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zenalpha

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Tout ce qui a été posté par zenalpha

  1. Mon prochain post concernera...la mécanique quantique Qu'il y ait un ahuri, cinq ou une armée pleine... Évidemment je prefererai des échanges intéressants, j'avoue que tu en produis parfois Mais bon...peu m'importe les boucliers lol Allez bisous
  2. Quand l'élève est prêt le maître apparaît T'es tu demandé si un âne a jamais vu un professeur ? Inversement qu'est ce que Feynman peut apprendre à l'âne de buridan ? Tu pourrais converser avec Einstein qu'on t'entendrait encore braire... Voici une bonne élève Tu as le choix Mais Renoncer ce serait te dire combien tu étais idiot. Marrant non ? Euh...de qui tu parles ?
  3. Ah Charlotte J’ai toujours rêvé d’un rapport sexuel dans un espace de Hilbert infini où mes prédispositions naturelles hors norme rallieraient le romantisme la poésie la bestialité la soumission la fusion la transcendance et cette multidimensionnalité qu’on résume si mal par amour entre 2 êtres Mais tu piges rien aux espaces de Hilbert et t’es moche comme un poux Bisous quand même @azad2B
  4. Et oui @azad2B, tu te fais vieux, rabougri et has been...ça m’arrivera un jour je t’aime bien quand même et je te respecte toi... Je vais t'accorder un petit crédit de ta compréhension @azad2B qui est exactement du même acabit que lorsque les pieds nickelés indiquaient que le principe fondamental de la mécanique quantique était la dualité onde particule. Et c’est toujours la même chose en réalité Cette nécessité de s’accrocher au classique parce que vos images mentales sont bloquées au 19eme siècle ou comme le russe du forum revient aujourd'hui sur ses cours de terminale du 19eme siècle Oui...la dualité onde corpuscule a été la ... toute première image que l’on s'est forgée pour comprendre les premiers principes de la mécanique quantique Oui certaines manifestations sont ondulatoire et oui certaines manifestations sont corpusculaire mais un système quantique n’est NI une onde NI une particule où il faut m’expliciter comment on obtient une intrication quantique ou une teleportation quantique avec une onde classique ou avec un corpuscule.... La réelle définition pour une particule en 2022, c’est qu’il s’agit d’un quantum du champ et ce cadre entre dans la théorie quantique des champs comme fondement du modèle standard de la physique des particules Dans notre échange....c’est exactement la même chose.... Oui, Bohr et l’école de Copenhague distingue ici un monde quantique que l’on ne peut pas observer et ici un monde classique que l’on peut observer. D’ailleurs, je n’ai pas arrêté de parler d’observable et un observable est bien une valeur physique qu’on obtient après interaction d’un système quantique avec un appareil de mesure macroscopique Oui...c'est vrai. Bohr à limité la théorie à ce qui pouvait être...observé...donc à la compréhension du système après mesure, après effondrement de la fonction d’onde Sauf que.... Nous sommes en ... 2022 Et cette...certitude que vous ne vous êtes JAMAIS injecté dans les dernières années d’expériences et de technologie quantique Aujourd'hui...nous...observons expérimentalement des états superposés avec des techniques non intrusives qui ont valu le Nobel à Haroche... Nous avons compris certains liens entre la mécanique quantique et le monde classique et particulièrement les conditions de décoherence... https://fr.wikipedia.org/wiki/Décohérence_quantique Aujourd'hui le but est de ... préserver des états quantique à des échelles de plus en plus importantes Ça signifie...comme je l’expliquais avec l’expérience EPR et le débat Bohr Einstein...que si Einstein s’est trompé sur le principe de réalité en pensant que la non separabilité des particules intriquées n’étaient pas un phénomène alocal Si Bohr à gagné sur le fait que la non localité était une conséquence directe de la mécanique quantique concernant l’intrication Je, Zenalpha...reste beaucoup plus proche d’Einstein philosophiquement qui ne se contentait pas de vouloir expliquer ce qu’on observe...sans comprendre les structures sous jacentes. Alors que Bohr se contentait de vouloir d’une théorie qu’elle n’explique que les faits observés... Et aujourd'hui en 2022 Nous avons beaucoup mieux compris ce principe de décoherence et les liens entre les systèmes quantique et les liens entre les systèmes classique qui en sont la conséquence directe Oui, il est ... certain...sans l’ombre d’un doute...que c’est bien parce que les phases des systèmes quantique finissent par se compenser avec la multiplicité des degrés de liberté qu’émerge du quantique la solution décrite par le classique Si nous ne sommes pas quantique toi et moi, c’est par nos nombreuses interaction à l’environnement qui font que toutes ces micro fluctuations qui ont une importance énorme d'autant plus qu’on se rapproche des échelles microscopique deviennent négligeables à l’échelle macroscopique Désolé que ça plombe ta journée Ps : ce post étant niveau 15/20, j’ai aucun doute du brouhaha de cancres qui se prépare au fond de la classe où mes élèves roupillent près des radiateurs Désolé, j’ai toujours pensé plus intéressant de tirer vers le haut
