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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. L’esprit renvoie à l’intellect, l’humour, la finesse, la vivacité. Si tout ceci s’apprend en partie, tout se cultive ou s´améliore. Même chose pour le physique. Le physique est aussi une somme de pleins de petits défauts, d’où peuvent naître le charme. Vous pouvez concéder à ce qu’une femme soit moins attrayante physiquement, dans la limite du raisonnable, très certainement. L’esprit prévaut. J’entends bien. Quand on peut établir un ordre de priorité des qualités, ce qui doit passer en premier lieu, n’est-ce pas parce que l’autre est prévisible, ou l’est devenu, trop facilement discernable et n’a plus de chance de charmer avec une nouvelle coiffure ou un trait d’esprit par exemple ? Or ce qui est attrayant c’est l’insaisissable, l'imprévisible, cette capacité à renverser l’autre intellectuellement ou physiquement, les deux à la fois, constamment (ce n’est qu’un avis). Il est vrai que d’autres aiment savoir où ils vont toujours, cela les rassure. Si vous privilégiez l’un plus que l’autre vous pouvez tout autant finir par être frustré, certains/ certaines prennent des amant(e)s pour compenser un manque, comme s’il s’agissait de créer l’âme sœur à base de plusieurs individus. C’est assez moche à mon sens, autant être sélectif dès le début. Ça marche peut-être pour le virtuel. Enfin, cela existe sûrement des sites de rencontres sans photo obligatoire, non ?
  2. Mince, je suis vraiment désolée pour vous...et maladroite. Avez-vous pensé à écrire, pour vous ? Vous avez l'air d'avoir des facilités, et l'écriture peut être thérapeutique.
  3. Justement, il faut prendre toute les dimensions, en compte. L'esprit n'exclue pas toujours le corps, et inversement. L'un et l'autre peuvent s'améliorer aussi.
  4. C'est possible, mais je leur laisse le bénéfice du doute. Pourquoi toujours tout exclure ? C'est soit blanc, soit noir, avec vous.
  5. Même pas vos parents ? Frères, soeurs ? Je vous comprends, je n'aime pas les foules, même si je les côtoie par obligation, et ai besoin régulièrement de retrouver ma bulle (yoga, méditation avec un verre et les étoiles). Essayez de reprendre le sport, c'est sans doute ce qui vous manque. Se défouler, voir autre chose, se dire aussi tout simplement que l'on est autre chose qu'une salariée fait du bien. Écouter de la musique, tout bêtement, aussi. Vivre. Courage à vous, et n'hésitez pas si vous avez besoin, ma messagerie vous est ouverte. Bonne soirée à vous.
  6. Vous travaillez dans une ambiance glauque et bien grasse. J'en suis vraiment désolée pour vous et horrifiée. C'est cette ambiance qui est délirante, choquante, il est normal que cela vous pousse au questionnement, voire à l'énervement (je comprends), et peut-être que certain(e)s en jouent. Beaucoup s'ennuient au travail. Il leur faut du divertissement. Ce que je veux vous écrire par là, c'est que peut-être que cette collègue blonde est mauvaise langue, en plus d'être graveleuse, sûrement même. Cela choque énormément quand nous n'avons pas la même éducation. Si cet homme a un enfant, évidemment que celui-ci n'est pas le fruit de l'immaculée conception. Peut-être que cet homme n'est pas très à l'aise avec les femmes, et il ne connaît sans doute pas les rumeurs qui circulent sur lui. À moins qu'il les connaisse, ce qui le rendrait encore plus nerveux, et pourrait expliquer ce comportement très bizarre, surtout s'il est du genre raie sur le côté, chandail et mocassins à glands. Ne perdez pas espoir, nous ne sommes pas enchaînés à un travail, il y a toujours d'autres issues. Il y a plus important dans la vie qu'un travail. Cela vous mine parce que vous y êtes tous les jours, néanmoins il y a une vie en dehors du travail. Il y en a eu une avant, il y en aura une après. Non, vous ne faites pas le plus vieux métier du monde, ne vous laissez pas miner, rabaisser par des gens qui ne valent pas grand chose. Vous avez de la combattivité en vous, j'en suis sûre, ça se sent. Il faut absolument que vous vous trouviez un exutoire en attendant, arts ou sport, vous avez besoin de sortir tout votre soul. Avez-vous de la famille sur place, des amis, afin de voir et de penser un peu à autre chose ?
