Blaquière

Je suis entièrement d'accord avec toi ! Je l'ai d'ailleurs dit plusieurs fois : on fait comme on veut ! Quand je fais quelque chose (et c'est pas souvent !) ma femme me dit : arrête toi d'inventer ! La "suçarelle", tu connais ? c'est les petits escargots, (les limaçons). Il faut les faire jeuner, le cuire, puis on coupe le cul de la coquille pour pouvoir les aspirer et on les fait avec une sauce genre armoricaine... c'est d'une grande réputation... ici en Provence. Un plat mythique !

Un type à la télé qui nous donne la recette de la brandade de morue. Je crois que tout le monde connait. C'est plutôt fort en goût, mais excellent... En fond d'écran, derrière sa table-établi de cuisinier, les arènes de Nimes. Autant dire qu'on est en plein cœur de la langue d'oc ! Alors le bonhomme il y va de sa recette... A un moment il y met de la crème fraîche !... Passons je chipote pas ! La cuisine on a le droit de tout pourvu que le résultat soit bon... Mais tout de même la crème fraîche dans une recette provençale... Et pourquoi pas du sirop d'érable ? ! Je le redis : passons ! Et là, notre bon cuisinier, pour faire voir qu'il est en liaison directe avec la plus pure des traditions LOCALE, passe sur le mode culturel... Tuturel, je devrais dire ! -- D'où vient ce nom de "brandade" ? DE L'ANCIEN FRANCAIS ! Là excusez du peu, ça me troue le cul ! et il continue : -- ça vient de "branler", bouger et remuer. Et il dit ça avec un petit sourire en coin... (se branler, on sait tous ce que ça veut dire !) MAIS ALORS POURQUOI ON DIT PAS LA BRANLADE DE MORUE ? Simplement parce que l'ancien français n'y est pour rien ! Et et le verbe "Brandar", est simplement de la langue d'oc, (et donc provençal) qui signifie : "remuer" ! On l'utilise plus trop mais quand on dit d'un échafaudage qu'il "brandouille' tout le monde a compris ce qui se passe ! Et ça n'a rien de grivois ! Pour ceux qui voudraient des précisions, la brandade se "monte" avec de l'huile et du lait... PAS DE LA CRÊME FRAÎCHE ! Je rigole : mettez-y un peu ce que vous voulez ! Il vous suffit d'avoir votre "Reboul" : "La Cuisinière Provençale"... Tiens le dit Reboul était du village, d'ici, DE LA ROQUEBRUSSANNE ! J'y peux rien, c'est comme ça ! C'est peut-être un détail pour vous mais pour moi ça veut dire beaucoup ! Il cuisinait la brandade debout ! ça veut dire qu'il était LIBRE !... etc. ceci dit, on a appelé cette recette la " brandade de Morue" pour qu'au septentrion on nous comprenne. Son vrai nom c'est "la Gangasse" et même pas besoin de préciser "dé marlusso" on sait que c'est avec "de la morue"... (Gangassar = remuer, secouer)

Tu me l'a enlevé de la bouche ! C'est vrai, mais non : belle interview ! J'aime bien les neurones qui dansent !

Waouh ! Grandiose : Vous Pourriez vous m'écrire un poème en langue provençale (Comme Frédéric Mistral ) ? ChatGPT Dins l'anbo de la Provenço, Cantantan lis amo de la vid, S'amasso lu poutoun embarrado, Eisissènton lou bèu sourir. Souto lou soulèu, lu campès danso, Lu cèrvi bramo dins lis aclu, Eisissènton lou batisso, D'un mounde toujour resplenissent. Lou Mistrau canta dins soun chant, Lu Palunèu dounsant lu sou ras, Per li terro longue embeirta, Lu Prouvençau garde soun espas. La pensoùla en plena canta, Li troubadour embé soun luth, Iamai laissèm de despanta, Prouvenço, ta glòriéro fruct. Ô Prouvenço, toun amo iéu chant, À toun trin lou mio beissoun, Embé lou fèu de moun courent, Per toujour iéu serai toun noun. Touto la joaio que la terra espando, Lou vièi jouinesso que bastisson, Prouvenço, es l'esfòr du mounde, Dins toun celestié glorion. C'est que des clichés, plein de fautes ça ne veut quasiment rien dire mais ça donne totalement le change ! Respect !

