Aller au contenu

Scrongneugneu

  • Compteur de contenus

    6 167
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Scrongneugneu

  1. OK, mais 98% sont le fait du non respect du code de la route. Rappel-toi, il y a quelques années, ( en 2008 je crois ), une association avait filmée et diffusée ces passages de barrière s'abaissant, avec feux, plaques d'immatriculations visibles. Et vlan ! non recevoir et floutage de la vidéo. Des caméras "flashantes" sur passage après déclenchement lumineux qui abaisse les barrières serait très judicieux. En effet, ceux qui ne font que ce genre de conduite, sont aussi ceux qui fument au volant, qui manipulent leurs portables, non sans avoir pris quelques alcool, qui ne respectent rien, car, eux, sont les dieux du volant. Et si t'as le malheur de leur signaler, qu'ils sont hors clous, les bras et doigts d'honneur, t'en feras une belle collection.
  2. Je ne conteste nullement ta pensée. Je ne fait que dire le réel des choses. La chasse aux "bestioles" pour se nourrir n'est plus, et avec le sexe, c'est le pognon qui mène le monde. C'est incontournable. Difficile de faire comprendre les charges qui pèsent sur un salarié et sur une entreprise, avant de parler profit. Pour exemple, j'étais consultant technique au conseil d'administration de ma boite, sans droit de vote. A chaque fois un bilan financier est effectué ( nota, il y avait 2 élus du personnel aussi ). Rien que sur salaire, un salarié qui gagne en brut 2 000 € doit générer 4 000 €, avant de parler commercial. Pourquoi ? Parce que les charges patronales sont énormes, mais il y a aussi, ce qui passe sous silence, les conditions de travail pour le bien être des salariés, tels que les aménagements de poste, casques, tenues et divers. Quand tu taxes une entreprise, en réalité tu demande au salarié de bosser davantage. Le passage Sarko et Hollande a vue nos primes baissées, uniquement à cause des taxes en sus, car nous étions sur le fil du rasoir en matière commercial. En conclusion, je ne te demandes pas de pleurer sur le sort des salariés, mais de comprendre que cette mécanique de service à rendre au peuple de notre nation a un coût.
  3. La chance, c'est quand on bénéficie des aides sociales, avec le pognon des autres. Cette fameuse justice n'existe pas dans notre pays. Nul n'a les mêmes droits en salaire, retraite et avantage divers catégorielle.
  4. Et alors ! C'est bien ceux qui bossent qui génèrent ce fric. Pas ceux qui foutent rien ou qui sont sur certaines îles.
  5. J'étais technicien et dans ma famille quasiment toutes les professions sont représentées, dont une en régime spécial en retraite taux plein à 54 ans, moi à 60. Etant dans la production, je sais ce que payait mon entreprise en taxes et impôts tout genre, qui en fin de compte retombaient sur les employés qui devaient fournir le travail nécessaire, non seulement pour percevoir nos salaires, mais pour payer toutes ces charges, avant de parler production et éventuel bénéfice.
  6. Quelle avenir lorsque notre chère éducation est hors sol ? Les enseignants sont dans la complainte de leur carrière au lieu de s'occuper de nos enfants, les politiciens ne cessent de caresser le mammouth, et les parents, voulant du tout gratis emmerdent le tout. La collectivité a bon dos. Le réel avenir se situe dans l'intelligence artificielle et dans les services simples du quotidien incontournables, tels que, électricité, plomberie, nettoyage, entretien, aides diverses... C'est sûr, mais qui paie ? La collectivité, là où tout le monde aime, c'est quand c'est gratis à son profit.
  7. Dans tous les pays en voie développement, les parents se saignent, en bossant jusqu'à l'usure, pour que leurs gamins puissent avoir des études. En France, avec les collectivités, c'est plus de 120 milliards par an ( je ne parle pas des universités ) que coûte quasiment gratis pour toi, les études de ton enfant. Soit environ 10 000 euros par an. Si chacun de nous devait payer...Alors, en fin de compte qui paie ?
