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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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La fessée n’a absolument rien à voir avec l’éducation. Elle sert uniquement à l’adulte frustré, qui ne sait se maîtriser, à passer ses nerfs. C’est un aveu d’échec.
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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
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Vous vous offrez déjà le luxe de traficoter les citations... culotté pour une « nouveauté ». Ça a l’air drôlement marrant de se créer un double-compte. Ce forum prend de plus en plus des allures de zoo.
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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
Loin de là et il reste fort à faire. Le sexisme est ancré dans tous les domaines chez nous, également, c’est toute une culture qui est à démanteler. -
Non plus non. Le discernement et vous, cela a toujours fait 12 de toute façon.
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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
Les mentalités y sont très poussiéreuses, étriquées, misogynes et tant et si réservées que les japonaises sont isolées. Les victimes d'agressions sexuelles et de viols subissent un véritable bashing, et encore bien plus violent qu'ailleurs. https://www.lesinrocks.com/2018/03/21/actualite/au-japon-les-victimes-qui-osent-denoncer-les-agressions-sexuelles-risquent-gros-111053231/ http://www.elle.fr/Societe/News/Les-Japonaises-privees-de-MeToo-3665834 Nous pourrions en dire tout autant du Yémen : raffinement, tradition, émigration contrôlée. La classe. (2019, faudrait peut-être commencer à rafraîchir un peu votre "vitrine"). Vous êtes vraiment de la gourde. -
Bonjour Prométhée_Hadès, check, Le respect est le maître mot, en effet. En découle, l'indépendance, la liberté et ceci ne se fera pas sans l'annihilation du patriarcat. Quelques femmes pourraient être perdues, et puis elles s'apercevront ensuite, vite, qu'elles sont capables. "Une énorme pudeur" ? Ah ah ah : réseaux (pro) sociaux, boîte à mp... de certains de ces messieurs, photos de famille, des gosses. C'est plutôt l'antithèse de la pudeur et dans le genre Danièle Obono davantage que Beyoncé, au passage. Ceci explique cela. Note : la kryptonite du troll, c'est le mépris. Ne "m'invitez" plus sur ces sujets racoleurs. Merci bien.
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Truculent de lire ceci et tant cela émane d'un chouineur professionnel (calmez-vous). Être dirigé(e) par une femme ne change pas tant la donne et d'autant que certaines sont bien plus misogynes encore que certains hommes (c'est regrettable). Si chaque individu est toujours à prendre dans sa singularité, nous subissons tous et toutes cette culture sexiste, misogyne, toujours présente hélas, absolument à démanteler afin de pouvoir avancer vers des bases plus saines et pérennes. Dans le milieu professionnel, j'ai constaté que quand les femmes sont en nombre par rapport aux hommes, cela ne fonctionne pas plus (tensions, concurrence et jalousie). Au final, il faudrait plus de mixité, ou aucune. En ce qui concerne l'éducation, ma famille maternelle fonctionne sur le modèle matriarcal (les femmes sont plus nombreuses et ont du caractère) et ma famille paternelle, quant à elle, sur le modèle patriarcal (institué par une femme, ou sa croyance, plutôt). Les deux présentent leurs défauts et leurs limites. Nous allons doucement vers une société plus équilibrée, et franchement, ce n'est pas plus mal. (Heureux ?)
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Quand vous aurez fini votre parano, nous pourrons peut-être échanger de façon apaisée.
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Ce n'est pas suffisant. Faites un effort. Quelles que soient les réponses que je vous apporterais, vous en profiterez, pour vous victimiser. C'est triste et sincèrement, j'espère que vous vous en sortirez.
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"Une fois de plus à la charge des hommes", @Swannie? Je n'ai pas le souvenir de l'avoir lue prendre des "postures" trop féministes. Il est vrai que vous voyez des féministes intégristes, la poitrine découverte, partout, chouchou. "Depuis le temps que les femmes dénoncent les abus des hommes dans le monde professionnel" ? Pardon ?! C'est justement parce qu'elles ont observé le silence si longtemps par peur de perdre leur travail ou des représailles de tout poil, que la situation est ce qu'elle en est aujourd'hui. Avec libération de la parole des femmes, la fin de l'omerta (ou presque mais ça viendra), des hommes fragiles ou qui ont manifestement à se reprocher, ont la sensation d'être opprimés : évoluez !
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C'est toujours très agréable de se faire draguer entre le rayon papier toilette et celui des fruits et légumes... mais oui, sortir, de toute façon, il n'y a que ça de vrai. Vous ne faites pas des soirées avec les facs ou d'autres filières, justement ? Ça se faisait beaucoup d'antan, les scientifiques venaient tenter leurs chances auprès des futures juristes et psychos-psychettes autour d'une galette des rois /soirée crêpes/St Valentin etc.... Rapprochez-vous du BDE le plus proche et...chargez l'appli Uber aussi. Par contre, la routine avec les potes se devra d'être moins routinière si vous ne voulez pas que votre future chère et tendre prenne la poudre d'escampette.
