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Tout ce qui a été posté par lendehors
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et forcément
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en suivant ... pardon, pas très poli ce soir je suis ... bonsoir Lucy, Gorf, et forumeur.
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Billy Cobham : Total Eclipse "Solarization"
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Bonsoir par ici ... Milano Strut w: David Murray - '91
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"bonsoir par ici ...
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Dédicace à Louise et son sourire .... "L'homme était insaisissable, l'existence, une énigme. Parfois un geste, un paysage, une rencontre, une parole, une musique, une lecture ; surtout l'amour, rachetaient ces ombres. Il fallait savoir, s'en souvenir, parier sur ces clartés-là, les attiser sans relâche." A.C. " Le Message " "Nous ne méritons que ... ce que nous partageons."
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une petite dernière et salut à une autre fois ...
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Ce matin, en y repenssant, "idiot" le mot est faible, le pire est que je ne puisse plus revenir en arriere ...le mal est fait il faut assumer...
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je m'incruste... juste le temps d'une pose à votre "silence" ... Un certain dimanche après midi, un de ces dimanches pluvieux ou l'on traine son ennuie, une musique dans le fond du salon que l'on entend à peine, une main qui se traine sur les rangées de livres de la bibliothèque, bouscule ceux oubliés et soulève la poussière sur un "spiralé" .... un vieux calendrier 2010. Par la baie vitrée entre la lumière en noir et blanc de ce temps de pluie et se pose un instant sur le vieux fauteuil ... Une photo, deux photos ... 12 photos, noir et blanc elles aussi. D'une "fugue" enneigée naitra "la majorité" d'un "plaisir solitaire", alors que deux fantomatiques amoureux placardent l'entrée de leur maison des "corons" d'un : "attention chien méchant" suite au braquage de la "station" .... mais juillet et son soleil lève le temps des "inquiétudes" ... Alors je biffe d'un regard le temps morose en dehors et comme ces promeneurs en "rayure" repense un instant à cette promenade sur les planches de la plage Deauville en 2010 .... souvenir de vacances. Voilà .... le est passé ... http://rene.maltete....p/humour?page=1 http://www.youtube.c...h?v=q7DBoiyBoJ8
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... pendant 8 petites minutes http://www.youtube.com/watch?v=nRDCHIwepgk voilà c'est fait, bonne nuit / bonjours à toutes et tous ...
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et bonne soirée, journée pour d'autres, à toutes zé tous ... La nuit remue, fait se lever les souvenirs, quelques regrets, la nostalgie des déplacés. La nuit remue la nuit et ses trouées de lumière. ( J.B.) ....à bientôt :)
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http://www.youtube.com/watch?v=EhLQdLDWOc4 http://www.youtube.com/watch?v=dj7zWQYEw7U&feature=related
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Bonsoir par ici .... http://www.youtube.com/watch?v=bj905HtsB-g
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Cheveux chéris : frivolités et trophées
lendehors a répondu à un(e) sujet de chirona dans Arts et Artistes
....aprés Frank Zappa (bonjour Lucy :)) pourquoi pas Carla Bley .... et son presque "chauve" de bassiste ici : et à propos de chauve ...... c'est encore Hugues qui en parle le mieux Ce qui est un poil (ha!) déstabilisant, pour un chauve, c’est d’être constamment confondu avec un autre chauve. J’ai lu quelque part que les mécanismes cérébraux qui aident à repérer un visage familier ne s’appuient en fait que sur deux-trois détails marquants ―un gros pif, des oreilles décollées, un menton fuyant…― et je peux vous assurer qu’un crâne d’œuf est un fameux stimulant neuronal… Vous êtes dans une soirée où vous ne connaissez personne, sans doute parce que vous n’étiez pas invité et qu’un copain vous y a traîné parce qu’il n’avait pas envie de se retrouver seul dans une fête où il ne connaît personne lui-même (bien qu’il soit effectivement invité, à ce qu’il prétend), et un tas de gens vous saluent et vous interpellent: ― Hey, ça boume? Quoi d’neuf depuis la fois dernière? ― Euh pas mal… Rien de spécial. La routine… L’autre jour, mais j’étais pourtant officiellement sur la guest-list, j’ai passé deux heures à bavarder avec des flatteurs qui me prenaient pour l’époux de la maîtresse de maison (une star de la téloche): ― Formidable ce tableau. Il va super bien avec la tapisserie… ― Hum, oui. C’est vrai… ― Et cette baraque est vraiment sympa! ― Oui très. On aimerait avoir la même… ― ...? Bah, si ça peut aider à se faire de nouveaux amis, pourquoi pas… La relation démarre sur un malentendu, OK, et vous avez le sentiment d’être interchangeable avec le premier alopécique venu mais c’est certainement