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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Italie: Desirée, ado droguée, violée et tuée par des migrants
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de PASCOU dans International
Les commentaires des internautes sous l'article du Causeur valent leur pesant de cacahuètes. Entre ceux qui réclament des statistiques ethniques à grands cris, les chamailleries de "François alline" et "nostalgia", les poètes ("la décadence flagellatoire culpabilisante avec oeillères"), le Pape mange chaud (bon est-il vraiment à plaindre, en même temps ?) et etc... Ah nous sommes mieux lotis ici ! Quoi que... La vie de cette gamine était sordide, prostituée pour de la drogue, elle-même consommatrice et receleuse, connue de la justice, confiée à ses grands-parents puisque le père appartiendrait aussi à un gang mafieux. Milieux pourris. Mauvaise étoile. Violée en réunion une fois inconsciente, peut-être même post mortem... Violeurs, nécrophiles présumés. Bien glauque. En dehors du débat éculé sur les migrants/l'extrême droite, l'Église qui partirait encore là en quenouille, ce que je retiens surtout de l'article, c'est que la castration chimique est proposée pour les violeurs et les pédophiles (une sénatrice FI a déposé un amendement à la loi sécurité), qu'elle est balayée d'un simple revers de la main. Les coupables seront emprisonnés et expulsés...très bien, d'accord, et concrètement qu'est-ce qui est fait pour qu'ils ne réitèrent pas ? -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
J'aime bien les nordiques en plus, ils sont grands et blonds... Ingmar <3 #Oops I did it again La République ne finance plus le culte, ne restaure plus, n'entretient pas, ne construit plus d'église... ah bon ? Pas de subventions accordées pour les fêtes catholiques non plus... ah oui ? http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2010/04/28/01016-20100428ARTFIG00748-une-nouvelle-eglise-batie-a-vaulx-en-velin-.php 4 millions, ils ont de la maille chez les curetons, la quête rapporte. Le mystère plane tout de même. La République prête des salles, mais cela ne suffit plus et en Vendée, justement : http://islamisation.fr/2018/05/28/vendee-la-pratique-musulmane-augmente-la-mairie-de-droite-prete-une-salle-de-priere/ À partir du moment, où l'on fait venir des gens, on s'assure aussi qu'ils ne manquent de rien, sinon, on ne fait pas. M'est avis que tous ces pays n'ont rien à faire dans les affaires ou transactions françaises. Financer les mosquées, salarier des imams et avoir aussi la main mise sur les prêches qui sont dispensés. Sans doute pour cela aussi que des mosquées salafistes subsistent. "Choupinet" a annoncé qu'il allait nous sauver. Par contre, il semble impératif pister tout cela à la culotte. Ces croyants extrémistes ne s'arrêteront pas de l'être puisque des mosquées fermeront. Nous sommes très doués pour obtenir des renseignements et surveiller, pour réellement agir, beaucoup moins. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/04/12/01016-20180412ARTFIG00332-macron-annonce-une-clarification-du-financement-des-mosquees.php = Parti des gros beaufs ventripotents. Plus ridicules et mesquins que véritablement dangereux dans les actes, par contre la parole est et reste, elle, délétère. Ah vous êtes super doué pour la redondance, vous n'arriverez pas à me bourrer le crâne, je suis bien plus opiniâtre que vous. Carabistouille et caramels mous, prenez donc une tisane à la Valériane, cela va vous détendre. Anarcho-gauchiste, chouette, je ne l'avais pas encore celle-là, je ne vous l'échangerais pas contre une de vos doubles cartes Marxiste, inutile d'insister. Bon vous avez fini de nous faire le show là ? Il est plus agréable de vous lire encourager à la paix. Nous entendons depuis des années et des années des discours sur la cohésion, le rassemblement, l'union du peuple français. Des discours de façade. Tout est fait aujourd'hui pour nous monter les uns contre les autres, socialement, financièrement, sociétalement et sans aller vers les discours conspirationnistes (c'est trop vilain), nous avons les moyens de ne pas les entendre, ni même de les écouter. Nous sommes tous réunis sous la même bannière, les immigrés, les migrants sont là, à nous tous de faire en sorte de nous entendre, de faire des compromis au besoin. "Adoptés" et natifs, nous avons des droits et des devoirs. Les discours mesquins, violents, racistes, envers une population en particulier, non seulement ciblés à l'endroit des éléments perturbateurs, risquent vraiment et réellement de faire basculer une partie de cette population aujourd'hui encore neutre, vers ce qu'il y a de pire, puisqu'un sentiment de mépris, de rejet, de haine, lui aura été instillée. C'est ce que veulent les extrémistes, les terroristes en plus d'insuffler la terreur, faire basculer toute cette population encore neutre aujourd'hui et en plus grand nombre. S'ils y arrivent avec le concours de nos tourtes de politiques, là nous serons réellement dans de beaux draps. François Hollande... pas seulement qu'un socialiste, mais aussi en charge de gérer les problème ? Ah mais oui, nous avons vu comment il a géré le "problème syrien", c'était trop de la balle. Le ciel vous est tombé sur la tête par Toutatis ! -
Ah ok, tu n'es pas ex yakiba, il y a donc méprise, au temps pour moi. Il n'y a pas de caméras à tous les coins de rue, pour commencer, ensuite, tout le monde ne filme pas les frotteurs dans les transports en commun (d'ailleurs les victimes parfois ne s'en aperçoivent déjà même pas, c'est la police qui les informe, et déjà il n'y a souvent pas de place), ni les gros lourdingues : "attends pouces, on fait un selfie tous les 2, il me faut aussi ton profil gauche et puis tes empreintes. Je mets la cam' de suite après et tu peux continuer à m'importuner tranquille ensuite". La plupart du temps, les femmes agissent et se défendent seules. Il faut vraiment que cela barde, que l'endroit soit bondé pour voir peut-être un bon samaritain surgir et se prendre un cendrier dans la trombine pour que quelqu'un se décide à filmer (et en cas de harcèlement de rue, parce que le sujet te passionne, seuls les proches réagissent. Il n'y a pas de super héros). S'il existe des lois, celles-ci ne protègent pas encore suffisamment les victimes, je comprends que des femmes soient tentées d'agir par leurs moyens. A posteriori, il est possible de filmer, il est très fortement possible que ce soit le cas dans la vidéo que tu nous as si gentiment partagée. Certaines femmes filment et diffusent pour prévenir d'autres usagers. Pour ma part, je ne connais aucune femme qui traite un homme de "connard" ou de "psychopathe" avec colère, sans véritable raison ou bien alors il faut d'urgence postuler sur TF1, ils font de chouettes séries, dont tous les acteurs sont absolument tous à changer. Alors qu'est-ce qu'a fait cet homme ensuite : s'est-il comporté de façon indigne ou bien est-ce que son comportement est constitutif d'une infraction pénale...? That's the question.Il y a un droit à l'image en France. Si cette femme a publié cette vidéo sur Internet à l'insu de cet homme, le risque est qu'il se retourne contre elle. Même chose en ce qui concerne Mélenchon qui a filmé un policier lors de sa perquisition, sans son autorisation. Les hommes ne sont pas démunis, non. Par contre cela fait des lustres que des femmes sont quotidiennement importunées, harcelées, agressées, certaines sont battues et violées, exécutées, par des hommes. Des hommes sont à l'origine de guerres, de famines, des pires exactions et crimes possibles, rarement les femmes. Il faudra un jour sérieusement et vraiment s'intéresser à cela. Tu es juste très propice à te focaliser sur un millième de fabulatrices alors qu'il existe des milliers de victimes. Ton coeur ne bat pas pour les victimes, ne renoue pas avec ton humanité, tant pis pour toi.