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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans International
4 universités nippones ont déjà été épinglées. Manipulation des notes, favoritisme pour les garçons, quotas cachés... un vrai festival. L'une d'entre elles est aussi plus exigeante avec les filles lors des entretiens des concours d'admission au motif qu'elles seraient naturellement favorisées pour leurs qualités de communication. Souci d'équité donc à l'endroit des candidats masculins ! Magnifique. Comment, dans un pays si évolué, précurseur en matière d'innovation, d'avancées, peut-il résider une culture aussi misogyne, arriérée ? -
Vous n'y étiez pas obligé, cette "polémique" est ridicule et à la différence d'autres, ce n'est pas la grande "mythonnerie". Vous n'avez pas l'opportunité, en cours, de rencontrer des filles ?
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Se résigner c'est simplement accepter sa condition, son sort, ce qui n'empêche pas pour autant d'avancer/de rebondir. Vous pouvez aussi vous apitoyer, ensuite. Se résigner, accepter sans se leurrer permet aussi d'éviter toute dissonance, oui. Si un être humain sombre à cause d'un échec (professionnel en l'occurence ici), ce n'est pas nécessairement qu'il a "un grave problème psychologique"ou une si "faible estime de lui-même", peut-être davantage une sensibilité différente, de la vôtre. Il n'y aura pas un seul sujet où les gilets jaunes n'auront pas fait leur entrée... Brièvement : Vous retrouverez tous types de profils au sein de ce mouvement (pas que des "loosers" donc) et de toutes conditions sociales (le mouvement étant très hétéroclite). Mais encore, nous subissons tous -ou presque- une fiscalité de plus en plus folle en France. Il existe aujourd'hui une coupure entre ceux qui arrivent (encore) à jouer avec les règles du jeu (ou qui arrivent à maintenir leur pouvoir d'achat voire à l'accroître) et ceux qui sont piégés par ces règles, appauvris. Ce qui devait arriver, arriva. Cela fait des années que nous le pressentons. Ce mouvement cristallise toutes les souffrances du peuple, qu'il faut écouter et nous en avons l'obligation, le devoir, nous les "favorisés" (c'est aussi une question d'éducation, vous en conviendrez). Même si celles-ci amènent parfois à des revendications toutes aussi folles, il est vrai (il y en a aussi des raisonnables, justes). En outre, tout ceci a débouché sur un certain courage, c'est courageux de descendre dans la rue, dans le froid, toute la journée, moins de tout saccager, je vous l'accorde. Nous avons assisté à une vraie forme de détermination, puis d'organisation. À suivre... Revenons-en au sujet, voulez-vous bien ? *clin d'oeil*
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Japon : des discriminations sexistes dans des universités de médecine
Mórrígan a posté un sujet dans International
Japon: des discriminations sexistes dans des universités de médecine Plusieurs universités japonaises de médecine ont été reconnues coupables de discrimination envers les filles ou de favoritisme envers des candidats précis, a annoncé aujourd'hui le ministère de l'Education, deux mois après la découverte de manipulations de notes par une faculté de Tokyo. "Nous avons choisi de ne pas citer nommément les établissements mais nous leur demandons de donner eux-mêmes des explications sur leurs pratiques", a déclaré le ministre de l'Education, Masahiko Shibayama, lors d'un point de presse. Il n'a pas précisé non plus leur nombre. Quelque 81 universités de médecine publiques et privées font l'objet d'une enquête après la découverte de modifications de notes par l'Université de médecine de Tokyo, afin de disqualifier des candidates au concours d'admission. Le comité de sélection s'arrangeait pour que les femmes ne représentent pas plus de 30% du nombre total d'élèves reçus, au motif que, même si elles deviennent médecins, elles quittent ensuite souvent leur poste pour se marier et avoir des enfants, ont justifié des sources auprès des médias locaux. A la suite de ce scandale, les autorités ont enquêté sur le terrain pour étudier précisément la façon dont sont conduits les examens d'entrée. Une trentaine d'établissements ont pour le moment été passés au crible. "Des pratiques inappropriées ont été découvertes dans plusieurs universités", a écrit le ministère dans un rapport d'étape, donnant plusieurs exemples de méthodes visant à éliminer les femmes ou les candidats qui avaient auparavant raté d'autres concours, ou bien à favoriser certains postulants, par exemple parce qu'un de leurs parents était diplômé du même établissement. Par ailleurs, le ministère a soulevé des soupçons de possible discrimination liée au statut social des étudiants. Dans certains cas, les candidats doivent préciser au moment du concours ou lors d'un entretien oral les identités de leurs parents, leur profession et leur situation économique. Le rapport final sera publié en décembre, mais il n'est pas certain que les noms des établissements en cause soient révélés. En revanche, le ministère espère que les universités corrigeront leurs méthodes "pour que les candidats puissent se présenter en toute quiétude aux examens". L'article se trouve ici : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/10/23/97001-20181023FILWWW00096-japon-des-discriminations-sexistes-dans-des-universites-de-medecine.php -
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La musique classique,c'est pas si mal.....
