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Tout ce qui a été posté par Con testeur
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Stephen Hawking peut en effet manger, boire et dormir sans mal. Depuis 1974 Stephen Hawking ne peut s’alimenter seul et depuis 1984 son état nécessite une infirmière à ses cotés 24 heures sur 24. Il a été diagnostiqué à 21 ans de trouble moteur neuronaux et quelques années plus tard de sclérose latérale amyothrophique le laissant confiné dans un fauteuil roulant sauf pour dormir. Deux personnes sont nécessaires soit pour le mettre au lit soit pour l’en sortir. Stephen Hawking ne peut ni parler (il est branché à un synthétiseur couplé à un ordinateur programmé pour reproduire un semblant de voix humaine), ni respirer de façon autonome sans l’assistance d’un respirateur. Ce qui ne l’empêcha pas d’occuper une chaire à Cambridge University, chaire laissée vacante depuis la mort d’Isaac Newton. Stephen Hawking est comparé par ses pairs comme le plus brillant physicien théoricien depuis Albert Einstein. Présentement il est Directeur du département de physique théorique à Cambridge. Con testeur.
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Il y a des mots faits pour taire les hommes Et leurs idées: ‘’phoque les animalistes.’’ Des mots si lourds que si on en fait la somme, Sont truands tous zélotes séminaristes. Des mots menant à la haine, au lynchage. ‘’Guerre, révolution, pogrom.’’ Mots terribles! Annonçant ‘’l’homme nouveau’’ à coup d’affichages. Fiel d’avanies mêlant à l’horreur l’horrible. Ya des mots comme il en est de la musique: ‘’Suave, doudou.’’ ‘’ Liquoreux’’ à l’oreille. Ruisseaux de bonheurs tranquilles et magiques. Des trésors en mémoire à nuls autres pareils. Ya des mots porteurs d’espoirs: ‘’Poupon, amour, Voyage, amitié.’’ Mots qui toujours résonnent. Pour refaire le monde encore chaque jour, Accordez-moi six voyelles et vingt consonnes. Con testeur, Les mots.
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Un corps n'a besoin que d'apports matériels pour survivre. Un esprit, lui, a besoin d'un corps en état, et de s'assurer de cet état correct. Nous n'échappons pas à cette règle-là. Je crois que c’est faux. Un esprit peut fonctionné, très bien même, dans un corps plus ou moins moribond. Stephen Hawking en est la preuve depuis plus de 50 ans. Con testeur.
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Au fil du sentier Des rossignols rossignent. Tout vibre aux abois. Là dans l’atelier Des chignoles s’échignent Aux fibres des bois. Plus loin au détour Un ruisseau se bohème. Feuilles sur l’onde. Un couple en amour Roucoule ses je t’aime D’heures en secondes. Au loin dans l’étang, Canardent quatre cannards. Je n’ai plus de pain Ni même un instant. C’est qu’il se fait déjà tard! Je reviens demain. Et là au foyer, Ma chatte fait sa belle Puis s’est endormie. Un jour de gagner; Bienheureuses chez elles, Sourient les souris. Con testeur, La piste cyclable.
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Vous étiez au Machu. Au soleil occident de l’Inca. Au Luzon des terrasses à faire les cents pas. Au Cancun des pêcheurs sous un abri d’infortune. Tant pieuses que muettes aux regards d’une Lune. Vous avez connu la bohème des soirées italiennes. Découvert l’Amérique et ses pistes indiennes. Serpenter le Napo afin que mes rêves voguent. Sur le pont d’un radeau, au fond des pirogues. Vous vous êtes réchauffé au soleil du Bromo. Avez-eues grand froid au bolivien Altiplano. Chercher les sorties d’un dédale angkorien. Et dormis à la pluie sous des ponts brésiliens. Je vous ai malmenées. Aurai-je votre pardon? Pour la route dernière je me veux ce compagnon. Au départ sans retour vers l’Andromède nuage. Serez-vous, chères amies, avec moi du voyage? Con testeur, Les vieilles sandales.
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C’est un lac sans nom où les voix des buissons, Frémissent au matin d’une brise de passage. Sur ses eaux étalées se mire une saison. C’est une goutte d’azur où baignent des nuages. Sur tes rives ceintent d’ondulantes collines Une année est passée. Et je sais de mémoire Qu’en ce jour naissant on entend et devine, S’ébattrent les coeurs d’une faune à ta gloire. Que douce fut la nuit! Que l’aurore flamboie! Dans l’écho résonant de ma quête incertaine, Fôlatre mes pensées. D’hommages en émois, Sans cesse sur tes flots mon regard se promène. Beau lac dont juillet cherche à céder la place. C’est de joie agacée qu’en cette heure matine Je réclame pardon pour toute cette audace D’un élève plagiant, Monsieur de Lamartine. Con testeur, Le lac (hommage à Lamartine).