Il n'en démord pas : Vous Dans mon poème, j'ai écrit : "Il faut viser plus haut, Il faut viser très haut, l'exemple c'est le ciel… mais tous mes mots retombent…" Je trouvais ça dramatique d'impuissance et vous me dites que c'est "léger"… Etes vous sûr ? ChatGPT Je comprends votre point de vue et je peux voir comment ce passage peut sembler dramatique d'impuissance. Cependant, lorsque vous dites que vos mots retombent, cela peut également s'interpréter comme un sentiment de légèreté, en soulignant peut-être l'idée que vos mots ne se réalisent pas mais qu'ils restent dans l'air, sans poids ni conséquence. Bien sûr, l'interprétation dépend de la manière dont le reste du poème est construit et des émotions qui y sont exprimées. Si vous souhaitez faire ressortir un sentiment plus dramatique, vous pourriez utiliser d'autres mots ou images pour renforcer cette idée d'impuissance. ca devient trop compliqué pour moi d'expliquer qu'une chose qui s'envole c'est aussi dire non pas qu'elle est légère mais qu'elle prend son essor, son envol par opposition pourtant évidente avec le cas où elle retomberait... J'ai un peu l('impression que ça : "Cependant, lorsque vous dites que vos mots retombent, cela peut également s'interpréter comme un sentiment de légèreté, en soulignant peut-être l'idée que vos mots ne se réalisent pas mais qu'ils restent dans l'air, sans poids ni conséquence." C'est des arguties de boutiquier d'un type qui veut toujours avoir raison ! C'est étonnant pour une IA ! Dire que les mots retombent parce qu'ils sont trop légers et restent dans l'air, c'est limite un comble ! Une absurdité... Et en langue d'oc ça marcherait ? J'ai pris une autre direction ! mais toutes les options sont intéressantes ! A étudier...

Purée ! Il m'a massacré ! Vous J'ai écrit ce poème qu'en pensez-vous ? Hitler grillait les gens… Hitler grillait les gens Staline les gelait Mais moi, j'aime le tiède ! Dans ma tête J'ai quelques mots très peu ! qui s'encastrent et me castrent en un puzzle et ce puzzle c'est moi. Je jette tout en l'air et les pièces retombent en ordre différent c'est encore moi Sous un autre angle Dans ma tête j'ai quelques mots mais si peu… Il faut viser plus haut, Il faut viser très haut, l'exemple c'est le ciel… mais tous mes mots retombent… ChatGPT Je ne suis pas un expert en poésie, mais voici quelques suggestions pour améliorer votre poème : Gardez à l'esprit que la poésie peut être un moyen puissant d'exprimer des émotions ou de transmettre des messages, alors assurez-vous d'utiliser des mots et des images qui résonnent avec vos lecteurs. Essayez de trouver un équilibre entre l'obscurité des premiers versets et la légèreté de la dernière ligne. Cela peut aider à créer une transition plus fluide et cohérente dans le poème. Ajoutez des descriptions ou des détails supplémentaires pour donner plus de clarté aux images que vous essayez de créer. Cela peut aider à renforcer l'impact de votre message. Réfléchissez également à la structure de votre poème. Vous pouvez essayer d'expérimenter avec la mise en page, les rimes ou les rythmes pour rendre votre poème plus engageant et mémorable. Ces suggestions sont juste des idées pour vous aider à améliorer votre poème. Chaque personne a une vision unique de l'art et de la poésie, donc n'hésitez pas à les accepter ou à les ignorer en fonction de vos propres besoins et préférences artistiques. "la légèreté de la dernière ligne." ! "Je vise le ciel mais tous mes mots retombent".... Je trouvais ça angoissant dramatique mais lui trouve ça léger... J'y retourne !

Voilà le résultat !!! Vous J'ai écrit ce poème sur le temps qui passe (en fait c'est lui qui l'a écrit !): Le temps, impitoyable, court sans répit, Il file entre nos doigts sans qu'on le saisisse. Tel un ruisseau tranquille, il s'échappe et fuit, Emportant avec lui toutes nos promesses. Les années s'envolent, légères comme l'air, Les souvenirs s'effacent, réduits en poussière. Le temps creuse nos rides, ternit nos cheveux, On voit nos joies se faner, peu à peu. Mais dans ce flux incessant, il est des moments, Des instants suspendus qui valent tout l'or du monde, Dans un éclat de rire ou dans un regard charmant, Le temps se fige alors, le bonheur inonde. Alors, face à ce temps qui s'écoule si vite, Profitons de chaque jour comme un cadeau, Croquons la vie à pleines dents, sans répit, Car le temps qui passe ne reviendra pas. Qu'en pensez-vous ? ChatGPT Votre poème sur le temps qui passe est très beau et bien écrit. Vous avez réussi à transmettre le sentiment d'urgence et de fugacité que l'on ressent face à la fuite du temps. Les images que vous utilisez, telles que le ruisseau qui s'échappe entre les doigts ou le temps qui creuse nos rides, sont très évocatrices. Vous évoquez également la valeur des moments suspendus, où le temps semble s'arrêter et où le bonheur inonde. C'est une belle façon de rappeler que malgré la rapidité du temps qui passe, il y a des instants précieux et intenses qui peuvent illuminer notre vie. Enfin, votre conclusion est très inspirante. Elle souligne l'importance de profiter de chaque jour comme un cadeau, de vivre intensément et de ne pas laisser le temps s'échapper. Une belle invitation à carpe diem. Bravo pour ce poème. (Merci, pas de quoi ! ) Je vais essayer de lui mettre un truc que j'ai vraiment écrit voir comment il le critique !!!!

