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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Je crains que vous m'ayez prise pour l'une de mes consoeurs. Anastasia, peut-être ? À moins que...une blonde platine ?! : Nous y voici donc encore. Vous ne me situez pas, toutefois vous ne pouvez vous empêcher de vous béquiller sur des référentiels, qui vous sont propres. Je ne viendrai pas à vous hélas, telle l'enfant de l'Aveyron au pionnier de l'oto-rhino-laryngologie, ou telle Carla vers "son Raymond" ou encore l'âge de raison. J'ai la grâce déjà, de vous honorer de mon auguste présence, sur ce fil. Vous voudriez m'enseigner, alors que vous êtes la personnification même de notre Éducation Nationale chérie : un esprit étriqué dans un corps de vieillard. Il y a aussi chez vous ce petit quelque chose de significatif. L'état dépressif, peut-être. Dépassé, périmé... up to date, comme le diraient les amoureux de la langue de Shakespeare. Je gage pour ma part que le sujet atteindra la millième page, si vous restez suspendu à mes jupes. Quelques instants en votre "lumineuse" présence, et j'en viendrais déjà à invoquer les esprits ? Si je ne suis pas prêtresse vaudoue, peut-être arriverais-je, tout de même, à réveiller le vôtre... égaré quelque part, depuis le Crétacé. Moi aussi. Enfin parfois oui et... parfois non. *déplie sa chaise en vue de partager quelques commérages* Vous avez entendu la dernière sur Henriette ? Vous savez Henriette * lève les yeux au ciel, et fais un geste évocateur*
  2. Pour employer une expression des plus désuètes qui ravira très certainement l'intervenant sus nommé : rouler des mécaniques (= faire le claquouille). Il y ait de malentendu (gros ou non) seulement pour la Team premier degrés. Le second, le troisième, le quatrième, le douzième même... certain(e)s devraient pratiquer, cela leur détendrait les mocassins à gland. Merci !
  3. C'était pour un ami, c'est toujours un ami d'ailleurs. Je l'ai assez traumatisé puisque chaque fois qu'il m'invite à dîner et que je lui demande quoi apporter, il commence toujours par "Surtout pas des fleurs, ramène-toi avec un bon dessert". Certains hommes ont assez de sensibilité pour aimer les fleurs, et en avoir chez eux, mais pas tous, mieux vaut leur amener du vin ou du whisky japonais, ou pas. Bonjour Promethée-Hadès, Oui excusez-moi, des hommes. Il suffit de lire ce fil afin de voir à quel point les hommes respectueux des femmes ou progressistes sont denrée rare. Restez comme vous êtes *clin d'oeil* Vous dites ? Vous trouvez ? Il y a bien Barbe rousse, ou Barbe bleue. Ah non, ce n'est pas le même...Bon oubliez *sourire*
  4. Cachez-moi donc ce numéro de claquouille que je ne saurais voir. Plaît-il... depuis plus d'une page ? Vous ne seriez pas du Sud de la France, vous, genre Marseillais ? Aaaah, vous faites une démonstration au virtuel, pouvez-vous nous vendre aussi un aspirateur en ligne -oh pas quelque chose de très moderne, rassurez-vous- un Electrolux, ou faire le poirier, la roue, l'équilibre ou la rondade ?#j'aime la gym. Je vous remercie de me féliciter sur le bon état de ma mémoire, ainsi que pour votre galanterie, vouloir me faire passer pour un ange au réel, vous êtes bien bon. Hélas pour mes proches, les chiards, la vieillerie, les caissières, la factrice, les poules même... Note à moi-même : Éviter surtout de parler prêt à porter avec les hommes, ils n'y connaissent rien et se vexent si vite. Ça et vernis à ongles, c'est pas bien, c'est pas bien, c'est pas bien. Zut !