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Ôte-moi d'un doute, c'est bien toi "qui faisait du katana dans ton garage le we", ce n'est pas toi que j'ai lu quelques années écrire, que toi tu interviens dans ce cas-là ? Donc ce serait du conditionnel, Mm. Qui te dit qu'elles n'ont pas de preuves ces femmes ? Si elles balancent des noms pour le plaisir, elles risquent aussi le faux-témoignage, la diffamation etc... Des comportements masculins, sont au mieux indignes, au pire constitutifs d'une infraction pénale. Bien sûr qu'il est indispensable de dénoncer les hommes qui se tiennent mal. Bien sûr que le regroupement des victimes peut aider les plus timorées d'entre elles. Bien sûr que la parole d'une victime a besoin d'être libérée. Personnellement, je ne connais aucune femme fabulatrice. Tu les invoques rapidement après ton arrivée sur le fil. C'est moyen, oui tout à fait. Personne ne film un homme dans le métro en indiquant que c'est un violeur, et encore sans preuve, pour le fun.
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Un trait d'humour. Il m'arrive de discuter géopolitique avec des égyptiens, des marocains. Leur avis sur la France, puisqu'extérieur est toujours très intéressant. Pourquoi l'Arabie devait-elle financer les mosquées puisque ces citoyens dès lors étaient devenus citoyens français ? Ils payaient des impôts, également, non ? Avec l'absence de mosquées se sont développés les imams des caves. C'est bien plus dangereux et dommageable au final que de construire des lieux de culte, encadrés par des imams choisis et modérés, ne croyez-vous pas ? -
Tu écris tout de même ceci : "moi ce que je vois depuis cette affaire ce sont des femmes qui veulent leurs vengeance, qui filment des gars dans le métro en les faisant passer pour des violeurs sans qu’on sache vraiment ce qu’ils ont fait, à part peut-être être des gros lourds mais en sois ce n’est pas un délit! j’ai surtout peur que ça aille trop loin, que ça se change en vendetta!" Plus ceci : "Tu as des pourcentages ? moi non donc on en sait rien! pareil pour les victimes qui n’oseraient pas porter plainte,on en sait rien!on est dans la supputation,la croyance! on est de plus en plus dans un mouvement genre black power qui au lieu de rassembler les gens les divisent avec des positions qui deviennent de plus en plus extrémistes!" Tu ne verrais pas les victimes. Il faut avouer que tu es bien craintif et compatissant, en toutes choses, à l'endroit des hommes. Tu regardes par la fenêtre ou tu ne prêtes pas attention, comme la plupart des usagers, parce qu'au final ils ne se sentent pas concernés ? S'ils ne se sentent pas concernés, si ce n'est pas leur problème, pourquoi viennent-ils toujours la ramener ? Mais qu'ils aillent au bout de leurs convictions. Piqûre de rappel : https://www.sudouest.fr/2017/12/20/les-chiffres-alarmants-des-agressions-sexuelles-dans-les-transports-en-commun-4050701-2780.php Tiens je ne "connaissais" pas le "manspreading" (il faut aujourd'hui un terme anglo-saxon pour tout), enfin quand j'écris que je ne connaissais pas, je ne compte pas le nombre d'usagers auquel j'ai demandé poliment et fermement de rassembler tout cela parce que l'on est pas "chez mémé" ou leur est indiqué une place plus loin, libre et qui offrait bien plus de place. Je suis extrêmement polie et dans 90% des cas, cela vire, de leur côté à la drague sans imagination ou complètement moisie. Il m'est arrivé de descendre plus tôt et de devoir marcher plus, m'exposant ainsi à d'autres dangers, dans la rue. Des femmes ont moins de chance ceci dit et cela vire complètement aux insultes et à l'agression. Dans une société juste et évoluée les victimes obtiennent gain de cause. Ce n'est pas le cas, il y aussi une prescription, des avocat(e)s, des proches qui conseillent de se taire... et il faudrait se taire à jamais. Le climat est de plus en plus favorable à la libération de la parole. Le juste milieu se trouve auprès d'hommes plus progressistes, pas trop portés sur les kleenex, et qui ne couvrent pas les hommes qui agissent comme des porcs, par simple solidarité du genre. N.B : Je ne compte plus le nombre d'intervenants pleurnichards, qui tentent de me faire passer pour une furie, extrémiste, misandre et j'en passe et des meilleures. Les joies des forums. Les choses je les ai toujours dites, comme je l'ai écrit ici : sans détour et dans le plus grand calme. Je suis une vraie calme. "bcp" ? Qu'en savez-vous ? M'est avis qu'il ne faut pas trop l'allumer celui-là, il s'enflamme très bien tout seul. Les individus qui ont du pouvoir sont aussi souvent très tentés d'en abuser. D'autres femmes sont également issues de l'hôtellerie, réceptionnistes, attachés de presse, journalistes... un bon pervers pépère le gazié.
