-
Compteur de contenus
19 162 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
2
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Blaquière
-
Je n'ai qu'un mot : Bravo ! Ma rime est pauvre... Mais méritée ! Mémé-héritée (Poussé dans les hosties) de la ligne au dessus (Parfois je me mélange un peu!) Chercher la rime à "pauvre" m'a déçu ! Certes le pauvre est peu pansu Mais à ce point, qu'il ne rime avec rien... C'est un coup de massue ! Bien sûr Zola l'a romancé Et bien d'autres ont recommencé Mais qui ose le poétiser ? Sans pour autant traumatiser ? La si belle société, Lui arracher quelque pitié ? Qui a jamais pensé faire rimer pauvreté Et beauté ? Bien mieux rime "misère" Avec colère...
-
Il y a beaucoup de choses que j'approuve et d'autre devant lesquelles je coince ! J'avais (jadis !) l'habitude de dire : "Van Gogh était (peut-être fou) sauf quand il peignait...." Ce qui ferait de la création un peu un exutoire à la folie. Il faudrait mieux définir la folie, Mais est-ce possible ? Des mécanismes communs sont sans doute en jeu, dans toutes les folies (censure, traumatismes...) mais le terme générique de folie vise une chose qui n'existe pas : il n'existe que DES folies, pas LA folie. Des folies qui se "soignent" par l'oeuvre, des folies où l'oeuvre n'est qu'une ouverture momentanée sur l'inconscient. De façon générale, je pense que les (vrais !) créateurs ont un rapport privilégier entre le conscient et l'inconscient. Mais tu avais bien dit : encore faut-il avoir quelque chose à exprimer ! La proximité entre conscient et inconscient, leur possibilité de communication est un trait commun entre les fous et les créateurs. C'est peut-être l'expérimentation personnelle qui peut nous faire mieux comprendre ces... mécanismes ? Comment devenir "un peu fou" ? "Un peu créateur" ?! Fou, il faut un grand traumatisme, créateur, se "débrouiller" pour que ça sorte....
-
Qui' en bon Ulysse de banlieue N'a rien trouvé de mieux Que gratifier sa Pénélope.... Ha la S...... ! (Rime riche, je développe !) Ne vous méprenez pas Et c'est presque un faux pas : Seulement l'attraction (Comme un jeu) de la rime En rien je ne la mésestime : Leur ordre c'est le goupillon... Les deux vont maintenant Poireauter leur vingt ans... Ne soyons pas trop chiches : Ulysse oblige ! Un poireau pour le fion direz-vous ? Ça n'est pas là sa place ! De grâce Qui d'autre se dévoue ?
-
En dépit de leur fausse bouille Certains l'ont bien bordé de nouilles ! Après avoir parlé de fion (et là on parle du croupion) Tu passes à la politique Est-ce un hasard ? Ou la critique ?! D'un sourcilleux et triste Ancien premier ministre ?!
-
Je suis un aventurier,! Avecques moi, il faut compter : J'ai eu un' carrie à Cordoue, Un' pleurésie En tunisie ! Et des pneumocoques A Bangkok Oh là, là ! J'eus la syphilis A Memphis ! Et tordu le cou A Moscou, Et me suis perdu A... Toulouse ! Oh là, là ! je m'suis cassé l' dos à Bordeau Et perdu ma dent A Sedans Et tout' mon oseille à Marseille ! Oh là, là ! Et à Paris, Là j'ai pas ri ! Et je m'suis viandé ! A Evian Et pris un rateau A Quito Et un taco A Bamako ! Je suis un aventurier, A moi faut pas m'en raconter ! Je suis un aventurier, J'en ai vraiment beaucoup bavé !
-
Est-ce donc si... si... si ringard de parler de la p-p-pluie ? Ou du so-so-soleil qui cucu...cu...cuit ? Des cieux qui-qui-qui t-t-tombent. en caca...cataracte ? J"en suis ma-ma malade ! Je m'insu-su-surge ! --Hypocondriaque ? --Non c'est-c'est la pu-purge ! (Tout ça pour ça ?!!!)
-
Je suis tombé sur ça, j'ai éclaté de rire trois ou quatre fois, je vous en fais profiter c'est un peu dans le même esprit qu'ici !
-
Puisque ça a l'air de t'amuser, je croyais n'avoir mis que "les dindons"" et l'autre jour, j'ai retrouvé "les coquilles d'huîtres" que j'avais mis sur Youtube. Parole de Debraux (un autre Émile !) et musique de mézigue...
-
Je viens d tomber sur ça ! Gorz démontre dans ce texte que le vieillissement d’un homme est d’abord un vieillissement « social ». Nous vieillissons, dit-il en substance, parce que les recommencements nous sont progressivement de moins en moins possibles et que notre passé devient toujours plus la préfiguration de notre avenir. Sans commentaire ! Gorz a écrit : "le traitre" Avant propos de Sartre. Exceptionnel.
-
Comme bien trop souvent Mon discours s'est perdu dans le vent Et mon "c'est un peu court" Cherchant la précision Tourna en dérision Vos agresseurs intrus Tous ces vils malotrus ! En fait j'eusse voulu trouver ces farfelus J'eusse voulu les noms, les lieux Les trouver sur le pré Quand s'allument les cieux et là les MASSACRER ! Qui sont donc Ces couillons ?!!
