Blaquière

Il me restait donc deux problèmes à régler : Premièrement éviter que le régime nazi prenne possession de l'Eurofighter Typhoon Et deuxièmement... REGLER SON COMPTE à oncle Herbert !!! Le premier problème fut assez simple à résoudre... Il m'a suffit de précipiter mon appareil contre une falaise rocheuse à pleine vitesse ! Bien sûr après m'être éjecté ! Pas si couillon ! Ce n'est pas avec mon siège éjectable et ce qu'il en reste que les nazis pourront faire une avancée technologique fulgurante... Restait Onkel Herbert... Et vous savez quoi ? JE N'AI RIEN FAIT ! NEIN ! Je ne suis pas un assassin ! J'ai même été invité au mariage ! Il y avait Herbert, la zer shön Gretta bien sûr mais aussi Mon grand père Kurt le frère de Herbert, ainsi que l'ensemble des deux familles ... Imaginez dans quelle angoisse j'ai pu vivre toutes ces années ! M'attendant chaque jour, chaque heure à... à je ne sais quoi... A disparaître, à m'effacer, à m'estomper... MAIS RIEN ! Je suis toujours là ! On est en 1980 et je suis à présent un vieux grand père... Mais je suis toujours là ! Je ne comprends pas !... Mystère... A moins ?... A moins ?... Et soudain tout s'éclaire ! Kurt mein grant fater ???... ACH ZO ! ZETTE GOGUINE DE GRETTA !

Oui ! Merci ! J'ai regardé le film et comme je l'avais prévu j'ai adoré ! Bien sûr c'était à la gloire de la Navy, mais bon... on est habitué ! Kirk Douglass n'en faisait pas trop, c'est vrai ! Son rôle ne le demandait pas... Mais tu vas voir dans mon histoire comme le futur sait se défendre !

-- Nein Onkel ! Du bist nicht allein wir sint zwei ! (Non tonton tu n'es pas seul : nous sommes deux !) Mais il était déjà trop tard ! Pendant tout le temps de nos explications familiales, nous ne nous étions pas intéressés à nos ennemis, ni ne les avions attaqués le moins du monde, si bien qu'ils étaient passés bien au dessous de nous probablement sans nous remarquer et étaient déjà loin ! Herbert : -- Ch'ai pien remargué la gogarde zur ton avion : Il z'agit bien de notre groix de fer gomme zur le mien : Et du es zertainement de notre Luftwaffe aber che ne vois pas zet inzigne zur ta gueue : Moi : -- Z'est une longue hizdoire ! En 2024 d'où che viens, le Nazisme n'existe blus ! [C'est alors que je réalisais que si j'atterrissais là maintenant avec mon appareil moderne, cela risquait d' offrir à l'Allemagne nazie une avance technologique susceptible de changer le cours de l'histoire...] Herbert : -- Gue les nazis n'egzistent blus dans le vudur z'est une bonne josse ! [ La réputation de Onkel Herbert de ne pas aimer le régime nazi n'était donc pas une légende ! J'en retirais sur le champ une indéniable fierté... Sans penser que l'on soit nécessairement responsable de ceux qui nous ont précédés, ni qu'on doive en supporter en aucune façon une quelconque responsabilité, ou culpabilité c'est tout de même une grande fierté, et une grande tranquillité pour l'esprit que de savoir que nos devanciers étaient... "du bon côté" !... ] Mais cela rendait d'autant plus difficile la décision qu'il me revenait de prendre !!! Puisque la survie d'Onkel Herbert et son mariage prochain désormais inévitable avec Gretta impliquait ma propre disparition... Cas de Conscience number two ! Devais-je... Procéder moi-même à l'élimination de mon héros de Tonton ? (à suivre)

Oui ? Mais... et l'honneur ?... Pourquoi ne pas se lancer dans ... les univers parallèles ?... Là j'ai envie de les faire atterrir tous les deux sur une piste du IIIème Reich ! voir ce que ça donnerait... En cherchant un peu, j'ai découvert que les allemands avaient à cette époque déjà un avion à réaction !!! Le Messerschmitt Me 262, surnommé Schwalbe (Hirondelle en français) pour les versions de combat ou Sturmvogel (Oiseau de tempête) pour les versions chasseur-bombardier, fut le premier avion de chasse opérationnel à moteur à réaction de l'Histoire1, construit par la société allemande Messerschmitt pendant la Seconde Guerre mondiale. 4 avril 1941 : Premier vol du Me 262 V1 avec moteurs à pistons Jumo 210G ; 18 juillet 1942 : Me 262 V3 avec turboréacteurs Jumo 004 A-0 ; 7 juin 1944 : Me 262A-1a 30 juin 1944 : première unité combattante expérimentale (Ekdo 262) ; septembre 1944 : première unité régulière (III/ZG 26, très vite devenu III/JG 7). Vitesses : 870 km/h à 6 000 m (soit Mach 0,70, comme une Caravelle) ; 830 km/h au niveau de la mer ;