  7. Peut-être que la vilainie les maintient en vie, en effet. Allez savoir... ou le fait de ne pas avoir de vrais soucis, ou ne pas avoir à se faire du souci pour les autres. Soyons des super méchants, ça conserve. Il y a du vrai. Quand un petit papy tout mignon me demande aimablement de lui attraper une boîte en hauteur dans un rayon ("Vous qui êtes grande", ce n'est pas si vrai, mais toujours un peu plus que lui), je m'exécute gentiment, et aurait presque envie de lui tapoter la tête ou le dos, compatissante. Je me ravise toujours (c'est peut-être contagieux) et ensuite repars sans me retourner.
  8. Sur d'autres aussi, l'éducation notamment *clin d'oeil* Vous êtes avec Alinéa, et l'un et l'autre, deux intervenants attachants, chacun et chacune à votre façon, ce serait idiot de vous faire des rififis pour rien du tout. N.B : Il n'y a pas plus de loup dans mes tiroirs que de lance-pierre, non mais ! Un perle rare ? Ah ah, manquerait plus que ça. J'ai toujours fait tout l'inverse de ce que ma grand-mère m'a toujours conseillé de faire afin de "trouver un bon mari". J'ai toujours montré ce que j'ai de pire aux premiers abords, cela permet aussi de tester la motivation de l'autre. Au risque de jouer les entremetteuses et de me faire rouspéter, vous êtes tout mignons tous les deux avec Zanharibo. Bonjour Alinéa, Evidemment, c'est le risque. Il faut parfois payer ce "tribu" afin d'avoir la paix. Après, garder vos distances, ne vous empêche pas non plus de participer financièrement au pot de départ de Jean-Louis du 3ème ou d'apporter des cookies de chez Millies, quand c'est votre tour, le lundi matin. C'est un juste milieu à trouver, et ce n'est jamais facile à faire. Pour ma part, vers la toute fin de ma carrière de salariée, je parlais travail avec les hommes, sans "débordades", aucunes. Au sujet des fangirls de patriarcat, certaines se laissent "apprivoiser"avec de l'humour. Faire le clown avec ces femmes est parfois une bonne façon de se faire accepter pour une femme. Les plus ancrées dans leur délire, vous considéreront toujours comme une rivale, quoi que vous fassiez : évitez-les. Ne jamais mettre tous ses oeufs dans le même panier. Vous avez eu une drôle d'impression ? Mauvais feeling? Intuition ? Elle reviendra peut-être vers vous, avec plus de détails. Le culot marche de temps à autre. Accrochez-vous, du travail vous en trouverez tant que vous êtes motivée et combattive. Courage ! Bonne journée à vous.
  9. @LastotchkaLe sujet a quelque chose de très cartésien, un dualisme entre esprit et physique (ou corps), le tout au service du charme, c'est...inconcevable à mon sens ; et on peut aussi étendre à toutes relations sociales, en général. Il est possible de charmer tout individu, homme, femme, enfant, vieillard, chien et chat même, à la fois avec esprit et physique plus ou moins attrayants, auxquels s'ajoutent d'autres qualités (pour exemple jouer d'un instrument de musique, du violoncelle, du piano, ou que sais-je). Quand je croise une dame d'un certain âge, douce, polie, avec un sourire bienveillant, des joues rebondies et un chignon comme seules savent le faire les grands-mères, l'adjectif qui me vient pour la décrire, sera charmante. Une petite dame charmante, a contrario des viocs qui grillent aux caisses chez Carrefour, afin de gagner deux minutes, alors qu'ils sentent déjà le sapin (désolée, je n'ai pas pu m'en empêcher). Ce qui est intéressant, chez Anastasia c'est qu'elle ne se contente pas de chanter et danser sur "Once upon a december", comme d'autres personnalités Disney pourraient le faire, c'est un personnage historique autour duquel flotte encore un mystère. A t-elle réussi à échapper au massacre ? Il me semble qu'une femme, enterrée aux States, sous un autre nom, porte son titre, enfin sa pierre tombale. Nous sommes toutes des princesses modernes, à notre manière. Certaines font même du rap et des battle.