  5. Moi je vous l'écris, j'ai mauvais caractère et ça m'a toujours sauvée/me sauve encore. Dire "non" est une chose, que les hommes comprennent qu'un "non" est vraiment un "non" et pas un "oui" déguisé en est une autre. Nous avons encore du chemin à faire de ce côté-là, également. Cela me fait sourire forcément, et amèrement quand des hommes viennent chouiner en arguant que l'on a déjà tout et aucune raison de monter au créneau. Il faut absolument cesser d'inscrire les petites filles à la danse ou leur faire subir des leçons de piano, pour se faire plaisir. Quand elles le souhaitent, c'est différent. Les gosses ne sont pas des jouets, les petites filles, pas des poupées, mais c'est encore là un autre débat. Comme des pirates ?
  6. En effet, l'année dernière c'est déjà le paléolithique. Je brûle d'ailleurs ma penderie tous les ans, rien à voir avec une crise d'adolescence en avance ou de jeunisme en retard -ou plutôt l'inverse- elle n'est pas à la hauteur de mes espérances (la penderie, pas la crise). Je suis étonnée que vous trouviez encore la force de venir traîner vos vieilles guêtres sur un forum, eu égard à votre grand âge assumé, ou vos références du Mésolithique. C'est beau. Il est vrai que les vieux ont besoin de détendre leurs rhumatismes, ou venir tester leurs capacités mnésiques : "À mon époque la télé était en noir et blanc, et il fallait mettre des pièces...". Allez il va être gentil et venir prendre sa compote.
  7. Voulez-vous bien arrêter de gesticuler alentours ? La jalousie est un sentiment humain qui n'est pas plus excusable, qu'un autre. Il faut, évidemment, enseigner aux femmes, mettre le doigt sur leur propre misogynie, voire les challenger, parfois les bousculer afin de les mener vers un questionnement, une introspection, puis le bien vivre ensemble, si ce n'est pas vers une sororité. Je ne crois pas plus en une sororité chimérique que magique, et d'ailleurs il semblerait que vous me fassiez, encore, me répéter. Une volonté d'annihilation ? Alors qu'il y a de la place pour tout le monde. Se battre pour les faveurs ou l'attention des hommes ? Diable, alors qu'ils ne manquent pas, ou ne le méritent pas. Il n'y a aucune consécration, élévation, ni mérite à plaire aux hommes. C'est futile, stupide. Il est plus intéressant de remporter un prix sportif ou de monter quelques échelons, professionnellement parlant. C'est épanouissant et pas d'écrasement mesquin, société hétérosexuelle ou homosexuelle comprises, non ou alors la concurrence est instaurée d'emblée par des hommes, ou des femmes malveillantes. Il y a plus de fair-play à mon sens, quand il ne s'agit pas de la conquête du mâle. Je me réjouis pour toutes les femmes qui réussissent et sont pleinement épanouies en ces domaines, sans faire de sororité à outrance. Comme je me réjouis pour des hommes, aussi. Parce qu'ils l'ont mérité, surtout. La femme misogyne qui cherche à plaire à l'autre, à l'homme surtout, à grands moyens d'artifices comme vous l'écrivez, en écrasant les autres, le fera de façon ponctuelle, uniquement pour séduire et est à différencier de la femme qui cherche à se plaire et usera elle, d'artifices sans outrance, de façon plus naturelle et au quotidien. C'est ce que l'on appelle une routine beauté. Ce n'est pas une arme de séduction, pour la seconde, plutôt une habitude, a contrario de la première. Je peux aussi évidemment développer sur les vernis à ongles, mais vous allez forcément être indigent. Le souci du mâle non progressiste est qu'il est égotique, tout tourne autour de