traduire...
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Le vin me fa dormir, mès se n'es d'una aurelha Una mirgueta me revelha. Le vin me fait dormir mais ce n'est (que) d'une oreille : Une souris me réveille ! Je le comprends comme ça. Pour Bellaud, "foeito/fouito vin d'une aurelho" ... (J'avais fait une faute en écrivant "ourelho" La prononciation étant [ow]) ça reste peu clair.
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J'ai trouvé celle-là qui est bien plus audible ! Il faut remettre ce sonnet en situation : Bellaud de la Bellaudière est en prison -c'est notre Villon à nous !- (au temps des guerres de religion, fin XVIème, et il se souvient de quand ils allaient faire la bringue, faire bombance sous la treille, avec son copain Fouque, Peut-être même que Malherbe -le fameux Malherbe si rigoureux du "Enfin Malherbe vbint"- était de la partie... J'ai fait une musique sautillante genre danse populaire. Le texte s'y prête. J'ai essayé de rendre les paroles les plus claires possibles. On pourra les suivre au dessous foulco.2020 mix .mp3 "Folco qu'oro anarem..." (Fouque quand irons-nous) Folco qu'oro anarem faire uno repeissudo .......................Fouque quand irons nous faire "bombance" Dessoto lo trelhat de ton polit jardin ? ( Bis) .......................Sous la treille de ton joli jardin ? Per beure frescament lo flascon plen de vin .......................Pour boire glacé, le flacon plein de vin Tremparem dins la foant qu'es au fresc escondudo .......................Nous le tremperons dans la fontaine cachée bien au frais, Aqui faudra brifar a centuro rompudo .......................Là il faudra se goinfrer à ceinture rompue ! E soflar tant e tant que parlem puèis latin ! (bis) .......................Et boire tant et tant que nous finissions par parler.. latin ! Mai nos li fau anar un pauc de boan matin .......................Mais il nous faut y aller un peu de bon matin Davant que dau soleu la calor sié creissudo... .......................Avant que du soleil la chaleur n'ait trop crû... Per viure n'aurem pron d'un gros gigot farcit .......................Pour vivre, nous aurons assez d'un gros gigot farci De polets, de pijons d'un gros capon boulit (bis) .......................De poulets, de pigeons, d'un gros chapon bouilli Emé lo gai jambon, foeito vin d'une ourelho ! .......................Avec le gai jambon, fouette le vin d'une "oreille"! Mai cu a ben soflat son dever miès fara ......................Mais qui a bien "sifflé" son devoir mieux fera : De pampo de rasin coronat eu sara (bis) ......................De pampres de raisin il sera couronné ! Como portant l'honor dau diu de la botelho ! ......................Comme portant l'honneur du dieu de la bouteille ! Pour le "vin d'une oreille", j'hésite est-ce que c'est une expression pour dire "un excellent vin" ou l'oreille serait le surnom d'un pichet dont l'anse a la forme d'une oreille ?... Si quelqu'un a déjà vu cette expression ?....
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Eh oui : comme je l'ai dit ; avec toi; c'est pas pareil : c'est du très très haut niveau! Tu es juste ridicule. Tu ne viens pas pour travailler, tu viens pour te gonfler ! Tu es comme la grenouille de la fable. Tu vis dans un rêve de gloire....
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Pitié ! "AVEC MOI, C'EST PAS PAREIL !" Remarque, on savait déjà que les juifs n'aiment pas trop les arabes !
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OUI ! L'enchevêtrement de l'espace et du temps, est pour nos sens à ce point contre-intuitif qu'il nous parait... magique ! C'est parce que les maths laissent de côté les sentiments et appliquent leur logique sans état d'âme qu'il nous permettent d'aller plus loin. Einstein (puisqu'il est de bon ton d'en parler!) disait je crois un truc du genre "Quand j'hésite entre deux équations, je choisis la plus belle! (ou la plus esthétique)" c'est très sympathique ! Je le reconnais. Ça nous fait plaisir d'entendre ça. Nous en concluons que puisque nous avons tous le sens du beau, nous sommes aussi intelligent que lui !!! Mais on pourrait dire que c'est le plus sûr moyen de choisir la mauvaise ! (Contredire Einstein, ca c'est de moins bon ton !)