  8. J'ai fait du bénévolat dans un comité des fêtes. Nous étions sensé être 20. Il ne fut pas rare de nous retrouvé à 6 ou 7 lors du montage et démontage d'une manifestation sportive ou festive, comme des stands par exemple. Mais pour le pot de l'amitié, quasiment tous présent. Le Maire te le Président du comité des Fêtes en lumière, le reste un "merci" parfois. J'ai tenu 4 ans.
  9. Pas mieux que ( n ) voulant dire "mon oncle Sophocle"...
  10. OK, néanmoins pas mal d'associations ont des salariés avec des conventions avantageuses en matières salariales et congés. Ils s'appuient sur ces bénévoles, qui, la majeure partie du temps sont dans l'ombre médiatique.
  11. Mais le deviendra. Je ne connais pas un pays où la classe dirigeante est dans le besoin...au contraire.
  12. Mon "pov' mossieu", là aussi, c'est la faute des autres. Et que fait-tu toi, à part râler à travers ton clavier ?
  13. Quel est le véritable idéal ? Pour moi, c'est vivre et être libre. Pour le reste, je ne suis qu'un grain de poussière dans ce vaste monde, où des milliards d'être veulent aussi vivre. Une statistique simple. Il y a 50 ans, l'Occident disposait de 70% des richesses mondiales, le Japon 10%, les miettes pour le reste du monde. Aujourd'hui, l'Occident a moins de 45%, le Japon moins de 7%, la Chine 20%, mais pour plus d'1,5 milliards d'être, seule l'Afrique reste à la traîne pour des raisons tribales et religieuses entraînant une surpopulation non compensée par la croissance. C'est cet aspect positif que je regarde. Quoique tu penses, nous ne représentant que 1% de la population mondiale et 3% de richesse. Alors, qui est pauvre, qui est riche ? En moyenne, 1 Français consomme pour 3 humains...donc, si nous sommes 66 millions, c'est sur le dos de 132 millions...
  14. C'est pas ce que je dis. En dehors des statistiques genre immigrés réguliers ou non, ethniques, où c'est le flou complet, les chiffres de la précarités sont réels en France. Mais nous nous positionnons toujours en donneur de leçons.
  15. Des pays comme la Chine ont choisit de vivre avec la mondialisation. Quoique l'on pense, en 30 ans, ils ont sortis 600 millions de Chinois de la misère. C'est une réalité. Nous ? + 3 millions de chômeurs tout confondu et doublée la précarité ( aujourd'hui, moins de 900 euros par mois ) pour atteindre 9 millions.
  16. C'est politique. Des pays ont choisit de se confronter à la mondialisation, d'autres, avec 1% de la population mondiale, pays des droits de l'homme fabriquent des précaires.
  17. Les SDF sont une institution nationale valorisée par une partie de la classe politique.
  18. C'est uniquement un comparatif sur une décision prise perverse. La revalorisation systématique du SMIC est aussi perverse. Une adaptation à la conjoncture est bien plus efficace. Il vaut mieux exempter les bénéficiaires de certaines charges, ou de revaloriser la prime d'activité. En France, chaque augmentation systématique du SMIC s'est traduit par une augmentation du chômage, car c'est une charge supplémentaire pour les entreprises en difficulté.
  19. Ma réponse n'est pas si hors sujet que cela. La prise en charge des SDF est toujours l'affaire des autres, avec le fric des autres. Facile d'avoir de l'humanisme dans le baratin. Quand à l'insuffisance des moyens, c'est à cause de l'arrivée en masse des gens venu d'ailleurs, mais aussi de nos 9 millions de précaires à aider.
  20. CQFD, l'explosion du chômage à l'EST était bien liée à une gestion étatique d'un super partis unique "démocratique".
  21. Sûr, il faut avoir un coeur de pierre, pour ne pas avoir un semblant d'humanité. Mais le drame, est la venue en masse de "rejetés" de l'EST, comme le sont les Roms, car les Roumains ne font pas de zèle pour les reprendre, les déracinés d'Afrique de plus en plus nombreux, et nos SDF bien frenchies, sans compter la misère galopante depuis des dizaines d'années. Avec un peu d'humour, je dirais d'envoyer le Charles de Gaule piller les paradis fiscaux...pour grappiller un peu de fric...
  22. A la belle époque de l'EST, les autorités gestionnaires avaient décidé une embauche annuelle de 7% des effectifs pour une entreprise de fabrication de tracteur agricole. A la chute du mur, sureffectif ( par rapport aux besoins ) de 200%.
×