lui, tout est fait pour lui, ou pour lui plaire. C'est comme cela qu'il a été éduqué, choyé, comme un petit pacha de harem, le préféré. Il pourrait paraître difficile, c'est vrai, de reprocher au mâle d'avoir froid, tant il a été élevé dans l'eau chaude ; mais il faut le faire, dès que l'occasion se présente, en vue de l'éduquer. Et si les lectrices de ce fil n'accordaient déjà pas grande importance, aux propos des féministes "médiatisées" et non choisies pour être représentantes ? Si les lectrices de ce fil n'étaient pas des gourdes influençables, malgré ce que vous sous-entendez grossièrement ? Si elles prêtaient juste attention aux témoignages de femmes victimes, agressées, violentées, harcelées, battues, violées... parce que cela peut arriver à n'importe laquelle d'entre nous, parce que cela est déjà arrivé à certaines d'entre nous, parce que nous pouvons aussi compatir et accepter qu'elles aient besoin de verbaliser leurs douleurs, leur trauma... ? Libre à vous messieurs, de ne pas les écouter, de quémander le statut de victimes, alors que d'autres, des hommes au petit air bien porcin ont fauté, agressé, dégradé, violé, battu, harcelé. Libre à vous de faire de la mauvaise fraternité... si vous pouvez encore vous supporter après cela les lacrymâles, grand bien vous fasse. Ne venez plus vous plaindre de la montée du féministe, il vous annihilera. Seuls les hommes progressistes resteront. Tant mieux pour nous ! Mon pauvre, je casse fréquemment mes verres à pied en faisant la vaisselle. C'est un vrai budget. J'ai un verre Petit Poney *sourire*
  8. Il y avait aussi des odeurs de jasmin (mais aussi de roses) chez la mienne, des leçons de vie et des conseils et une préoccupation constante, "Trouvera t-elle un bon mari ?". Je pense que la société telle qu'elle ait aujourd'hui lui plairait autant qu'elle lui déplairait : les femmes n'ont pas les deux pieds dans le même sabot, mais revendiquent trop la liberté, de tout faire. J'ai mauvais caractère, ça me sauve... tout le temps. Sympathie pour les harceleurs, ou tout ce qui ne possède pas le chromosome XX. Jalousie, envie (complexe d'infériorité à l'occasion) et haine envers des femmes qu'elles peuvent considérer ou considèrent comme des rivales... C'est de la misogynie toute féminine, qui résulte d'une mentalité machiste et surtout très moyenâgeuse. Parfois, il est aussi plus facile de se ranger derrière le nombre. Ces femmes ont été éduquées dans cette société d'autrefois. La société est en train d'évoluer. Elles devront s'adapter et vivront sans doute mieux leur féminité, par la même. Espérons. Protégez-vous, préservez-vous, avancez, sortez-vous de ce guêpier. Il n'y a pas d'obstacles infranchissables mais vous serez souvent seule, contre tous. Gardez foi en vous. Et... il n'y a pas que des gens pourris, on fait de temps à autres de belles rencontres, hommes, femmes confondus. Avec plaisir, tenez-moi au courant, et ma messagerie vous est ouverte, si besoin.
  9. Le mieux est de réunir toutes les qualités possibles, avec une ou deux fossettes, en sus, évidemment. Après, il y a l'idéal et effectivement ce que la vie et le destin nous présentent. Kenzo, ça ne "sent pas" - toujours- "beau", ceci dit il y a un côté classique éteint, qui s'appaire plutôt bien avec Olivia Newton-John. Telle est la voie de l'obsolescence.
  10. Les hommes et les femmes, même pleins d'esprit, usent aussi de blagues bien grasses. Rien à voir. Esprit et élégance ne marchent pas forcément ensemble, plutôt pas même, hélas. Olivia Newton-John. Boarf.