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Pour paraphraser notre trop cher président : "je n'ai pas besoin d'un ventriloque". Le monde tel que l'envisage idéalement De Villiers, est à mon sens, un monde de bons petits pèquenauds trouillards, très portés sur les apéritifs saucisson-vin rouge et l'islamophobie, non capables de réfléchir plus loin que le bout de leur nez de saoûlots. Pas si glam, pour un royaliste... Des politiques, à l'exemple de cher monsieur, et il est inutile d'en désigner le bord, leur ont désigné un bouc émissaire, et ils déversent docilement toute leur négativité dessus. Et qu'est-ce que nous allons gagner à nous mettre tout l'Islam à dos, s'il vous plaît ? Je refuse d'être affectueuse avec mon voisinage tant il s'agit d'une famille aristocratique déchue, qui se reproduit aussi vite que des lapins, oublie souvent de me saluer, mais n'oublie jamais de me mâter le derrière, m'enjoint à aller à l'église du village "le prêtre est un nègre mais ceci dit il tient très bien son église, hu hu hu". Ce n'est pas la France que j'aime. C'est une France, haineuse, indigne et misogyne. Je préfère aller taper la discute avec la voisine de proches, qui si elle est de confession musulmane, l'est de façon tout à fait mesurée, réservée, a toujours le sourire, toujours polie et excessivement travailleuse. Nous ne sommes pas d'accord sur ce point : vous pensez que les politiques sont asservis, agissent en tout et pour tout pour une entité machiavélique -le capitalisme- et vous n'avez toujours pas changé ou tempéré votre discours depuis toutes ces années. Je serais plus Karl Lagerfeld ou bien Thierry Marx, perso. Je pense davantage qu'ils agissent pour leurs propre compte, qu'ils agissent avec le concours des banques, puisque chacun y trouvant son intérêt. Le système est vérolé et leur permet toute sorte de libertés, la place est bien trop bonne (pouvoir, richesse, cumul des mandats encore possible, retraite assurée), la barque est pourrie et ils en profitent jusqu'à la lie, avant qu'elle ne coule définitivement. Viendra un moment, où il faudra revoir tout cela. Pour le reste, ou en somme vous trouvez justification à presque toutes les dires de De Villiers. Non, la notion de défense n'est pas mauvaise tant que la nation est en danger, encore faut-il identifier les véritables dangers, réfléchir posément au lieu généraliser stupidement, de déclarer la guerre à toute une population, dont la majorité est silencieuse et toujours indécise. De Villiers propose une société civilisée avec le discours qu'il tient ? WTF. Mais qu'on "lui flagelle l'arrière-train avec des orties fraîches". Progressiste...Mm. "On vous l'avait dit". Oui, oui syndrome de Cassandre. Tous ces gentils membres d'extrême droite et de droite durs sont jugées à tort, les pauvres. Ils sont si visionnaires. Je n'achète toujours pas. Vous ne me convainquez pas. Depuis quand parole de socialistes est-elle parole d'évangile ? C'est simple, si vous travaillez pour une entreprise américaine ou allemande, et dans l'idée "De Villierienne", c'est que vous êtes déjà un collabo (^^). Bonsoir jacky, Pas toujours et j'espère sincèrement que d'autres ne sont pas si facilement prompts à se laisser à la panique. Il y a toujours de belles choses en ce monde. Si l'Homme est capable du pire, il est également capable du meilleur. Je n'ai pas envie d'être cynique, pas encore. Réservés aux suédois. Sven #trainée de petits coeurs et danseuse de flamenco Il semble que les espagnols, pieds noirs, italiens, portugais, algériens, marocains et etc... ont été parqués dans ces logements, que leur salaire, une fois arrivés en France, ne leur permettait de toute façon pas de voir plus grand, de voir plus beau. Une vie de misère souvent troquée contre une autre vie de misère. Oui évidemment, je pense que cela a aidé à développer cet esprit communautaire. Ajoutons-y un soupçon de religion, la presqu'absence de lieux de cultes dédiés, à leur arrivée (toutes les autres communautés pouvaient aller prier à l'église), le rejet, le racisme ordinaire, et vous obtenez un mélange assez détonant. Au fil des ans, quand il a été question de faire pour les cités, tout a été fait, pour que les habitants y restent et ne se mélangent pas ou peu au reste de la populace, y pourrissent. Pourtant certains, trop peu, se sont sortis de la cité. Il n'y pas de fumée sans feu. S'il faut laisser régner des mentalités moyenâgeuses, pour autant ? Certainement pas. Par contre, n'oublions pas que ceci ne caractérise pas toute la communauté. -
vos vieux titres ici années 60/70/80/90
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de hannibal25 dans Musiques
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Et le doute profiterait aux victimes de calomnie donc... allez, visiblement, on aura pas mieux. Faux témoignages, diffamation, les hommes ne sont pas sans défense ou sans moyens. Cela signifierait aussi que ces femmes sont très joueuses et encore qu'elles n'auraient pas peur d'être reconnues, d'être mises en porte à faux, de la confrontation, des représailles ou qu'elles n'auraient encore pas peur de discréditer les victimes de harcèlement, d'agressions et de viol, parce que malheureusement cela fonctionne ainsi chez les mâles pleurnichards et les femelles misogynes : "une femme est manipulatrice et menteuse" contraction -> "toutes les femmes sont des manipulatrices et des menteuses". Tu as déjà réellement pris les transports en commun ou tu nous écris cela pour la forme ? Tu avais le nez vissé sur ton Iphone ou bien sur les passagers ? Tous les hommes sont irréprochables, vraiment ? Dans la rue aussi ? Tu sais depuis combien de temps les femmes sont agressées dans les transports en commun ? Ma grand-mère me racontait déjà ses mésaventures. Pas de frotteurs ? Ça ne te dit rien ? Pas de police dédiée à leur traque, juste des femmes trop promptes à filmer des "violeurs"? Et d'ailleurs au passage, tu confonds différentes choses : primo tu pars bille en tête sur le harcèlement de rue, alors que le sujet est bien plus large. #Metoo a été la catharsis, l'instrument de la libération de la parole suite aux agressions et viols du fait du charmant Weinstein (mais pas que, puisqu'il s'intéresse à toutes les victimes de violences faites aux femmes, au sens large, et le hashtag est d'ailleurs plus antérieur), qui a admis avoir eu des comportements déplacés (dont il s'est aussi excusé, il aurait suivi d'ailleurs une thérapie et la liste de victimes est impressionnante et non toutes issues du milieu hollywoodien, cf l'investigation de Ronan Farrow) : dénonciation des violences faites aux femmes au sens large donc, c'est ce qui est à retenir. Secundo, tu confonds frotteurs et violeurs. Le viol entend une violation de l'intimité, une pénétration (et même avec un objet), tout en se passant de consentement. Les frotteurs sont autant de larves, venus frotter leur turgescence sur des femmes, qui, parfois, sont complètement inconscientes de leur petit manège. Il te semble si impossible que les associations relèvent et révèlent des chiffres toujours plus affolants, concernant les violences faites aux femmes (au sens large), que trop peu ne se décident à aller au bout de leur démarche parce qu'elles sont toujours jugées (la faute de leur tenue, il faudrait qu'elles se couvrent, de leur comportement, il faudrait qu'elles évitent de lever les yeux... superbe islamisation de la pensée) bien que victimes, que de plus en plus aient besoin de verbaliser, puisque garder pour soi ronge ? Nous "serions de plus en plus dans un mouvement black power" *slowclap* Tu parles d'un cinéma ! Tu te fournis chez Kleenex ou bien chez Moltonel ? Il y a la réalité des réseaux sociaux, et puis il y a la réalité observable, hommes et femmes s'entendent toujours aussi bien. Les hommes sont, au réel, très solidaires et dégoûtés des comportements de ces hommes trop porcins, parce qu'eux, sont éduqués et respectent les femmes. Il n'y a que sur les réseaux sociaux, les forums, que j'en lis quelques uns faire leur pleureuse, ce serait à mourir de rire si cela n'était pas si pathétique. Nous ne sommes pas encore tout à fait dans une société post-patriarcale, mais cela viendra. Idéologiquement, les femmes y gagnent et les hommes aussi. Depuis quelques années, j'observe également une évolution progressive et positive, nous tendons de plus en plus à l'équilibre. Le modèle patriarcal produit des hommes virils, conditionnés