  5. Euh....là je t'invite à rapidement chausser les bonnes lunettes Je suis encore une fois plié de rire... Déjà en 1923 on avait compris que la physique classique ne pouvait qu'émerger du quantique puisqu'aux dernières nouvelles, il n'y a évidemment pas un monde quantique séparé du monde classique...comme si de l'infiniment petit, une barrière venait séparer la physique du monde classique C'est le principe de correspondance énoncé par Bohr en 1916 corrigé par Ehrenfest en 1927... Ensuite les integrales de Feynman datent de 1942 et ses travaux additionnels ont purement et simplement débouchés sur l'electrodynamique quantique, la chromoodynamique quantique, sur la theorie quantique des champs donc sur l'ensemble du modèle standard de la physique des particules Et qu'enfin....toutes les expériences contemporaines visent évidemment à préserver les effets quantiques originels de la décohérence vers la physique classique pour en tirer tous les avantages ... Néanmoins...si tu débarques sur ce sujet hier sans avoir suivi ces 30 dernières années de technologies issus de ce lien entre quantique et classique, si ce principe de correspondance ne te suffit pas (as tu un article qui l'infirme ?), si l'extrait d'Hawking ne te convainc pas ... que penses tu de cet extrait : "Mais qu'on ne s'y trompe pas : cette apparente conciliation entre mécanique quantique et mécanique classique dissimule en fait une pure et simple annexion de la physique classique par la physique quantique, la première n'étant plus considérée que comme un cas limite de la seconde. Qui plus est, on sait maintenant que certains ensembles de quantons, même en très grand nombre, n'obeissent toujours pas à la physique classique et persistent a suivre des lois quantique parfaitement incongrues : ce sont les supraconducteurs et les superfluides" Explique nous comment votre église voit la mécanique classique complètement déconnectée de la mécanique quantique qui est son fondement même ?
  6. Dans mon modèle, c'est un coup de pied dans le derrière et direction les bancs de la classe Ou lire un peu en commençant par 'oui oui au pays des jouets' Mais on a pas eu la même formation peut-être
  7. J'ai trouvé ça qui est pas complètement idiot Voici une première explication https://fr.wikipedia.org/wiki/Principe_de_correspondance Et un extrait de Stephen Hawking "y a t'il un grand architecte dans l'univers" C'est a propos des integrales de Feynman qu'à ce niveau élémentaire de mon exposé je n'ai pas encore évoqué "La formule de Feynman permet de calculer la probabilité d'aller du point A au point B en additionnant toutes les phases reliant A à B Il en existe un nombre infini ce qui rend les mathématiques complexes mais ça marche. La théorie de Feynman nous fournit ainsi une image particulièrement claire de la façon dont un monde newtonnien peut émerger d'une physique quantique pourtant très différente. Selon cette théorie, les valeurs des phases associées à chaque chemin dépend de la constante de Planck La théorie nous dit que, due a l'extrême faiblesse de cette constante, les phases des chemins proches varient tres vite et leurs contributions tendent à s'annuler quand on les additionne. Pourtant la même théorie nous dit aussi que, pour certains chemins particuliers, les phases ont tendance à s'aligner ce qui va favoriser ces derniees. Autrement dit, ces chemins contribuent de façon plus importante au comportement observé de la particule Il s'avère que, pour les objets de grande taille, les chemins très semblables à celui predit par la théorie newtonniene ont des phases très proches. Ces dernières s'accumulent donc, contribuant majoritairement a la somme et concentrant ainsi les probabilités significativement non nulles autour de la destination prédite par la théorie newtonniene La probabilité de cette destination est une limite qui tend vers 1 Et en définitive, les objets macroscopiques se deplacent donc a partir des integrales de chemin de Feynman exactement comme le predit la théorie de Newton" Autre chose ?