  10. Vous connaissez l'expression "chat échaudé craint l'eau froide". Les amourettes au travail, c'est no way !
  11. Vous auriez pu m'écrire que vous aviez water poney, ou twirling bâton... mais le travail franchement.
  12. Il n'y ait pas de milieux meilleurs que d'autres, seuls les individus le sont... ou pas. Éduquons mieux les futurs professionnels de demain. Afin que cela ne déborde pas sur l'humeur ou le travail, la meilleure solution est de ne copiner, avec personne.
  13. Les "milieux homogènes" ne sont pas non plus la panacée. Les femmes même plus âgées se sentent en concurrence, même quand il s'agit d'hommes qui pourraient être leurs fils, dès lors que l'on échange tout simplement ou sans arrières pensées avec un représentant du sexe opposé, au sujet d'un dessin animé, par exemple, qui aura bercé notre enfance. Véridique. Viendront alors rumeurs et réputations faites de toutes pièces, alimentées de temps à autres par d'autres platitudes. C'est avant tout chose une question d'individus, de mentalité, d'éducation. Quand on a de la chance, on tombe bien. Sinon, la meilleure des solutions reste de se fermer à tous et à toutes, même autour de la machine à café, surtout autour de la machine à café. Blague potache. Zanharibo est un intervenant adorable. Z'inquiétez pas.
  14. Je crains que vous m'ayez prise pour l'une de mes consoeurs. Anastasia, peut-être ? À moins que...une blonde platine ?! : Nous y voici donc encore. Vous ne me situez pas, toutefois vous ne pouvez vous empêcher de vous béquiller sur des référentiels, qui vous sont propres. Je ne viendrai pas à vous hélas, telle l'enfant de l'Aveyron au pionnier de l'oto-rhino-laryngologie, ou telle Carla vers "son Raymond" ou encore l'âge de raison. J'ai la grâce déjà, de vous honorer de mon auguste présence, sur ce fil. Vous voudriez m'enseigner, alors que vous êtes la personnification même de notre Éducation Nationale chérie : un esprit étriqué dans un corps de vieillard. Il y a aussi chez vous ce petit quelque chose de significatif. L'état dépressif, peut-être. Dépassé, périmé... up to date, comme le diraient les amoureux de la langue de Shakespeare. Je gage pour ma part que le sujet atteindra la millième page, si vous restez suspendu à mes jupes. Quelques instants en votre "lumineuse" présence, et j'en viendrais déjà à invoquer les esprits ? Si je ne suis pas prêtresse vaudoue, peut-être arriverais-je, tout de même, à réveiller le vôtre... égaré quelque part, depuis le Crétacé. Moi aussi. Enfin parfois oui et... parfois non. *déplie sa chaise en vue de partager quelques commérages* Vous avez entendu la dernière sur Henriette ? Vous savez Henriette * lève les yeux au ciel, et fais un geste évocateur*
  15. Pour employer une expression des plus désuètes qui ravira très certainement l'intervenant sus nommé : rouler des mécaniques (= faire le claquouille). Il y ait de malentendu (gros ou non) seulement pour la Team premier degrés. Le second, le troisième, le quatrième, le douzième même... certain(e)s devraient pratiquer, cela leur détendrait les mocassins à gland. Merci !