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J'abandonne ! T"as un problème ! De quoi? d'égo ? Ça doit être ça. Tu imagines a priori que je dis le contraire de ce que tu penses pour pouvoir me donner tort ! Et tu me ressors ce que je t'ai dit apparemment sans l'avoir compris ni suivi par la suite après avoir dit que j'avais tord ! C'est fou ! Mes idées sont suffisamment claire pour moi, pour que tu n'arrives pas à me convaincre que j'ai dit le contraire de ce que j'ai dit. Dommage. Tu n'est pas bête je crois. Tu veux trop te penser supérieur. ca t'empêche de comprendre les autres. Pour toi, un autre c'est un ennemi ! Je comprends un peu le mécanisme. Tu méprises tellement ce qui n'est pas toi que tu n'est pas capable de te concentrer sur ce que dit un autre : tu survoles et tu y prêtes y trouves automatiquement le contraire de ta pensée... Un exemple : après avoir dit que la genèse ou l'historique du concept pur (que j'envisageais) était impossible, irréalisable,(sur des milliards d'années...etc.) et donc que j'ai dit une bêtise, avec ton exemple du chiffre trois, qu'est-ce que tu fais ? Tu tentes de faire cette genèse, tu en fais l'ébauche... Moi, je m'en fous un peu du besoin de supériorité.
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@Annalevine : Absolument ! Y a-t-il, peut-on envisager une genèse de ce concept pur de totalité ? Son historique... psychique ?! A priori, je ne veux pas qu'il soit inné, transcendant ! (Bon, ben si par hasard il s'avérait l'être, je ferais avec !
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Je l'aime bien quand même Kant ! L'espace cadre a priori de nos intuitions sensibles... Et le temps, cadre a priori de toutes nos intuitions. (donc aussi des intuitions intellectuelles) On pourrait ergoter et faire aussi de l'espace le cadre de toutes les intuitions (Si l'on pense quand même bien depuis quelque part en nous !) Mais il suffit de ce détail pour que l'espace ET le temps restent toujours liés dans nos intuitions, et donc on en vient à l'espace-temps. C'est surtout nos sens qui nous les ont fait séparer. Mais on comprend que la vue, éminemment spatiale si elle ne se prolonge pas un minimum dans le temps n'existe pas non plus. La durée est nécessaire à toute intuition. Je vois bien la pensée comme un point, un point de vue qui se déplace dans le temps. Et fait même une "fausse marche arrière" grâce à la mémoire... Peut-on penser ou "voir" hors du temps ? Toute pensée et toute expérience ne se déroulent-elles pas toujours dans le temps ? Si le déroulement du temps s'arrêtait, je ne sais pas pour le monde, mais pour ma pensée, elle n('existerait plus. (Pour le monde, je me doute qu'il n'existerait plus non plus !) L'espace ET le temps sont inséparables dans toutes nos expériences, déjà. Et pourtant, nos concepts du temps et de l'espace, (Notre façon de les concevoir) dans notre vie, dans notre expérience, sont deux concepts BIEN séparés. La "recherche du temps perdu" est aussi une recherche (ou plutôt une perte) d'espaces, de lieux qui ont changés. J'ai presque de la peine à l'admettre. On "tombe" (!!!) dans la littérature ou pire : la poésie ! Pour @Annalevine: je ne pense pas avoir fait d'erreur ni de métaphysique ! j'avais bien précisé pour le concept pur, (les catégories): "Il ne dépend pas du contenu de l'expérience mais du fait global qu'une expérience existe ?..." Sans expérience, pas de concept pur. L'expérience, c'est le grain à moudre... Et sans grain, sans possibilité de grain, pas de... moulin !