  8. Merci. En fait tout ce que j'ai écrit est vérifiable sinon j'écris la phrase magique je ne sais pas En revanche je t'ai pris au mot et j'ai retiré l'option ignoré pour parcourir ses 40 derniers posts à ce virtuose Et je te jure, je t'ai jamais demandé d'aide mais vraiment aide moi, quelle est sa dernière intervention que tu as vraiment trouvé intéressante ? Je le promets, si tu en trouves une seule à partager je ferai un effort. Je compte vraiment sur toi....vraiment... Je pense que je dois faire un blocage qui m'empêche de les voir
  9. C’est quoi sa dernière intervention intéressante ? Comme il est en ignoré et que le peu de citations reprises par d’autres sont consternantes, n’hésite pas à partager une de ses idées si un truc est intéressant surtout. Son silence peut-être
  10. C’est vrai Et comme elles s’écartent de plus en plus de nous, le fait est que même si une vie y existait, il serait impossible dans une immense majorité des cas d’imaginer une possibilité de contact (sauf voyage hyper luminique) En réalité, j’attends patiemment avec mon pop corn qu 'Andromède fusionne à la voie lactée, dans 4 milliards d’années Mon ADN informationnel est déversé sur ce forum afin qu’un être intelligent ou surtout une "martienne" nymphomane me ressuscite lors de cette rencontre. J’espère que la modération sauvegarde ses serveurs et j’ai glissé une photo de Brad Pitt sous le pseudo Zenalpha pour les berner ah ah ah Ça sent la super rencontre du 3eme type....ou pas
  11. Je n’y connais rien @Répy et je n’avais jamais entendu de ça avant ce reportage Mais ça m’a intrigué Je ne sais pas ce qui s’est passé mais une théorie existe véritablement Vraie fausse...aucune idée https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/geochimie-terre-aurait-garde-son-eau-malgre-collision-theia-70767/
  12. Je ne suis pas physicien, puis je être plus clair ? Mais il n’est pas besoin d’être physicien pour résumer ces principes absolument disponibles et vérifiables par n’importe qui Et encore moins pour constater le gouffre monumental de l’absence quasi totale de cette culture du quantique sur ce forum Ce qui est beaucoup plus inquiétant mais pour toi, c’est que rien de tout cela ne génère le moindre écho dans ton socle de connaissance ou que tu penses qu’il faille être physicien pour connaître des principes si simples Tu illustres juste mon propos de la...nullité...presque absolue...stupéfiante ...des connaissances sur notre forum à ce sujet Et du faible niveau dans la société Ce n’est pas que je sois très fort...c’est vraiment que mes contradicteurs sont très nuls Mais vraiment Tu peux avoir 20/20 en physique en terminale C S ou je ne sais quelle terminologie moderne, si la quantique n’est pas au programme ça reste ce vide abyssal que je rencontre Abyssal n’est pas un euphémisme
  13. Je l’ai regardé, bon reportage tant sur les circonstances exceptionnelles qui ont autorisé la spécificité du système terre-lune, l’importance de la collision terre théia pour la suite de l’évolution, l’importance de la tectonique des plaques... J’ai apprécié aussi la présentation de ces expériences qui tentent de reconstruire les premières briques de la vie puis les conditions de l’évolution des nouvelles formes de vie. https://www.france.tv/france-5/science-grand-format/1952535-et-si-la-terre-etait-unique.html Après, je ne suis pas grand spécialiste de l’exobiologie mais je pense que le problème est mal posé. J’imagine plus probable une évolution future de la vie vers une forme informationnelle basée sur l’intelligence artificielle, une forme de numérisation de la conscience qu’une rencontre du 3eme type ou même une expansion de l’homme dans notre galaxie. Pari métaphysique dont je n’aurai jamais de réponse.