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La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans
Con testeur a répondu à un(e) sujet de Jedino dans Environnement
Le temps qu’Il fait c’est du temps qui passe. -
La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans
Con testeur a répondu à un(e) sujet de Jedino dans Environnement
Marrant, j'ai toujours entendu dire que l'homme pouvait tout faire, sauf changer le temps..!! Hé bien, faut croire que si, apparemment..! C’est pourtant pas compliqué: t’as qu’à voyager à la vitesse de la lumière. Le temps pour toi ne sera pas le même que celui d’un observateur immobile. Einstein l’a démontré. -
Avec elle au bout du monde J’en aurais fait ma blonde. Ici même dans l’gros avion, Si tous les deux nous avions De l’intimité. Faut la voir dans son blouson. Dans l’allée, offrir des bonbons. Je nous vois déjà à l’escale, Courir ensemble vers ce local D’intimité. Sur son visage y’avait l’soleil. C’est incroyable des yeux pareils! Rendu chacun à destination, Lui ai posé un tas d’questions. Sur l’intimité. Est apparu sur l’entre fait. Un Commandant, un mec parfait! Serais-ce possible à mon âge, De suivre un cours de pilotage Ou d’intimité? Parvenir du haut des cieux Entre les balises de ses yeux. Et stationner tout en douceur Sur le tarmac de son cœur. En toute intimité. Con testeur, L’hôtesse de l’air.
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Gaz de schiste : révolution énergétique ou catastrophe environnementale ?
Con testeur a répondu à un sujet dans Environnement
Et bien moi je prédis que la France dans 15-20 ans consommera des milliards de mètres cube de gaz de schiste… qu’elle achètera d’autres pays voisins ayant autoriser son extraction sur leurs sols nationnaux. Vive la France ‘’pas dans ma cour’’ mais dans celle des autres! -
Chacun détient sa montagne à gravir. Trouer l’espace, trouver sa quête. Pour l’un c’est la traque de la Bête, Pour l’autre des étoiles à cueillir. Sont-ils parvenus? Y sont-elles déjà? Vont-ils faillir? Qui depuis le berceau, Qui à l’heure de s’étendre au tombeau Peut dire: j'ai connu mon Himalaya! Tous cependant sommes les mêmes; Grimpeurs d’idéals, chercheuses toujours. Atteindre, ne serait-ce qu’un seul jour, La hauteur, le sommêt de soi-même. Con Testeur, Les vertiges.
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Une soirée de la Saint Valentin. Le décor : Grotte de Lascaux, février -31 687 avant J.C. près de Montignac en Dordogne. Dehors il gèle à pierre fendre. Un relent de viande de renne bouillie se mêle à l’odeur de carbone dégagé par un feu au pied d’un éperon rocheux. La décoration des parois, l’étalage des peaux suspendues et un certain ordre dans le rangement laissent croire que les lieux sont occupés par une célibataire. Les acteurs : Neandertal. Plutôt grand, arcades sourcilières prononcées lui donnant un air hautain, menton fuyant, hanches larges, tronc en forme de cloche, poilu, veste de bison fermée par des arrêtes de brochet, pantalon de cerf cousus de tendon de mouflon, moufles de toison laineuse de mammouth, bottes de poils d’ours brun. Neandertal dégage un âcre parfum de musc d’aurochs, parfum emprunté d’un beau-frère, supposé connaisseur de rendez-vous galants. Cro-Magnon. Plus grande encore (suédoise avant l’heure?), menton pointu, les hanches plus étroites, mamelles peu velues où poussent deux framboises alléchantes, narines poilues transpercées d’une longue phalange, savates de cuir racorni laissant entrevoir des doigts de pieds écartés, les gros orteils désaxés. Un début de duvet de moustache barre la lèvre supérieure. Elle dandine des épaules en marchant. Une Beauté! Le scénario : Cro-Magnon a invité Neandertal comme ça. Aussi parce qu’elle s’emmerde et que c’est par pur hasard si la soirée coïncide avec la Saint Valentin. L’action : Neandertal roule la pierre d’entrée de l’antre. Il présente deux gros glaçons cueillis près du ruisseau aux castors, en guise de boisson à faire fondre. À sa vue Cro-Magnon affiche un sourire excité, laissant entrevoir plusieurs caries parmi le jaunâtre de l’ivoire. Neandertal est troublé…ou amoureux. Lui et ceux de son espèce ne rêvant pas, il ne fait pas la différence. Des filets de baves gelées collent aux poils des babines charnues. Cro-Magnon feint du regard d’ignorer le cadeau d’occasion. Justement. Enveloppé dans une fourrure de loup, le cadeau fait son apparition. Une guêpière en peau de renne, breloques de coquillages serties au décolleté et plumes de perdrix pour la