à endosser le rôle du père, du chef de famille. Il exerce une pression sur les hommes, tend à rendre les femmes transparentes, quand il ne les infantilise ou ne les instrumentalise pas. Le féminisme militant date, si mes sources sont bonnes, de mai 68. Ce fut un mouvement dans le mouvement. Les femmes, militantes, aujourd'hui grands-mères, trouvent le combat, long (il a fêté ses 50 ans cette année), un combat qui n'est pas encore tout à fait gagné puisque subsiste une mentalité encore très machiste et ne concerne non seulement une communauté. À l'échelle de l'humanité, cela ne représente pas grand chose, à l'échelle individuelle c'est le combat de presque toute une vie, et nous en récoltons les premiers bénéfices depuis quelques années. Bien que les mouvements sur les réseaux sociaux ne soient pas ce qui se fait toujours de mieux, que le combat est plutôt quotidien et effectif dans la vie de tous les jours (conscientisons, éduquons), il est à constater, que grâce à ceux-ci il y a eu une véritable accélération. En France, Najat Vallaud Belkacem y a d'abord été réceptive puis Marlène Schiappa. Deux personnalités adulées par les mouvements féministes, détestées par tout bon mâle qui se respecte, qui ont contribué à la naissance de lois en faveur des femmes. Certains hommes ne saisissent toujours pas malheureusement qu'il ne s'agit pas de leur prendre, plutôt que certains demandent encore à être repris et éduqués. La solidarité du genre serait ici malavisée en plus d'être déconcertante, et malvenue. S'ils n'ont rien à se reprocher, pourquoi craindre ? En termes de droits, bien que l'égalité soit mise en avant, vous observerez toujours des disparités notamment dans le milieu du travail. Les salaires ne sont pas partout équivalents pour un même travail effectué, vous retrouverez des disparités dans la branche RH précisément et pour ce qui me vient, en faveur des hommes. Les recruteurs tiennent comptent d'une vie de famille existante ou en devenir, à venir. Les promotions sont toujours accordés prioritairement aux hommes même si les femmes sont plus compétentes, elles pourraient vouloir fonder une famille et user de leurs congés maternité, il est toujours difficile de trouver un intérimaire pour des postes à haute responsabilité. Les femmes sont souvent freinées au simple motif de leur genre, de leur hypothétique envie de fonder une famille, de leur ventre. C'est toujours aussi odieux. Toutes les femmes veulent le respect, et pas seulement les féministes. Toutes les femmes sont en faveur d'une évolution des mentalités, mis à part les femmes misogynes, qui brillent aussi par leur soumission aux mâles, bien évidemment. Est-ce que les hommes d'aujourd'hui veulent des femmes bien soumises, ou alors des femmes indépendantes, qui sont leurs égales ? Il y a un lien de cause à effet entre le modèle patriarcal et toute cette culture machiste, encore, à démanteler. La loi encadre les manquements d'individus qui nuisent à l'harmonie de la société. Cela fait des années, que nous nous demandions comment et pourquoi, les hommes qui prennent des photos de petites culottes ou filment à l'insu des victimes, par exemple, ou encore ceux qui se permettent des brimades sexistes, violentes, à l'endroit des femmes ne s'étaient pas verbalisés, et depuis naquit une loi en ce qui concerne l'outrage sexiste. Il n'est pas logique que l'espace public appartienne seulement aux hommes, ou que les femmes s'y sentent en danger. Il n'est évidemment pas possible de mettre des forces de l'ordre en faction derrière toute femme. La loi se verrait là "redresseuse de tort" et dissuasive dans l'immédiat. Une première condamnation a eu lieu en septembre. Par l'éducation, nous arriverons sur le long terme, de mieux en mieux à faire appliquer l'égalité à l'intérieur ou au-dehors des foyers. Cela ne se fera pas qu'à coups de lois, mais il faut encadrer, montrer le chemin parfois. Dans le meilleur des mondes tout coule de source. Nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes. Je vous lis plus loin aborder "l'érotisation excessive du corps féminin" que des féministes dénoncent. Il faut en parler bien sûr, démystifier, et auprès des jeunes générations d'autant plus. Mais à qui cela aurait-il profité (l'érotisation excessive du corps féminin, pas la dénonciation) ? Qui donc aurait pu bien orchestré ceci ? Allez disons que ce sera surtout toute une industrie du cinéma, cet ogre gigantesque répondant au doux nom "Hollywood" qui est dans le viseur, l'industrie du porno aussi, le milieu du showbiz plus en général. Des femmes ont tenté déjà de "se réapproprier" leur corps, leur image, de s'en servir également afin de faire passer des messages forts. Quand une femme déclare faire ce qu'elle veut de son corps, elle est diabolisé. Quand d'autres se servent de ce corps pour faire de l'argent, tout va bien, c'est le business. Nous nous rappèlerons aussi de la fameuse robe transparente de Rose Mc Gowan aux MTV Awards, son message était "vous vouliez voir mon corps, le voilà. Maintenant que c'est fait, passons à autre chose". Tout c'est si vite banalisé que les messages ne passent plus du tout par ce biais. Le public aura entendu, encore "une apparition de cette fille vulgaire". Récemment, elle s'est rasée les cheveux afin de rompre avec l'idéal féminin hollywoodien, auquel elle avait pourtant auparavant activement participé, afin de rompre avec Hollywood, ce fut une sorte de cri de guerre. Dans le prologue de son livre, elle explique qu'elle n'a jamais aimé avoir les cheveux longs puisque cela attire le regard des hommes, que cela répond à des codes de la beauté imposé par les hommes, qu'elle s'en servait également pour se cachait d'eux, pour observer les autres sans trop se faire voir et dormir. La vraie Rose dormait tandis que l'autre Rose vivait une vie alternative bizarre, jouant le rôle de quelqu'un qui joue des rôles. "Hollywood" lui a dit qu'elle devait avoir les cheveux longs, sans quoi elle n'inspirerait pas aux directeurs de casting l'envie de la "machiner", et donc ils ne l'embaucheraient pas. Les actrices doivent inspirer un profond désir chez le spectateur, afin que les films se vendent, et les femmes suivent et s'identifient. C'est encore le message d'Hollywood, aujourd'hui. Le plus terrible est que ce conseil émanait lui-même, d'une femme, son agent. Le plus triste, c'est qu'elle aurait raison. On mettrait cette idée dans le crâne de toutes les femmes et de toutes les filles de façon plus ou moins détournée : les cheveux longs, c'est sexy. Tous les hommes et les femmes qui ont eu pour mission de la transformer en "objet de désir" ont réussi, mais au fond d'elle, elle mourrait à petit feu. C'est une écorchée vive, sa jeunesse a été épouvantable entre secte, parents délétères et démissionnaires, on se demande comment elle tient toujours debout. Hollywood aura fini de l'empoisonner. C'est une survivante. Il y a eu là un écoeurement puis un rejet total de tout ce qui fait la Femme. Je constate que des militantes sont aussi des écorchées vives, dans la démonstration c'est tout ou bien rien du tout. Elles militent les seins nus ou bien en col roulé, en vêtements amples, les cheveux rasés, renonçant ainsi totalement ou presque à leurs apparats féminins. Finalement c'est laisser tout ce qui fait l'essence féminine, tout ce qui différencie la femme de l'homme aux mains d'hommes intéressés et porcins, ainsi qu'aux femmes misogynes arborant une mine sèvère. C'est triste, c'est laid, c'est si dommage et dommageable finalement. Le viol conjugal est toujours peu entendu, difficilement prouvable et s'accompagne parfois en sus de violences physiques, psychologiques, au quotidien. Le modèle patriarcal pourrait être un des multiples facteurs. Il ne pourrait s'expliquer simplement ou seulement, uniquement par celui-ci. Certains profils d'hommes destructeurs sont plus enclins au viol conjugal. D'autres hommes non éduqués ou poussés par leurs instincts animaux, assouvissent leur désir pendant le sommeil de leur compagne par exemple, ne voyant pas d'inconvénient à machiner un poids mort ou endormi, se passant de préliminaires : ce serait normal c'est leur femme/leur petite amie, après tout elle est là à disposition, pour cela. Ce qui ne les empêchera pas d'être les plus doux des agneaux au quotidien. Informer encore et éduquer est important. Nous en revenons toujours là de toute façon. Il s'agit de compenser une éducation, ou de la refaire.