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J'ai retrouvé ds un coin du disque dur (!) cet enregistrement de la Colombette de Bellaud ! Bon, c'est un enregistrement fait sur un coin de table, hein ?! Mais ça donne une idée de la prononciation.... Je vais chercher, je dois en avoir d'autres... Je remets les paroles dessous, on pourra suivre.... ma colombette 4'.mp3 (Je vais voir si ça passe...) (La sartan, (espagnol "sarten", latin, "sartago" !) c'est la poêle à frire. très connu et courant )
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Pour ne pas mêler les sentiments à ma réponse, je vais utiliser des symboles quasiment mathématiques : Femme : Homme : Excusez, j'ai pas trouvé plus petit ! Mais on peut au premier coup d’œil remarquer que l'homme en a "une" bien fière bien pointue et bien levée, tandis que la femme, elle en avait une, en bas, certes, mais peuchère, on "la" lui a... coupée... (Je me contente de "lire" les symboles.) Une question se pose : qui a imaginé ces symboles ?
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Ben voilà : tu l'as fait le pas ! Le concept pur ce n'est pas l'ensemble des tables, mais la notion d'ensemble, seulement ! (Dans la "collection" : universel, général, particulier) C'est un concept opératoire. Pratiquement vide de "substance". Et il est ouvert : imaginons qu'une table originale, jamais vue (qui vient de l'expérience) apparaisse, l'ensemble va s'accroître. Le concept de table va légèrement bouger, mais celui d'ensemble non. On pourrait dire le concept pur, un concept de concept. Et pourtant s'il n'y avait pas une entrée d'information par l'expérience, (des tables à totaliser, à comptabiliser) ce concept pur de l'entendement (d'ensemble) pourrait-il exister ? Il ne dépend pas du contenu de l'expérience mais du fait global qu'une expérience existe ?... .......................................... Ne pourrait-on pas dire aussi que les concepts de justice et de liberté sont issus de l'ensemble de tous les "événements" justes ou libres ? Et le concept d'Être ? Formé, composé de tous les Etants et de tous les Daseins ?
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@Annalevine Avant d'allumer l'ordi, là, je pensais à un truc... Est-ce que finalement, le concept (que tu as développé à côté, je crois) est si différent de l'Être ?! Le concept de cheval ou de table ne correspondent-ils pas largement à leurs êtres ? Je me doute que ça puisse en faire hurler certains !... Si l'on met "l'existant" de côté, reste-il beaucoup plus que le concept (qui est notre fait)... Sans compter pour des concepts comme la Justice ou la Liberté, il n'y a même pas d'existant à exclure... Leurs êtres ne seraient que "d'idée" ?... Mais que je suis con ! encore un pas et je vais bientôt découvrir les concepts purs de l'entendement !
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Oui ! On comprend bien la différence entre l'état d'âme, 'statique', (presque une inertie !) et l'évènement psychique. Mais cet événement (rencontre) n'est-il pas préparé par l'état d'âme ? Peut-il être absolument imprévu ? Sans rapport avec celui-ci ? Si non, il en est presque une excroissance, une extension... Comme tu le dis bien, l'ennui survient dans/pour un état d'âme dépressif... Les deux semblent liés. Et l'on rencontre ce que l'on s'est préparé à rencontrer. Le terrain est propice. (C'est une banalité de le dire.)
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Oui ! l'esprit est imaginaire ! (Je pense au "Moi" ). Mais la réalité dont il est la représentation, n'est pas forcément cachée. Peut-être qu'on l'a sous les yeux mais qu'on ne la reconnaît pas ! Et que c'est son mode de représentation qui en fait notre esprit tel qu'on le ressent qui nous échappe. (C'est même certain.) Le passage d'un mode à l'autre. Il faudrait réfléchir ce qu'est une représentation ? C'est mon côté naïf : je pense (ou je crois) qu'on a tout sous les yeux !...