fantaisie. Le dernier modèle made by Neandertal, qui a manqué de temps pour gratter à fond la peau. Au revers, de fines lanières de viande laissent suinter un peu de gras. Une guêpière mangeable! La nuit sera longue j’espère, se dit Neandertal. Cupidon folâtre dans la grotte tel un gros taon, le vol alourdi par l’arc et les flèches. Pointant partout et nulle part à la fois, tenace, il mitraille et manque sa cible à la moindre décoche. Il s’inquiète vu le nombre de flèches diminuant dans le carquois. À ce rythme la soirée va être courte, pense-t-il. Soirée de boustifaille arrosée d’eau fraîche et froide. Lampe à suif et bouquet de folle avoine séchée trônent par terre au centre de la grotte. Neandertal se gratte l’entrejambe entre deux lapés et renifle chaque bouchée avant d’avaler. De temps à autres il s’étire pour éjecter un rot. Cro-Magnon saisi la bouffe par pincette, la porte d’abord à son nez, l’hume abondamment puis l’ingurgite d’une sape. Parfois elle laisse de coté une pincée de viande pour se curer les dents à l’aide d’une arrête de saumon tout en passant sa langue entre la lèvre et les dents supérieures. Ou alors elle soulève un bras et se gratte l’aisselle de l’autre main. Neandertal semble apprécier la vue d’une mamelle remontée. Il éructe de bonheur et n’a d’yeux que pour la belle aux gros nichons, euh pardon, aux crocs mignons. Des flèches sifflent de partout. Cherchant leurs cibles, elles terminent leurs trajectoires sur le sol en un bruit sec. Ce qui agace Cro-Magnon qui est la seule à entendre ce tintamarre. Le taon-archer s’énerve, récupère quelques flèches et tente une nouvelle manœuvre. Œil fermé, l’autre ouvert vers la cible, langue au coin de la bouche en demi-sourire, respire profond, arc bandé. Zwing! La flèche d’amour, terminée d’une pointe en cœur rouge ardent, passe à deux mètres de l’épaule de Neandertal et se fiche en plein dans le feu. Songeur, Cupidon va s’asseoir sur un banc de pierre et prend la pose du Penseur de Rodin. Le vent hurle à l’extérieur. Il poudre de fines poussières d’or blanc. Calme plat dans le caveau. Le temps s’écoule et la pénombre s’est installée à la faveur d’un feu qui n’est plus que braises. Palabres entre convives où Neandertal raconte des scènes de chasse mémorables et de pêches miraculeuses tandis que Cro-Magnon avoue user de son temps à peindre les parois de la demeure sinon à changer le peu de mobilier de place. La tension est à couper au couteau. On badine sur la température qu’il a fait aujourd’hui, du temps qu’il fera demain. Le taon s’est remis à l’œuvre, le temps de rater quelques tirs, puis déclare forfait. De toute façon il n’a plus de flèches. Ou bien elles sont cassées ou bien ils ne les cherchent plus. Il s’envole au plus sombre de la grotte, la tête entre les ailes. Cro-Magnon se demande quand le gros bêta va enfin se décider à bondir sur elle, tel un fauve en rut, jetant son dévolu sur une proie consentante. Neandertal, qui n’est pas doué pour les préambules, songe à l’endroit favori de la maîtresse de maison; ici même sur place ou sur la paillasse d’herbes sèches recouverte de peaux de mouflons? Pour détendre l’atmosphère Cro-Magnon feint d’aller au petit coin, afin de préparer une mise en scène. Neandertal en profite pour inspecter du regard la demeure, s’attarde aux scènes de chasses et de bêtes familières; profils de chasseurs, taureaux, arcs et flèches, propulseurs, mammouths, lances, rennes. Taches d’ocres aux contours de noir de charbon dans un apparent désordre. Il a beau penché la tête à droite puis à gauche, s’approcher pour interroger des yeux et lire des doigts les parois, il ne saisit pas l’importance ni l’utilité de dépenser tant d’énergie à construire de telles bizarreries. Les femelles sont compliquées, songe-t-il. Il retourne s’asseoir près du feu, le regard fixe, tentant une dernière analyse des parois rocheuses. Ses paupières, plombées de fatigue, se referment lentement au gré des jeux d’ombres, projetées par le feu, sur les murs de la grotte. Neandertal s’est endormi, ennuyé par le dernier programme télé de la soirée! Cro-Magnon revient du petit coin toute pimpante. Démarche dandinante et roulement des hanches. Revêtue d’une guêpière à froufrous de perdrix, elle rehausse le buste des mains pour accentuer le sillon mammaire tout en cherchant du regard un spectateur…. qu’elle trouve ronflant, un filet de salive échappé sur la lèvre inférieure, en tenant dans la main droite une pierre de silex telle une télécommande. Furieuse autant que déçue, elle arrache