Je pensais à "Herbert" Camus" Dans sa "lettre à un Allemand" : "je préfère mein Onkel à la Justice !" (1) Lors, j'exultais dans mon micro : -- Nein Onkel ! Du bist nicht allein wir sint zwei ! (Non tonton tu n'es pas seul : nous sommes deux !) (à suivre...) (1) Mon histoire se trainait un peu quoi qu'en plein ciel au raz des pâquerettes ... j'avais besoin de relever le niveau... En plus la musique de Haydn pour l'hymne allemand est vraiment trop belle ! Tu casses toute mon intrigue ! mais je suis quand même fier que tu aies si bien suivi mon histoire débile ! @Phylou

Nous en étions où ? Nous sommes en 2024. Subséquemment à son absorption inopinée par VORTEX TEMPOREL vraisemblablement dû à un orage magnétique (banal !) Le jeune pilote Hans Müller de la Luftwaffe à bord de son appareil un Eurofighter Typhoon ( ) se retrouve projeté dans le ciel de l'Allemagne de 1943 en plein combat aérien contre les forces alliées ! Il y retrouve son oncle Herbert Müller en mauvaise posture à bord de son Messerschmitt : Lequel aurait d'ailleurs péri au cours de ce présent combat dans le passé en 43 ... _______________________________________________________________ Les larmes aux yeux, je hurlais dans mon micro : -- Onkel ! (-- TONTON !) [Tempête sous un Crâne ! Le cas de conscience number one (N°1) qui se posait à moi était donc : "Ai-je le droit de me battre au nom d'une Allemagne Nazie dont on connaît aujourd'hui toutes le horreurs contre les Démocraties Alliées dont je suis moi même maintenant un des fers de lance défenseur ? Et surtout à bord d'un appareil de fabrication... européenne ! Dont l'Angleterre ! ] Herbert : -- Vasistas ? Gui me barle ? Moi : --Ich bin Moi ! Ton betit neufeux ! Herbert : -- Aber che n'ai bas de betit neufeux ! Moi : -- Che gombrends ton étonne ! Aber che viens du Vutür ! Herbert : -- Es ist meueuglish ? (Est-ce possible ?) Moi : Jawol ! Che zuis le betit fils de Kurt et Gretta ! Herbert : -- WAS ? Aber Gretta ist meine fianceu ! Moi : -- Ich weiß (je sais !) Mais puisque tu étais Kaput Kurt et Gretta (mein grand fater unt meine grand muter) ze zont gonzolés de leur Jagrin enzemble ! Herbert : NEIN ! Ze petit zalopiaud ! Tu crois gue che ne l'ai pas fu regarder meine shön Gretta de zon regard GONGUBIZZANT ? Blaquière : -- Eh ? Les deux Charlots ? Gongubizzant mon gul ! Faudrait pas oublier que vous êtes aux prises avec une escadrille ennemie ! Vos histoires de familles elles peuvent attendre ! Non ?

Affirmatif !

Des bribes de conversations à peine audibles dans le lointain me parvenaient ... Et aussitôt je suis monté en chandelle pour me tirer de ce bourbier (et toc Monsieur @hybridex!) Mais est-ce l'altitude, ma position ? Le fait est que la conversation grésillante me parvint à cet instant forte et claire. je la reçu dès lors... cinq sur cinq ! (Fünf gegen fünf !) (ça, ça y va bien ce "5 sur 5" là, on s'y croirait ! Les amateurs : Camembert !) Et savez-vous ce qu' j'entendis dans mes écouteurs ? -- Das ist Pilot Herbert Müller! Ich habe hundert feindliche Flugzeuge vor mir und ich bin allein : Ich werde angreifen ! " (Ici le pilote Herbert Müller ! J'ai devant moi une centaine d'avion ennemis et je suis seul : je passe à l'attaque !) (Si c'est pas de la graine de héros, ça !) Peut-on imaginer l'émotion qui m'étrein... qui m'étreindit ? (J'en perds mon français !) Les larmes aux yeux, je hurlais dans mon micro : -- Onkel ! (-- TONTON !) (à suivre...)

Mais j'ai pas dit que je faisais un vol stationnaire, c'est en une fraction de seconde qu'il a reconnus ces avions de la guerre de 40 ! " Un pilote est toujours aware une fois ! " (J-C Vandamme) Après il est monté en piqué (disons en chandelle) pour se dégager ! Non mais ! Ach !