  14. Post Numéro 8 - L’expérience d’Aspect : Einstein Podolski Rosen Jusqu'à présent, et ce sera encore le cas de ce 8eme post, l’ensemble de mes interventions sont factuelles et incontestables. Aucune faute de forme ni aucune éventuelle imprécision à la marge ne vient réduire une seule bribe du discours ni des concepts de fond. On peut ne pas avoir compris, on peut être choqué et c’est normal avec la mécanique quantique, rien, absolument rien dans ces 7 posts n’est ni contestable, ni contesté (par la "vraie" communauté scientifique), ni meme sujet au moindre problème d’interprétation J’aimerai à ce stade présenter la dernière expérience incontestable et incontestée qui a levé le voile sur un des premiers problèmes d’interprétation de la mécanique quantique et qui a été selon moi la plus belle passe d’arme intellectuelle du 20eme siècle brillamment incarnée dans le débat passionné entre Albert Einstein et Niels Bohr. En mai 1935...Einstein et ses collègues Boris Podolski et Nathan Rosen publient un article jetant le doute sur la validité ou sur la complétude de la mécanique quantique Ils voulaient prouver que la théorie quantique n’était qu’un puzzle incomplet, insuffisante pour comprendre les phénomènes des systèmes quantique La réticence d’Einstein envers certains principes de la mécanique quantique, bien que, et je n’ai pas abordé la mécanique quantique par l’angle historique, Einstein ait été en première ligne de l'élaboration de la théorie, sa réticence donc est de notoriété publique. Il avait déjà manifesté ses réticences au sujet de l’effondrement de la fonction d’onde notamment lors d’une mesure...et ce point reste un débat ouvert dans le domaine de l’interprétation de la mécanique quantique Mais son idée géniale, pour tester la mécanique quantique et tenter de l’invalider consistait à considérer le sujet de l’intrication quantique que j’ai abordé au travers des 2 vidéos de Julien Bobrof et de Claude Aslangul ci dessus Cette intrication quantique peut s’expliquer de 2 manières à priori - Soit en considérant que les corrélations qu’on constate entre 2 particules inriquées à grande distance (comme un lien fantomatique à distance pour reprendre les termes d'Einstein) sont simplement dus à une fixation à priori des mêmes valeurs entre les particules AVANT L’ACTE DE MESURE donc préalablement fixées au moment même où elles ont été séparées. C’est l’interprétation de la physique classique soutenue par Einstein - Soit en considérant que les corrélations qu’on constate entre 2 particules intriquées à grande distance (toujours ce lien fantomatique à distance) sont indéterminés avant la mesure et que c’est uniquement lors de la mesure sur le premier quanton intriqué (et séparé du second) que les valeurs se corrèlent à distance pour obtenir la même valeur qui, à priori, n’est donc ni fixée ni déterminée (on en calcule une probabilité) C’est l’interprétation de la physique quantique soutenue par Bohr C’est donc un match à mort entre le principe de réalité de la mécanique classique qui suppose un principe de réalité qui suppose la localité donc l’espace et le temps comme un cadre fondamental Et la mécanique quantique qui suppose l’autre principe de réalité qui admet qu’un système quantique cohérent et intriqué continue d’être relié à distance alors que les deux particules sont séparées dans l’espace Je ne vais pas rentrer dans le détail de l’expérience, juste dresser les grandes étapes de la mise en œuvre expérimentale Au départ en 1951...devant la difficulté théorique de pouvoir obtenir le degré de précision nécessaire lors des mesures concernant des variables de vitesse et de position concernant 2 particules intriquées, David Bohm suggère d’abandonner l’idée de tester l’intrication à partir de 2 variables continues (vitesse et position) et de considérer deux valeurs discrètes et binaire donc celles liées au spin des particules Mais aucun test expérimental