  16. C'était pour un ami, c'est toujours un ami d'ailleurs. Je l'ai assez traumatisé puisque chaque fois qu'il m'invite à dîner et que je lui demande quoi apporter, il commence toujours par "Surtout pas des fleurs, ramène-toi avec un bon dessert". Certains hommes ont assez de sensibilité pour aimer les fleurs, et en avoir chez eux, mais pas tous, mieux vaut leur amener du vin ou du whisky japonais, ou pas. Bonjour Promethée-Hadès, Oui excusez-moi, des hommes. Il suffit de lire ce fil afin de voir à quel point les hommes respectueux des femmes ou progressistes sont denrée rare. Restez comme vous êtes *clin d'oeil* Vous dites ? Vous trouvez ? Il y a bien Barbe rousse, ou Barbe bleue. Ah non, ce n'est pas le même...Bon oubliez *sourire*
  17. Cachez-moi donc ce numéro de claquouille que je ne saurais voir. Plaît-il... depuis plus d'une page ? Vous ne seriez pas du Sud de la France, vous, genre Marseillais ? Aaaah, vous faites une démonstration au virtuel, pouvez-vous nous vendre aussi un aspirateur en ligne -oh pas quelque chose de très moderne, rassurez-vous- un Electrolux, ou faire le poirier, la roue, l'équilibre ou la rondade ?#j'aime la gym. Je vous remercie de me féliciter sur le bon état de ma mémoire, ainsi que pour votre galanterie, vouloir me faire passer pour un ange au réel, vous êtes bien bon. Hélas pour mes proches, les chiards, la vieillerie, les caissières, la factrice, les poules même... Note à moi-même : Éviter surtout de parler prêt à porter avec les hommes, ils n'y connaissent rien et se vexent si vite. Ça et vernis à ongles, c'est pas bien, c'est pas bien, c'est pas bien. Zut !
  18. Moi je vous l'écris, j'ai mauvais caractère et ça m'a toujours sauvée/me sauve encore. Dire "non" est une chose, que les hommes comprennent qu'un "non" est vraiment un "non" et pas un "oui" déguisé en est une autre. Nous avons encore du chemin à faire de ce côté-là, également. Cela me fait sourire forcément, et amèrement quand des hommes viennent chouiner en arguant que l'on a déjà tout et aucune raison de monter au créneau. Il faut absolument cesser d'inscrire les petites filles à la danse ou leur faire subir des leçons de piano, pour se faire plaisir. Quand elles le souhaitent, c'est différent. Les gosses ne sont pas des jouets, les petites filles, pas des poupées, mais c'est encore là un autre débat. Comme des pirates ?
  19. En effet, l'année dernière c'est déjà le paléolithique. Je brûle d'ailleurs ma penderie tous les ans, rien à voir avec une crise d'adolescence en avance ou de jeunisme en retard -ou plutôt l'inverse- elle n'est pas à la hauteur de mes espérances (la penderie, pas la crise). Je suis étonnée que vous trouviez encore la force de venir traîner vos vieilles guêtres sur un forum, eu égard à votre grand âge assumé, ou vos références du Mésolithique. C'est beau. Il est vrai que les vieux ont besoin de détendre leurs rhumatismes, ou venir tester leurs capacités mnésiques : "À mon époque la télé était en noir et blanc, et il fallait mettre des pièces...". Allez il va être gentil et venir prendre sa compote.
  20. Voulez-vous bien arrêter de gesticuler alentours ? La jalousie est un sentiment humain qui n'est pas plus excusable, qu'un autre. Il faut, évidemment, enseigner aux femmes, mettre le doigt sur leur propre misogynie, voire les challenger, parfois les bousculer afin de les mener vers un questionnement, une introspection, puis le bien vivre ensemble, si ce n'est pas vers une sororité. Je ne crois pas plus en une sororité chimérique que magique, et d'ailleurs il semblerait que vous me fassiez, encore, me répéter. Une volonté d'annihilation ? Alors qu'il y a de la place pour tout le monde. Se battre pour les faveurs ou l'attention des hommes ? Diable, alors qu'ils ne manquent pas, ou ne le méritent pas. Il n'y a aucune consécration, élévation, ni mérite à plaire aux hommes. C'est futile, stupide. Il est plus intéressant de remporter un prix sportif ou de monter quelques échelons, professionnellement parlant. C'est épanouissant et pas d'écrasement mesquin, société hétérosexuelle ou homosexuelle comprises, non ou alors la concurrence est instaurée d'emblée par des hommes, ou des femmes malveillantes. Il y a plus de fair-play à mon sens, quand il ne s'agit pas de la conquête