Tout de même, après lui avoir parlé de céramique pendant un moment, je lui ai demandé de me raconter une histoire pour me faire rire, et cette histoire parlait de... porcelaine !

Les gamines à qui on a expliqué ça, c'est à l'extincteur et à la neige carbonique qu'a fallu les calmer !

Pour l'oignon, c'est facile, faut le déshabiller feuille à feuille, mais pour le camembert ? Comment ça peut s'éplucher ? En plus s'il est "coulant", je te dis pas quand tu enlève le papier...

Dénouez-moi donc ! Mais pas tout de suite... Pas trop vite !.. (Air connu...)

Harcelle-moi Marcelle ! Tu est celle qui excelle en étincelles Au violoncelle ! Tu m'ensorcelles ! Et j'en ruisselle et j'en chancelle ! Et je me jet te de la na celle ! Mais Marcelle, Pique moi pas mon escarcelle !

Euh !... j'ai le magasin plein ! (Ou "l'exposition" : ça fait mieux !) A part ça, d'un pt de vue du "sens figuré", ou symbolique, peut être que dès qu'on dit un truc, il est à "vendre" ! Dans le sens qu'on voudrait bien qu'il soit accepté par ceux qui nous écoutent ou lisent... et qu'il nous donnent raison... Non ?

Exact ! C'est pour ça que je me méfie... Ailleurs ou ici on parlait de la foi... Et de la foi authentique... Là on y est en plein dedans ! Penser qu'on a la foi authentique c'est (à mon avis) le point d'orgue du mensonge à soi-même... ça ressemble à l'Amour ! On tient à ce que son effet soit toujours positif... Mais je ne critique pas l'Amour... quand on se sent sur un petit nuage, c'est quand même génial ! Moi qui à mon corps défendant (sans l'avoir voulu) je me retrouve en quelque sorte dans le.. commerce, je peux te dire que ce qui est invendable pour toi risque d'être extrêmement convoité par certains...

Putain ! Moi sans carte je reste sur le plancher des vaches ! D'accourd mis ji ti dimand' di bissir oun pou li prix !

"Tu es en plus le 3/4 du temps HS de tes propres sujets… hallucinant ! " Comme j'ai dit c'est qu'il place le curseur très HAUT ! C'est l'invendable, l'inefficacité en plus ! @bouddean Bye, je file, bonne journée à tous !

Ton post fait réagir ! Moi non plus je ne suis pas vraiment d'accord ou tout au moins pour préciser mon point de vue : ti dis : L'amour étant l'état dans lequel nous fonctionnons de manière optimum, Je crois que non ! et remplacerai par : L'amour étant l'état dans lequel nous fonctionnons de manière excessive ! Dans un sens comme dans l'autre? J'ai eu cette idée, là, du coup : l'Amour (le grand, la passion l'amour absolu) Est un dérapage ! Un dérapage de notre conscience, de notre "psychologie" (de notre "psyché", ça ferait plus classe !). Et il te rend aussi bien hyper clairvoyant et inspiré que complètement aveugle...

J'aime bien ton idée d'invendable. ! J'avais eu aussi une idée (et je l'ai toujours !) dans ce genre : "l'efficacité en plus !" comme curseur d'un niveau nettement supérieur ! Mon exemple c'était Léonard de Vinci (dans un film) qui pour que sa peinture, une fresque, devienne... "étenelle" "inaltérable" avait voulu la 'cuire', la vitrifier, en rapprochant du mur peint des lampes avec force flammes ! Résultat, la peinture magnifique avait tout dégouliné et était foutue complètement : Un génie de la peinture, mais... l'inefficacité en plus ! Y'a que Léonard de Vinci qui aurait ou se le permettre ça !

@Atipique Mon fils m'a suggéré de lui dire : j'ai écrit ce poème sur le temps qui passe pour voir s'il reconnait que c'est lui qui l'a écrit !