théorique n’est encore concevable pour experimenter l’idée Ce test, c’est John Bell, en 1964 qui l’établit. Il dégage une inégalité mettant en jeu les variables proposées par Bohm En pratique, la physique quantique prédit que cette inégalité peut être violée dans certaines conditions expérimentales alors que, selon la physique classique, elle doit toujours être vérifiée. La théorie du test s’appuie sur un raisonnement de la théorie des ensembles mais je mettrai une vidéo de 4 minutes afin de montrer l’essence du raisonnement, vu sa complexité à le vulgariser D'espagnat à donné la démonstration la plus claire et la plus esthétique de mon point de vue dans "théorie quantique et réalité" mais je laisserai le lecteur...lire...et le scientifique en puissance...creuser. En 1972, une expérience menée par Clauser et Freedman indique une violation des inégalités mais l’expérience manque de précision pour conclure En 1975, Alain Aspect propose un protocole irréfutable. Les quantons sont essentiellement des protons et des photons. Concernant les protons, c’est l’orientation des spin des particules qui sera mesuré Pour les photons, on mesurera une autre caractéristique binaire : la polarisation En 1982, 7 ans plus tard, le dispositif est prêt Les résultats sont obtenus en 1982 : les inégalités de Bell dans la variante utilisée par Aspect devait être <= 2 pour valider l’interprétation classique Aspect et son équipe ont trouvé une des plus forte violation jamais observée depuis cette expérience en trouvant la valeur 2,70 La mécanique quantique à gagné, Bohr à défait Einstein dans une certaine conception de principe de réalité (je reste plus proche d'Einstein philosophiquement, je m’expliquerai peut être la dessus si je trouve des mots compréhensibles) En pratique La propriété "polarisation" est bien acquise aléatoirement par le quanton uniquement quand il est mesuré, il ne peut exister de variables cachées locales à rajouter à la théorie pour la compléter (existe néanmoins des théories qui incluent des variables alocales mais marginales et peu intellectuellement satisfaisantes) Le principe de non separabilité d’un système quantique est acté Se posera donc la question interprétative de savoir pourquoi l’espace n’est pas un principe de réalité absolu (acquis dans la communauté), si le temps n’est pas un principe de réalité absolu (Connes et Rovelli le pensent) et si, la réalité est indépendante à notre observation (ou pas) si un certain "réalisme scientifique" peut subsister Mais là...va falloir ouvrir des chapitres où nous allons commencer à réfléchir...réellement... Voici une vidéo d'aspect interviewé par Louapre que je conseille in extenso Au passage...pour les pieds Nickelés du forum...son avis sur la DIFFÉRENCE entre mathématiques et physique dès les premières secondes Déclarer que physique = mathématiques sans aucune nuance, ça vaut peut-être un 15/20 par un Rovelli bourré un soir de beuverie, mais ça vaut un 0/20 par Zenalpha après un petit déjeuner
  15. Hello Il y aura un "retour à la philosophie" après ma présentation de l'expérience Einstein Podolski Rosen puisque cette expérience visait à définir qui, entre la physique classique encadrée par un certain principe de réalité et la physique quantique avait raison dans ses prédictions En terme de compréhension, il faudra donc qu'on revienne entre les écoles traditionnelles de la philosophie concernant le sujet épistémologique du rapport entre l'objet de connaissance et le sujet cherchant a connaître Une bonne introduction aux interprétations de la mécanique quantique Dans ces interprétations, l'idéalisme donne un rôle à la conscience Je l'evoquerai même si, ces 10 dernières années, d'autres pistes ont marqué des points Après tout, j'ai en ligne de mire l'interprétation de Rovelli...surtout qu'il a basculé vers le côté zenalphiesque de la force si tu as des éléments n'hésite pas. on est libre de nos apartés.