la guêpière, la lance de dépit dans un coin et s’engouffre sous les peaux de sa paillasse. Neandertal a raté le strip-tease et Cro-Magnon rumine sa vengeance. Si Neandertal eut été rêveur, si Cupidon eut su tirer juste, si Cro-Magnon fût plus patiente, si… si…, peut-être qu’aujourd’hui serions nous filles et fils de Grand Père Neandertal et Grand Maman Cro-Magnon. Cupidon serait poilu et Valentine dandinerait des épaules. Mais voila, même si Neandertal et Cro-Magnon furent contemporains l’un de l’autre, se côtoyèrent à l’occasion, tous les deux ratèrent un rendez-vous avec l’Histoire sur un simple malentendu! Épilogue : Les filles; foutez-moi dehors le babouin qui se présente à votre porte avec deux bouteilles de blanc d’une main et des culottes mangeables emballées de l’autre. Les gars; glisser une paire de billets aller-retour pour les cataractes du Zambèze lorsqu’elle entrouvre la porte. Après le souper aux chandelles n’allumez pas la télé si elle s’excuse pour aller deux secondes dans sa chambre. Surtout n’en profiter pas pour fouiner parmi les tableaux des murs et les sculptures sur les étagères. Occupez-vous à ramasser les flèches qui traînent dans l’appart et demander à Guillaume Tell de viser quarante centimètres plus bas que la pomme rouge ardente déposée avec délicatesse sur votre tête. N’ayez crainte. On ne meurt pas d’une flèche en plein cœur un 14 février. Con Testeur.
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La banquise arctique pourrait complètement disparaître d'ici à quatre ans
Con testeur a répondu à un(e) sujet de Jedino dans Environnement
La banquise arctique est une banquise, c'est-à-dire une formation de glace à partir de l'eau de mer, et non pas une formation de glace sur une surface terrestre. Faux. L’Arctique est un continent, un sol sous une banquise de glace en hiver (la superficie des terres émergées est plus grande que la banquise). La fonte complète de la banquise c’est un nouvel apport d’eau. Ce qui aura pour conséquence un rehaussement du niveau des océans récepteurs. L’Antarctique, au contraire est un continent pour l’essentiel formé de glace (il y très peu de terre émergées sous la banquise). La fonte complète de la banquise antarctique ne rehausserait pas le niveau des océans puisque le volume occupé par la banquise (9/10 du volume étant déjà sous le niveau des océans) ne ferait que remplir (en eau) le volume ainsi libéré. Faites l’expérience : dans un verre d’eau, ajoutez des glaçons sans faire déborder l’eau. Chauffez le tout et le verre ne débordera pas. L’eau sous forme liquide occupe le volume de l’eau sous forme solide (la glace). Con Testeur. -
Nous autres dans l’rang on restait à 3 milles du village. Mon papa il avait deux voitures à cheval; une pour l’été pis une autre pour l’hiver. Celle pour l’été elle était plusse feluette* pis peinturée en noire avec du vernis dessus qui la faisait comme briller au soleil. À l’avait des sièges en cuir brun avec plein de boutons cousus dedans comme, pis dé grandes roues fines fines avec un cerceau en fer sur le dessus. Pour monter dedans y’avait un genre de tite échelle en métal avec des marches en bois d’arbre. Pis celle pour l’hiver à l’était plusse grosse comme pis plusse basse itou avec deux gros patins en bois pour glisser sua* neige pis sua glace. Aille, moé j’aimais ça la voiture d’hiver! On s’abrillait* avec une peau de buffalo avec du poil épais de même pis ma maman à moi à faisait chauffé des briques sul’poèle à bois. Pis là on mettait les briques chaudes dans le fond de la voiture, pis là là on s’mettait les pieds dessus quand on allait au village. On avait pas frette pantoute*! Dans c’temps là les chemins y’étaient pas ouverts comme asteure*. C’était plein de gros bancs d’neige qu’on aurait dit comme des montagnes dans l’chemin. Dé fois là, mon papa y cherchait ousqu’était rendu l’chemin. Pis dé fois là, c’était tout blanc partout, pis mon papa y savait toujours où qu’était le dur du chemin. On sé jamais perdus tsé! Aille moé là, quand j’étais avec mon papa j'avais pas peur pantoute! * feluette = fragile, délicat(e). itou = aussi, également. sua = contraction de sur la. abriller = se couvrir d’un drap ou d’une couverture. pantoute = du tout. asteure = maintenant, aujourd’hui, de nos jours.
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Pour une souris ça veut dire rêver d’un festin de chats. Pour un requin c'est des condoms faits d'habits d'hommes-grenouilles. Et pour ceux de la Finance c'est bouffer des maisons hypothéquées.