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Tout ce qui a été posté par Name

  1. Peut-être mieux que toi. Évidemment. Tout à fait. Exact. Tout à fait. C'est au contraire gérer une situation d'urgence dans les meilleures conditions en appliquant la procédure adéquate, révise les bases. Les policiers sont responsables et devront l'assumer. Ce n'est pas une raison pour exempter la victime de la sienne.
  2. Très. Il est en infraction, il prend son pv, il ferme sa gueule et il rentre chez lui, fin de l'affaire. Il a en conscience fait un autre choix. Ils sont responsables d'une mort qui aurait pu être évitée et par eux et par la victime. S'il a été utilisé, oui. La rébellion et l'outrage était elle nécessaire sur ces policiers ? Ce n'est pas la technique qui est en cause, c'est la durée d'étranglement. Oui, côté policier et côté victime. L'enquête le dira. Ajoute énervement non compatible à personne en infraction et suspicion d'avoir poursuivi en connaissance des conséquences. L'enquête le dira.
  3. Insinuation minable. Ni à l'un, ni à l'autre. Oui Gaston. L'empathie consiste à se mettre dans la peau des victimes du début à la fin. Cet homme s'est retrouvé en situation d'interpellation par sa faute, il ne faut pas l'occulter. Le fait qu'il soit mort ne l'exempte pas de cette responsabilité. Il ne doit pas être bien dans sa peau non plus. Ce qui pue, c'est de nier la responsabilité de la victime parce ça a mal tourné.
  4. Ce qui est écoeurant, c'est ce tribunal émotionnel avec tapis rouge déroulé par les médias sans que les policiers puissent répondre. Il n'est question que d'un père mort, d'une famille éplorée et d'une police assassine. Sur le fond, rien.
  5. C'est dommage, en obptempérant tranquillement aux forces de l'ordre, il serait toujours là et on éviterait le cirque.
  6. C'est gentil, mais non. Je cherche une substance dans les livres, pas une sagesse
  7. Mon père m'a initiée à la collection en m'offrant les premiers. Aujourd'hui j'en ai un peu plus de cinquante
  8. Name

    Les symboles

    C'est ça, le symbole est un, il s'adresse à l'un, à nous de dévoiler ce un dans les diverses interprétations. Exactement, pourquoi mener à quelque chose ? Mener tout simplement. On a là ce qui relie. Peut être que ce n'est pas notre vie qui change mais la vision qu'on en a.
  9. Name

    Les symboles

    Tu as raison, et la logique est affaire de raison. Or le symbole s'adresse-t-il à la raison, ou est-ce la raison qui s'adresse au symbole ?
  10. Name

    Les symboles

    Au contraire, ce sont ces interprétations qui mènent quelque part. Il y a dans ces interprétations différentes un esprit commun. En langue des oiseaux, notre un conscient. C'est dans l'unité qu'est la réponse.
  11. Name

    Les symboles

    Une façon différente d'aborder le sujet : il y a des symboles communs, pas d'interprétation commune en apparence. Et si le code caché était dans cette apparence ? Ne pas regarder au delà ou derrière, mais dans l'apparence ? Si au contraire toutes ces interprétations étaient les mêmes, mais exprimées différemment ? Le code serait alors ce qui relie ces interprétations entre elles, leur esprit ou leur substance ?
  12. Name

    Les symboles

    Tu penses ?
  13. Bien sûr que tu vas tomber dessus tout de suite, puisque ce sont les plus connus, sinon les lus accessibles. C'est bien en effet de lire avant d'affirmer. Il n'y a que toi pour penser que quelqu'un veuille déboulonner Dostoïevski. Dire que Dostoïevski avait des tendances sado-masochistes qu'il a expérimentées pschychiqyement et physiquement n'enlève rien à son génie, mais permet de mieux comprendre son approche de la femme. Si c'est dans la réduction de l'autre que tu trouves ta grandeur. Aime-toi, le monde t'aimera. Si tu veux discuter de Dostoïevski sur le fond, je te conseille la Pléiade, et pour Zweig la pochothèque, les traductions, préfaces et études d'oeuvre y sont très poussées. Pour la préface de Freud, tu la trouves dans l'édition folio que je n'ai plus ou en ligne. Quand tu auras assimilé tout ça, tu pourras discuter avec autrui en sachant de quoi tu parles, et non en te cachant derrière un mépris de façade. Quant à douter de mes lectures :
  14. L'illusion du savoir rassure. Le masochisme est une sublimation de la douleur qui mène au plaisir. C'est un terrain d'expérience qui permet notamment de surpasser puis d'éliminer selon son niveau d'initiation la peur de la souffrance, et de gérer la souffrance physique et morale tout court. Ce serait à tenter. Raconter n'est pas le problème, ce sont les réactions qui sont à craindre.
  15. Comprendre dans le sens de "prendre avec soi", intégrer à soi, plutôt que "saisir avec l'esprit", ésotérique plutôt qu'exoterique pour parler en alchimiste. Ora et labora
  16. La relation sexuelle, voire d'amour, est un rapport de complétude. Là où se situe le malentendu, c'est de penser que l'un complète l'autre, dans le sens où chacun comblerait un manque de l'autre, alors qu'en vérité l'un se complète en l'autre, dans le sens où l'un et l'autre s'accomplissent dans la relation.
  17. Il n'y a rien à comprendre, mais à vivre. Je ne dénigre pas, j'adore les livres de Dostoïevski mais ça n'empêche pas le regard critique.
  18. Ce n'est pas une question d'idée, mais d'être. Avec une personne comme lui, la femme se sent être, pas uniquement dans sa dimension sexuelle, mais entière, elle n'est pas réduite à un objet de désir mais est appréciée dans l'intégralité de son être. @Promethee_Hades s'adresse à la Femme quand il s'adresse à une femme, tout simplement. La femme se vit à travers les femmes, une femme veut se sentir femme comme un homme se sentir homme.
  19. Là tu m'excites. Heureuse femme.
  20. Je ferai attention à ma langue. @hell-spawn je te le redis, @Promethee_Hades t'en apprendra plus sur les femmes que tu n'en rêves.
  21. @hell-spawn doit avoir très peur des femmes
  22. La morale me semble être ce qui détermine pour la collectivité la différence entre le bien et le mal. La sexualité librement consentie échappe donc à cette notion de bien ou de mal puisque c'est en toute liberté et responsabilité qu'on s'en affranchit. La moralité n'a pas de sexe.
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