du mâle. Je me réjouis pour toutes les femmes qui réussissent et sont pleinement épanouies en ces domaines, sans faire de sororité à outrance. Comme je me réjouis pour des hommes, aussi. Parce qu'ils l'ont mérité, surtout. La femme misogyne qui cherche à plaire à l'autre, à l'homme surtout, à grands moyens d'artifices comme vous l'écrivez, en écrasant les autres, le fera de façon ponctuelle, uniquement pour séduire et est à différencier de la femme qui cherche à se plaire et usera elle, d'artifices sans outrance, de façon plus naturelle et au quotidien. C'est ce que l'on appelle une routine beauté. Ce n'est pas une arme de séduction, pour la seconde, plutôt une habitude, a contrario de la première. Je peux aussi évidemment développer sur les vernis à ongles, mais vous allez forcément être indigent. Le souci du mâle non progressiste est qu'il est égotique, tout tourne autour de lui, tout est fait pour lui, ou pour lui plaire. C'est comme cela qu'il a été éduqué, choyé, comme un petit pacha de harem, le préféré. Il pourrait paraître difficile, c'est vrai, de reprocher au mâle d'avoir froid, tant il a été élevé dans l'eau chaude ; mais il faut le faire, dès que l'occasion se présente, en vue de l'éduquer. Et si les lectrices de ce fil n'accordaient déjà pas grande importance, aux propos des féministes "médiatisées" et non choisies pour être représentantes ? Si les lectrices de ce fil n'étaient pas des gourdes influençables, malgré ce que vous sous-entendez grossièrement ? Si elles prêtaient juste attention aux témoignages de femmes victimes, agressées, violentées, harcelées, battues, violées... parce que cela peut arriver à n'importe laquelle d'entre nous, parce que cela est déjà arrivé à certaines d'entre nous, parce que nous pouvons aussi compatir et accepter qu'elles aient besoin de verbaliser leurs douleurs, leur trauma... ? Libre à vous messieurs, de ne pas les écouter, de quémander le statut de victimes, alors que d'autres, des hommes au petit air bien porcin ont fauté, agressé, dégradé, violé, battu, harcelé. Libre à vous de faire de la mauvaise fraternité... si vous pouvez encore vous supporter après cela les lacrymâles, grand bien vous fasse. Ne venez plus vous plaindre de la montée du féministe, il vous annihilera. Seuls les hommes progressistes resteront. Tant mieux pour nous ! Mon pauvre, je casse fréquemment mes verres à pied en faisant la vaisselle. C'est un vrai budget. J'ai un verre Petit Poney *sourire*
  21. Il y avait aussi des odeurs de jasmin (mais aussi de roses) chez la mienne, des leçons de vie et des conseils et une préoccupation constante, "Trouvera t-elle un bon mari ?". Je pense que la société telle qu'elle ait aujourd'hui lui plairait autant qu'elle lui déplairait : les femmes n'ont pas les deux pieds dans le même sabot, mais revendiquent trop la liberté, de tout faire. J'ai mauvais caractère, ça me sauve... tout le temps. Sympathie pour les harceleurs, ou tout ce qui ne possède pas le chromosome XX. Jalousie, envie (complexe d'infériorité à l'occasion) et haine envers des femmes qu'elles peuvent considérer ou considèrent comme des rivales... C'est de la misogynie toute féminine, qui résulte d'une mentalité machiste et surtout très moyenâgeuse. Parfois, il est aussi plus facile de se ranger derrière le nombre. Ces femmes ont été éduquées dans cette société d'autrefois. La société est en train d'évoluer. Elles devront s'adapter et vivront sans doute mieux leur féminité, par la même. Espérons. Protégez-vous, préservez-vous, avancez, sortez-vous de ce guêpier. Il n'y a pas d'obstacles infranchissables mais vous serez souvent seule, contre tous. Gardez foi en vous. Et... il n'y a pas que des gens pourris, on fait de temps à autres de belles rencontres, hommes, femmes confondus. Avec plaisir, tenez-moi au courant, et ma messagerie vous est ouverte, si besoin.
  22. Le mieux est de réunir toutes les qualités possibles, avec une ou deux fossettes, en sus, évidemment. Après, il y a l'idéal et effectivement ce que la vie et le destin nous présentent. Kenzo, ça ne "sent pas" - toujours- "beau", ceci dit il y a un côté classique éteint, qui s'appaire plutôt bien avec Olivia Newton-John. Telle est la voie de l'obsolescence.
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