  11. Je comprends tout à fait, et vous faites bien de prendre ta journée, pour préparer votre entretien et chasser les mauvais chakras ou les mauvaises pensées. J'aurais fait la même chose. Oui j'aime mon travail, il est épanouissant de travailler pour son propre compte, et quelle liberté ! J'ai aussi été salariée et ait été confrontée à une certaine violence, des hommes, des femmes, parfois. Ce qui m'a le plus marqué est un "événement" somme toute anodin dans la vie d'une femme : un client, un bon client ou un "gros" client comme disaient ceux qui m'employaient à l'époque, m'a appelée afin de m'inviter à sortir. C'était une récidive, puisqu'il le faisait fréquemment, avec récurrence, mais sur le ton de la plaisanterie toutefois, en entretien. Je l'ai éconduit, proprement, et avec toute la diplomatie et la tenue que m'imposaient mon statut de salariée. Tout se sait dans un bureau, d'autant quand certains collègues ont les oreilles qui traînent. Rapidement, mes employeurs (un couple, entreprise familiale) se sont campés devant mon bureau, comprenez qu'il fallait que je le rappelle et que je m'excuse, et qu'il m'était très fortement conseillé d'accepter ce rendez-vous. À moi seule, par stupidité, j'allais être responsable de la faillite de leur petite entreprise. Je me suis sentie humiliée, chosifiée sur le coup, en colère au fond de moi, et je n'ai pas cédé. L'entreprise n'a pas fait faillite, et le client est revenu. Alléluia. C'est avec une joie manifeste, que je leur annonçais partir pour la concurrence, deux mois plus tard. J'étais dès lors l'employée la plus merveilleuse et le plus précieuse, ils ont proposé de me donner plus de responsabilités et un meilleur salaire. J'ai refusé et je n'ai pas regretté. En ce qui concerne l'entourage, beaucoup n'ont pas compris, j'ai peu été soutenue (en dehors de mon noyau), repartir en CDD alors que j'étais en CDI ? Non mais quelle folie ! Retourne au travail et tais-toi. Je suis encore parfois confrontée à de la drague lourde de clients, je les remets à leur place, plus fermement qu'avant, mais toujours dans les formes. Certaines femmes n'ont pas eu à souffrir de "violences" dans leur vie professionnelle, et tant mieux pour elles. Certaines ne sont pas solidaires, et excluent totalement que d'autres aient pu souffrir de quoi que ce soit, puisque leur référentiel, c'est leur petite personne. Cela ne veut pas dire pour autant que cela ne leur arrivera jamais. Ce n'est pas à souhaiter, toutefois. Avec plus de solidarité, de prises de position, de courage des uns et des autres, une autre mentalité, nous n'en serions effectivement pas là. Je me réjouis de la libération de la parole de femmes, parce que même si cela heurte quelques hommes chouinards, et quelques femmes trop hypocrites ou très misogynes, les choses vont pouvoir commencer à bouger, et c'est une chance pour les femmes salariées (entre autres). Comme disait ma grand-mère, qui était une femme de tête, bon... un peu croyante : "Aide-toi et le ciel t'aidera !" N.B : Oui beaucoup trop de misère, quand on écoute nos politiciens, il n'y aurait qu'une cinquantaine de sdf. Humpf.
  12. Paul Walker ? Ah oui...où ça ? La profondeur, l’esprit, le saint d’esprit...quand je lis Sartre ou Voltaire par exemple, ça me fait l’effet d’un café froid, salé en plus. Il est d’autant plus préférable, à mon sens, d’avoir affaire à quelqu’un de bien dans sa peau, avec qui il est impossible de s´ennuyer, l’esprit même en moins, et surtout l’Esprit en moins.
  13. Les paroles collent bien à la cause, elles font bien. Un joli petit cactus *sourire* Invitée à dîner et bien élevée, j’ai une fois offert une bouteille et des fleurs à un monsieur, il m’a regardé comme ça O_o et paniqué m’a répondu : « J’ai même pas de vase ». Pas une bonne idée. Tout se passera bien pour cet entretien, les femmes ne sont pas des mères maquerelles, enfin peu le sont.
  14. Bonjour, Titanium, des paroles féministes ? C’est un choix intéressant. Quand je l’écoute, je comprends « libération de la parole » et « invincibilité ». En cela, oui, ça colle plutôt bien. Dans le clip, si je me souviens bien, il s’agit d’un enfant en fuite, avec un fond paranormal.