  16. Non car les ELECTRONS sont des FERMIONS donc PAS DU TOUT DES BOSONS...donc qu'ils répondent en terme macroscopique NON PAS A LA STATISTIQUE DE BOSE EINSTEIN (comme nos amis les bosons) mais a la statistique de FERMI DIRAC qui concerne les fermions Si tu veux...un boson n'est pas un fermion pas plus qu'un groupe de bosons n'est un groupe de fermions. Il y a les choux et les carottes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Statistique_de_Fermi-Dirac
  17. Non. Pas du tout... Si tu me lis mieux, et pour faire simple, mon propos est de dire qu'un condensat de Bose Einstein est un etat MACROSCOPIQUE lié aux effets quantique qui ne concerne QUE LES BOSONS et donc PAS DU TOUT LES ÉLECTRONS (qui ne sont pas des bosons....) qui occupent TOUS l'état unique de plus basse énergie https://fr.wikipedia.org/wiki/Statistique_de_Bose-Einstein Mais j'ai comme l'impression de me répéter en boucle...
  18. Je crois avoir capté Si tu parles toujours de la distribution de fermi dirac la reponse est simplement ici Pourquoi cette question ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Statistique_de_Fermi-Dirac
  19. Oui, je ne suis pas expert en cryptographie quantique mais ce qui est certain dans le protocole, c'est qu'une mesure intercalée entre l'émetteur et le récepteur viendrait évidemment décohérer la superposition donc faire se planter le cryptage qui repose sur cette superposition Maintenant concernant le cryptage lui même, j'imagine qu'il doit y avoir dans la superposition des états l'équivalent du résultat d'un calcul quantique que ferait un ordinateur quantique Et que ce résultat doit correspondre entre l'émetteur et le récepteur pour valider le détail du signal (peut être même par intrication - speculatif) Si j'étais concepteur de ce protocole, je partirai de cette idée Mais je ne suis pas physicien
  20. Hello Tu as 3 notions différentes dans l'encadré ou tu me cites La première référence concerne uniquement la condensation de bose Einstein concernant les bosons Le second concerne la statistique de fermi dirac concernant les fermions Mon dernier commentaire concerne le fait que le principe d'exclusion qui est explicatif de la statistique de fermi dirac est aussi une des explications de la reconstitution du tableau de Mendeleiev Pour ta première question tu vois que pour les bosons, c'est un seul Pour la seconde, pas certain d'avoir compris ta question. Il faut être extrêmement précis sur ta description de ton expérience pour que je te reponde.
  21. Jusqu'à présent, j’ai évoqué des principes simples ainsi que la construction formelle utilisée en 2022 pour les calculs concernant la seule et unique mécanique quantique. Et je vais rester dans ce seul cadre étroit de la MQ sans rentrer dans ce topic qui lui est entièrement dédié NI dans la théorie quantique des champs qui permet de quantifier à peu près de manière satisfaisante 3 des principales forces de la physique pour déboucher sur le modèle standard de la physique des particules Et donc sans évoquer non plus les théories de gravitation quantique qui visent à minima à quantifier la relativité générale qui échappe à ce modèle et dans l’idéal à unifier le modèle standard et la relativité générale dans une théorie dite du tout. Nous restons donc aux pieds de cet édifice intellectuel ici Néanmoins... Nous aurons remarqué que, malgré les prédictions les plus précises qu’une théorie physique n’ait jamais été capable de faire, malgré son aspect fondamental puisque la mécanique classique n’est qu’une conclusion naturelle de la mécanique quantique dont elle est la conséquence (cas limite du principe de moindre action), malgré les débouchés technologiques majeurs qu’elle a autorisé et qu’elle laisse entrevoir, malgré la pluie de Nobels ayant récompensé Einstein, De Broglie, Bohr, Heisenberg, Schrödinger, Dirac, Pauli, Born et j’en oublie certainement... malgré ses succès retentissants et