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Que de nombreuses femmes se soient exprimées sur les difficultés qu'elles rencontraient au quotidien, dans leur milieu professionnel, dans la rue, et même dans leur foyer, sur le harcèlement et pas que (un petit coup sur tes lunettes), a manifestement fait bouger et évoluer la mentalité en France, mais il y a encore beaucoup à faire. Une loi a été étendue, une autre créée. Des individus comprennent et mesurent mieux l'ampleur de ce qu'elles subissent aujourd'hui et osent s'affirmer, puisque la masse dénonce et ne protège plus les bourreaux. Certains hommes ont également été agressés ou violés. Des mouvements comme #MeToo ont été créés pour toutes les victimes c'est aussi ce qu'a rappelé encore récemment, son initiatrice, Tarana Burke. Combien sont les femmes qui agissent par vengeance ou mitonnent ? C'est extrêmement marginal, soyons sérieux. Combien sont celles qui sont victimes, dénoncent et vont jusqu'à déposer plainte ? Beaucoup trop sont victimes, encore peu osent dénoncer et encore bien trop peu vont jusqu'au dépôt de plainte.
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Mórrígan a répondu à un(e) sujet de hannibal25 dans Musiques
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S'ils la sifflent comme un clebs, se permettent des commentaires sexistes, déplacés, sur sa tenue, son physique, l'insultent, c'est un outrage. S'ils insistent, persistent, la suivent, la touchent après l'avoir importunée verbalement, c'est du harcèlement. Il y a une notion d'insistance, de durée. Ils peuvent aussi se montrer encore plus menaçants et aller jusqu'à l'agression, pire encore jusqu'au viol. Nous pourrions ne pas vouloir tout ceci pour notre société. Il est bon que le loi fixe un cadre, c'est toujours utile pour des individus qui n'ont aucun repères, à qui il n'a rien été enseigné ou qui s'en contre-carrent. Ne t'en fais pas pour les pauvres harceleurs, agresseurs, les forces de l'ordre, la justice seront bien faire la différence, c'est un peu leur job. Des hommes qui se permettent trop de choses, savent aussi tout à fait bien, qu'ils outrepassent leurs droits. Pour les autres, les stages de civisme, l'amende, leur apprendra (ça c'est excellent).
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Oui, oui, entre tout et rien, il y a un abîme de subtilité, qu'attendez-vous donc pour nous en faire la démonstration ? : Qu'est-ce qui est à conserver chez Devilliers ? Et vous nuanceriez comment, concrètement ? Pour le moment, vous m'avez juste démontré que vous étiez très souple, et savez faire le grand écart. Pas des salauds, juste des barbares envoyés là pour détruire, piller, violer les femmes et les chèvres, effacer l'identité... c'est extrêmement positif, il va sans dire. Question philosophique et dans le cas présent : il vaut mieux être un salaud ou un barbare ? Les politiques sont censés manier mieux la rhétorique que quiconque, avoir une aura, être notre voix (je ne parle là qu'en qualité d'orateur). Pour le moment, et depuis de nombreuses années encore, nous n'avons droit qu'à des punchlines à la vazy que je te pousse, de la promo bas de gamme, de la comm' maintenant sur Twitter... des bouffons, juste là nous amuser. Et des incapables, une bande de bras cassés, de losers, actuellement une société civile de beaufs mise en place pour représenter et défendre l'intérêt de beaufs, dans les faits, là où vous y verriez des fourbes, des psychopathes, des calculateurs. Différence de vues ou de curseurs, peut-être. L'antifascime, tout comme le fascisme, le conspirationnisme, le rondocubisme, le marxisme sont des idéologies auxquelles je n'adhère pas, ça se finit en -isme, et ce n'est pas joli joli. Toussa à la benne. Le protectionnisme n'a pas été inventé par des promoteurs, tout comme la mondialisation ne l'a pas été par nos politiques. Vouloir protéger son pays, n'est pas un mal, vouloir le protéger à l'extrême, se replier sur soi, comme le propose ce cher monsieur, n'est ni, à mon sens, souhaitable, ni la solution. Panser nos plaies, pour pouvoir accueillir mieux, et plus tard, au besoin, me semblerait plus juste. Arrêter de mettre le boxon, dans des affaires qui ne nous concernent pas, arrêter de se prendre pour la police du monde, pourrait également aider. Et puis redescendez de votre petit poney. Ce n'est pas ma guerre, Colonel. -
Ce qui a changé avec la fin de l'omerta ? Avec la libération de la parole, des femmes (mais des hommes également), victimes, se sont senties soulagées, plus apaisées et en voie vers une reconstruction (quand que c'est encore possible). De moins en moins de victimes, aujourd'hui, se murent dans le silence, comme autrefois, certaines vont jusqu'au dépôt de plainte, quand d'autres osent se confier à leurs proches. Ce n'est plus honteux ou un fardeau que les victimes doivent porter et taire. Les bourreaux étaient auparavant préservés, protégés, c'en est maintenant fini pour eux. Cela a aussi amené à une prise de conscience des hommes, mais aussi de quelques femmes non solidaires auparavant ou qui ne savaient pas, ne se rendaient pas compte puisque cela ne les touchait personnellement pas. Cela a amené à davantage de cohésion et de solidarité. Ce n'est plus seulement le problème des femmes, mais devenu l'affaire de tous. 40% d'hommes auraient apporté leur soutien sur la page de #balancetonporc. Sans compter ceux qui ne l'ont pas verbalisé sur cette page, mais n'en pensent pas moins, le verbalisent ailleurs. Sans compter ceux qui ont renoué avec/n'ont jamais laissé tomber leur humanité et condamnent, en sus, les agressions faites même dans ces milieux où règne toute une culture machiste (politique, cinéma, milieu artistique). Nous pouvons ainsi voir qu'hommes et femmes ne sont pas réellement fâchés entre eux, comme certains se plairaient à nous le faire croire (lacrymâles et femmes misogynes, pourvu qu'ils ne copulent pas ensemble), ou encore que ces hashtags, et ces mouvements dits féministes ne sont pas ici faits pour amener hommes et femmes à la discorde. "Condamnons, corrigeons -quand c'est encore possible- les déchets ambulants, vivons harmonieusement". Beaucoup, avec grande intelligence, l'auront compris, sont solidaires et c'est fort encourageant pour la suite. La loi Schiappa contre les violences sexuelles et sexistes prévoit l'allongement du délai de prescription pour viol sur mineur (repoussé à 30 ans après la majorité, au lieu de 20), la création du délai d'outrage sexiste. C'est ce que souligne également l'article, et comparativement aux States, nous avons déjà obtenu au bout d'à peine un an, de belles avancées. Tous dires, faits et gestes outrageants sont aujourd'hui reconnus, comme intolérables, plus admissibles. Ce n'est définitivement plus "pas si grave" ou "pas trop grave, ne dis rien, c'est rien", mais plus ou mieux encore, il y a maintenant des sanctions. Des sanctions qui sont bien soulignées, mises en évidence, afin de faire réfléchir les hommes un peu trop porcins. Certains se retiendront. Des stages sont aussi là pour éduquer ceux qui font fi de l'avertissement, puisque visiblement ils ont été juste nourris, tout juste. Les forces de l'ordre sont aujourd'hui formées pour entendre les témoignages de femmes venues porter plainte, et même s'il reste quelques individus récalcitrants ou maladroits, il faudra bien qu'ils se mettent à la page. Si la justice ne suit pas encore, comme elle le devrait, cela finira par venir. C'est toute une mentalité qui est en train de changer, ces mouvements ont permis d'accélérer la cadence. Marlène Schiappa aura été réactive. Nombre sont les individus qui accueillent ces changements comme un grand progrès et c'est rassurant pour l'avenir. N.B : À partir du moment où un individu ou un groupe d'individus importune(nt), continue(nt) à le faire, insiste(nt) alors qu'un refus a été formulé ou manifesté, c'est du harcèlement. Il ne s'agit simplement pas de harcèlement ici, mais également d'agressions, d'outrages, de viols, de toutes les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes.