Avec Kirk Douglas : c'est trop le bonheur !,

Merci ! j'adore ces films, je vais me régaler !

C'était un raccourci. mais l'idée de Shakespeare est juste fausse. Si la mort n'était qu'un sommeil on y rêverait sans doute, mais est-ce le cas.? Non ! Et pourtant ça nous fait réfléchir... en toute erreur... Shakespeare donne ainsi une interprétation raisonnée et convaincante de l'au-delà ...

Tu me tues, là ! Moi qui étais persuadé d'être original ! En plus j'ai du le foir ze film... mais... ATTENDS LA ZUITE !

Devoutly to be wished to die to sleep ! To sleep, perchance to dream, ay there's the rub, For in that sleep of death what dreams may come La mémoire est étonnante je l'ai appris cette tirade par coeur en cinquième et je la sais toujours, mais jusque là seulement : To sleep, perchance to dream, ay there's the rub, For in that sleep of death what dreams may come When we have shuffled off this mortal coil Must give us pause—there's the respect That makes calamity of so long life... C'"était surtout le "o" long de "pause" qui me plaisait beaucoup ! un mot qu'ils ont dû nous piquer ces anglais !

Les idées, les idéologies, les alliances vont et viennent, mais un soldat n'a qu'un honneur ! Plein gaz vers ces envahisseurs ! Ce qui est sûr c'est que du côté de la tour de contrôle, depuis que j'étais sorti du nuage, c'était le silence complet. Ce qui confortait mon intuition qu'elle avait bel et bien été détruite... Mais mon appareil (l'Eurofighter) possède entre autre informatique un programme avancé de recherche d'Ondes Hertziennes... Et comme chacun sait -- sir les longueur d'ondes couramment utilisé actuellement par l'aviation se situent plutôt entre 108 et 132 MHZ --... (1) Le programme informatique a découvert rapidement un créneau utilisé à ce moment précis vers plus de 150 MHZ ! Une longueur d'ondes qui n'est plus utilisée für eine lange Zeit... Oh pardon : depuis belle lurette ! (Ach diese franzosen : choli langache !) les quelques 10 kilomètres qui me séparaient de cette foule d'objets repérés sir la droite par le radar vue la rapidité de mon appareil furent parcourus en quelques secondes.... et une fois situé à un millier de mètre seulement, je pus mieux réaliser de quels type d'engins il s'agissait : Je m'exclamais : Mein Gott ! Mais ze ne zont que des fieux coucous ! ( @Phylou tu piges toujours aussi bien mon allemand ?) Il ne pouvais s'agir que d'une reconstitution historique, d'une fête de l'Air... Rien de si dramatique donc... Si ce n'est qu'au même moment mon récepteur radio qui venait de se fixer sur le canal de 158 Méga Hertz émettait de forts crachotements... Des bribes de conversations à peine audibles dans le lointain me parvenaient ... (à suivre ) (1) Vous pensez bien que j'en sais foutrement rien ! Mais il faut être crédible, précis et méticuleux dans ce genre de récit ! 108 et 132, c'est des chiffres trop précis ! ça ne peut qu'être vrai ! Comme 158 !

J'aime bien ton image ! Mais peut-être que tu es TOTALEMENT A COTE DE LA PLAQUE ...

C'est vrai que Shakespeare est la référence en matière de rêve ! "To die, to sleep, no more but in that sleep of death what dreams may come ?" je demande à "google trad" de traduire : "Mourir, dormir, pas (rien de) plus que (mais) dans ce sommeil de (la) mort, quels rêves peuvent naître ?"

¨pour moi ce serait plutôt le contraire... ce serait le fait que je vole qui me semble plus réel que de pas voler ! Et je me dis : "c'est vrai j'avais oublié que je pouvais voler ! Et c'est ça la vérité !" Je crains aussi le vertige. Quand j'ai peur de tomber, c'est la sensation précise d'avoir la fourmi dans le bas des jambes. Même dans un jeu vidéo ça me le fait parfois ! Mais aussi, je me souviens qu'avec de l'entrainement et comme un habitude, la sensation de vertige s'estompe énormément ! A l'armée quand on faisait l'escalade, les descentes en rappel, les tyroliennes, j'avais pris l'habitude de ce vide sous moi. tout la hauteur n'est plus ressentie comme une panique absolue, un gouffre, mais est convertie (comme fans la descente en rappel) en nombre de "brasses" pour arriver jusqu'en bas... En tout cas c'est comme ça que je l'ai compris ou senti... Avec le temps et le manque d'exercice, d'accoutumance, le vertige est revenu ! Mais je sens que je pourrais à nouveau facilement me... raisonner !