-
J'ai pas tout lu : y a trop de pages ! Mai je pense qu'il faut dénoncer une idée fausse que j'ai vue plusieurs fois ; "Les grands lecteurs ont une meilleure orthographe." Non ! Cela dépend des formes, des tournures d'esprits. Je lis relativement toujours, et je ne retiens absolument pas l'orthographe des mots que je lis ! C'est comme ça ! Pour retenir l'orthographe d'un mot, il faut que je l'écrive. Pis que ça : faut que je l'écrive A LA MAIN ! Autant dire que depuis l'ordi, depuis le début ds années 90, mon orthographe est en chute libre ! M'en fous, on a les correcteurs ! Mais à l'idée de devoir écrire à la main, presque je panique ! Comment expliquer cette tournure d'esprit (ou cette carence) qui fait que je ne photographie pas les mots que je lis ? 90% de bêtise je crois ! Je vois pas autre chose. Parfois je me troube une excuse... Je me dis que je suis obnubilé par le sens et pas pas la forme du mot... C'est un peu facile ! Je devrais mieux photographier, et je n'y arrive pas. En quatrième, on avait un prof de français qui devait savoir ça... Qu'on n'était pas tous égaux devant l'orthographe ! Ils nous disait "quand vous faites un faute (d'usage, surtout), vous écrivez le mot dans un carnet, et de temps en temps, vous le réécrivez : vous finirez par le connaître." Étudiant, on écrivait plus de 20 pages par jour, et je ne faisais plus de fautes (pratiquement). Pour moi, (dans mon cas) c'est une question d'entraînement.
-
Ah ça, C'est un peu court, MA Dame ! On pourrait dire en outre bien des choses infâmes ! En variant le ton, par exemple tenez ; En Figure-hâtif : "Oui ! Tous ces "pauvres d'eux" je les ai dans le nez !" Ils pérorent et se gaussent et ne sont que benêts ! Digestif ; Ça c'est "fort de café", après vient la liqueur ! Je leur fais ravaler ce que j'ai sur le cœur ! Abrasif : Z'ont gâché ma journée, J'vais les assaisonner ! Discursif : Ils s'écoutent parler ? Je m'en vais les gifler ! Curatif : Z'ont des fuites, les garçons ? Je leur mets le bouchon ! Subversif ... je suis très possessif ; Enlève ton sous-tjf ! (Non, là je déconne !)
-
Oserai-je préciser que quand j'ai dessiné mon violoniste, je pensais... Et j'y pense encore à Stéphane Grappelli ?
-
Je trouvais que le vieux dessin de mon "violoniste rouge" était TROP BEAU ! (Mais les couleurs nulles !) Alors, je m'amuse... Pour garder la netteté du dessin : le négatif ! "Violoniste la nuit" : Pour le rendre plus incertain, plus approximatif : 'Le Violoniste Flou" : Et le meilleur mélange en couleur à mon avis : 'Le Violoniste de Pompéi " !
-
Bien vu le sofa de Poltroné ! Cette pub, ça me fait poiler ! Mais là faut que j'y aille Tendre ma toile de travail. Je reviendrai dans quelque temps plonger dans ce bain exaltant...
-
Bon faut qu j'aille travailler... Sans gilet jaune : merci Closed ! Vendre mon âme et ma sueur je rejoue Faust ! Sans rouscailler...
-
Mais je suis du genre araignée Je tends ma toile en filaments Et là j'attends ! Que l'on me supplie de reigner Je ris, mais c'est la vérité Sans la moindre célérité Je suis un chasseur "à l'espère" et je ne cours jamais : j'espère ! L'espoir fait vivre nous dit-on En fait je ne suis qu'un poltron...
-
Ça, c'est pas rien !
-
Je crois que je vous ai bien eu ! Ma tactique est d'un escrimeur : Je mime le gars abattu Le gars qui n'est qu'un amateur/ Là, l'adversaire N'a plus peur ! Et du tout ne se méfie plus... Puis devient par trop téméraire Je suis bien le roi des bluffeurs feignant celui qui n'en peut plus Et je glisse mon estocade En son cœur qui bat la chamade Et elle tombe en pâmoison... Moi ? Là, je la comble à foison !...
-
Qu'avez-vous donc trouvé Par ma poche trouée ?
-
Je vous suis : c'est les rats Scélerats ? Qui grignotent la laine Et vos doux bas de soie J'ai la haine J'abois ! Mais ma poche est trouée Sans le sou ! Et vous voilà flouée..
-
J'ai trop bu : Me voilà au rebut ! ...
-
Oui, oui, j'ouïs votre appel ! Et je joue ici même A qui m'aime... En charnel ? J'arrache vos dentelles ! Corporel ? Une tarte à la crème... Ou en spirituel ? Un poème : Un dilemme C'est du conflictuel En sado ? c'est cruel ! je dis non aux oedèmes ! A l'hôtel ? Le pire stratagème ! Au flûteau, ménestrel ? Artiste ? La bohème ! Sur la Tour de Babel ? Je Blasphème ! Non je ne compte pas quand j'aime : Mon défaut, c'est d'aimer à la pelle...
-
Mais qui donc est à terre ? Cette idée-là m'atterre... Tu es "bêle" Ô mouton ! Je me pèle Le jonc ! L'hiver n'est pas fini Et le froid infini...
-
Toutes ces suggestions troublent ma digestion Et si ma rime est riche dans le réel je triche ! Mettre la barre haut ? En serai-je capable ? J'ai beau faire le beau, je ne suis qu'un beau Diable...