moins dérangeant que d’être confondu avec Jean-Marie Le Pen parce que vous êtes borgne. C’est juste un exemple, hein. Je ne suis pas borgne aussi mais j’ai de l’imagination et je peux me projeter. Notez qu’en réalité, je ne suis pas chauve-chauve non plus. Juste terriblement dégarni. Le truc, c’est que depuis que ce qui me reste de cheveux me fait ressembler à Laurent Fabius, je me fabrique une boule de billard à la tondeuse électrique trois fois par semaine pour me donner un genre. De vieux schnock sans un poil sur le caillou, je me transforme en sportif branché, quoi. Ou en Sinead O’Connor ou Bruce Willis, si vous aimez mieux. Les cheveux d’un ado, la libido d’un octogénaire D’ailleurs, pour être tout à fait honnête, ce n’est pas si difficile à vivre, même si je me demande si j’aurais pu supporter cette infirmité intimement connectée au vieillissement avant qu’elle ne devienne fashionable. Tiens, si ça se trouve, Alzheimer sera devenu branché lorsque je serai concerné et je pourrai en faire un atout en société: ― Comment ça va depuis la dernière fois? ― La dernière fois? Pas la moindre idée. Qui êtes-vous d’abord? ― Hi hi hi! Sacré Hugues, toujours le mot pour rire! Mais un peu comme ces obèses qui deviennent maigres après s’être fait poser un anneau gastrique ou s’être inscrits à une Amap, un chauve involontaire ne s’habitue jamais totalement à sa nouvelle apparence. Non: le chauve conserve une image mentale de lui-même avec des cheveux, et même beaucoup de cheveux dans mon cas. Ado, je n’aurais d’ailleurs pas pu devenir un tel sans ces longues boucles brunes virevoltant d’avant en arrière et de gauche à droite devant le miroir de la penderie (j’étais très bon sur le solo final )… En skinhead, ça l’aurait moins fait, comme disent les encore jeunes. De toute manière, je n’ai pas vraiment le choix. Après tout, je ne vais pas me faire poser des implants façon PPDA ou Yves Calvi parce que ça coûte la peau des fesses et que la procédure chirurgicale est encore plus flippante qu’une correction au laser de la myopie. Je ne vais pas non plus me gaver de ces produits qui prétendent vous rendre la chevelure de vos 20 ans mais vous offrent la libido d’un octogénaire en contrepartie. Tu parles d’un marché faustien... Bref, je ne vais rien faire du tout à part assumer fièrement ma différence et me féliciter de ne pas avoir été doté par la nature d’un crâne tout cabossé (il y a de ces testons, ça fait peine à voir). Oui, je suis chauve. Je n’ai plus besoin d’acheter de shampoing, je n’ai plus besoin de me coiffer, les poux me fichent la paix, je ne mets plus jamais un orteil chez le coiffeur et les femmes adorent tripoter mon crâne (elles doivent s’imaginer que ça porte bonheur, comme la bosse du bossu et pourquoi les détromper?). Je suis chauve et je souris. -
Dehors il faisait chaud, le soleil m'aveuglait. La plus belle nouvelle de toute la littérature Américaine, et cet individu, ce prêtre, appelait ça une cochonnerie. Peut-être que cette histoire d'hostie n'était pas exactement la vérité ; d'accord, ce n'était peut-être pas arrivé comme ça. Mais mon dieu, et la psychologie alors ? Et la prose ! Pure beauté ! Aussitôt revenu dans ma chambre je me suis mis à ma machine et j'ai préparé ma revanche. Un article, une fulgurante attaque contre la stupidité de l'Eglise. J'ai tapé le titre : L'Eglise catholique est fichue. J'ai tapé ça avec furie, page après page jusqu'à ce qu'il y en ait six. Ensuite je me suis arrêté pour relire. C'était atroce, complètement ridicule. J'ai tout déchiré et je me suis jeté sur le lit. Je n'avais toujours pas écrit mon poème à Camilla. Et là, couché comme ça, l'inspiration m'est venue. Je l'ai recopié de mémoire : J'ai beaucoup oublié, Camilla, autant en emporte le vent Jeté beaucoup de roses aussi, toute une fête de rose à la longue Dansé pour chasser de mon esprit tes lys pâles d'antan ; Mais j'étais inconsolable, et malade d'une vieille passion, Oui, tout ce temps, parce que la danse a été longue ; Sache que je t'ai été fidèle, Camilla, à ma façon. Arturo Bandini. J'ai envoyé ça par télégramme, pas peu fier, et j'ai regardé l'employé du télégraphe lire ce beau poème, mon poème à Camilla, un bout d'éternité pour Camilla. J'ai payé l'employé et suis allé me poster dans l'encoignure et j'ai attendu. Le garçon est arrivé sur sa bicyclette, le même. Je l'ai regardé faire sa course, regardé Camilla lire le télégramme au milieu de la salle. Je l'ai vue hausser les épaules et le déchirer en petits morceaux et j'ai vu les morceaux tomber dans la sciure par terre. En m'éloignant je ne pouvais toujours pas y croire. Même la poésie d'Ernest Dowson n'avait aucun effet sur elle, même pas Dowson. John Fante "Demande à la poussière"
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Là j'écoute Lisa Hannigan de la très agréable sélection d'Akuda, que je salue et je découvre les très jolies "paper craft" de Maeve Clancey et la chanson "I Don't Know" ... merci Akuda. Bonne journée et week à toutes zé tous à bientôt ...