...tout était redevenu normal autour de moi... Normal ?... Oui pour le cockpit et tout ce qui m'entourait. Mes commandes répondait aussi parfaitement... L'étonnant, le bizarre, c'était surtout ce qu'affichait le radar. Sur la droite de l'appareil il signalait un nombre impressionnant d'échos. Toute une nuée de points. Aucun doute, je n'étais plus du tout seul dans le ciel ! J'ai tout de suite pensé à ce fou de Poutine ! A-t-il osé ? parce que le dernier incident où je pensais avoir été foudroyé trouvait ainsi une explication plausible : Si ce fou a décidé d'intervenir contre l'OTAN, Contre l'Allemagne, pourquoi pas à commencer par une attaque nucléaire ? Et en premier, détruire de cette façon, je veux dire vitrifier --entre autres-- la base aérienne d'où j'ai tantôt décollé, la base de Büchel toute proche... Car en effet qui peut connaître exactement les effets d'une explosion nucléaire aussi proche ?... Cette fluorescence ? Cette sensation de néant... Pourquoi pas ? Quoi il en soit ou fût, moi, pilote de la Luftwaffe, Soldat Allemand en "état de marche", il me revenait quoi que seul et que ce fût inattendu d'aller au contact ! Je ne me suis jamais imaginé de la race des héros, mais j'ai été élevé dans la vénération de mon grand oncle Herbert, Herbert Müller, lui aussi pilote de chasse qui bien que notoirement anti nazi, avait été abattu dans le ciel d'Allemagne par l'aviation alliée pour défendre... NOTRE pays. Les idées, les idéologies, les alliances vont et viennent, mais un soldat n'a qu'un honneur ! Plein gaz vers ces envahisseurs ! (à suivre)

J'hésite : dois-je écrire la suite ici... à la suite ou ouvrir un nouveau post numéroté (suite1,2,3...) à chaque fois ? Bon je commence ici : Hier, j'effectuais un vol d'essai... Après avoir décollé de la base aérienne de Büchel (Rhénanie-Palatinat) comme d'habitude... Et m'apprêtais à rentrer au bercail. |Wie sagt man „bercail“ auf Deutsch? Geheimnis!! (comment dites-vous "bercail" en allemand ? Mystère !!)] Certes après avoir fait ma boucle sur la droite, j'ai bien aperçu ce nuage un peu trop noir devant moi. Mais il semblait assez court, assez peu étendu et je ne pouvais que le traverser en quelques secondes. Le relief est absolument plat par ici autour de la base et je ne courrais donc rationnellement, objectivement aucun risque... Rationnellement... Rationnellement... Parce que soudain j'ai été foudroyé ! C'est en tout cas ce que j'ai cru comprendre... Mon appareil, la cabine de pilotage, et même mes mains, qui tenaient les commandes sont soudain devenus phosphorescents... Puis translucides... J'ai eu comme l'impression pendant quelque secondes d'être assis dans le vide, dans le néant... Heureusement cela a duré comme je viens de le dire seulement quelques secondes et je me suis retrouvé à nouveau dans mon cockpit habituel... tout était redevenu normal autour de moi... Normal ?... (à suivre)

Curieusement, non ! la racine a profité de ce que la terre avait été remuée autour du tuyau et a grossi en parallèle jusqu'à l'écraser, mais n'est pas rentrée dedans ! Ouf ! Mais l'année dernière j'ai bien fait la confiture d'abricots ! J'ai un peu peur maintenant après lui avoir coupé une racine grosse comme mon bras qu'il crève... Bizarrement, la racine de l'abricotier est de quelle couleur d'après vous ? Abricot !

Mein Name ist Müller : Hans Müller! Mein Job ist Pilot. Pilot in der Luftwaffe. Und mein Flugzeug? Es ist der Eurofighter Typhoon... Hier ist es : (Je m'appelle Müller : Hans Müller ! Mon Job ? Pilote ! Pilote dans l'Armée de l'Air.(La luftwaffe) Mon avion ? C'est l'Eurofighter Typhoon... Le voici : ) Ein wunderschönes Spielzeug ! (Un beau joujou !) -- Je me lance dans l'humour Allemand !-- Mais voilà ce qui vient de m'arriver aussi étonnant que ça puisse vous paraître. Hier, j'effectuais un vol d'essai... Après avoir décollé de la base aérienne de Büchel (Rhénanie-Palatinat) comme d'habitude... (à suivre...)

Sauf que même déniaisés, la plupart restent niais...

J'ai aussi fait ça la semaine dernière...

Ce que vous ne comprenez pas c'est que les Juifs (d'Israël) et les Arabes (de Gaza) c'est comme les chasseurs : Il y a les bons et les mauvais ! Certains tuent gentiment, d'autres méchamment : ça fait toute la différence...