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Decade 63 dans Musiques
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Vous écriviez plus haut que vous aviez tenté, que vous aviez échoué (sur ce plan-là), puis passé à autre chose (non ?). Vous n'avez conservé que le meilleur ou vu le verre à moitié plein, plutôt qu'à moitié vide, simplement et c'est ce que certain(s) ont été obligés de faire afin de ne pas sombrer, ou de se retrouver sans rien. Aujourd'hui l'humain est quelque part chosifié, ceci explique donc ces quelques réflexions froides. C'est un bon état d'esprit, de ne pas vouloir être en concurrence ou tout au moins avec les femmes, j'entends. Nous pouvons l'être pour un prix littéraire, une compétition sportive, évidemment, mais certainement pas pour un homme, c'est stupide et ce n'est pas comme si nous venions à en manquer. Les femmes qui restent dans un schéma dominant/soumis sont, semblerait-il, d'une autre époque, fort lointaine. Sans faire la promotion de la sororité -je ne m'entends pas avec toutes les femmes, comme je ne m'entends pas avec tous les hommes, c'est davantage une question de caractères, de traits, que de genres à vrai dire- à compétences égales, je privilégie les femmes, quand il s'agit de faire quelques menus travaux par exemple, à mon domicile. C'est une façon de contrebalancer un peu, la discrimination qu'elles subissent au quotidien, tout en exerçant une profession typée, aux dires de certains, masculine. En ce qui concerne le milieu du travail et la compétition, plus en général, certains postes ou certaines branches, commerciales, notamment, demandent à ce que les salariés soient en compétition constante avec la concurrence évidemment, mais aussi au sein d'une même équipe. Être challenger est une qualité recherchée et récompensée (poste, bonus, et même simple gratification). Ceux qui ne le sont pas assez, ou ne jouent pas le jeu, finissent par être virés.
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Bonjour Prométhée_Hadès, check, Tout à fait, c'est ce que j'écrivais déjà plus haut c'est plutôt bien pour les personnes avancées dans les années (et sans vouloir rudoyer votre grand âge). À défaut d'avoir, à nouveau, trouver l'amour, ma grand-mère y a trouvé d'excellents partenaires de bridge. Mon grand-père ayant été un homme, trop exceptionnel. Avez-vous toujours fait les petites annonces, ou bien, sortiez-vous, au bal (ou autre), auparavant ? Il est toujours dommage de trouver des jeunes gens vissés derrière leur site de rencontres, alors que des hommes et des femmes, il y en a pleins les rues, les cafés et etc... Enfin c'est mon point de vue. Vous me racontez la messe. J'ai déjà rangé mes souliers du dimanche. Sur la défensive, vous extrapolez à tort à travers, également. Il y a un décalage entre votre profil, cette volonté d'en découdre à peine voilée dans votre post de présentation et puis cette attitude très -trop- "polissée" à travers vos messages. Ajoutons à cela des "inclinaisons", ici, des plus douteuses. Je ne vous ferai jamais confiance. Maintenant que tout est dit entre nous, ou si peu, finalement, reprenons puisque nous sommes en effet là pour réfléchir et écrire. Pourquoi avoir besoin des sites de rencontre, si, au quotidien, vous pouvez avoir des opportunités ? La dépression et le sentiment de solitude grandissent au fil des rejets et échecs qu'accumulent des hommes et des femmes sur ce genre de sites, il suffit de lire ls témoignages ci et là. Plus ils sont jeunes et plus ils seront désenchantés, déçus, écoeurés des rapports homme/femme. C'est très nocif. Chacun peut trouver sa chacune, pour cela, il suffit de s'en donner la peine. Il ne sera pas le seul, d'autres affichent la centaine, est-ce si grave ? D'autres ici orientent bien leurs lecteurs ou les amènent à penser que la vingtaine est encore là voire la trentaine naissante alors que les portes de la quarantaine sont déjà en vue. Quelle pitié de n'assumer ni son âge, ni... son physique.