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Sur cette question, il n'est pas possible de lui attribuer quelconque résultat, puisque nous ne l'avons jamais vu à l'oeuvre. Ce qui est à constater c'est que le FN -ou le RN aujourd'hui- a une bouche grande comme ça. Ça pour fanfaronner, ils assurent. Avoir annoncé la couleur de quoi ? Le fait d'accroître une population, apporte son lot de problème, ses risques. Superbe, ce sont des graines de génies. Bonjour, Je regarde autour de moi, descends de temps à autre à la ville, et même dans les quartiers. Je ne suis pas catastrophiste, simplement. Le danger est définitivement de s'en tenir à une minorité qui fiche le bazar, de ne voir que cela, oublier subitement le travail, l'effort, le courage, la bravoure, de généraliser ou stigmatiser toute une population pour les faits d'autrui. Tout immigré, migrant, au même titre que tout natif, sur le sol français, n'a pas seulement des droits, mais également des devoirs. L'appartenance à un groupe, à une nation ici, n'est pas un cadeau ou quelque chose qui sera apporté sur un plateau, c'est un sentiment, un ressenti, un goût, quelque chose qui vient du coeur, qui doit être entretenu quotidiennement, au fil de notre participation, de nos obligations, de nos démonstrations. Ce sentiment d'appartenance exige que nous soyons sujets, et parce que certains sont différents, parce qu'ils viennent d'ailleurs, ont des ascendances non certifiées 100% gauloises, parce ces différences seront toujours soulignées, mises en avant et malgré tous les efforts apportés, ils auront toujours à prouver, ils devront toujours être irréprochables voire meilleurs que les natifs eux-mêmes (qui eux auront toujours droit à l'erreur). Accueillir des peuples qui ont toutes les raisons du monde de fuir des dictatures, la pauvreté, la guerre, avec des fusils, des bombes ? Ce n'est pas sans rappeler la situation actuelle et extrêmement tendue aux frontières américaines. Je conçois tout à fait, qu'il n'est pas possible d'accueillir tout le monde et d'autant quand il y a déjà énormément à faire pour un peuple qui est affamé, roué de taxes et impôts en tout genre, privé d'emploi, et peut-être de retraite à venir. Pour autant, est-on obligé de traiter ces gens comme des parasites, des sous-êtres ? Cela allège sans doute les consciences, factuellement ça n'en reste pas moins une ignominie. Des cafés et bars interdits aux femmes, information révélée il y a quelques temps. Des quartiers interdits aux non-résidents, à la police depuis bien trop longtemps. Règlements de compte. Traffic de drogues, traffic en tout genre. La France n'a t-elle pas fait une erreur en parquant ces gens au même endroit, en encourageant par la même, l'esprit communautaire ? Donc évoluer main dans la main avec le reste du monde était une fausse bonne idée ? De Villiers aurait raison, il faudrait revenir au béret, à la baguette et à la petite moustache qui va bien, oublier les apports d'autres cultures, rejeter tout ce qui est un peu, presque ou trop différent, indistinctement, de peur de se voir ensevelir ou absorber l'identité ? Merci bien pour les services rendus et bon retour... La France est terre d'accueil depuis -oh j'ai oublié de compter- les immigrés, les migrants ne sont pas tous des salauds. Les salauds sont arrêtés puis jugés. Beaucoup assimilent la culture française ou font du mieux qu'ils peuvent afin de la juxtaposer à leur propre culture, déployant tous les efforts du monde, au quotidien. Ceux-là personne n'en parle jamais, ou trop peu. Des peuples ont vécu l'horreur, c'est inimaginable, abstrait, pour nous qui sommes vautrés dans notre confort. Les assimiler à des barbares, indifféremment, mais bon sang, est-il possible que cet homme retrouve son humanité un jour? De Villliers n'est pas seulement excessif, il est clivant, prompt à faire des généralités, faire des analogies déplacées, stigmatiser des peuples au simple motif qu'ils ont besoin d'aide. Du protectionnisme, pur et dur, au détriment de toute objectivité, de toute rationalité, de toute humanité. S'il y aura toujours des idéologies, elles sont et restent dangereuses. C'est un système de pensée qui est proposé, en définitive, penser à la place de l'autre. Les individus, qui ne pensent plus par eux-mêmes sont alors privés de tout bon sens, de toute mesure, de toute clairvoyance. Il y a un asservissement, une obéissance à ses idéologies. Elles trouvent résonance auprès d'individus portés par la haine, qui y trouveront justification aux pires exactions. Elles sont légitimation de la haine, de la violence. Il n'y a rien de bon pour personne, là-dedans. -
Ce que #MeToo a vraiment changé © Getty Un an après le mouvement qui a libéré la parole des femmes sur les violences dont elles sont victimes, la justice a-t-elle aussi évolué ? Les mentalités ont-elles enfin profondément changé ? On fait le bilan. « Si vous avez été harcelée ou agressée sexuellement, écrivez 'me too' en réponse à ce message. » Le 15 octobre 2017, ce tweet surgit sur le compte de l'actrice américaine Alyssa Milano, relançant le hashtag créé en 2006 par l'activiste Tarana Burke. Le lendemain du message, 500 000 #MeToo avaient éclos sur le réseau social. Nous sommes dix jours après les révélations du « New York Times », où plusieurs actrices accusent le producteur Harvey Weinstein de harcèlement sexuel. Des témoignages d'autres victimes, évoquant cette fois des viols, suivent. Après les affaires Jimmy Savile ou Bill Cosby, l'histoire se répète. Cette fois, c'en est trop. Les hashtags #MeToo et #BalanceTonPorc (en France) écorchent les prédateurs, qui vacillent un à un. Avant, c'était le silence, les regards qui se détournaient, l'omerta. « Le hashtag a permis de mettre des mots sur ce que les femmes n'osent pas dire. Cela fait longtemps que dans nos structures nous voyons les femmes parler, mais là, ça a dépassé nos associations », remarque Françoise Brié, directrice générale de la Fédération nationale solidarité femmes. Aucune génération n'aurait échappé à la brise libératrice. Au 3919 (numéro d'urgence de Violences Femmes Info), on a constaté une hausse des appels de jeunes de 17 à 20 ans, déjà victimes d'agressions dans leurs couples. L'avocate Isabelle Steyer a vu, quant à elle, le tabou tomber pour les victimes de plus de 40 ans, qui ont osé dénoncer des faits remontant parfois à des dizaines d'années. Et le dévoilement ne s'est pas limité aux réseaux sociaux et aux associations. « La vague #MeToo n'est qu'un iceberg. La plupart des victimes ont témoigné auprès de leurs proches. Le hashtag a vraiment libéré la parole dans les cercles de confiance », assure Anne-Cécile Mailfert, présidente de la Fondation des femmes. La prise de conscience collective s'est produite. Sandrine Rousseau, ex-élue EELV qui a été une des premières, en 2016, à accuser Denis Baupin de harcèlement sexuel et qui a, en septembre 2017, fondé l'association Parler, évoque un véritable « mouvement de fond » : « Désormais, certains gestes sont inacceptables. Les mains au cul ne sont plus considérées comme anodines. Ça n'empêche pas les délinquants mais le message est passé. « MON PÈRE M'A DIT QU'IL NE SE RENDAIT PAS COMPTE DE LA VIOLENCE QUE SUBISSENT LES FEMMES AU QUOTIDIEN. » Suite de l'article, ici : http://www.elle.fr/Societe/News/Ce-que-MeToo-a-vraiment-change-3732184