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Je pense que l'intuition est un mélange de réminiscences archaïques (de notre formation personnelle), de désirs plus ou moins formules et conscients et de symbolique extérieure (culturelle), assimilée au cours de notre vécu. (Je suis sûr que j'en oublie plein!) Elle permet de remplir des cases vides, ce qui entraîne une certaine satisfaction ; mais à mon avis son côté empirique, aléatoire ou hasardeux fait qu'on peut guère s'y fier. Son plus grand intérêt me semble affectif. @Maroudiji : C'est un petit dieu, que celui de Spinoza. Un parmi d'innombrables autres, selon toi et moi. Si son Dieu n'est pas "celui des religions révélées", il est celui de qui ou de quoi? " Les dieux "révélés" on leur caractère ! (y compris selon l'expression "d'avoir son caractère".Le Dieu de Spinoza me semble plus impersonnel, plus général ou global (pas si petit, donc). On connaît sa phrase "Deus sive natura". L'ensemble de la nature, et surtout l'harmonie de cette nature, ce qui la fait se maintenir elle-même. Spinoza avait le virus (!) de Dieu. Il ne pouvait pas s'en débarrasser ! C'était pas possible à l'époque. Alors il s'en est quand même débarrassé en le mettant partout ! Si Dieu existe, il est forcément partout ce qui n'est pas bête : il est tout ce qui nous entoure et nous avec. Il est partout, c'est comme s'il était nulle part : il ne pourra pas nous aider à y voir plus clair. Alors que les dieux révélés disent : "ça c'est bien, ça c'est mal!", celui de Spinoza dit tout il n'y a pas de bien ni de mal pour lui : c'est à l'homme de déterminer ce qui est bien et ce qui est mal (pour lui). C'est comme ça que je le comprends, mais j'invente sûrement !
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L'obscurantisme, en quoi consiste-il ?
Blaquière a répondu à un(e) sujet de Maroudiji dans Philosophie
Pardon, @Maroudiji pour ce hors sujet proprement scandaleux, mais ne sommes-nous pas "de loisir" ? C'est le Néophyte de @Loufiat qui m'appelle ou m'interpelle : -- Je suis un néophyte ! -- Un nez au quoi ? -- Au phyte ! La racine est ancienne; (C'est une ancienne antienne) Et qui nous vient du grec ! (Je suis sentimental!) Oui, sans salamalec, Elle dit : "végétal" ! J'en conclue illico qu'à être "nez au phyte" Soyons plus explicite, On renifle la fleur... (Qui rime avec le cœur...) Refrain : Je suis né-ophyte Vis comme un ermite ça me décalcite Et puis voilà ! Sincèrement : pardon ! -
Si l'on essayait d'aller plus loin, on dirait qu'il n'y a pas de production du mental par le chimique, et que plus qu'une équivalence, il s'agit d'une seule et même chose. La différence étant entre le pour-soi, le sentiment, l'émotionnel ressenti, pour nous donc et son en-soi, le chimique ou neuronal. Il n'y a peut-être pas besoin de faire un grand effort pour penser l'émotion comme "l'attaque" d'un certain nombre de molécules chimiques acides (ou basiques ou salées ou positives ou négatives !) qui vont venir nous "picoter" les neurones... Y a-t-il là tellement de mystères ? De même que l'en-soi d'un objet vert est nécessairement rouge, et l'en soi du vert (perçu) n'a rien de vert mais est une certaine longueur d'onde lumineuse ) l'en-soi d'un picotement sentimental peut bien être un picotement chimique ?... Pour que le vert soit vu vert et non comme une vibration, il suffit qu'il tombe sur les bonnes cellules (cônes ou bâtonnets) qui le traduiront en vert. Ce serait traduire l'en-soi en pour-soi ?!!! Qu'est-ce qui me picote émotionnellement et pourquoi ? C'est tout de même le pour-soi, pour nous qui nous importe dans tous les cas. L'essentiel se passe à une échelle macroscopique et symbolique. Pourquoi vouloir retourner comme j'ai écrit plus haut "à la maison du père" ? Quand l'a-t-on manqué, ce père ? . On en arriverait facilement à comprendre une idée plus ou moins comme un "objet chimique" (un ensemble, une structure) qui se promène ici ou là parmi les neurones ou qui est fixée, localisable. Qu'un sujet (comme structure "dynamique" ? car il faut bien qu'une décision soit prise à un moment) pourrait saisir, comparer à d'autres un peu comme des mots écrits... Un objet chimique dont la "peau" est le sens. Et nous ne voyons que la peau. Curieux portrait que cet "esprit matériel" revêtu de symboles. Nos idées sont des pierres. Des pierres minuscules, comme des grains de sable. Et notre esprit est un sablier. Putain, je suis inspiré aujourd'hui !
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La Cabbale : "Une nostalgie profonde du berceau de notre âme… (On peut le dire comme ça) Qui nous invite à un retour à ce que dans certains textes on trouve : « la maison du père »."