perceptibles... D’une part elle reste extrêmement méconnue et j’ose même pas qualifier le niveau des échanges "intéressants" sur notre forum à ce sujet autrement que par...nuls. Mais surtout, elle reste énigmatique en terme de compréhension de la structure du principe de réalité que nous nous forgeons sur le monde. Helgoland de Rovelli traite justement de l’interprétation que nous pouvons donner à ce principe de réalité à propos du bestiaire important de "bizarreries" quantique qui interrogent notre conception de localité (exemple - non separabilité de systèmes intriqués), de temps (exemple - expérience des fentes de Young dites à choix retardé) et du rapport entre une "réalité exterieure", le système physique et l’observation (les instruments de mesure et / ou l’observateur) Elle reste à priori énigmatique sur la question du mode operatoire de l’effondrement de la fonction d’onde lors d’une mesure Je rappelle que, conformément à l’intuition révolutionnaire de Werner Heisenberg à Helgoland (d’où le titre de l’essai de Rovelli), la théorie ne nous dit JAMAIS où se trouve une "particule de matière" quand nous ne la regardons pas. Elle nous indique seulement la probabilité de la trouver en un point donné SI nous l’observons. Quelle est la nature de ce "nuage de probabilités" capable d’interférer avec lui-même ou avec d'autres fonctions d'onde ? L’acte de mesure (ou d’observation) change totalement l’état du système quantique initial (sauf les expériences de Serge Haroche non intrusives qui ont fourni de précieux renseignements) et le formalisme de la mécanique quantique ne concerne que des structures abstraites ayant pour but de prédire la...probabilité...de survenance de tel ou tel observable. Tout celà à ouvert la porte à ce qu’on appelle "les interprétations de la mécanique quantique". Elles concernent tout autant notre représentation du monde quantique fondamental (du monde....tout court) que du rôle d’une théorie scientifique dans la description de notre monde. Une théorie doit elle se borner à décrire ce que nous observons ou doit elle permettre de comprendre la nature d’un phénomène dont nous savons que les attributs sont totalement différents avant que nous l’observions ? A ce stade...Rovelli ne nous propose pas une réponse clé en mains....il nous propose son interprétation ... à date de 2022 donc en connaissance des dernières actualités qui ont éclairé le sujet Et ce qui m’à sidéré comme je l’indiquais, c’est que c’est très précisément la mienne. Mais là....il ne suffit pas de s’approprier quelques concepts avérés, il va falloir apprendre à réfléchir. Et si la route est longue voire impossible, nous allons démarrer ce chemin par la réalisation de l’expérience EPR par Alain Aspect en 1982 Commençons par ce concept (1 minute) Et par celui-ci (4 minutes)
  22. Bonjour @azad2B J’ai retrouvé une description complète de Gamov concernant ce seul point dans le nouveau monde de Monsieur Tompkins chapitre 11 et demi qui est entièrement consacré à ce seul sujet si jamais tu t’y intéressait encore. Il y décrit l’ensemble du mécanisme depuis les orbitales autorisées par la théorie aux différentes couches autour de l’atome en passant par la déclinaison détaillée pour ce cas du principe d’exclusion de Pauli et en particulier de l’importance du rôle du spin qui, selon lui, sont donc l’explication de la périodicité des éléments découvert empiriquement par le chimiste russe Mendeleiev.
  23. Excusez moi @SolarisXXX mais je vous ai consacré suffisamment de temps pour rien Je vous promeuts dans ce camion d'ignorés. Au plaisir
  24. Vous voyez bien que vous pourriez être une bonne secrétaire. Merci mon brave. Mais pour que vous puissiez voir apparaître quoi que ce soit de concret dans des espaces de Hilbert abstraits, faudrait demander de l'aide au magicien d'Oz. C'est somewhere over the rainbow Allez bisou mon brave
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