  15. Non, il ne s’agit pas de coopter le fils de la collègue de bureau de madame, de le parrainer. L’électricien du coin peut se présenter, sous la bannière EM, les Républicains etc..., ensuite, s’il le souhaite. Les maires peuvent être sans étiquette, également. Aujourd’hui, rien n’est impossible, il suffit simplement de se bouger, parfois d’être pertinent. Une bonne amie a lancé un tweet au moment des municipales, aujourd’hui elle est adjointe municipale à la culture, conseillère régionale, ainsi que secrétaire nationale, d’un parti. C’est un milieu de requins, elle ne compte sur personne. Même chose pour une autre, mais via Facebook. Il n’y a pas qu’un seul discours féministe, il y en a plusieurs. Certains s’attachent à ce qu’il y a de pire, ce qui leur permet par la même de s’accrocher encore à leur bien-aimé modèle patriarcal. Les femmes, ces hystériques. Des hommes avec un petit air trop porcin ont été balancés sur la toile. Mais quel scandale ! Comme c’est dérangeant. Ces femmes n’auraient pas pu se taire, continuer de subir, de supporter. Diable ! Quand les hommes font de la mauvaise fraternité... Ce qui est d’autant dérangeant ce sont ces femmes qui s´insurgent tout autant que ces messieurs, les hypocrites, parce qu’au fond nous sommes toutes d’accord pour dire que nous voulons toutes la même chose : le respect envers les femmes. Autant se serrer les coudes, que de se tirer dans les pattes. Même chose pour les hommes, vous ne pouvez décemment défendre ces hommes trop porcins, sauf à vouloir polémiquer, pour rien. Je vous remercie de me renvoyer à mon sujet donc, qu’est-ce qui vous ferez dire que des « figures » féministes seraient assez malhonnêtes pour s’enrichir sur notre dos (détournement de fonds ?)?
  16. Vous êtes d’une génération qui a encore la chance de toucher une retraite, aussi modique soit-elle. Pas sûre que nous ayons cette chance. Travailler est un réel épanouissement, sortir de chez soi, voir d’autres personnes, voir autre chose que sa planche à repasser et les caleçons de monsieur à plier. Qu’est-ce que j’ai fait le 8 mars, pour les femmes, leurs droits ? À ma petite échelle, j’ai dialogué avec une mère au foyer, lui rappellant qu’elle a un jour été indépendante et plus épanouie, moins esclave et qu’elle a le droit d’être autre chose, qu’elle a le droit de travailler. Elle m’a répondu qu’elle sent un vent de liberté, quand nous discutons ensemble. Lettres de motivation et CV, lors de notre prochaine entrevue.
  17. Bravo et félicitations !!!! Les opportunités ne manquent pas, il faut savoir se distinguer et vous avez assuré. # I cross my fingers 4 U
  18. C’est vraiment très bien d’oeuvrer pour les enfants ou la planète. Louable, merveilleux, charitable, ça n’en reste pas moins hors sujet. Quand on sait que des femmes manifestent pacifiquement en retirant leur voile à Téhéran, en pleine rue, se hissant comme elle le peuvent, afin de revendiquer une liberté de courts instants, et risquant par la même 2 mois d’emprisonnement et 74 coups de bâtons. Quand on sait qu’en France, certains peuvent s’émouvoir quand une joggeuse a lâchement était assassinée, jusqu’au moment où il est révélé qu’il s’agit d’un féminicide (là elle devient le pire des monstres). Quand on sait tout cela, on se dit forcément qu’il reste beaucoup à faire... mais vous pouvez effectivement ne pas vous émouvoir.
  19. Comment font les autres ? Pourquoi devraient-ils être couvés sous prétexte qu’ils ont couvé ?Si c’est un choix, qu’ils l’assument.
  20. Encore un sujet dichotomique ? Pas de tiercé, quarté, quinté +... les 2.
  21. Il ne s’agirait pas là seulement de respecter un choix mais davantage de le faciliter ou l’encourager plutôt (rémunération) et ce n’est pas leur rendre service.
  22. Absolument pas d’accord. Tâches ménagères et garde des gosses, le nec plus ultra. Non mais au secours ! Rémunérer des femmes et des hommes au foyer, pour ce faire n’est pas une solution. Ils peuvent tout à fait être autre chose, ou ne pas être que cela du moins. Les rémunérer ne les encouragera plutôt pas à aller de l’avant. Les enfants grandissent, et pour se remettre sur le marché du travail après s’être sacrifié(e) professionnellement... bon courage. Il est tout à fait possible de cumuler vie professionnelle et de tenir son intérieur propre, beaucoup le font, très bien. Les enfants vont à l’école à partir de l’âge de 3 ans aussi. Il n’y a pas véritablement de frein à s’épanouir professionnellement, ninà culpabiliser de le faire, si ce n’est le manque de motivation ou la fainéantise.
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