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Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
En même temps l’extrême-droite n’a pas de pouvoir d’action en la matière/n’a jamais encore été au pouvoir en France. Elle aurait peut-être plié comme les autres. Elle peut toujours parler et fera encore parler, nous écoutons religieusement... -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Bonsoir à vous, Si ce sont les liens familiaux et socio-culturels qui amènent à l’appartenance au groupe et à la reconnaissance, nous pouvons admettre que les individus n’entrant pas dans ces critères puissent considérés par les membres de ce groupe, au moins comme des étrangers voire des intrus, au pire comme des barbares, selon les termes de De Villiers, et s’ils agissent de la sorte. Nous pouvons nous sentir proches des espagnols ou des allemands par exemple, tout en gardant notre identité. Le « retrait » des frontières ne diluerait pas l’identité, il laisse néanmoins toute place à la circulation de tout ce qui ne faudrait pas, et avec facilité encore. Les territoires ont été conquis et colonisés depuis fort longtemps. Nous n’allons pas aller prendre à l’Allemagne ou à l’Angleterre. La France en récession, ce serait mieux ? Comment fait-on alors ? Que préconiseriez-vous ? Partage des richesses ? Troc ? Tout est prétexte pour détruire l’environnement, je miserais plus généralement sur l’individualisme, le « TPMG », et tout régime économique et social pourrait être moyen. Ce qu’en fait l’Homme, c’est peut-être là que nous pourrions trouver un début de réponse. C’est vrai que les pays du Tiers-monde contribuant fortement à la surpopulation, sont en croissance... Si ces familles s’entre-déchirent c’est sans doute parce que l’éducation fait défaut (les liens familiaux sont forts quand on y travaille, les entretient, et l’on fait bloc pour le meilleur et pour le pire) et/ou que le parent aura su générer un conflit par manque d’équité voire de bienveillance envers tous ses potentiels héritiers. Qu’est-ce qui a changé ? -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
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La croissance en France, c’est très bon, réjouissons-nous-en. Ce qui est à craindre c’est que les consommateurs aillent là où c’est moins onéreux ou là où il y a plus d’offres, là où la France n’a pas réellement d’intérêts. Ça c’est un fait : nous sommes beaucoup trop, nous consommons aussi bien trop de ressources. Un bon petit genocide là-dessus... ce n’est pas pour une question d’idéologie, mais davantage une question de place. Blague à part, même au sein d’une famille, entre membres plus ou moins éloignés, il y a toujours des tensions. Qu’est-ce qui fait que les membres finissent par s’entendre si ce n’est l’éducation ? Les vagues d’immigration n’ont pas apporté que du mauvais. La France a eu besoin des espagnols, des portugais, des algériens, des italiens afin d’accomplir les plus basses besognes. Avez-vous croisé parmi ces « peuples » davantage d’immigrés travailleurs, polis, qui disent toujours « merci » ou bien des terroristes en herbe ? Avec qui aurions-nous réellement des soucis, avec ces natifs d’ailleurs ou bien avec les natifs d’ici, leur descendance ? Et qu’est-ce qui pêche ? Il y a belle lurette que l’on n'avait entendu pareils propos dans la bouche d’un(e) dirigeant(e) en poste au 10 Downing Street. D’ordinaire, on y explique plutôt que le multiculturalisme institutionnalisé, tel qu’il fonctionne en Grande-Bretagne, est l’une des sept merveilles du monde. On ajoute même parfois que si la France a été l’un des pays les plus touchés par les attentats, c’est en raison d’un laïcisme pur et dur qui braque les musulmans, étant entendu que ces derniers sont tous des adeptes potentiels du djihad. Si cette hypothèse avait quelque validité, tout devrait aller bien au royaume de Sa Très Gracieuse Majesté. A Londres comme à Manchester, la pratique des « accommodements raisonnables », comme on dit, a permis de déléguer des zones entières du territoire à des personnages troubles qui rêvent d’y instaurer la charia et qui déforment des esprits susceptibles ensuite de passer à l’acte. Que Theresa May le découvre enfin prouve que l’on peut revenir sur terre à tout âge, ce qui est somme toute assez encourageant. Par sa saillie verbale, la Première ministre britannique n’en a pas moins déclenché une petite tempête chez ceux qui continuent à considérer le communautarisme sans frontière comme le meilleur des mondes. Ainsi le Guardian a cloué au pilori celle par qui le scandale arrive, l’accusant de vouloir installer dans son pays une forme de « crime de la pensée » (sic). Lui faisant dire ce qu’elle n’a pas dit, le Guardian reproche à Theresa May d’avoir pratiqué un « amalgame entre les meurtriers et les musulmans pacifiques », ajoutant : « De tels mots risquent de monter les individus les uns contre les autres à l’heure où ils ont besoin d’être unis ». Conclusion du journal de l’intelligentsia : « Cela devrait tous nous inquiéter ». Amalgame entre les meurtriers et les musulmans pacifiques The Guardian Quoi qu’on pense par ailleurs de Theresa May, l’inquiétant est de voir un quotidien comme le Guardian reprendre à son compte l’habituelle logorrhée de ceux qui détournant le regard dès que se produit un drame attestant l’instrumentalisation de l’islam à des fins douteuses et parfois sanglantes. L’inquiétant est de ne tirer aucune leçon des attentats à répétition qui se produisent dans tous les pays désignés comme des cibles par les fous de Dieu, qu’il s’agisse de la France, du Royaume-Uni ou de l’Allemagne, aux histoires pourtant fort différentes. L’inquiétant est de ne pas s’alarmer du développement d’un terrorisme du pauvre qui frappe partout en s’appuyant sur une armée de réserve idéologiquement (dé)formée dans des lieux où règnent les prêcheurs de haine. Il serait temps de regarder cette réalité en face en appelant un chat un chat et ne se perdant plus dans des considérations socio-psychologisantes pour inventer des culpabilités là où il n’y en pas. Ainsi, en relation avec l’attentat de Londres, l’islamologue François Burgat déclare dans Libération : « Du Mali à Saint-Denis, en passant par Mossoul et Alep, je crains que le rythme auquel nous fabriquons de nouveaux terroristes demeure bien plus élevé encore ». Bref, les responsables du terrorisme