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... à la lecture d'un "11g" auquel je rajouterai "10g", et le souvenir d'un très très bon film .... le poids d'une âme vaut bien un topic à a con... Bonjour et bonne journée par ici ...
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...bien plus naïf, mais on ne se refait pas hein ... Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Un jour de neige embaumé de lilas, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ça peut faire ? Qu'est ce que ça peut faire ? Tu dors auprès de moi, Près de la rivière, Où notre chaumière Bat comme un cœur plein de joie. Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Mais dans mes bras, quelqu'un d'autre que toi, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ça peut faire ? Qu'est ce que ça peut faire ? Tu dors auprès de moi. L'eau de la rivière, Fleure la bruyère, Et ton sommeil est à moi. Un oranger sur le sol irlandais, On ne le verra jamais. Un jour de neige embaumé de lilas, Jamais on ne le verra. Qu'est ce que ça peut faire ? Qu'est ce que ça peut faire ? Toi, mon enfant, tu es là ! un jour de neige embaumé de lilas .... dans 4 ou 5 jours tu le verra et sur cette ballade irlandaise tu danseras au : "Pas-Hoolà" ... http://www.youtube.c...h?v=IKg3z_kzg94
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Pedro Aznar - Sueño Del Retorno (Dream Of The Return) ...salut à toutes zé tous et bonne journée...
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Bill Evans Trio - Autumn Leaves http://www.youtube.com/watch?v=jiew8O8BLlY
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Pat Metheny - Cherish (The Association) Ron Carter - The Shadow Of Your Smile
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Un petit passage d'une autre fois... d'un autre moment, d'un autre endroit .... petit détail, petit court .... mais qui m'a marqué agréablement et je me suis souvenue .... de ces ( "ses" ...surtout ) petites choses qui resteront pour moi ... merci à elle que je salue .... http://vimeo.com/38336843 L'étoile bleue de Mirò 1927. Bonjour à toutes zé tous par ici et à une autre fois ....
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Nous voici fac à face : les violettes et moi. J'ai beau faire, je n'en apprécie ni la texture, ni le farfum, ni le coloris. Leurs pédoncules les élèvent , à peine, au dessus de cette masse de feuilles accolées et grisâtres, que l'on dirait tapissées d'une mince couche de moisissure. En la forme concise, cette plante rassemble toute la mélancolie du monde. Ridée, feutrée, renfrognée, elle me fait penser à certaine femmes, plaintives depuis leur prime jeunesse, blanchies de coeur avant l'âge. Leur sensibilité déviée, dévoyée (qui les rend, par moments, attachantes) les conduit à se prendre pour d'éternelle victimes, sans cesse à l'abandon. Elles ne trouvent réconfort qu'en des malaises réels ou imaginaires, qu'en d'impénétrables maladies. C'est ainsi, je n'y peux rien, que m'apparaissent les violettes : exploitant leurs faiblesses, convalescentes à perpétuité ! Bien que résultant dune combinaison de bleu et de rouge-couleurs alertes et vives-, leur pigmentation, leur apparence m'évoquent quelque emblème blafard et funéraire, quintessence de toutes les nostalgies. A les contempler, il me vient une folle envie de coquelicots ardents, de pivoines échevelées, de dahlias chatoynts, de tulipes hardies ! Je brûle du désir d'appliquer sur tout ce mauve, tout ce violacé d'épaisses couches de soleil. J''en appelle alors à toutes les fleurs d'aurore : aux primevéres des bois et des prés, aux capucines, aux jonquilles, aux genêts malgré leurs épines ; surtout, à ce tournesols encorcelants si chers à Van Gogh ! Leur parfum, réputé suave, aromatique, me paraît languide et terne. Il me rappelle les effluves douceâtres des fleurs séchées ; cette odeur de renfermé qu'exhalent, à peine entroverts, es coffres à linge vétustes, témoin de plusieurs générations. Bref en cette fleur, tout m'attriste et m'oppresse. Tout manque d'ailes, de carène, de LIBERTE ! http://marsenjules.b...rack/coquelicot