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40 ans, c'est énorme, c'est toute une vie professionnelle. Vous vous êtes résignée ou n'avez "conservé" que le meilleur, la philosophie n'est pas mauvaise et d'autant quand les moyens ou l'époque n'ont pas permis aux femmes de sortir de ce carcan, prétendre à autre chose, et puis, pas le choix surtout. Si le militantisme féminin s'est affirmé autour de mai 68, qu'auparavant nous avons lu des auteures ou des figures historiques et/ou politiques engagées, pour les femmes ; il me semble que nous assistons depuis peu à une véritable révolte féminine. Nous avons depuis quelques temps tendance à papillonner d'un travail à un autre, d'une boîte à une autre. Femmes, hommes, tout le monde ou presque est également interchangeable ou remplaçable (et cela ne se limite pas qu'au milieu du travail, hélas). Une professeure nous disait déjà il y a une quinzaine d'années, que nous aurions plusieurs vies professionnelles dans une vie, qu'il fallait nous y préparer, savoir être polyvalent et nous impliquer afin de faire valoir notre dimension "d'irremplaçable". Elle avait raison, en partie : quand bien même cela ne suffit plus. En ce qui concerne les femmes et leurs droits (très en général), nous sommes absolument toutes concernées. Toutes les femmes veulent le respect. Certaines ne le souhaiteraient que pour elles (et ce sont exactement les mêmes qui se plaisent à voir les autres femmes, voilées et très couvertes notamment, comprenez que cela leur fait moins de concurrence), là où d'autres, le souhaitent pour absolument toutes. Quelques femmes se défendent de ne pas être féministes en effet, certaines sont fatiguées et résignées comme vous l'êtes (je le conçois et le comprends), et puis les autres, misogynes, auraient bien trop peur de ne plus plaire au mâle, féodal. Qui se ressemble, s'assemble. Il y a souvent cette confusion volontaire, fallacieuse qui revient ou cette réduction de la voix des femmes à une seule dimension, à un féminisme radical et alors qu'il existe peut-être autant de féminismes, que de femmes. Toutes les générations s'y confondent, tous les milieux, toutes les catégories socio-professionnelles s'y côtoient. Nous sommes toutes différentes, c'est un mouvement pluriel : comment pourrions-nous dès lors être toutes être d'accord et ne parler que d'une seule voix ? J'aimerais vous lire un jour aussi perspicace, coulant et bienveillant... avec des hommes.
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Vous me donnez le sentiment d’être l’enfant à qui l’adulte vient de révéler que le père Noël n’existe pas. Bon, je vous arrête de suite, ce sont des préjugés tout cela et vous ne m’apprendrez pas la vie : des coups, tout le monde en prend, et même les filles, plus si jeunes d'ailleurs. Ce qui fait la différence vraiment, c’est notre capacité à gérer et encaisser ces coups. C’est sans nul doute, une question de parcours (effectivement) mais aussi ou surtout, de tempérament. Je ne suis pas très « pisse », même avec une petite fleur dessus et très opiniâtre (ces gens qui ne voient que le verre à moitié plein, sont agaçants, n’est-ce pas ?). La vie peut sembler tantôt chienne, et puis soudain vient l’éclaircie. C’est pour cela qu’elle est belle, au final : rien n’est immuable, rien n’est jamais foutu, pour personne. Si vous rayonnez, vous aurez aussi davantage de chances d’attirer le meilleur (en toutes choses d’ailleurs, professionnellement, amicalement etc...) mais le pourri aussi, la lumière attire toujours l’ombre, et c’est là qu’il faut être vigilant. Une rencontre d’âmes sœurs ? J’ai une autre conception de la chose, désolée et pour commencer, je crois davantage à des individus qui se trouvent de l’intérêt puis, qui se construisent ou « grandissent » ensemble. La complétude n’est pas à chercher chez l’autre, mais en soi et c’est ce qui vous permettra toujours ainsi de garder indépendance et équilibre. La démarche me semble différente et si vous ne venez pas sur un forum dans l’objectif d’y rencontrer une femme, en effet. Enfin, il n’y a pas de préméditation et cette notion de destin qui fait son œuvre est toujours présente. Un grand romantique ? Je ne saurais trop et en quelques lignes, seulement. Pas lu votre œuvre dans son ensemble, néanmoins déprimé est le trait dominant qui ressort ou qui vient à l’esprit à votre lecture. Quoi qu’en même temps et bien que vous soyez bienséant, votre pseudonyme, ou votre avatar, ou votre présentation ne m’inspirent pas grande confiance, à moins que ce ne soit les 3, à la fois. Je précise que je vous écris cela en toute bienveillance. En vous souhaitant bon courage pour vos pérégrinations forumistiques à venir et amoureuses en option et lisiblement souhaitées.