C'est bien possible ! Mais si comme tu le dis : "La foi, c'est une conviction" (belle formule !) Alors à la place de la foi il faudrait parler d'un "certain optimisme" ?

Ton "histoire" de planter des arbres me fait penser à la fable de La Fontaine , le vieillard et les trois jeunes hommes... je vais la chercher... ... Voilà : https://www.bacdefrancais.net/vieillard-jeunes-fontaine.php Le Vieillard et les trois jeunes Hommes Un octogénaire plantait. Passe encor de bâtir ; mais planter à cet âge ! Disaient trois jouvenceaux, enfants du voisinage ; Assurément il radotait. Car, au nom des Dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vous recueillir ? Autant qu'un Patriarche il vous faudrait vieillir. A quoi bon charger votre vie Des soins d'un avenir qui n'est pas fait pour vous ? Ne songez désormais qu'à vos erreurs passées : Quittez le long espoir et les vastes pensées ; Tout cela ne convient qu'à nous. - Il ne convient pas à vous-mêmes, Repartit le Vieillard. Tout établissement Vient tard et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée. Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier ? Est-il aucun moment Qui vous puisse assurer d'un second seulement ? Mes arrière-neveux me devront cet ombrage : Eh bien défendez-vous au Sage De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ? Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'Aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux. Le Vieillard eut raison ; l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port allant à l'Amérique ; L'autre, afin de monter aux grandes dignités, Dans les emplois de Mars servant la République, Par un coup imprévu vit ses jours emportés. Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et pleurés du Vieillard, il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter. Jean de la Fontaine - Les Fables L'année dernière, j'ai planté trois oliviers... il n'ont pas encore un mètre de haut ! Mais le plus beau m'a fait DEUX OLIVES "déjà" ! Tous les 4 jours pendant l'été je leur balance à chacun 20 litres d'eau !

Je ne saurais pas dire si je suis d'accord ou pas, mais ce genre de jugements ont tendance à me faire rire. C'est comme enfoncer des portes ouvertes. La foi authentique ça ne veut rien dire. C'est ronflant ! Et ça mange pas de pain. La foi authentique c'est un oxymore ! La foi inauthentique c'est quoi ? C'est juste pas la foi ? Et la foi c'est quoi ? Croire en ce qui n'est pas ? Je vois pas l'ombre d'une authenticité, là. Mais on dit ça pour donner l'illusion qu'on en garde encore beaucoup sous la pédale... Alors qu'en fait on y a rien... Parole de gourous... pour en mettre plein la vue : "Moi je vous parle de la foi AUTHENTIQUE ! Oh pardon ! Est-ce la foi des hottentots ? Ce peuple austral et pastoral ? Moi autant tôt je tique ! et ça me pique : Je fais ma crise... De foi... !

J'avais compris ça TOUT DE SUITE (ce que tu voulais dire !) L'AMOUR ! L'AMOUR !

Je le redis plus simplement : parler de sacré, c'est juste "se la jouer" ! Quant à dire qu'on est chrétien ou catho de culture : pas d'accord ! Si on l'était, on serait aussi fanatiques que "les autres" ! Après si être chrétien de culture, c'est ne plus être chrétien... Mais un musulman qui n'est plus musulman, ou un juif qui n'est plus juif, (autrement dit qui ne croit plus à toutes ces couillonnades), il est exactement comme moi ! Mon christianisme se résume à manger des pois-chiches le Dimanche des Rameaux ! "Es bèn paouré l'houstaou ounté l'a gés dé pountchuts per Rampaous !" (Elle est bien pauvre la maison où il n'y a pas de pois-chiches pour Rameaux !) D'où ça vient ça ? je m'en fous ! mais j'aime bien les pois-chiches ! J'aime bien aussi le couscous parce qu'il y a des pois-chiches !

VOUS PERDEZ VOTRE TEMPS !!! (1) (A discutailler de sacré de pas sacré, de divin... etc.) Ce n'est qu'une question de vocabulaire. Faisons tabula rasa ! Quel est le sens réel ? Il y a une gradation : L'eau (ou autre chose) est importante, indispensable, nécessaire, essentielle, vitale... Faites votre choix ! Mais c'est tout bon ! Qui dit plus dit le moins... Et qui dit le moins a le droit de sous entendre plus ! Après si on dit qu'elle est sacrée, c'est juste pour... Mais c'est ça l'humanité : Je crois que je tiens là une parole historique ! Oui : Un singe, lui, Alors que les humains, eux, D'où l'invention de la météo, la conquête de l'espace... etc. (1) Ne vous vexez pas : moi aussi je passe mon temps à le perdre ! )