ne sont pas les terroristes mais ceux qui les combattent. Au passage, on apprend que « nous » fabriquons des terroristes à Saint-Denis. Et comment ? En bombardant la ville, peut-être ? En ne laissant pas les adeptes locaux d’un islamisme pur et dur faire leur marché en toute quiétude ? En ne s’inspirant pas assez d’un modèle britannique qui marche du feu de Dieu ? « Cette idéologie est perversion de l’Islam ». Reste à connaître la portion d’individus qui épousent cette idéologie et celle qui s’intègre et assimile parfaitement les « valeurs » de la Monarchie. Qu’est-ce qui ferait que la France est cible ou cible prioritaire ? N’aurait-elle pas pris part à différents conflits qui ne la regardait absolument pas, pour commencer ? C’est fascinant le ragotage, toujours autant... Pour certains, la criminelle est la mondialisation, pour d’autres cela commence déjà avec l’Europe, libre circulation des biens et des personnes, tout est question de curseur. Quand bien même est-ce que tout est bon à jeter ? Les limites territoriales (puisque les frontières ne sont plus) sont de véritables passoires, et il est évident qu’il y aurait beaucoup à faire, ré instaurer un contrôle, minimum, ce qui évidemment serait source d’inconfort pour l’énième vacancier qui passera d’autant plus de temps, dans les bouchons. On a rien sans rien. La mondialisation c’est un siège local, et plusieurs usines un peu partout dans le monde. Pour tout ce qui se récolte, c’est aussi la disponibilité d’un produit mondialement, au moment où le consommateur l’a choisi. La mondialisation n’existe qu’à cause du consommateur et non pas grâce aux politiques. « Il suffirait de ne pas les acheter pour que cela ne se vende plus » disait Coluche. Vous avez un fabuleux exemple avec les concessions Mac Laren. Deux en France, une à Paris, une à Monaco. Celle de Paris a fermé, celle de Monaco suivra. Il n’y a pas la clientèle pour, en France tout simplement. Le consommateur français n’en veut pas, ni le belge, ni le suisse... ça se vend très bien aux EAU. La mondialisation, génère aussi de l’emploi... La France a toujours eu une identité forte, à l’instar d’autres pays (Russie, Écosse, Irlande, Autriche etc...). Des régions, des départements, en son sein ont eux-aussi des identités fortes, trop, jusqu’au point de vouloir devenir indépendants. Il est compréhensible que des individus aient peur de perdre cette identité à laquelle ils tiennent fortement, ce qui leur est précieux. Il est toujours incroyable de voir ces mêmes individus s’en rendre plus malades que nécessaire, ou les voir se perdre dans les discours alarmistes que tiennent des politiques tout près à nous sauver de l’oppresseur. C’est ce qui s’appelle être manipulés. Définitivement, tout n’est pas pourri, comment adhérer à 100% au discours de De Villiers ? Il n’est pas possible de raisonner pour un pays comme on raisonne pour un département. Et si l’on cherchait surtout du côté des idéologies en pour ou en contre, en réaction, qui restent et seront toujours cause de conflits pour les peuples ? Qu’est-ce qui fait l’identité sociale, l’identité d’un groupe ? Qu’est-ce que vous y mettriez dans notre identité nationale ? Les frontières ne se modèlent plus comme avant. À part la frontière israélo-palestinienne qui risque toujours de bouger. Les frontières en France ne sont plus « meubles ». -
Philippe de Villiers : Quand il n'y a plus de frontières, l'identité se dilue".
Mórrígan a répondu à un(e) sujet de Mórrígan dans Politique
Pourquoi ? Qui s’intéresse à ce que racontent les médias ? Macron lui faisait les yeux doux encore récemment. Il aurait répondu via un média de façon très élégante... https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/on-ne-me-baise-ca-philippe-de-villiers-regle-comptes-macron.html Il est effectivement très capable, au moins en ce qui concerne sa région et cela personne ne pourra lui enlever. Bon après intéressons-nous à ce qu’il a à nous dire ici. Pour les lecteurs qui ne lisent pas « Gala », pourriez-vous les informer ? Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Nous arrivons au bout de quelque chose c’est évident et se pressent au perron, les candidats au sauvetage de l’Humanité. De Villiers en Clovis, pour nous sauver, héros de jadis, c’est amusant. A t-on vraiment besoin de lui ? Des autres ? Tout est mauvais dans la mondialisation, toujours ? Avec quoi nous répond la plupart des intervenants ici ? Vous tapez sur un clavier (un bon produit de chez nous) ? N’est-on pas heureux de rouler dans autre chose qu’une Renault ou pouvoir faire du shopping en ligne hors frontières ? S’agit-il aujourd’hui de gommer nos différences ou alors de bien vivre ensemble, au mieux, avec ces différences ? Retour au terroir, je veux bien et je n’ai rien contre un cassoulet à l’occasion, ceci dit un couscous, quand il est bien traité, et sans ces fichus légumes bouillis, est tout à fait digeste. La France est terre d’accueil depuis des lustres, et s’il y a une identité bien française, d’autres cultures ont aussi apporté. Le discours de De Villiers, même si réaliste sur certains points, reste très nationaliste, trop. S’entendre est une belle utopie c’est vrai, se tolérer est à portée de tous...quand les efforts sont faits pour, de part et d’autres. -
Philippe de Villiers : « Quand il n'y a plus de frontière, l'identité se dilue » Alors qu'il sort un livre sur Clovis, Philippe de Villiers compare la chute de la civilisation romaine à la situation actuelle, dans un entretien au « Figaro ». Par LePoint.fr Publié le 31/10/2018 à 09:24 | Le Point.fr « Il y a des correspondances étranges. Mon livre est à double lecture. Nous vivons peut-être la fin d'une civilisation, la nôtre. C'était la civilisation romaine. » C'est le constat que fait Philippe de Villiers dans une interview accordée au Figaro . Alors qu'il sort un nouveau livre, Le Mystère Clovis, « Clovis est le premier mur porteur sur lequel on peut poser la main », l'ancien président du conseil général de Vendée se livre à un exercice de correspondances. « Nous sommes dans des temps de grand trouble. » Article extrait de Le Point : https://www.lepoint.fr/politique/philippe-de-villiers-quand-il-n-y-a-plus-de-frontiere-l-identite-se-dilue-31-10-2018-2267511_20.php Alors Mortecouille... et nous nous sommes tous fichus de Philippe Devilliers à un moment ou à un autre, notons qu'il détient dans sa région, la Vendée, un taux de chômage très faible, que les entreprises y fleurissent, que le Puy du Fou est reconnu (encore) comme étant le meilleur parc d'attraction du monde en 2018, que sa Majesté elle-même est venue sur place afin que lui soit révélée la recette du succès... Analogie des migrants aux barbares, chute d'une civilisation, "l'avenir retour aux valeurs simples", De Villiers est-il ici clairvoyant ?
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